687 resultados para Fibrilação atrial
Resumo:
Since the management of atrial fibrillation may be difficult in the individual patient, our purpose was to develop simple clinical recommendations to help the general internist manage this common clinical problem. Systematic review of the literature with evaluation of data-related evidence and framing of graded recommendations. Atrial fibrillation affects some 1% of the population in Western countries and is linked to a significant increase in morbidity and mortality. The management of atrial fibrillation requires individualised evaluation of the risks and benefits of therapeutic modalities, relying whenever possible on simple and validated tools. The two main points requiring a decision in clinical management are 1) whether or not to implement thromboembolic prevention therapy, and 2) whether preference should be given to a "rate control" or "rhythm control" strategy. Thromboembolic prophylaxis should be prescribed after individualised risk assessment: for patients at risk, oral anticoagulation with warfarin decreases the rate of embolic complications by 60% and aspirin by 20%, at the expense of an increased incidence of haemorrhagic complications. "Rate control" and "rhythm control" strategies are probably equivalent, and the choice should also be made on an individualised basis. To assist the physician in making his choices for the care of an atrial fibrillation patient we propose specific tables and algorithms, with graded recommendations. On the evidence of data from the literature we propose simple algorithms and tables for the clinical management of atrial fibrillation in the individual patient.
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A now 36-year-old woman developed a suprahepatic inferior vena cava stenosis, 9 years after liver transplantation for extensive liver echinococcosis. The lesion was treated by percutaneous angioplasty and stenting. Five years later, recurrence of echinococosis with intrastent stenosis together with clinical symptoms, prompted surgical treatment. Hepato-atrial anastomosis was performed under cardiopulmonary bypass with good result.
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OBJECTIVE: Atrial fibrillation is a very common heart arrhythmia, associated with a five-fold increase in the risk of embolic strokes. Treatment strategies encompass palliative drugs or surgical procedures all of which can restore sinus rhythm. Unfortunately, atria often fail to recover their mechanical function and patients therefore require lifelong anticoagulation therapy. A motorless volume displacing device (Atripump) based on artificial muscle technology, positioned on the external surface of atrium could avoid the need of oral anticoagulation and its haemorrhagic complications. An animal study was conducted in order to assess the haemodynamic effects that such a pump could provide. METHODS: Atripump is a dome-shape siliconecoated nitinol actuator sewn on the external surface of the atrium. It is driven by a pacemaker-like control unit. Five non-anticoagulated sheep were selected for this experiment. The right atrium was surgically exposed, the device sutured and connected. Haemodynamic parameters and intracardiac ultrasound (ICUS) data were recorded in each animal and under three conditions; baseline; atrial fibrillation (AF); atripump assisted AF (aaAF). RESULTS: In two animals, after 20 min of AF, small thrombi appeared in the right atrial appendix and were washed out once the pump was turned on. Assistance also enhanced atrial ejection fraction. 31% baseline; 5% during AF; 20% under aaAF. Right atrial systolic surfaces (cm2) were; 5.2 +/- 0.3 baseline; 6.2 +/- 0.1 AF; 5.4 +/- 0.3 aaAF. CONCLUSION: This compact and reliable pump seems to restore the atrial "kick" and prevents embolic events. It could avoid long-term anticoagulation therapy and open new hopes in the care of end-stage heart failure.
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Fond : Le substrat de fibrillation auriculaire (FA) vagale et celui secondaire à remodelage par tachycardie auriculaire (RTA) partagent beaucoup des caractéristiques : période réfractaire efficace (PRE) réduite, hétérogénéité accrue de PRE et quelques mécanismes moléculaires communs. Cette étude a comparé les 2 substrats à une abréviation comparable de PRE. Méthodes : Chez chacun de 6 chiens de groupe de stimulation vagal (SV), les paramètres de stimulation cervicale bilatérale de nerves vagaux ont été ajustés pour produire la même PRE moyenne (calculé à 8 sites des oreillettes gauche et droite) avec 6 chiens de groupe de RTA assorti à sexe et poids. Des paramètres électrophysiologiques, la durée moyenne de la fibrillation auriculaire (DAF) et les fréquences dominantes (FD) locales ont étés calculés. Résultats : En dépit des PREs assorties (SV: 80±12msec contre RTA: 79±12msec) la DAF était plus longue (*), l’hétérogénéité de conduction était plus élevée (*), la FD était plus rapide (*) et la variabilité de FD plus grande (*) chez les chiens SV. Les zones de maximum FD qui reflètent les zones d’origine de FA étaient à côté de ganglions autonomes chez les chiens SV. Conclusions : Pour un PRE atriale comparable, la FA secondaire à SV est plus rapide et plus persistante que la FA avec un substrat de RTA. Ces résultats sont consistants avec des modèles de travail suggérant que l'hyperpolarisation SV-induite contribue de façon important à la stabilisation et à l'accélération des rotors qui maintiennent la FA. La similitude de la distribution de FD du groupe vagal avec la distribution des lésions d’ablation après cartographie des électrogrammes atriales fragmentés suggère des nouvelles techniques d’ablation. La distribution des FD entre le SV et le RTA fournit de nouvelles idées au sujet de possible rémodelage neuroreceptorial et indique des différences importantes entre ces substrats de FA superficiellement semblables.
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Le système nerveux autonome cardiaque est devenu une cible dans les thérapies ablatives de la fibrillation auriculaire. Nous avons étudié les voies de communication et la fonction des plexus ganglionnaires (PG) de l'oreillette gauche (PGOG) afin de clarifier la validité physiopathologique des méthodes de détection et des thérapies impliquant ces groupes de neuronnes. Méthodes: Vingt-deux chiens ont subi une double thoracotomie et ont été instrumentés avec des plaques auriculaires épidcardiques de multiélectrodes. Une stimulation électrique (2 mA, 15 Hz) des PGOG a été réalisée à l'état basal et successivement après: 1) une décentralisation vagale, 2) l'ablation par radiofréquence des plexus péri-aortiques et de la veine cave supérieure (Ao/VCS) et 3) l'ablation du PG de l'oreillette droite (PGOD). Ces procédures de dénervation ont été réalisées suivant une séquence antérograde (n = 17) ou rétrograde (n = 5). Résultats: Chez 17 des 22 animaux, la stimulation des PGOG a induit une bradycardie sinusale (149 ± 34 bpm vs 136 ± 28 bpm, p < 0.002) et des changements de repolarization (ΔREPOL) auriculaires isointégrales. Dans le groupe des ablations antérogrades, les réponses aux stimulations vagales ont été supprimées suite à la décentralisation vagale chez un seul animal, par l'ablation des plexus Ao/VCS dans 4 cas et par l'ablation du PGOG dans 5 autres animaux. Des changements ont persisté tout au long chez 2 chiens. La valeur de surface des ΔREPOL a diminué avec les dénervations séquentielles, passant de 365 ± 252 mm2 en basale à 53 ± 106 mm2 après l'ablation du PGOD (p < 0.03). Dans le groupe de dénervation rétrograde, les changements de repolarisation et chronotropiques ont été supprimés suite à l'ablation du PGOD chez deux chiens et suite à l'ablation Ao/VCS chez trois. La valeur de surface du ΔREPOL a aussi diminué après l'ablation du PGOD (269±144mm2 vs 124±158mm2, p<0.05). Conclusion: Les PGOD sont identifiables en préablation par la réponse bradycardique à la stimulation directe dans la plupart des cas. Le PGOD semble former la principale, mais non la seule, voie de communication avec le nœud sinusal. Ces résultats pourraient avoir des implications dans le traitement de la FA par méthodes ablatives.
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La fibrillation auriculaire (FA) est une arythmie touchant les oreillettes. En FA, la contraction auriculaire est rapide et irrégulière. Le remplissage des ventricules devient incomplet, ce qui réduit le débit cardiaque. La FA peut entraîner des palpitations, des évanouissements, des douleurs thoraciques ou l’insuffisance cardiaque. Elle augmente aussi le risque d'accident vasculaire. Le pontage coronarien est une intervention chirurgicale réalisée pour restaurer le flux sanguin dans les cas de maladie coronarienne sévère. 10% à 65% des patients qui n'ont jamais subi de FA, en sont victime le plus souvent lors du deuxième ou troisième jour postopératoire. La FA est particulièrement fréquente après une chirurgie de la valve mitrale, survenant alors dans environ 64% des patients. L'apparition de la FA postopératoire est associée à une augmentation de la morbidité, de la durée et des coûts d'hospitalisation. Les mécanismes responsables de la FA postopératoire ne sont pas bien compris. L'identification des patients à haut risque de FA après un pontage coronarien serait utile pour sa prévention. Le présent projet est basé sur l'analyse d’électrogrammes cardiaques enregistrées chez les patients après pontage un aorte-coronaire. Le premier objectif de la recherche est d'étudier si les enregistrements affichent des changements typiques avant l'apparition de la FA. Le deuxième objectif est d'identifier des facteurs prédictifs permettant d’identifier les patients qui vont développer une FA. Les enregistrements ont été réalisés par l'équipe du Dr Pierre Pagé sur 137 patients traités par pontage coronarien. Trois électrodes unipolaires ont été suturées sur l'épicarde des oreillettes pour enregistrer en continu pendant les 4 premiers jours postopératoires. La première tâche était de développer un algorithme pour détecter et distinguer les activations auriculaires et ventriculaires sur chaque canal, et pour combiner les activations des trois canaux appartenant à un même événement cardiaque. L'algorithme a été développé et optimisé sur un premier ensemble de marqueurs, et sa performance évaluée sur un second ensemble. Un logiciel de validation a été développé pour préparer ces deux ensembles et pour corriger les détections sur tous les enregistrements qui ont été utilisés plus tard dans les analyses. Il a été complété par des outils pour former, étiqueter et valider les battements sinusaux normaux, les activations auriculaires et ventriculaires prématurées (PAA, PVA), ainsi que les épisodes d'arythmie. Les données cliniques préopératoires ont ensuite été analysées pour établir le risque préopératoire de FA. L’âge, le niveau de créatinine sérique et un diagnostic d'infarctus du myocarde se sont révélés être les plus importants facteurs de prédiction. Bien que le niveau du risque préopératoire puisse dans une certaine mesure prédire qui développera la FA, il n'était pas corrélé avec le temps de l'apparition de la FA postopératoire. Pour l'ensemble des patients ayant eu au moins un épisode de FA d’une durée de 10 minutes ou plus, les deux heures précédant la première FA prolongée ont été analysées. Cette première FA prolongée était toujours déclenchée par un PAA dont l’origine était le plus souvent sur l'oreillette gauche. Cependant, au cours des deux heures pré-FA, la distribution des PAA et de la fraction de ceux-ci provenant de l'oreillette gauche était large et inhomogène parmi les patients. Le nombre de PAA, la durée des arythmies transitoires, le rythme cardiaque sinusal, la portion basse fréquence de la variabilité du rythme cardiaque (LF portion) montraient des changements significatifs dans la dernière heure avant le début de la FA. La dernière étape consistait à comparer les patients avec et sans FA prolongée pour trouver des facteurs permettant de discriminer les deux groupes. Cinq types de modèles de régression logistique ont été comparés. Ils avaient une sensibilité, une spécificité et une courbe opérateur-receveur similaires, et tous avaient un niveau de prédiction des patients sans FA très faible. Une méthode de moyenne glissante a été proposée pour améliorer la discrimination, surtout pour les patients sans FA. Deux modèles ont été retenus, sélectionnés sur les critères de robustesse, de précision, et d’applicabilité. Autour 70% patients sans FA et 75% de patients avec FA ont été correctement identifiés dans la dernière heure avant la FA. Le taux de PAA, la fraction des PAA initiés dans l'oreillette gauche, le pNN50, le temps de conduction auriculo-ventriculaire, et la corrélation entre ce dernier et le rythme cardiaque étaient les variables de prédiction communes à ces deux modèles.
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La fibrillation auriculaire est le trouble du rythme le plus fréquent chez l'homme. Elle conduit souvent à de graves complications telles que l'insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux. Un mécanisme neurogène de la fibrillation auriculaire mis en évidence. L'induction de tachyarythmie par stimulation du nerf médiastinal a été proposée comme modèle pour étudier la fibrillation auriculaire neurogène. Dans cette thèse, nous avons étudié l'activité des neurones cardiaques intrinsèques et leurs interactions à l'intérieur des plexus ganglionnaires de l'oreillette droite dans un modèle canin de la fibrillation auriculaire neurogène. Ces activités ont été enregistrées par un réseau multicanal de microélectrodes empalé dans le plexus ganglionnaire de l'oreillette droite. L'enregistrement de l'activité neuronale a été effectué continument sur une période de près de 4 heures comprenant différentes interventions vasculaires (occlusion de l'aorte, de la veine cave inférieure, puis de l'artère coronaire descendante antérieure gauche), des stimuli mécaniques (toucher de l'oreillette ou du ventricule) et électriques (stimulation du nerf vague ou des ganglions stellaires) ainsi que des épisodes induits de fibrillation auriculaire. L'identification et la classification neuronale ont été effectuées en utilisant l'analyse en composantes principales et le partitionnement de données (cluster analysis) dans le logiciel Spike2. Une nouvelle méthode basée sur l'analyse en composante principale est proposée pour annuler l'activité auriculaire superposée sur le signal neuronal et ainsi augmenter la précision de l'identification de la réponse neuronale et de la classification. En se basant sur la réponse neuronale, nous avons défini des sous-types de neurones (afférent, efférent et les neurones des circuits locaux). Leur activité liée à différents facteurs de stress nous ont permis de fournir une description plus détaillée du système nerveux cardiaque intrinsèque. La majorité des neurones enregistrés ont réagi à des épisodes de fibrillation auriculaire en devenant plus actifs. Cette hyperactivité des neurones cardiaques intrinsèques suggère que le contrôle de cette activité pourrait aider à prévenir la fibrillation auriculaire neurogène. Puisque la stimulation à basse intensité du nerf vague affaiblit l'activité neuronale cardiaque intrinsèque (en particulier pour les neurones afférents et convergents des circuits locaux), nous avons examiné si cette intervention pouvait être appliquée comme thérapie pour la fibrillation auriculaire. Nos résultats montrent que la stimulation du nerf vague droit a été en mesure d'atténuer la fibrillation auriculaire dans 12 des 16 cas malgré un effet pro-arythmique défavorable dans 1 des 16 cas. L'action protective a diminué au fil du temps et est devenue inefficace après ~ 40 minutes après 3 minutes de stimulation du nerf vague.
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Introdução: Embora a imagem com segunda harmônica esteja largamente disponível na maioria dos aparelhos de ultra-sonografia, sua acurácia para avaliar a morfologia e a função do apêndice atrial esquerdo (AAE) permanece precariamente caracterizada. Objetivos: Explorar o desempenho diagnóstico da ecocardiografia transtorácica com segunda harmônica (ETTsh) na avaliação do AAE após eventos neurológicos agudos. Métodos: Realizamos um estudo transversal em pacientes com eventos neurológicos isquêmicos agudos, encaminhados para realização de ETTsh e Ecocardiografia Transesofágica (ETE). As análises da área longitudinal máxima e do pico da velocidade de esvaziamento de fluxo do AAE foram realizadas por observadores cegos. Resultados: Foram avaliados 51 pacientes (49% femininas, 62 ± 12 anos) com eventos neurológicos isquêmicos agudos. Contraste ecocardiográfico espontâneo foi observado em 11 (22%) pacientes no AE, em 7(14%) no AAE e em 3 (6%) na aorta torácica descendente. Trombo no AAE foi identificado em apenas 2 (4%) pacientes. O mapeamento e a análise do AAE foi factível na maioria dos casos (98%), tanto para o estudo com Doppler quanto para avaliação da área do AAE. Observamos uma associação positiva e significativa entre o ETTsh e o ETE, tanto para a avaliação das velocidades máximas de esvaziamento do AAE (r=0,63; p<0,001) quanto para a área longitudinal máxima do AAE (r=0,73; p<0,001). Ademais, todos os pacientes com trombos no AAE ou contraste espontâneo (n=7) tiveram velocidade de esvaziamento inferior a 50 cm/s no mapeamento transtorácico (valor preditivo negativo de 100%). Na análise multivariada ajustada para diversos potenciais preditores transtorácicos de risco, a velocidade máxima de esvaziamento do AAE permaneceu independentemente associada com trombos no AAE ou contraste espontâneo. Conclusão: ETTsh pode fornecer informações relevantes a respeito da morfologia e dinâmica do AAE. Em particular, pacientes com velocidades altas de esvaziamento do AAE podem não necessitar de avaliação adicional com ETE.
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Infartos cerebrais de etiologia cardíaca são observados em cerca de 20% dos pacientes com acidente vascular cerebral isquêmico. Infarto cerebral ocorre como manifestação clínica inicial em um terço dos casos de mixoma atrial. Embora quase metade dos pacientes com mixoma atrial apresente alteração ao exame neurológico, infarto cerebral não hemorrágico é visto na tomografia computadorizada em praticamente todos os casos. Os autores apresentam o caso de uma paciente, cuja primeira manifestação clínica do mixoma atrial foi um acidente vascular cerebral isquêmico e chamam a atenção para a possibilidade de infarto cerebral silencioso em pacientes portadores de mixoma atrial.
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The inflation of an intravascular balloon positioned at the superior vena cava and right atrial junction (SVC-RAJ) reduces sodium or water intake induced by various experimental procedures (e.g. sodium depletion; hypovolaemia). In the present study we investigated if the stretch induced by a balloon at this site inhibits a rapid onset salt appetite, and if this procedure modifies the pattern of immunohistochemical labelling for Fos protein (Fos-ir) in the brain. Male Sprague-Dawley rats with SVC-RAJ balloons received a combined treatment of furosemide (Furo; 10 mg (kg bw)(-1)) plus a low dose of the angiotensin-converting enzyme inhibitor captopril (Cap; 5 mg (kg bw)(-1)). Balloon inflation greatly decreased the intake of 0.3 M NaCl for as long as the balloon was inflated. Balloon inflation over a 3 h period following Furo-Cap treatment decreased Fos-ir in the organum vasculosum of the lamina terminalis and the subfornical organ and increased Fos-ir in the lateral parabrachial nucleus and caudal ventrolateral medulla. The effect of balloon inflation was specific for sodium intake because it did not affect the drinking of diluted sweetened condensed milk. Balloon inflation and deflation also did not acutely change mean arterial pressure. These results suggest that activity in forebrain circumventricular organs and in hindbrain putative body fluid/cardiovascular regulatory regions is affected by loading low pressure mechanoreceptors at the SVC-RAJ, a manipulation that also attenuates salt appetite.
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Avaliaram-se quantitativa, morfométrica e qualitativamente os neurônios atriais da faixa intercaval de cães com cardiomiopatia dilatada (CMD). Os neurônios dos gânglios nervosos de cães com CMD eram maiores que os dos cães controle. A histopatologia do miocárdio ventricular e dos neurônios ganglionares confirmou a CMD e demonstrou evidente processo degenerativo neuronal ganglionar. Cães com CMD em fase crônica apresentavam cardioneuropatia secundária, provavelmente pela privação da inervação parassimpática cardíaca.
Resumo:
O presente estudo teve por objetivo padronizar modelo experimental de estimulação cardíaca artificial atrial em coelhos. Foram utilizados 20 coelhos raça Norfolk-2000 de ambos os sexos com peso mínimo de 2200g. Após anestesia endovenosa com pentobarbital(30mg/Kg), foi dissecada a veia jugular externa esquerda e introduzido eletrodo EthiconÒ especialmente preparado, até átrio direito via veia cava esquerda. Foram realizadas leituras dos parâmetros elétricos(ondaP, resistência e limiar de comando) no ato cirúrgico e com 7, 14 e 21 dias denominados M1,M2, M3 e M4 respectivamente. Observamos diferença significativa em todos as variáveis analisadas entre M1 e demais momentos. Os resultados são compatíveis com o que se conhece de estimulação cardíaca artificial em outras espécies animais e no homem. O presente modelo mostrou ser viável para estudos de estimulação cardíaca artificial.