230 resultados para Intubation


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1.Pre-assessment data of the patient A 2-year-old boy, weighing 15 kg was admitted with a history of limited mouth opening(inter-incisor distance of 6 mm), hypoplastic and retrognathic mandible (bird face deformity) and facial asymmetry from left temporomandibular joint ankylosis (TMJA). He was born at term, after an uneventful pregnancy, and there was no report of trauma during caesarean section. No other possible aetiologies were identified. He was scheduled for mandibular osteotomy. Preoperative ENT examination revealed adenotonsillar hypertrophy. 2. Anaesthetic Plan A fiberoptic nasal intubation was performed under deep inhalation anaesthesia with sevoflurane, with the patient breathing spontaneously. Midazolam (0.05 mg.kg-1) and alfentanil (0.03 mg.kg-1) were given and anaesthesia was maintained with O2/air and sevoflurane. No neuromuscular blocking agent was administered since the surgical team needed facial nerve monitoring. 3. Description of incident During surgery an accidental extubation occurred and an attempt was made to reintubate the trachea by direct laryngoscopy. Although the osteotomy was nearly completed, the vocal cords could not be visualized (Cormack-Lehane grade IV laryngoscopic view). 4. Solving the problem Re-intubation was finally accomplished with the flexible fiberscope and the procedure was concluded without any more incidents. Extubation was performed 24 hours postoperatively with the patient fully awake. After surgery mouth opening improved to inter-incisor gap of 15 mm. 5. Lessons learned and take home message Two airways issues present in this case can lead to difficultventilation and intubation: TMJA and adenotonsillar hypertrophy. These difficulties were anticipated and managed accordingly. The accidental extubation brought to our attention the fact that, even after surgical correction, this airway remains challenging. Even with intensive jaw stretchingexercises there is a high incidence of re-ankylosis, especially in younger patients. One should bear that in mind when anaesthetizing patients with TMJA.

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Difficult tracheal intubation assessment is an important research topic in anesthesia as failed intubations are important causes of mortality in anesthetic practice. The modified Mallampati score is widely used, alone or in conjunction with other criteria, to predict the difficulty of intubation. This work presents an automatic method to assess the modified Mallampati score from an image of a patient with the mouth wide open. For this purpose we propose an active appearance models (AAM) based method and use linear support vector machines (SVM) to select a subset of relevant features obtained using the AAM. This feature selection step proves to be essential as it improves drastically the performance of classification, which is obtained using SVM with RBF kernel and majority voting. We test our method on images of 100 patients undergoing elective surgery and achieve 97.9% accuracy in the leave-one-out crossvalidation test and provide a key element to an automatic difficult intubation assessment system.

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Pulmonary alveolar proteinosis (PAP) is characterized by accumulation of lipoproteinaceous material in the terminal airways. Whole lung lavage (WLL) remains the gold standard treatment but may be particularly challenging in cases of severe hypoxemia. We present a 3-step strategy that was used in a patient with PAP-associated refractory hypoxemia and that combined venovenous extracorporeal membrane oxygenation (vvECMO), double-lumen orotracheal intubation, and bilateral multisegmental sequential lavage (MSL). The procedure was well tolerated and permitted weaning from the ventilator.

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Rationnelle. La ventilation mécanique invasive (VI) s’accompagne lorsqu’elle se prolonge, d’une augmentation de la morbimortalité. Jusqu’à 64% des enfants hospitalisés aux soins intensifs sont ventilés et peu de données épidémiologiques existent afin d’estimer précocement la durée du support ventilatoire. Objectifs. Déterminer l’incidence et les facteurs de risque précoces de ventilation mécanique invasive prolongée aux soins intensifs pédiatriques. Méthode. Nous avons conduit une étude descriptive rétroélective sur un an. Tous les épisodes de VI aux soins intensifs du Centre hospitalier universitaire Sainte Justine de Montréal ont été inclus. Les facteurs de risque de VI prolongée (≥ 96 heures) ont été déterminés par régression logistique. Résultats. Parmi les 360 épisodes de VI, 36% ont duré ≥ 96 heures. Les facteurs de risques de ventilation prolongée en analyse multivariée sont : âge <12 mois, score de PRISM ≥ 15 à l’admission, pression moyenne dans les voies aériennes ≥13 cm H2O au jour 1 de ventilation, utilisation de la sédation intraveineuse continue au jour 1 de ventilation et ventilation non invasive avant intubation. Conclusion. La VI prolongée survient chez environ un tiers des patients ventilés. Les patients de moins de 12 mois semblent être plus à risque que les enfants plus âgés et devraient bénéficier de stratégies différentes pour diminuer leur durée de ventilation mécanique. La sévérité de la maladie, l’agressivité du support ventilatoire, l’utilisation d’une sédation continue au premier jour de ventilation sont également des facteurs à considérer dans les études visant à diminuer la durée de support ventilatoire.

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En démontrant sa capacité d’identifier les pneumothorax, de différencier les différentes causes d’insuffisance respiratoire chez les patients dyspnéiques et de confirmer la position d’un tube endotrachéal lors d’une intubation endotrachéale, l’échographie pulmonaire a pris une place prépondérante dans la prise en charge des patients de soins critiques. La majorité des études, notamment celles sur l’intubation endotrachéale, ont évalué la performance de cliniciens possédant une expérience considérable en échographie pulmonaire et souvent dans un cadre idéal permettant des examens d’une durée prolongée. Considérant la disponibilité grandissante de l’échographie ciblée lors des situations de stabilisation et de réanimation des patients de soins critiques, nous voulions évaluer la capacité d’un groupe de clinicien hétérogène en termes de formation échographique à identifier la présence ou l’absence de glissement pleural sur de courtes séquences (comparable à la durée probable d’un examen lors de condition de réanimation) d’échographie pulmonaire enregistrées chez des patients intubés. Un total de 280 courtes séquences (entre 4 et 7 secondes) d’échographie pulmonaire démontrant la présence ou l’absence de glissement pleural chez des patients intubés en salle d’opération ont été enregistrées puis présentées de façon aléatoire à deux groupes de cliniciens en médecine d’urgence. Le deuxième groupe avait la possibilité de s’abstenir advenant une incertitude de leur réponse. Nous avons comparé la performance selon le niveau de formation académique et échographique. Le taux moyen d’identification adéquate de la présence ou l’absence du glissement pleural par participant était de 67,5% (IC 95% : 65,7-69,4) dans le premier groupe et 73,1% (IC 95% : 70,7-75,5) dans le second (p<0,001). Le taux médian de réponse adéquate pour chacune des 280 séquences était de 74,0% (EIQ : 48,0-90,0) dans le premier groupe et 83,7% (EIQ : 53,3-96,2) dans le deuxième (p=0,006). Le taux d’identification adéquate de la présence ou absence d’un glissement pleural par les participants des deux groupes était nettement supérieur pour les séquences de l’hémithorax droit par rapport à celles de l’hémithorax gauche (p=0,001). Lorsque des médecins de formation académique et échographique variable utilisent de courtes séquences d’échographie pulmonaire (plus représentatives de l’utilisation réelle en clinique), le taux d’identification adéquate de la présence ou l’absence de glissement pleural est plus élevé lorsque les participants ont la possibilité de s’abstenir en cas de doute quant à leur réponse. Le taux de bonnes réponses est également plus élevé pour les séquences de l’hémithorax droit, probablement dû à la présence sous-jacente du cœur à gauche, la plus petite taille du poumon gauche et l’effet accru du pouls pulmonaire dans l’hémithorax gauche. Considérant ces trouvailles, la prudence est de mise lors de l’utilisation de l’identification du glissement pleural sur de courtes séquences échographique comme méthode de vérification de la position d’un tube endotrachéal lors d’une intubation endotrachéale, et ce, particulièrement pour l’hémithorax gauche. Aussi, une attention particulière devrait être mise sur la reconnaissance du pouls pulmonaire lors de l’enseignement de l’échographie pulmonaire.

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La ecografía es una herramienta útil en la valoración de la vía aérea. Su uso es relativamente nuevo y su utilidad dirigida hacia la confirmación de la intubación orotraqueal, con pocos estudios al respecto. El objetivo de este estudio fue describir la prevalencia de estos hallazgos, su diferencia entre los pacientes intubados con un estilete luminoso y bajo laringoscopia directa, y así establecer su utilidad para la intubación orotraqueal. Métodos Este es un estudio tipo corte transversal, con 80 pacientes adultos sin predictores de vía aérea difícil que requirieron intubación orotraqueal en el Hospital Fundación Cardioinfantil, 40 de ellos con laringoscopia directa y la otra mitad con estilete luminoso, que fueron elegidos para seguimiento ecográfico del proceso de intubación orotraqueal, y se estableció la prevalencia de los hallazgos. Resultados Se realizó una descripción ecográfica de los hallazgos anatómicos de la vía aérea. No identificamos diferencias entre los grupos en cuanto a la identificación de una imagen específica para cada instrumento de intubación. Se logró identificar en el 100% de los pacientes el tubo endotraqueal. La prevalencia de los signos de confirmación de intubación tormenta de nieve, signo de la bala y doble línea ecogénica fue de 48,8%, 86,3%, y 87,1% respectivamente. Se encontró que el tubo orotraqueal con el estilete generan un artificio ecográfico que permite guiar la posición del tubo endotraqueal, permitiendo llevar a cabo una intubación guiada por imagen ecográfica de manera exitosa. Conclusión No identificamos diferencias entre los grupos en cuanto a la identificación de una imagen específica para cada instrumento de intubación. Se identificó en el 100% de los pacientes el tubo endotraqueal dentro de la tráquea. Existen imágenes ecográficas suficientes durante el proceso de intubación orotraqueal con estilete luminoso, que permiten llevar a cabo con éxito la intubación orotraqueal guiada por ecografía en tiempo real.

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Introducción: A pesar de que las combinaciones de Propofol y opioides son ampliamente usadas para inducir y mantener una adecuada anestesia y analgesia, disminuir la dosis del inductor, incrementar la estabilidad hemodinámica y suprimir la respuesta a la laringoscopia y la intubación; no existen estudios que comparen el uso de Anestesia Total Intravenosa manual con Remifentanil - Propofol versus Fentanil - Propofol. Objetivo: Comparar el tiempo de despertar y el tiempo de descarga entre dos técnicas de Anestesia Total Intravenosa manual empleadas en el Hospital Occidente de Kennedy, una basada en Propofol y Remifentanil y otra basada en Propofol y Fentanil controlado por Stangraf. Metodología: Estudio de corte transversal, en 43 pacientes llevados a cirugía bajo Anestesia Total Intravenosa en el Hospital Occidente de Kennedy. Se analizó la información mediante las pruebas de Shapiro-Wilks, t de Student y U de Mann Withney y los coeficientes de correlación de Spearman y de Pearson, usando SPSS versión 20 para Windows. Un valor de p < 0.05 fue aceptado como estadísticamente significativo. Resultados: Al comparar las dos técnicas, no se encontraron diferencias estadísticamente significativas en los tiempos evaluados. El tiempo de despertar promedio fue 10,1 minutos para Fentanil y 10,2 minutos para Remifentanil. El tiempo de descarga para Fentanil fue 11,9 minutos y para Remifentanil fue 11,5 minutos. Conclusiones: El uso de Fentanil - Propofol guiado por Stangraf es equivalente al uso de Remifentanil – Propofol en cuanto a los tiempos de despertar y de descarga. Se requieren nuevos estudios para corroborar estos hallazgos.

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Hasta hoy no existe un medicamento o mezcla de estos estandarizado para intubar a los pacientes despiertos; son muchos los medicamentos que se han usado intentando conseguir las condiciones adecuadas de sedación, analgesia que permitan la colaboración del paciente para que sea un procedimiento efectivo y no desagradable. La dexmedetomidina es un medicamento de reciente aparición que ofrece las condiciones adecuadas de sedación para la intubación del paciente despierto. Esta revisión evalúa el uso de la dexmedetomidina en sedación para intubación despierto mediante una revisión sistemática de literatura. Metodología: Se realizó una búsqueda en diferentes bases electrónicas de publicaciones realizadas desde 1997 hasta hoy, obteniendo un total de 29 artículos que fueron analizados. Resultados: La dexmedetomidina ofrece adecuada sedación, amnesia, analgesia, ansiolisis y disminución en la producción de secreciones en la vía aérea, sin repercusión hemodinámica significativa en la intubación del paciente despierto. Discusión: La dexmedetomidina es útil en sedación para procedimientos en los que se requiere que el paciente este cómodo pero que obedezca órdenes para facilitar el trabajo del operador. Demostró utilidad en la sedación para la intubación del paciente despierto, como en el caso de pacientes con riesgo de lesión neurológica durante la intubación o el posicionamiento para la intervención quirúrgica, en pacientes con masas de mediastino anterior por la ventaja de conservar la ventilación espontánea como medida protectora contra el colapso de la vía aérea.

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Objetivo: Determinar las lesiones laríngeas post-intubación endotraqueal en la unidad de cuidado intensivo (UCI) y cirugía ambulatoria y evaluar su asociación con respecto al tiempo de intubación y otras variables clínico-demográficas en un hospital universitario. Materiales y métodos: Estudio de cohorte analítico incluyendo 60 pacientes (30 de UCI y 30 de cirugía ambulatoria) a quienes se les realizó nasofibrolaringoscopia a las 24 horas post-extubación y a las 3 semanas de control y se registran las lesiones laríngeas encontradas. Resultados: En la primera endoscopia el 70% de los pacientes de cirugía ambulatoria presentaban al menos una lesión laríngea con un promedio de duración de intubación de 0.12 días DS±0.05 desapareciendo todas las lesiones en la segunda endoscopia. En el análisis del grupo de UCI se encontraron lesiones en el 76.6% de los pacientes con un promedio de duración de intubación de 6.0 días DS±3.3. La presencia de edema en pacientes con intubación prolongada por más de 6 días mostró diferencias estadísticamente significativa con respecto al grupo con menos días de intubación (RR 3.048, 95% IC 0.9-9.3, P=0.03) al igual que con antecedente de EPOC (P=0.032) y APACHE II mayor de 17 (RR 1.8, 95% IC 1.114-3.0, P=0.013). EPOC tiene una diferencia estadísticamente significativa con hiperemia (P=0.02) y granuloma (P=0.019). En la segunda endoscopia se encontró mayor frecuencia de hiperemia en los pacientes con intubación prolongada (>6 días) con una diferencia estadísticamente significativa (P=0.01). Conclusión: La intubación prolongada se encuentra asociada a la aparición edema e hiperemia en la laringe. EPOC y puntaje superior de APACHE II se relacionan con hiperemia y granulomas glóticos.

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INTRODUCCIÓN: El control rápido y seguro de la vía aérea es una de las habilidades más importantes que se debe tener para el manejo de pacientes críticamente enfermos y traumatizados en los departamentos de emergencias de todo el mundo, en nuestro medio no contamos con estadísticas que cuantifiquen el éxito y complicaciones en este aspecto. METODOLOGIA: Se realizo un estudio observacional, descriptivo, prospectivo, que recolecto los datos de las intubaciones realizadas en la sala de emergencias del Hospital Universitario Mayor “Mederi” por parte de especialistas en medicina de emergencias, medicina interna, médicos generales o personal en entrenamiento, durante el periodo comprendido entre noviembre de 2010 y junio de 2011. RESULTADOS: Se recolecto una muestra de 92 pacientes en el estudio, la causa mas frecuente de intubación orotraqueal fue falla respiratoria 77,2%, el éxito en el primer intento fue de 51,5%, se uso secuencia de intubación rápida como método de intubación en el 56,5% de los pacientes y se presento alguna complicación en el 61% de los pacientes. DISCUSIÓN: El éxito en la intubación orotraqueal es menor y las complicaciones superiores a los de países desarrollados, esto puede estar en relación con la falta del desarrollo de la medicina de emergencias y programas de entrenamiento formal en el manejo de la vía aérea.

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Introducción: La anestesia total intravenosa (TIVA) es ampliamente usada y reportada en la literatura como técnica para disminuir la respuesta a la laringoscopia e intubación, en la inducción y mantenimiento de una adecuada anestesia, además de una mejor estabilidad hemodinámica y recuperación pos anestésica; sin embargo no existen un gran número de estudios que comparen el uso de TIVA, determinando si existen diferencias en el perfil farmacocinético según el género del paciente. Objetivo: Describir diferencias farmacocinéticas y de los tiempos de despertar y salida a la unidad de cuidados pos anestésicos (descarga), según el género; en pacientes que reciben TIVA, con remifentanil y propofol, orientado por Stangraf. Metodología: Estudio observacional analítico de corte transversal, en pacientes llevados a cirugía bajo TIVA en el Hospital Occidente de Kennedy en el periodo de junio de 2013 a Enero de 2014.Usando SPSS versión 20 Windows, se analizaron los datos mediante pruebas Kolmogorov-Smirnov y Shapiro-Wilk y U de Mann Withney. Un valor de p menor 0.05 fue aceptado como estadísticamente significativo. Resultados: Se aplicaron pruebas de normalidad y no se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre género. El tiempo de despertar fue 9.36 minutos para mujeres y 11.26 minutos para hombres. Los tiempos de descarga fueron 10.71 minutos para mujeres y 12.82 minutos para hombres. Discusión. El tiempo de despertar y descarga no es diferente entre mujeres y hombres en los pacientes analizados. Se requieren estudios adicionales entre grupos poblacionales de diversas condiciones farmacocineticas para corroborar los datos.

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PremessaSebbene numerosi studi prospettici, controllati e randomizzati abbiano dimostrato il successo della ventilazione non-invasiva a pressione positiva (NIV) in casi selezionati di insufficienza respiratoria acuta ipercapnica (IRA) in setting con intensità di cura differenti, i dati di pratica clinica relativi all’uso della NIV nel “mondo reale” sono limitati. Scopo Riportare i risultati della nostra esperienza clinica sulla NIV nell’IRA applicata nell’Unità di Terapia Semi-Intensiva Respiratoria (UTSIR) allocata all’interno dell’Unità Operativa di Pneumologia di Arezzo negli anni 1996-2006 in termini di: tollerabilità, effetti sui gas ematici, tasso di successo e fattori predittivi del fallimento.MetodiTrecentocinquanta dei 1484 pazienti (23.6%) consecutivamente ammessi per IRA nella nostra Unità Operativa di Pneumologia durante il periodo di studio hanno ricevuto la NIV in aggiunta alla terapia standard, in seguito al raggiungimento di criteri predefiniti impiegati di routine.RisultatiOtto pazienti (2.3%) non hanno tollerato la NIV per discomfort alla maschera, mentre i rimanenti 342 (M: 240, F: 102; età: mediana (interquartili) 74.0 (68.0-79.3) anni; BPCO: 69.3%) sono stati ventilati per >1 ora. I gas ematici sono significativamente migliorati dopo 2 ore di NIV (media (deviazione standard) pH: 7.33 (0.07) versus 7.28 (7.25-7.31), p<0.0001; PaCO2: 71.4 (15.3) mmHg versus 80.8 (16.6) mmHg, p<0.0001; PaO2/FiO2: 205 (61) versus 183 (150-222), p<0.0001). La NIV ha evitato l’intubazione in 285/342 pazienti (83.3%) con una mortalità ospedaliera del 14.0%. Il fallimento della NIV è risultato essere predetto in modo indipendente dall’Apache III (Acute Physiology and Chronic Health Evaluation III) score, dall’indice di massa corporea e dal fallimento tardivo della NIV (> 48 ore di ventilazione) dopo iniziale risposta positiva.ConclusioniSecondo la nostra esperienza clinica di dieci anni realizzata in una UTSIR, la NIV si conferma essere ben tollerata, efficace nel migliorare i gas ematici e utile nell’evitare l’intubazione in molti episodi di IRA non-responsivi alla terapia standard.

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La presión que ejerce el manguito del tubo orotraqueal (TOT) sobre la mucosa al ser insuflado debe mantenerse en un rango de seguridad que evite complicaciones por sobreinflación o por desinsuflación. En nuestro medio, los instrumentos de medición objetiva no son de uso común. Objetivo: evaluar la concordancia de la presión del manguito del TOT estimada por palpación frente al uso de un manómetro manual en pacientes adultos sometidos a anestesia general. Materiales y métodos: se realizó un estudio de corte transversal que incluyó a 40 pacientes, a quienes, una vez intubados, dos anestesiólogos enmascarados, diferentes al que los intubó, palparon el manguito del TOT categorizándolo como sobreinflado, normal o desinflado; posteriormente, uno de los investigadores registró la medida con un manómetro en fase inspiratoria y espiratoria. Se consideró como rango normal de 20 a 30 cm H2O. Resultados: la concordancia de la estimación por palpación entre los dos anestesiólogos fue débil (Kappa = 0,21, ES: 0,11). La concordancia entre la estimación por palpación y la medición con el manómetro manual fue muy débil. Entre el primer anestesiólogo y el investigador en fase inspiratoria, . 0,08 (ES: 0,09), y en espiración, . 0,08 (ES: 0,07). Entre el segundo anestesiólogo y el investigador, . 0,05 (ES: 0,07) y 0,02 (ES: 0,06), respectivamente. Conclusión: el estudio muestra que la concordancia entre los métodos subjetivo y objetivo para determinar si el manguito del TOT está adecuadamente inflado fue débil. Se sugiere el empleo de métodos más objetivos para su determinación.

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Premisa: Si bien numerosos estudios prospectivos, controlados y aleatorizados han demostrado el éxito de la ventilación no invasiva con presión positiva (VNI) en casos seleccionados de insuficiencia respiratoria aguda (IRA) hipercápnica, en contexto con intensidad de cuidado diferente, los datos de práctica clínica relativos al uso de la VNI en escenarios reales son limitados.Objetivo: Reportar los resultados de nuestra experiencia clínica sobre la VNI en la IRA aplicada en la Unidad de Terapia Semiintensiva Respiratoria (UTSIR), de la Unidad Operativa de Neumología de Arezzo, entre 1996-2006, en términos de tolerabilidad, efectos sobre los gases arteriales, tasa de éxito y factores predictivos del fracaso.Métodos: Trescientos cincuenta de los 1.484 pacientes (23,6%) ingresados consecutivamente por IRA en nuestra Unidad Operativa de Neumología, durante el periodo de estudio, recibieronla VNI asociada a la terapia estándar, posterior al cumplimiento de criterios predefinidos, empleados de rutina.Resultados: Ocho pacientes (2,3%) no toleraron la VNI por incomodidad producida por la máscara, mientras los 342 restantes (M: 240; F: 102; edad: mediana [intercuartiles] 74,0 años [68,0-79,3]; enfermedad pulmonar obstructiva crónica (EPOC) [69,3%]) fueron ventilados por más de una hora. Los parámetros de ventilación (y su efecto sobre el pH) y de oxigenación mejoraron significativamente después de dos horas de VNI (media [desviación estándar] pH: 7,33 [0,07] contra 7,28 [7,25-7,31 ], p < 0,0001; PaCO2: 71,4 mmHg [15,3] contra 80,8 mmHg [16,6], p < 0,0001; PaO2/FiO2: 205 [61] contra 183 [150-222 ], p < 0,0001). La VNI evitó la intubación en 285/342 pacientes (83,3%), con una mortalidad hospitalaria del 14,0%. El fracaso de la VNI resultó ser predicho de modo independiente por el puntaje acute physiology and chronic health evaluation III (Apache III), por el índice de masa corporal y por el fracaso tardío de la VNI (mayor a 48 horas de ventilación), después de una respuesta positiva inicial.Conclusiones: Según nuestra experiencia clínica de diez años en una UTSIR, la VNI confirma ser bien tolerada, eficaz en el mejoramiento de los gases arteriales y útil en evitar la intubación en muchos episodios de IRA que no responden a la terapia estándar.

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Los médicos responsables del manejo de la vía aérea en urgencias se pueden beneficiar de una capacitación específica para ese fin, como lo es el curso de Apoyo Integral Respiratorio en Emergencias (AIRE). Objetivos: Establecer si la capacitación ofrecida por el curso AIRE genera cambios en la técnica de intubación orotraqueal. Métodos: Estudio prospectivo de intervención, en el cual, antes y después del curso, se evaluó a los participantes del curso AIRE sobre conocimientos teóricos en técnica de intubación y en secuencia rápida de intubación. Se midió el número de intentos de intubación, el tiempo requerido para una intubación exitosa y el grado de laringoscopia obtenido empleando la secuencia rápida de intubación (SRI). Resultados: El tiempo de intubación final fue 28 segundos menor que el inicial (p = 0,010); el número de intubaciones en el primer intento final fue de 93,1%, en comparación con el 75% inicial (p = 0,047). El grado de laringoscopia final fue I: 75,9%, II: 24,1%, en comparación con la inicial, I: 37,2%, II: 48,3% y III: 10,3 (p = 0,000). El promedio del examen teórico final fue 1,91 mayor que en el examen teórico inicial (p = 0,000). Conclusiones: El curso AIRE mejoró significativamente la técnica del manejo de la vía aérea, y la convirtió en una herramienta útil para el personal médico de urgencias