975 resultados para Military history, Medieval.


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Civil War Hero Burials the funerals of the fallen White in Finland in 1918 This study focuses on the burial with honours of fallen White combatants during the Finnish Civil War of 1918, as well as on the reasons underpinning the practice. The main sources of the study included the archives of the White army, the Civil Guard organisation and the Church, as well as the newspapers. The genetic method of history research was used. Both the existing tradition of military burials and the ecclesiastical burial culture influenced the burials of those who fell during the Civil War. The first war hero funerals took place as early as the beginning of February 1918, and the first larger-scale collective funerals were organised in Laihia and Vaasa in the Ostrobothnia province, with the latter attended by the supreme civil and military leaders of White Finland. From early on, these funerals assumed their characteristic features, such as the lion flag a design for the Finnish national flag proposed immediately upon the declaration of the country s independence military parades, lines of honour guards, eulogies, salutes and common war hero graves. As a result of the general offensive begun in mid-March 1918, the numbers of the fallen multiplied, so special organisations were established to handle the burials of the fallen. At the same time, the war hero funerals became more frequent and diffused, and the numbers of the buried grew throughout the country. In early March, the advocates of the republican system of government published their appeal in the newspapers, requesting that collective graves for those who fell in the war prepared in every locality. They motivated their request by stating that it was the funerals in particular that had inspired many men to join the ranks voluntarily in the first place, and that the large collective soldiers graves increased the numbers of those who answered the call and left for the front. The Civil Guard organisation arranged the burials of war heroes. The clergy contributed by officiating the religious service and by clearly aligning themselves with the Whites in their eulogies. The teachings of the Lutheran Church suggest that they found the Whites to be the temporal authority instituted by God, and therefore authorised raising the sword against the Reds. Speaking at the funerals with great pomp and sentimental power, the leaders of the Civil Guard and the exponents of the learned classes instigated their audiences against the Reds. The funeral speeches idealised the war hero s death by recalling military history since the times of ancient Greece. Being of the emblematic colour of the Whites, the white coffin assumed a particular importance connected to ideas of biblical purity and innocence. By the end of May 1918, almost 3,300 Whites were buried in the soldiers graves prepared by the burial organisation in some 400 localities. Only about 200 men remained missing in action or unidentified. The largest common graves accommodated over 60 fallen combatants. Thus, the traditions of the 1918 Civil War directly influenced war hero burial practices, which continued into the Finnish Winter War of 1939.

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Resumen: El objeto de este trabajo es vincular la actividad de los museos y su patrimonio histórico militar en la conformación de identidades, como parte de un proyecto que se inició hacia fines del siglo XIX. Abordaremos la cuestión desde una visión amplia, incluyendo todos aquellos bienes que por su historia, y la función que ocupan en esa construcción identitaria, guardan estrecha relación con la historia militar. Para tal fin, se tomarán cuatro casos: el Museo Histórico Nacional, el Buque Museo Corbeta Uruguay, la Casa Museo Luis Piedra Buena y la Casa Amarilla (sede del Departamento de Estudios Históricos Navales y del Instituto Nacional Browniano) Todos ellos bienes patrimoniales e instituciones que surgen o se re-significan con el objeto de facilitar a la comunidad nacional e internacional el acceso al conocimiento de la historia del país.

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Abstract: In this article I want to show the negotiations of the Emperor Julian about recruitment and Anonna Militaris. I'm trying to develop some ideas on Julian's Military History during his time as a Cesar of Constantius II and as an Emperor. We are joying some arguments to understand his preparation for the military life

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Ireland Richard, 'The Felon and the Angel Copier: Criminal Identity and the Promise of Photography in Victorian England and Wales', In: Policing and War in Europe, Criminal Justice History, (Westport, CT, Greenwood Press), volume 16, pp.53-86, 2002 RAE2008

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Jackson, Peter, and Joe Maiolo, 'Strategic intelligence, Counter-Intelligence and Alliance Diplomacy in Anglo-French relations before the Second World War', Military History (2006) 65(2) pp.417-461 RAE2008

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Priest, A. (2005). In Common Cause: The NATO Multilateral Force and Mixed-Manning Demonstration on USS Claude V. Ricketts, 1964-1965. Journal of Military History, 69 (3), 759-789. RAE2008

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La ville de Liège, à la fin du Moyen Âge, fut le théâtre de l’affirmation de ses bourgeois par l’entremise des corporations de métier et des institutions communales. Le XIVe siècle fut en effet marqué par des gains communaux importants au détriment, d’une part, du patriciat urbain, d’autre part, du prince-évêque de Liège. À partir de 1384, le Conseil liégeois, entièrement entre les mains des artisans, possédait des prérogatives étendues dans l’administration et la gestion de la ville. Toutefois, la progression du pouvoir bourgeois se trouva brusquement stoppée, pour une dizaine d’années, lors de la défaite liégeoise d’Othée, en 1408. Ce mémoire porte sur l’évolution du pouvoir communal liégeois dans la première moitié du XVe siècle, moins bien connue des historiens. L’étude de la chronique de Jean de Stavelot permet de mettre en lumière cette période trouble. La défaite d’Othée de même que les réformes imposées par les princes-évêques causèrent notamment de grands bouleversements. Des partis politiques entrèrent aussi en scène et la présence voisine du puissant duc de Bourgogne influença la vie des Liégeois. Ces particularités issues du contexte politique et social sont autant d’éléments qui influèrent sur la volonté d’affirmation des bourgeois et l’exercice du pouvoir communal à Liège.

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Ce mémoire porte sur le traité de Venise de 1201, passé entre les barons de la Quatrième Croisade et la république de Venise, pour l’affrètement d’une flotte incluant transport et vivres. L’étude du Traité est d’autant plus importante que, les croisés manquant à leurs obligations, cet accord eut un impact déterminant sur la suite de la Croisade, se plaçant ainsi au cœur de sa déviation vers Constantinople. Le mémoire analyse d’abord la nature et l’ampleur des engagements pris par Venise, en essayant de quantifier et de mesurer en termes économiques le nombre de bateaux et de croisés transportés, ainsi que le poids et le coût des provisions pour hommes et chevaux. Cette analyse, basée sur la comparaison avec des contrats analogues, prouve que la somme de 85 000 marcs d’argent convenue avec les barons n’était en rien exagérée. Parallèlement, le mémoire évalue ce que pouvait signifier, dans le contexte économique de l’époque, une telle somme, et tente d’identifier les raisons pour lesquelles les croisés furent dans l’impossibilité d’honorer leur part du contrat. Cette analyse montre que, contrairement à une certaine historiographie traditionnelle, il serait faux d’imputer aux Vénitiens la responsabilité du détournement de la Croisade ou de les taxer d’intransigeance, de cupidité, voire de duplicité. L’effort fourni par la République indique qu’elle mit tout en œuvre pour que l’entreprise fût une réussite. L’interruption du commerce, la construction de nombreux navires, la réquisition de milliers de marins pour manœuvrer la flotte et la logistique pour approvisionner des dizaines de milliers d’hommes témoignent toutes de l’ampleur de l’implication vénitienne. C’est le défaut de paiement des croisés, qui força le doge Henri Dandolo à se commettre plus avant encore, joignant irrémédiablement la fortune de la ville marchande à celle de l’expédition.

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À l’aube du IXe siècle, les Carolingiens prétendent imposer à l’Occident l’unité dans la foi et le culte. Cet idéal domine les pensées des empereurs qui se conçoivent comme protecteurs, législateurs et juges, mais aussi vicaires du Christ et recteurs de l’Église. De telles ambitions stimulent l’élaboration d’un gouvernement original. Comme les conquêtes avaient composé une vaste mosaïque de populations, de cultures et d’intérêts, la concorde posait un grand défi. Pour y répondre, Charlemagne et Louis le Pieux ont fait des communications leur premier outil politique. Leur inventivité et leur efficience furent appréciables, mais elles n’ont pas suffi à leur gagner toutes les adhésions : la discorde s’est installée là où l’empereur ne parvenait pas à maintenir une relation forte avec les élites régionales. Les distances et les modalités des communications déterminaient la nature de leurs échanges, donc leurs limites et, de ce fait, le destin de l’Empire carolingien. L’enquête aborde un vaste éventail documentaire : actes, capitulaires, correspondances, monnaies... Elle s’intéresse particulièrement aux relations du pouvoir impérial avec les élites du sud-ouest de l’empire. Ses résultats dépendent d’un étayage complexe : dispositifs de représentation du pouvoir, conséquences politico-sociales des distances et des vitesses de déplacement, anthropologie de la rencontre et des relations à distance, étude des réseaux. Au-delà des considérations propres à l’histoire des VIIIe-IXe siècles, elle démontre l’intérêt d’aborder les réalités politiques prémodernes du point de vue des défis que présentent les distances géographiques, les rencontres et les communications.

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Le Corrector sive Medicus est un pénitentiel rédigé par Burchard, évêque de Worms (1000-1025). Il s’agit d’un manuel destiné à guider les confesseurs lors de l’administration du sacrement de pénitence. Intégré dans le Decretum, l’œuvre majeure de Burchard, il compte parmis les pénitentiels les plus illustres. Il contient notamment un questionnaire très élaboré sur les péchés commis par les fidèles. Les 194 questions du Corrector sive Medicus constituent l’objet d’étude de ce mémoire. Entre le VIIe et le XIIe siècle, les pénitentiels forment une longue tradition littéraire où les textes se répètent constamment. Le questionnaire du Corrector sive Medicus se distingue du fait qu’il est rédigé en grande partie par Burchard lui-même. Les détails précis sur les survivances païennes et la religion populaire que l’évêque introduit dans son pénitentiel permettent, comme aucune autre source de la période, une analyse ethno-historique de la culture germanique. La première partie du mémoire est consacrée à la présentation du Corrector sive Medicus : j’y décris d’abord le contexte historique et biographique de l’œuvre, puis discute d’une herméneutique littéraire, pour enfin proposer une synthèse diachronique des traditions germaniques. La deuxième partie offre, pour la première fois en français, la traduction intégrale du questionnaire de Burchard, accompagnée de commentaires sur différents sujets ou problèmes soulevés par le texte, notamment ceux qui concernent la culture germanique. Finalement sont placés en annexe quelques documents qui témoignent, tout comme le Corrector sive Medicus, d’un syncrétisme religieux profondément enraciné dans les mœurs des Germains.

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Carte du bailliage en fichier complémentaire.

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Le Livre Roisin est l'un des rares coutumiers français du XIIIe siècle. Il contient les coutumes de la ville de Lille, mises par écrit en 1267, puis recopiées et enrichies en 1297, en 1349 et enfin de façon continue jusqu'au XVIe siècle. Une dernière copie officielle fut faite en 1618-1619. L'analyse approfondie du plus ancien manuscrit du Livre Roisin qui nous soit parvenu, celui de 1349, révèle les secrets de son élaboration. Les nombreuses chartes, actes, arrêts et bans joints au coutumier à proprement parler durant plus de deux siècles donnent une vue d'ensemble des lois qui régissaient les Lillois du Moyen Âge. Au passage, les producteurs du recueil, les clercs de ville, ont laissé des traces de leur travail, de telle sorte qu'il est possible de dresser l'inventaire de leurs responsabilités et comprendre l'importance de ces officiers tant dans la perspective des institutions municipales médiévales que dans celle de l'historien, pour qui ils font partie de la chaîne de transmission des textes. De leur côté, les récepteurs, tout aussi discrets mais présents, se manifestent dans le détail de la procédure judiciaire que contient le document. L'utilisation qu'ils en ont faite, tantôt pratique, tantôt mémorielle surgit. Il en ressort que le recueil fût à la fois un aide-mémoire et un outil de défense de l'identité urbaine et même picarde. Enfin, le Livre Roisin est un outil privilégié pour l'étude de l'histoire de la ville, puisque sa rédaction et chacune de ses copies sont ancrées dans des événements politiques aux conséquences majeures pour la ville de Lille.