945 resultados para Non-medical prescribing
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This paper presents education research as vital to addressing the issues faced by adults living with cancer. This qualitative study looked at philosophies of practice for cancer patient education. It was about understanding how values and beliefs shape the way program planners and managers operationalize their knowledge of adult education and how this has significant impact on meeting the needs of those touched by cancer. Improved technology has extended life expectancy, so that Canadians living with cancer, or even dying with cancer now spend less time in direct medical care. The notion of cancer as simply a medical concern is outdated. This study found that informational and support needs of adults living with cancer are often unmet, ignored or unknown. This research investigated a community-based education initiative that is inviting, accessible, and promotes a sense of hope. More specifically, this case study uncovered factors contributing to the success of Wellspring, a grass-roots cancer patient support centre which has been recognized nationally for its ability to effectively meet the diverse non-medical supportive care needs of as many cancer patients and caregivers as possible. Therefore, Wellspring was selected as a case study. Educating people to take charge of their own lives and supporting them in making informed decisions about their lifestyle choices made Wellspring part of a social action movement that focused on improving social attitudes toward people living with cancer. Results of this descriptive inquiry and philosophical inquiry evolved into data that was used to devise an organic model of community-based education that encompasses Adler's (1993) four dimensions of philosophy within a socio-cultural context.
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L’émergence de l’utilisation du méthylphénidate (MPH; Ritalin) par des étudiants universitaires afin d’améliorer leur concentration et leurs performances universitaires suscite l’intérêt du public et soulève d’importants débats éthiques auprès des spécialistes. Les différentes perspectives sur l’amélioration des performances cognitives représentent une dimension importante des défis sociaux et éthiques autour d’un tel phénomène et méritent d’être élucidées. Ce mémoire vise à examiner les discours présents dans les reportages internationaux de presse populaire, les discours en bioéthique et en en santé publique sur le thème de l’utilisation non médicale du méthylphénidate. Cette recherche a permis d’identifier et d’analyser des « lacunes » dans les perspectives éthiques, sociales et scientifiques de l’utilisation non médicale du méthylphénidate pour accroître la performance cognitive d’individus en santé. Une analyse systématique du contenu des discours sur l’utilisation non médicale du méthylphénidate pour accroître la performance cognitive a identifié des paradigmes divergents employés pour décrire l’utilisation non médicale du méthylphénidate et discuter ses conséquences éthiques. Les paradigmes « choix de mode de vie », « abus de médicament » et « amélioration de la cognition » sont présents dans les discours de la presse populaire, de la bioéthique et de la santé publique respectivement. Parmi les principales différences entre ces paradigmes, on retrouve : la description de l’utilisation non médicale d’agents neuropharmacologiques pour l’amélioration des performances, les risques et bénéfices qui y sont associés, la discussion d’enjeux éthiques et sociaux et des stratégies de prévention et les défis associés à l’augmentation de la prévalence de ce phénomène. La divergence de ces paradigmes reflète le pluralisme des perceptions de l’utilisation non médicale d’agents neuropharmacologiques Nos résultats suggèrent la nécessité de débats autour de l’amélioration neuropharmacologique afin de poursuivre l’identification des enjeux et de développer des approches de santé publique cohérentes.
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La dépression et l’antidépresseur, phénomènes plus vastes, plus complexes que l’ordre biomédical ne l’entend, répondent à des logiques qui dépassent les seules considérations organiques, corporelles. Certaines recherches montrent d’ailleurs que ces deux entités sont autonomes l'une de l'autre, signifiant que les antidépresseurs sont prescrits pour des raisons indépendantes de la prévalence de problèmes de santé mentale. C’est dans cette optique que, dans ce mémoire, nous examinons les raisons pour lesquelles les individus ont recours aux antidépresseurs suite à une rupture conjugale. C’est à l’aide des récits de huit femmes ayant pris des antidépresseurs suite à une rupture conjugale qu’on a donc investigué les rouages du recours à ces médicaments. À la lumière des résultats, on observe effectivement que la prise d’antidépresseurs semble répondre à une logique qui soit extra–médicale. D’abord par le constat que seules trois d’entres ces huit femmes ont justifié leur prise d’antidépresseurs par la réception d’un diagnostic formel de dépression. Ensuite, par la découverte qu’elle se déploie essentiellement selon une double symbolique au centre duquel prime le lien social. En effet, on a recours aux antidépresseurs suite à une rupture conjugale parce qu’ils sont à la fois l’incarnation d’un lien de confiance avec un être semblable à soi, empathique, le médecin, et le symbole d’un retour à la vie dite ‘normale’ où les manières d’être et d’interagir sont conformes à celles du groupe auquel on s’identifie. On croit que l’importance accordée à la confiance au médecin et à la normalisation quant au recours à l’antidépresseur témoignent du resserrement des liens d’identification propre à l’individualisme contemporain lesquels, en opposition aux grands récits de jadis, sont désormais axés sur une intimité de valeurs et d’objectifs entre semblables.
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Le sujet de l’avortement provoqué demeure encore tabou au Togo et la compréhension du phénomène reste incomplète. La présente étude vise à dresser un portrait complet de ses divers aspects dans la capitale togolaise, qui a connu une baisse importante de la fécondité au cours des dernières années. À partir des données des Enquêtes démographiques et de santé (EDS) de 1988 et 1998, et de celles de l’Enquête sur la planification familiale et l’avortement provoqué (EPAP) de 2002, l’étude montre que le recours à l’avortement est à la hausse à Lomé, bien que l’estimation de son ampleur dépende de la méthode utilisée. Plus de 32 % des femmes ayant déjà été enceintes ont déclaré avoir avorté au moins une fois. Toutefois, l’avortement est plus fréquent chez les jeunes, qui y ont recours de manière plus précoce et plus rapprochée que leurs aînées. En contribuant ainsi à la régulation des naissances, l’avortement réduit la fécondité de 10 à 12 %. En utilisant les données de l’EPAP, réalisée auprès de 4755 femmes âgées de 15-49 ans, nous avons aussi étudié le recours à l’avortement comme une séquence d’étapes débutant par l’exposition au risque de grossesse jusqu’au recours à l’avortement, en passant par une absence de pratique contraceptive et le fait qu’une grossesse qui survient soit déclarée « non désirée ». L’ethnie et la génération sont associées à certaines étapes de la séquence alors que la religion, la parité, le statut matrimonial et le niveau d’instruction sont associés aux quatre étapes. Ainsi, le risque élevé d’avorter chez les femmes instruites découle en fait de leur risque élevé à toutes les étapes. En étant moins à risque de grossesse, les femmes qui ont au moins deux enfants sont plus susceptibles que les nullipares, d’utiliser une contraception moderne, de déclarer une grossesse comme non désirée et d’avorter. Si plusieurs grossesses non désirées surviennent aux âges jeunes, c’est surtout le caractère « hors union » de la grossesse qui fait qu’elle est considérée comme « non désirée » et interrompue. En outre, les femmes qui ont déjà avorté ou utilisé une contraception sont plus enclines à recourir à un avortement. Les résultats montrent également que le partenaire soutient souvent la femme dans la décision d’avorter et s’acquitte des coûts dans la majorité des cas. Malgré le fait qu’ils soient illégaux, plus de 40 % des avortements sont pratiqués à Lomé dans des centres de santé, par un membre du personnel médical, et à l’aide du curetage ou de l’aspiration. Mais, la moitié de ces avortements (22 %) avait été tentée au préalable par des méthodes non médicales. Plusieurs avortements ont aussi lieu soit à domicile (36 %), soit chez des tradi-thérapeutes (24 %), grâce à des méthodes non médicales. Par ailleurs, près de 60 % des avortements ont entraîné des complications sanitaires, conduisant la majorité des femmes à une hospitalisation. Sur le plan psychologique et relationnel, nous avons montré que la plupart des avortements ont entraîné des regrets et remords, de même que des problèmes entre les femmes et leurs parents. Les parents soutiennent en fait peu les femmes dans la décision d’avorter et interviennent rarement dans le paiement des coûts. L’étude a enfin révélé que la loi sur l’avortement est peu connue. Cependant, être âgée de 25 ans ou plus, en union ou très instruite, connaître des méthodes contraceptives, le recours d’une parente ou amie à l’avortement sont associés, toutes choses égales par ailleurs, à une plus grande chance de connaître la loi. L’analyse, en appuyant des déclarations des professionnels de la santé et des femmes, montre que malgré sa forte prévalence à Lomé, le recours à l’avortement demeure largement stigmatisé. Les quelques professionnels et femmes qui se sont prononcés en faveur de sa légalisation pensent que celle-ci permettrait de « réduire les avortements clandestins et risqués ». En fait, ce sont les femmes les plus instruites, âgées de 25 ans ou plus, utilisant la contraception, ayant déjà avorté ou connaissant quelqu’un l’ayant fait, qui sont plus aptes à approuver la légalisation de l’avortement. Celles qui appartiennent aux églises de type « pentecôtiste », plus sévères quant aux relations sexuelles hors mariage, sont par contre moins susceptibles que les catholiques d’avoir une telle attitude positive.
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Introducción: el lupus eritematoso sistémico (LES) es considerado una enfermedad de alto costo. La expresión clínica de la enfermedad depende de la ubicación geografía y la etnicidad. El objetivo de este estudio fue el calcular los costos ambulatorios relacionado al LES en una cohorte colombiana, identificar los predictores de costos y comparar nuestro resultados con otras poblaciones. Métodos: Se realizó una aproximación de tipo prevalencia en 100 pacientes LES en quienes se evaluaron los costos directos médicos, directos no médicos, indirectos e intangibles. Todos los costos médicos fueron evaluados usando una metodología abajo hacia arriba. Los costos directos fueron valorados desde una perspectiva social usando una metodología de micro-costeo. Los costos indirectos se evaluaron mediante una aproximación de capital humano, y los costos intangibles calculados a partir de los años de vida ajustados por calidad (AVAC). Se analizaron los datos por medio de un análisis multivariado. Para comparaciones con otras poblaciones todos los costos fueron expresados como la razón entre los costos y producto interno bruto nacional per cápita. Resultados: La media de costos totales fue 13.031±9.215 USD (ajustados por el factor de conversión de paridad del poder adquisitivo), lo cual representa el 1,66 del PIB per capita de Colombia. Los costos directos son el 64% de los costos totales. Los costos médicos representan el 80% de los costos directos,. Los costos indirectos fueron el 10% y los costos intangibles el 25% de los costos totales. Los medicamentos representaron el 45% de los costos directos. Mayores costos se relacionaron con el estrato socioeconómico, seguro médico privado, AVAC, alopecia, micofenolato mofetilo, y terapia anticoagulante. Los costos directos ajustados de los pacientes con LES en Colombia fueron mayores que en Norte América y en Europa. Conclusiones: el LES impone una carga económica importante para la sociedad. Los costos relacionados con la atención médica y AVAC fueron los principales contribuyentes al alto costo de la enfermedad. Estos resultados pueden ser referencia para determinar políticas en salud pública así como comparar el gasto en salud de forma internacional.
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OBJETIVO: No contexto de acesso universal à terapia antiretroviral, os resultados do Programa de Aids dependem da qualidade do cuidado prestado. O objetivo do estudo foi avaliar a qualidade do cuidado dos serviços ambulatoriais que assistem pacientes de Aids. MÉTODOS: Estudo realizado em sete Estados brasileiros, em 2001 e 2002. Foi avaliada a qualidade do atendimento a pacientes com Aids quanto à disponibilidade de recursos e a organização do trabalho de assistência. Um questionário com 112 questões estruturadas abordando esses aspectos, foi enviado a 336 serviços. RESULTADOS: A taxa de resposta foi de 95,8% (322). Os indicadores de disponibilidade de recursos mostram uma adequação maior do que os indicadores de organização do trabalho. Não faltam antiretrovirais em 95,5% dos serviços, os exames de CD4 e Carga Viral estão disponíveis em quantidade adequada em 59 e 41% dos serviços, respectivamente. em 90,4% dos serviços há pelo menos um profissional não médico (psicólogo, enfermeiro ou assistente social). Quanto à organização, 80% não agendavam consulta médica com hora marcada; 40,4% agendavam mais que 10 consultas médicas por período; 17% não possuíam gerentes exclusivos na assistência e 68,6% não realizavam reuniões sistemáticas de trabalho com a equipe. CONCLUSÕES: Os resultados apontam que além de garantir a distribuição mais homogênea de recursos, o programa precisa investir no treinamento e disseminação do manejo do cuidado, conforme evidenciado nos resultados da organização de trabalho.
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This study was carried out to evaluate the working procedures of the mental health at the medical and administrative team at the mental health outpatient unit in Botucatu, attempting to understand its previous and social characteristics in relation to psychiatry, health and Brazilian society. The objective of this study was to analyze the activities being used and the professional inter-relationship of the team. It tried to identify the main factors that controlled the actions, the social needs are attended to. Direct observation and interviews focused on the patients and workers were the methods used. The results were reviewed in the lights of the concepts of 'work technological organization' and 'working process' which enabled the identification of the units of work at the center. After all, it was noticed that there were two distinct trends of work organization: one of them aimed at individual treatment by medical staff and the other aimed at group treatment by non-medical staff.
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To quantify psychoactive drug use and investigate use-related variables among students of Assis, Brazil, a questionnaire was administered to collect sociodemographic data and identify the pattern of non-medical use of psychoactive drugs in 20% of public and private school students. The largest consumption indexes for lifetime use were seen for alcohol (68.9%) and tobacco (22.7%). Drugs most often used were: solvents (10.0%); marijuana (6.6%); benzodiazepines (3.8%); amphetamines (2.6%); cocaine (1.6%); and anticholinergics (1.0%).
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Pós-graduação em Psicologia - FCLAS
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Pharmacological cognitive enhancement (CE) is a topic of increasing public awareness. In the scientific literature on studentrnuse of CE as a study aid for academic performance enhancement, there are high prevalence rates regarding the use ofrncaffeinated substances (coffee, caffeinated drinks, caffeine tablets) but remarkably lower prevalence rates regarding the usernof illicit/prescription stimulants such as amphetamines or methylphenidate. While the literature considers the reasons andrnmechanisms for these different prevalence rates from a theoretical standpoint, it lacks empirical data to account for healthyrnstudents who use both, caffeine and illicit/prescription stimulants, exclusively for the purpose of CE. Therefore, wernextensively interviewed a sample of 18 healthy university students reporting non-medical use of caffeine as well as illicit/rnprescription stimulants for the purpose of CE in a face-to-face setting about their opinions regarding differences in generalrnand morally-relevant differences between caffeine and stimulant use for CE. 44% of all participants answered that there is arngeneral difference between the use of caffeine and illicit/prescription stimulants for CE, 28% did not differentiate, 28% couldrnnot decide. Furthermore, 39% stated that there is a moral difference, 56% answered that there is no moral difference andrnone participant was not able to comment on moral aspects. Participants came to their judgements by applying threerndimensions: medical, ethical and legal. Weighing the medical, ethical and legal aspects corresponded to the students’rnindividual preferences of substances used for CE. However, their views only partly depicted evidence-based medical aspectsrnand the ethical issues involved. This result shows the need for well-directed and differentiated information to prevent thernpotentially harmful use of illicit or prescription stimulants for CE.
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The present paper describes standardized procedures within clinical sleep medicine. As such, it is a continuation of the previously published European guidelines for the accreditation of sleep medicine centres and European guidelines for the certification of professionals in sleep medicine, aimed at creating standards of practice in European sleep medicine. It is also part of a broader action plan of the European Sleep Research Society, including the process of accreditation of sleep medicine centres and certification of sleep medicine experts, as well as publishing the Catalogue of Knowledge and Skills for sleep medicine experts (physicians, non-medical health care providers, nurses and technologists), which will be a basis for the development of relevant educational curricula. In the current paper, the standard operational procedures sleep medicine centres regarding the diagnostic and therapeutic management of patients evaluated at sleep medicine centres, accredited according to the European Guidelines, are based primarily on prevailing evidence-based medicine principles. In addition, parts of the standard operational procedures are based on a formalized consensus procedure applied by a group of Sleep Medicine Experts from the European National Sleep Societies. The final recommendations for standard operational procedures are categorized either as 'standard practice', 'procedure that could be useful', 'procedure that is not useful' or 'procedure with insufficient information available'. Standard operational procedures described here include both subjective and objective testing, as well as recommendations for follow-up visits and for ensuring patients' safety in sleep medicine. The overall goal of the actual standard operational procedures is to further develop excellence in the practice and quality assurance of sleep medicine in Europe.
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Objective: The aim of this literature review, performed within the framework of the Swiss governmental Program of Evaluation of Complementary Medicine (PEK), was to investigate costs of complementary and alternative medicine (CAM). Materials and Methods: A systematic literature search was conducted in 11 electronic databases. All retrieved titles and reference lists were also hand-searched. Results: 38 publications were found: 23 on CAM of various definitions (medical and non-medical practitioners, over-the-counter products), 13 on homeopathy, 2 on phytotherapy. Studies investigated different kinds of costs (direct or indirect) and used different methods (prospective or retrospective questionnaires, data analyses, cost-effectiveness models). Most studies report 'out of pocket' costs, because CAM is usually not covered by health insurance. Costs per CAM-treatment / patient / month were AUD 7-66, CAD 250 and GBP 13.62 +/- 1.61. Costs per treatment were EUR 205 (range: 15-1,278), USD 414 +/- 269 and USD 1,127. In two analyses phytotherapy proved to be cost-effective. One study revealed a reduction of 1.5 days of absenteeism from work in the CAM group compared to conventionally treated patients. Another study, performed by a health insurance company reported a slight increase in direct costs for CAM. Costs for CAM covered by insurance companies amounted to approximately 0.2-0.5% of the total healthcare budget (Switzerland, 2003). Publications had several limitations, e.g. efficacy of therapies was rarely reported. As compared to conventional patients, CAM patients tend to cause lower costs. Conclusion: Results suggest lower costs for CAM than for conventional patients, but the limited methodological quality lowers the significance of the available data. Further well-designed studies and models are required.
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The study systematically describes the frequency and geographic variability of major surgical interventions for musculoskeletal disorders in Switzerland. Age- and sex-standardized rates for joint replacements, arthroscopies, spine surgery and hip fracture repair were calculated for hospital service regions. Various statistical analyses were used to measure the extent of variation. The authors argue that the surgery of hip fractures can be used as index surgery in the context of analyzing variations in orthopedic surgery. Temporal trends imply that patient demand and supply factors related to clinical ambiguity and non-medical incentives of providers are far more important components leading to increased use than the sole effect of an aging population.
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A process evaluation of the Houston Childhood Lead Poisoning Prevention Program, 1992-1995, was conducted. The Program's goal is to reduce lead poisoning prevalence. The study proposed to determine to what extent the Program was implemented as planned by measuring how well Program services were actually: (1) received by the intended target population; (2) delivered to children with elevated blood lead levels; (3) delivered in compliance with the Centers for Disease Control and Prevention and Program guidelines and timetables; and (4) able to reduce lead poisoning prevalence among those rescreened. Utilizing a program monitoring design, the Program's pre-collected computer records were reviewed. The study sample consisted of 820 children whose blood lead levels were above 15 micrograms per deciLiter, representing approximately 2.9% of the 28,406 screened over this period. Three blood lead levels from each participant were examined: the initial elevated result; the confirmatory result; and the next rescreen result, after the elevated confirmatory level. Results showed that the Program screened approximately 18% (28,406 of 161,569) of Houston's children under age 6 years for lead poisoning. Based on Chi-square tests of significance, results also showed that lead-poisoned participants were more likely to be younger than 3 years, male and Hispanic, compared to those not lead poisoned. The age, gender and ethnic differences observed were statistically significant (p =.01, p =.00, p =.00). Four of the six Program services: medical evaluations, rescreening, environmental inspections and confirmation, had satisfactory delivery completion rates of 71%-98%. Delivery timetable compliance rates for three of the six services examined: outreach contacts, home visits and environmental inspections were below 32%. However, dangerously elevated blood lead levels fell and lead poisoning prevalence dropped from 3.3% at initial screening to 1.2% among those rescreened, after intervention. From a public health perspective, reductions in lead poisoning prevalence are very meaningful. Based on these findings, the following are recommendations for future research: (1) integrate Program database files by utilizing a computer database management program; (2) target services at Hispanic male children under age 3 years living in the highest risk neighborhoods; (3) increase resources to: improve tracking and documentation of service delivery and provide more non-medical case management and environmental services; and (4) share the evaluation methodology/findings with the Centers for Disease Control and Prevention administrators; the implications may be relevant to other program managers conducting such assessments. ^
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Aim of the study: This study investigated the use among the Swiss adult population and the regional dissemination in Switzerland of various methods of complementary medicine (CM). It focused on CM methods that required visiting a physician or therapist and excluded e.g. over-the-counter drugs. Data and Methods: Data of the Swiss Health Survey 2007 were obtained from the Swiss Federal Statistical Office. This survey is performed every 5 years in a sample and is representative of the Swiss resident population from the age of 15 on. It consists of a telephone interview followed by a written questionnaire (2007: 18'760 and 14'432 respondents, respectively) and includes questions about people's state of health, general living conditions, lifestyle, health insurance and usage of health services. Users and non-users of CM were compared using logistic regression models. Results: 23.0 % of the Swiss adult population (women: 30.5 %, men: 15.2 %) used CM during the 12 months before the survey. Homeopathy (6.4 %), osteopathy (5.4 %) and acupuncture (4.9 %) were the most popular methods. The average number of treatments within 12 months for these three methods was 3.1 ± 3.6, 3.5 ± 3.3 and 6.6 ± 5.8, respectively. For treatments with homeopathy and acupuncture, medical practitioners were more commonly consulted than non-medical practitioners, for treatments with osteopathy no difference was found. By means of logistic regression, CM users and non-users were compared. There were significant differences in the use of CM between genders, age groups, levels of education and areas of living. Women, people aged 25 to 64 years, and people with higher levels of education used CM more commonly than men, people below 25 or above 64 years of age, or those with poorer education. Lake Geneva region and central Switzerland had a higher proportion of CM users than the other regions. Discussion: Almost one fourth of the Swiss adult population had used CM within 12 months before the survey. User profiles were comparable to those in other countries. Despite a generally lower self-perceived health status, elderly people were less likely to use CM. Reference: Klein SD, Frei-Erb M, Wolf U. Usage of complementary medicine across Switzerland. Results of the Swiss Health Survey 2007. Swiss Med Wkly. 2012;142:w13666.