1000 resultados para Histoire — Histoire littéraire


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Quel est le récit d’histoire littéraire québécoise que les étudiants retiennent à la fin de leur parcours collégial? Nous nous sommes intéressé à cette question. Par le biais d’un questionnaire, nous avons interrogé plus de 300 étudiants qui étaient à la fin de leurs études collégiales. Les réponses à ce questionnaire nous ont permis de tracer une ébauche du récit d’histoire littéraire québécoise, de mieux comprendre l’enseignement que les étudiants ont reçu et d’analyser ce récit. La première constatation que nous avons faite est que nous étions en présence d’une multitude de récits. En effet, il n’y a pas deux récits pareils et il y a une grande dispersion des résultats. Ensuite, ce qui a retenu le plus notre attention est l’absence de mise en intrigue. Les étudiants utilisent plusieurs éléments pour faire l’histoire de la littérature québécoise. Les plus importants sont : la Nouvelle-France, la littérature orale, le 19e siècle, le terroir, l’anti-terroir, le roman de la ville, les années 1960, la littérature migrante et la postmodernité. Mais il n’y a pas d’articulation entre ces éléments. Ils sont tous traités de façon autonome; nous avons l’impression d’être en présence d’un mur de briques sans mortier. L’absence de certains éléments semble expliquer la forme du récit : les étudiants font une histoire qui utilise seulement les courants, il y a une absence d’événements tant littéraires qu’historiques. Ils ne font pas de liens avec les autres littératures. Bref, les éléments pouvant servir à articuler un récit sont évincés. Il est donc difficile de considérer le récit des étudiants comme une histoire littéraire.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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RÉSUMÉ En conjuguant les méthodes de l'histoire littéraire, de la sociologie des champs et de l'analyse littéraire, ce mémoire se propose d'étudier l'élaboration de la « posture » de Maurice Blanchot dans l'immédiat après-guerre (1944-1948). Le passé de Blanchot, marqué par des positions politiques d'extrême droite dans les années 30, et dans une certaine mesure encore sous l'Occupation, le conduit à un repositionnement conséquent dans le champ littéraire de la Libération marqué par l'Epuration des écrivains collaborateurs. Ce repositionnement se traduit par l'élaboration de la « posture » de l'écrivain en retrait, qui se présente comme la manifestation d'une autonomie littéraire radicale. Toutefois, cette posture du retrait demeure une forme de participation au champ littéraire et Blanchot, malgré sa volonté d'une parfaite autonomie de son oeuvre vis-à-vis des impératifs économiques ou idéologiques du temps, n'en est pas moins amené à réélaborer ses postulats critiques de même que sa production proprement dite (Le Très-Haut, L'Arrêt de mort), en interaction avec les nouvelles forces dominantes du champ littéraire de la Libération. Il est notamment conduit à se positionner vis-à-vis de la nouvelle avant-garde qui a émergé de la Résistance, dominée par Sartre et ses Temps Modernes, qui promeut un nouveau modèle, celui de l'écrivain engagé.

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Résumé: Ce travail d'histoire comparée de la littérature et de la sociologie s'interroge sur l'émergence de la notion de type dans les pratiques de description du monde social au cours des années 1820-1860. A partir de l'analyse des opérations de schématisation engagées par Honoré Balzac dans La Comédie humaine et par Frédéric Le Play dans Les Ouvriers européens, soit deux oeuvres que tout semble éloigner du point de vue de leurs ambitions, de leur forme, et de la trajectoire de leur auteur, mais qui toutes deux placent cependant la typification au centre de leur dispositif, il s'est agi de produire une histoire de l'imagination typologique, et des ontologies, sociales ou non, qui lui furent associées. Aussi le corpus intègre-t-il des textes d'histoire naturelle, de sciences médicales, d'histoire, de chimie, de géologie, de métallurgie, et, bien évidemment, les genres du roman sentimental, du roman historique et de la littérature panoramique, ainsi que les enquêtes ouvrières et la statistique. Abstract: This work offers a compared history of literature and sociology in France between 1820 and 1860. During that period, the notion of type appears in the literary and sociological descriptions of social reality, and becomes more and more central in the apprehension of the differenciations among classes, communities or groups. Based on the analysis of Honoré Balzac's La Comédie humaine and Frédéric Le Play's Les Ouvriers européens, this study shows that these two series of novels and of workers' monographies put typification at the center of their descriptive ambition. More broadly, it proposes a history of the uses of a typological imagination and of the ontologies, above all social, that were underlying them. That is why the texts also taken into account in this study ranges from natural history, medical sciences, history, chemistry geology and metallurgy, to the sentimental novel, the historical novel and the panoramic literature, as well as social inquiries and statistics.

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Le projet "Regeneration" dirigé par Daid Wallace propose une histoire littéraire de la seconde moitié du XIVe siècle sous forme d'itinéraires. Pour chaque lieu sont établis les liens entre l'histoire et la littérature.

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Contient : Recueil de 301 chansons, jeux-partis, etc., anonymes dans ce manuscrit, mais qui se trouvent, néanmoins, groupés par auteur ; « Traitié des quatre neccessaires », commencé et achevé « en l'an de la grace de N. S. M II cenz et LXVI. » Premiers et derniers mots : « Mesdisans, ja soit ce qu'il aient plusors foiz... ... la compagnie de precieuse vertu de permanance. Explicit » ; « Le Bestiare d'amours mestre Richart de Furnival. » Publié par C. Hippeau (Paris, 1860, in-8°) ; cf. Histoire littéraire, t. XXIII (1856), p. 724 (art. de P. Paris) ; Recueil de 30 chansons anonymes, en l'honneur de la Vierge ; signalées comme les précédentes par M. G. Raynaud ; Note relative au mariage de « Raoulet Berthelot » et de « Perrine de Fougerays » (1427). Ms. C de J. Brakelmann (Les plus anciens chansonniers français, Paris, 1870-1896, 2 vol. in-8° ) et J de A. Scheler (Trouvères belges, Paris, 1876, in-8° )

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Dans le discours critique du xviie siècle, la tragédie de Pyrame et Thisbé est sans cesse sollicitée dans un rapport ambigu au temps littéraire. Mobilisée comme un élément structurant de l'imaginaire critique, elle semble toujours appartenir au présent de la littérature. Cependant, elle est très tôt reconnue et même construite par ce même discours comme surannée. On propose ici quelques pistes pour comprendre pourquoi l'oeuvre de Théophile a fait l'objet de cette tension entre actualité et passé du goût dramatique. Pyrame et Thisbé se révèle en réalité susceptible de donner à penser une forme singulière de continuité avec le passé et d'incarner une autre possibilité toujours actualisée de l'histoire littéraire.

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Résumé Ce travail poursuit deux buts. Le premier objectif, d'ordre théorique et méthodologique, est d'aborder les phénomènes d'intertextualité selon une perspective jusqu'ici négligée, qui prend à rebours le problème de l'intentionnalité, particulièrement aigu dans les études classiques plutôt que de partir du texte plus récent pour remonter à ses «modèles », il s'agit d'observer la circulation d'un corpus plus ancien dans l'espace et dans le temps et son interaction avec d'autres discours dans différents contextes. Le second but, lié à l'histoire littéraire, consiste à étudier la manière dont Sappho, seule femme au canon alexandrin des neuf poètes lyriques et assimilée pour cela à un Homère féminin ou à une dixième Muse, a joué à Rome un rôle de référence en matière de poésie d'amour. Pour ce faire, l'enquête s'articule autour d'un poème emblématique de Sappho, le fameux fragment 31 avec sa liste de symptômes de passion érotique, et de trois de ses échos marqués, chez Catulle, Lucrèce et Horace, à une époque où l'on assiste à un développement intense de la poésie d'amour latine. Chaque chapitre propose une analyse comparative systématique en cercles concentriques, partant de l'énoncé comparable - la pathographie - et abordant ensuite son insertion à des poèmes différents pour élargir enfin l'investigation aux contextes. Entre la Lesbos du VIIe-VIe et la Rome du Ier siècle avant notre ère intervient un changement majeur dans le type de contexte déterminant pour la fonction et la signification des poèmes d'une situation de communication orale, où chaque chant prend son sens dans une occasion particulière de performance, on passe à un environnement principalement écrit, où l'élément décisif est plutôt le co-texte, le recueil où le poème s'insère et entre en relation avec d'autres. À la pragmatique des chants de Sappho, liée à la vie de son groupe féminin à Lesbos, puis aux banquets par le biais desquels ils ont été transmis, répondent les poétiques de Catulle, Lucrèce et Horace, qui se définissent notamment par rapport à eux avec des réseaux d'échos reflétant souvent, de façon plus ou moins contrastée, différentes traditions de réception des textes de la poétesse, voire la structure du recueil alexandrin de ses poèmes.

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RESUME : Cette étude est une analyse métrique et stylistique de La Pulcella d'Orléans de Vincenzo Monti - traduction-réécriture de l'homonyme poème de Voltaire, La Pucelle d'Orléans - commencée à Milan en 1798 et terminée à Chambéry, en Savoie, en 1799. Le texte italien a été considéré comme une version autonome par rapport au texte français, étant donné le particulier choix de réduire la composante philosophique et idéologique d'origine, et de mettre en relation le modèle avec une littérature italienne spécifique, principalement par l'adoption d'une grille strophique fortement marquée. La Pulcella est traduite en octaves, un mètre chevaleresque qui possède au moins depuis trois siècles sa propre "grammaire" ainsi qu'une formidable tradition de référence. De plus, avec sa traduction, l'auteur a voulu mettre l'accent sur les aspects de l'histoire les plus amusantes et provocatrices de Jeanne d'Arc - déjà narrée par Voltaire avec un ton ironique et irrévérencieux - dans le but d'une grande expérimentation au niveau de la langue, de la métrique et de la syntaxe. La traduction de la Pucelle est en effet liée à une dimension hédonistique et livresque: elle n'est pas un prétexte pour connaitre une oeuvre étrangère, ni un texte conçu pour être publiée; il s'agit plutôt d'un exercice personnel, un divertissement privé, demeuré dans le tiroir de l'auteur. Alors que pour Voltaire le but principal du poème est la polémique idéologique du fond, exprimée par un registre fort satirique, pour Monti la réécriture est un jeu stylistique, une complaisance littéraire, qui repose autant sur les composantes désacralisantes et provocatrices que sur les éléments poétiques et idylliques. Le modèle français est donc retravaillé, en premier lieu, au niveau du ton: d'un côté la traduction réduit l'horizon idéologique et la perspective historique des événements; de l'autre elle accroît les aspects les plus hédonistiques et ludiques de Voltaire, par la mise en évidence de l'élément comique, plus coloré et ouvert. En raison de la dimension intime de cette traduction, de nos jours la tradition de la Pulcella italienne se fonde sur trois témoins manuscrits seulement, dont un retrouvé en 1984 et qui a rouvert le débat philologique. Pour ma thèse j'ai utilisé l'édition critique qu'on possède à présent, imprimée en 1982 sous la direction de M. Mari et G. Barbarisi, qui se fonde seulement sur deux témoins du texte; de toute façon mon travail a essayé de considérer aussi en compte le nouvel autographe découvert. Ce travail de thèse sur la Pulcella est organisé en plusieurs chapitres qui reflètent la structure de l'analyse, basée sur les différents niveaux d'élaboration du texte. Au début il y a une introduction générale, où j'ai encadré les deux versions, la française et l'italienne, dans l'histoire littéraire, tout en donnant des indications sur la question philologique relative au texte de Monti. Ensuite, les chapitres analysent quatre aspects différents de la traduction: d'abord, les hendécasyllabes du poème: c'est à dire le rythme des vers, la prosodie et la distribution des différents modules rythmiques par rapport aux positions de l'octave. La Pucelle de Voltaire est en effet écrite en décasyllabes, un vers traditionnellement assez rigide à cause de son rythme coupé par la césure; dans la traduction le vers français est rendu par la plus célèbre mesure de la tradition littéraire italienne, l'endécasyllabe, un vers qui correspond au décasyllabe seulement pour le nombre de syllabes, mais qui présente une majeure liberté rythmique pour la disposition des accents. Le deuxième chapitre considère le mètre de l'octave, en mettant l'accent sur l'organisation syntaxique interne des strophes et sur les liens entre elles ; il résulte que les strophes sont traitées de manière différente par rapport à Voltaire. En effet, au contraire des octaves de Monti, la narration française se développe dans chaque chant en une succession ininterrompue de vers, sans solutions de continuité, en délinéant donc des structures textuelles très unitaires et linéaires. Le troisième chapitre analyse les enjambements de la Pulcella dans le but de dévoiler les liaisons syntactiques entre les verses et les octaves, liaisons presque toujours absentes en Voltaire. Pour finir, j'ai étudié le vocabulaire du poème, en observant de près les mots les plus expressives quant à leur côté comique et parodique. En effet, Monti semble exaspérer le texte français en utilisant un vocabulaire très varié, qui embrasse tous les registres de la langue italienne: de la dimension la plus basse, triviale, populaire, jusqu'au niveau (moins exploité par Voltaire) lyrique et littéraire, en vue d'effets de pastiche comique et burlesque. D'après cette analyse stylistique de la traduction, surgit un aspect très intéressant et unique de la réécriture de Monti, qui concerne l'utilisation soit de l'endécasyllabe, soit de l'octave, soit du vocabulaire du texte. Il s'agit d'un jeu constant sur la voix - ou bien sur une variation continue des différents plans intonatives - et sur la parole, qui devient plus expressive, plus dense. En effet, la lecture du texte suppose une variation mélodique incessante entre la voix de l'auteur (sous forme de la narration et du commentaire) et la voix de personnages, qu'on entend dans les nombreux dialogues; mais aussi une variation de ton entre la dimension lexical littéraire et les registres les plus baissés de la langue populaire. Du point de vue de la syntaxe, par rapport au modèle français (qui est assez monotone et linéaire, basé sur un ordre syntactique normal, sur le rythme régulier du decasyllabe et sur un langage plutôt ordinaire), Monti varie et ennoblit le ton du discours à travers des mouvements syntaxiques raffinés, des constructions de la période plus ou moins réguliers et l'introduction de propositions à cheval des vers. Le discours italien est en effet compliquée par des interruptions continues (qui ne se réalisent pas dans des lieux canoniques, mais plutôt dans la première partie du vers ou en proximité de la pointe) qui marquent des changements de vitesse dans le texte (dialogues, narration, commentaires): ils se vérifient, en somme, des accélérations et des décélérations continues du récit ainsi qu'un jeu sur les ouvertures et fermetures de chaque verse. Tout se fait à travers une recherche d'expressivité qui, en travaillant sur la combinaison et le choc des différents niveaux, déstabilise la parole et rend l'écriture imprévisible.