997 resultados para Marcus Aurelius Claudius, surnamed Gothicus, 214-270.
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Engraved portrait by W. Faithorne.
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The function of criticism at the present time.--The literary influence of academies.--Maurice de Guérin.--Eugénie de Guérin.--Heinrich Heine.--Pagan and mediæval religious sentiment.-- A Persian Passion play.--Joubert.--Spinoza and the Bible.--Marcus Aurelius.
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Jeremiah, the prophet of Israel.--The Buddha, the prince of mysticism.--Socrates, the champion of intellectual piety.--Jesus, the preacher of the kingdom of God.--St. Paul, the apostle of a universal religion.--Marcus Aurelius, the philosopher of a dying world.--Augustine, the schoolmaster of the middle ages.--Mohammed, the revivalist of Semitism.--Martin Luther, and the dawn of the modern age.
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The function of criticism at the present time.--The literary influence of academies.--Maurice de Guérin.--Eugénie de Guérin.--Heinrich Heine.--Pagan and mediæval religious sentiment.-- A Persian Passion play.--Joubert.--Spinoza and the Bible.--Marcus Aurelius.
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"Fourth edition."
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The function of criticism at the present time.--The literary influence of academies.--Maurice de Guérin.-- Eugénie de Guérin.--Heinrich Heine.--Pagan and medieval religious sentiment.--Joubert.--Spinoza.--Marcus Aurelius.--On translating Homer: three lectures.--On translating Homer: last words.--A French Eton.
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At head of title: The five-foot shelf of books.
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Nature of jurisprudence.--Laws of nature and of man.--Law of partnership.--Employers liability.--Theory of persecution.--Oath of allegiance.--English law as a branch of politics.--Science of case-law.--Casuistry of common sense.--Ethics and morals.-Marcus Aurelius and the stoic philosophy.--Spencer's Data of ethics.--Index.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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Adelardus (17). - Agatha (259 v°). - Agnes (187 v°). - Aldegundis (236). - Amandus (270 v°). - Andreas, ep. Fesuz. (32 v°). - Ansbertus (293). - Antonius abbas (147 v°). - Arcadius (89). - Austreberta (298). - Babylas (209). - Bathildis (227 v°). - Bazianus, ep. Laudensis (169). - Benedictus Anglus (90). - Berardus et alii discipuli s. Francisci (142 v°). - Bertulphus (260 v°). - Blasius (255). - Bonitus (128 v°). - Brigitta (249). - Canutus rex (40). - Clans Vienn. 13). - Constantius, ep. Perus.(234 v°). - Desiderius Vienn. (309 v°). - Dorothea (267). - Ephrem (245 v°). - Epiphanius Ticin. (192). - Eutimius (176 v°). - Felix Nolanus (113). - Fructuosus (190 v°). - Fulgentius Rusp. (1v°). - Furseus (141). - Gaudentius (200). - Gentilis Ravenn. (233). - Gertrudes ab Oesten (37). - Godefridus, comes Cappenb. (107 v°). - Gordius centurio (23 v°). - Guarinus, ep. Praenest. (274). - Gudula (62). - Guill. dux Aquit. (301). - Guill. archiep. Bitur. (81). - Helena (275). - Herminus (28). - Hilerius (91 v°). - Honoratus Lirin. (133 v°). - Ignatius (244). - Ildephonsus (207 v°). - Joh. elem. (202). - Julianus Saba (115 v°). - Juventius et Maximus (210 v°). - Laurentius Cantuar. (254 v°). - Laurentius Justinianus (66 v°). - Leobardus (162 v°). - Macarius (14). - Marcella (239). - Marcus (241). - Marguareta Hungar. (230 v°). - Martina (1). - Maurus (119 v°). - Odilo (9 v°). - Patroclus (189 v°). - Paula (223). - Petrus Aulonensis (23). - Polycarpus (220 v°). - Poppo Stabul. (214). - Praejectus (242). - Rambertus (256). - Remigius (95 v°). - Remundus a Penia Forti (46). - Richardus, rex Angl. (275 v°). - Romualdus (276). - Sebastianus (171). - Severinus Nauric. (52). - Severinus Agaun. (308 v°). - Severus Ravenn. (251 v°). - Sigebertus rex (252 v°). - Speusippus (145). - Sulpitius (159). - Vedastus (268). - Vincentius diac. (199). - Volstanus, ep. Wigorn. (165 v°).