982 resultados para Fleming, Alexander, 1881-1955
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4 Briefe mit Antwort von Kohlhammer Verlag an Max Horkheimer, 1953, 1957; 12 Briefe mit Antwort und Beialge von Professor Hans Kohn an Max Horkheimer, 1953-1958; 3 Briefe mit Antwort von Professor Hans Kohn an Theodor W. Adorno, 1957-1958; 1 Brief mit Antwort von Professor Hans Kohn an Helmut Viebrock, 1958; 1 Brief von Theodor W. Adorno an Helmut Vriebrock, 1957; 2 Briefe mit 1 Antwort zwischen Rudolph Kolisch und Max Horkheimer, 1957; 1 Telegram von Professor Rudolph Kolisch an R. K., 1956; 1 Brief von Max Horkheiemr an den Kölner Universitäts-Verlag, 1957; 1 Drucksache von der Kölner Zeitschrift für Soziologie, 1953; 1 Drucksache von dem Kongress für Internationale Wissenschaftsgeschichte, 1951; 1 Brief mit Beilage von dem Königsteiner Kreis an Max Horkheimer, 1951; 1 Drucksache mit Beilage von der Zeitschrift "Konkret", 1958; 2 Briefe mit 1 Antwort zwischen Sekretärin Mathilde Koppen und Max Horkheimer, 1951, 1956; 2 Telegramme von Fritz Kortner an Max Horkheimer, 1952; 4 Briefe mit Antwort von Siegfried Kracauer an Max Horkheimer, 1951-1956; 1 Brief von Max Horkheimer an Professor Alexander Mitscherlich, 1956; 1 Brief mit Antwort von Hildegard Krämer an Max Horkheimer, 1956; 2 Briefe mit 1 Antwort von Dr. Rudolf Krämer-Badoni an Max Horkheimer, 1950, 1951; 2 Briefe mit Antwort von Professor Julius Kraft an Max Horkheimer, 1956, 1958; 1 Brief mit Antwort von Max Horkheimer an den Präsident d. LVA Heinrich Kraft, 1955; 2 Briefe mit Antwort von Werner Kraft an Max Horkheimer, 1953; 1 Brief von Angelo Kramer an Max Horkheimer, 1955; 2 Briefe von dem Architekt Ferdinand C. A. F. Kramer an Max Horkheimer, 1952; 2 Briefe mit Antwort von dem evangelischen Studentenpfarrer Dr. Rudolf Krapp an Max Horkheimer, 1958; 1 Brief mit Antwort und Beilage von dem Rechtsreferendar Heinz Kraus, 1956; 1 Drucksache von dem Frankfurter Studentenlied, 1956; 1 Aktennotiz von Professor Otto F. Kraushaar, 1953; 1 Brief von Max Horkheimer an den Regierungspräsident Wiesbaden,1952; 1 Aktennotiz von Klaus Kremer, 1958; 1 Brief von Dr. Stephanie Krenn an Max Horkheimer, 1952; 1 Aktennotiz von Dean Krasomil, 1952; 1 Brief mit Beilage von Anneliese Kreutz an Max Horkheimer, 1955; 1 Brief von Anneliese Kreutz an Professor Wilhelm Sturmfels, 1955; 1 Brief mit Antwort und Beilage von Robert H. Kreutzer an Max Horkheimer, 1954; 1 Brief mit Antwort von Professor Hans Hermann Kritzinger an Max Horkheimer, 1952; 2 Briefe mit Antwort von dem Betriebspsychologe Ludwig Kroeber-Keneth an Max Horkheimer, 1954; 1 Brief mit Antwort und Beilage von Professor Oswald Kroh an Max Horkheimer, 1952; 1 Todesanzeige von Professor Oswald Kroh, 1955; 1 Brief mit Antwort von Professor Wilhelm Kromphardt an Max Horkheimer, 1958; 1 Brief mit Antwort von Max Horkheimer an den Zirkus Krone, 1956; 1 Gutachten über Hans Joachim Krüger, 1958; 1 Brief mit Antwort von Melitta Krüger an Max Horkheimer, 1958; 2 Briefe mit Antwort und Beilage von dem Privatdozent Otto Kühne an Max Horkheimer, 1954, 1957; 1 Brief von Max Horkheimer an den Ministerialrat Dr. Dr. Kühn, 1953; 1 Vermählungsanzeige von Walter Kühn, 1957; 1 Aktennotiz von dem Rundfunk Dr. Kuhnert, ohne Jahr; 1 Brief von P. W. Krüger an Max Horkheimer, 1951; 1 Vermählungsanzeige mit Antwort von Hans K. Kullmer, 1953; 3 Briefe mit Antwort und Beilage von Dr. rer. pol. Ulrich Küntzel an Max Horkheimer, 1952; 1 Brief mit Antwort von dem Professor Fritz Baade an Max Horkheimer, 1952; 3 Breife mit Antwort von dem Verlag Walter de Gruyter an Max Horkheimer, 1954, 1955; 1 Brief mit Antwort von Max Horkheimer an den Kürschners Deutscher Gelehrten-Kalender, 1954; 2 Drucksachen von der Sektkellerei Kupferberg & Co, 1956; 3 Briefe mit Antwort von dem Reisebüro Kuoni an Max Horkheimer, 1957; 1 Brief mit Antwort von Max Horkheimer an das Kurhaus "Zur Rose" Bad Meinberg, 1956; 2 Briefe mit Antwort und Beilage von der Kurhessische Gesellschaft für Kunst und Wissenschaft an Max Horkheimer, 1954; 1 Gutachten von Thomas Gabor Kürthy, 1958; 1 Brief mit Antwort von Max Horkheimer an den Generaldirektor Dr. Kuss, 1953; 1 Brief mit Antwort von Professor Joseph J. Kwiat an Max Horkheimer, 1955;
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pt. 1-2
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Cover title.
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"The Prince Consort Prize, 1906."
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Parts I-II contained in Bulletin 16.
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