987 resultados para Jean-Philippe Toussaint (La Télévision)


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Recueil de devises et de signatures autographes, comprenant un très grand nombre de blasons coloriés, composé pour Jean-Philippe de La Chambre, Gaspard de La Chambre et madame de La Chambre, par divers personnages, allemands pour la plupart, séjournant à Paris. La date la plus ancienne rencontrée dans ce recueil est celle du 27 novembre 1607 (fol. 2), et la date la plus récente, celle du 23 juillet 1638 (fol. 238). — On remarque un certain nombre de peintures (fol. 113, 148 v°, 156, 191, 225), — notamment la représentation d'une fête nautique à Venise (fol. 26). Parmi les signatures comprises dans ce recueil, on peut citer celles de « Charles, marquis de Bade », probablement l'un des fils de Georges-Frédéric, marquis de Bade, 1616 (fol. 3), — de « Joachin-Erneste, duc de Sleswig-Holstein », 1617 (fol. 5), — de « Philippus, Hassiae landgravius », peut-être l'un des fils du landgrave Maurice, 1623 (fol. 6), — d' « Ernest-Casimir, comte de Nassau-Sarbruc », et de « Otto, comte de Nassau-Sarbruc », tous deux fils du comte Louis II, 1630 (fol. 9 v° ), — celles de plusieurs membres de la famille « Oxenstierna », 1633 et 1634 (fol. 57 et suiv.), etc.

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Collection : Association pour la protection légale des travailleurs, section française ; [1e série], 4

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Cette analyse dresse le portrait des différentes représentations de la télévision à travers le cinéma américain de 1970 à 1999. Ce travail porte sur un corpus de quatorze films et s’intéresse à quatre dimensions de la télévision : l’appareil électrique, le téléspectateur, le contenu et l’univers professionnel. Les hypothèses soulevées sont que la télévision est majoritairement présentée de façon négative, que les représentations s’inscrivent dans un contexte culturel précis et qu’il y a un consensus entre les écrits universitaires et les cinéastes au sujet de l’écran cathodique. Bien que certaines critiques soient récurrentes d’une décennie à l’autre, il y a une évolution des représentations. Dans les années 1970, la télévision est un objet de risée. Son contenu est caricaturé et les professionnels qui travaillent pour la télévision sont personnifiés comme des êtres incompétents. Dans les années 1980, le petit écran est montré comme un objet dangereux. Sa très grande popularité en ferait un puissant diffuseur idéologique qui transforme tout en spectacle même la mort. Cette même popularité servira de prétexte aux cinéastes des années 1990 pour utiliser la télévision comme symbole de l’Amérique. Le portrait est peu flatteur : une Amérique corrompue, violente et en manque d’idéaux. Cette analyse montre également qu’au fil des décennies, les mêmes idées circulent entre cinéastes et penseurs américains. Enfin, cette attitude par rapport à la télévision est d’ailleurs symptomatique d’un mépris de l’élite intellectuel envers l’art populaire.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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L’omniprésence de la musique populaire dans le paysage médiatique contemporain fait en sorte qu’il est fréquent de retrouver la même chanson dans plusieurs trames sonores. En s’appuyant sur des théories de l’intertextualité et de la communication, ce mémoire cherche à définir la relation qui s’établit entre deux ou plusieurs oeuvres narratives et / ou interactives partageant une chanson, ainsi qu’à appréhender les effets de ces recontextualisations multiples sur l’expérience spectatorielle et vidéoludique. Le premier chapitre examine les principales fonctions narratives et ludiques de la musique à l’aide d’une synthèse des principaux travaux sur la musique de film, de télévision et de jeu vidéo. Le deuxième chapitre interroge la notion de référence dans le contexte des usages répétés d’une même chanson populaire. Le concept d’interférence musicale est proposé à partir de différentes déclinaisons du terme « interférence » issues des travaux de Michel Serres, Sébastien Babeux et Philip Tagg. Les assises théoriques sont appliquées à l’analyse des trajectoires médiatiques respectives de deux chansons aux chapitres trois et quatre. La figure du réseau est finalement déployée afin d’illustrer la complexité des relations entre les œuvres intégrant une même chanson à leur mise en scène.