1000 resultados para Essai cinématographique


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Introduction et objectif: Lors d'essais cliniques, le pharmacien est responsable de la préparation et de la dispensation des médicaments à évaluer. Un article récent a toutefois montré que les aspects pharmaceutiques liés au contrôle de la dose administrée in fine étaient souvent mal contrôlés. Il peut exister une différence entre la dose nominale fournie par le certificat d'analyse du fabricant et la dose réellement administrée au sujet, biais qui se reporte en cascade sur l'estimation des paramètres pharmaco¬cinétiques (PK), comme la clairance ou le volume de distribution. Ce travail visait à évaluer les biais entachant la quantité de médicament réellement injectée (iv/sc) aux volontaires d'un essai clinique étudiant la PK et la relation dose-réponse d'un nouveau produit biotechnologique. Méthode: La dose de médicament administrée lors de l'essai clinique (D) a été calculée de la manière suivante: D = C ? V - pertes. La concentration du produit (C; titre nominal du fabricant) a été vérifiée par immuno-essai. Le volume de médicament injecté (V) a été déterminé pour chaque injection par pesée (n=72), en utilisant la masse de la seringue avant et après injection et la densité du produit. Enfin, une analyse in vitro a permis d'évaluer les pertes liées à l'adsorption du produit dans les lignes de perfusion et de choisir le dispositif adéquat in vivo. Résultats: La concentration du médicament s'est révélée proche du titre nominal (96 ± 7%), et a été utilisée comme référence. Le volume injecté était quant à lui entaché d'un biais systématique par rapport à la valeur théorique correspondant à 0.03 mL pour la dose minimale (i.e. 75% du volume à injecter à cette dose). Une analyse complémentaire a montré que cela s'expliquait par une réaspiration partielle de la solution médica-menteuse avant le retrait de la seringue après injection sc, due à l'élasticité du piston. En iv, le biais était par contre provoqué par une réaspiration du soluté de perfusion co-administré. Enfin, la mesure des quantités de médicament récupérées après injection dans le dispositif de perfusion a démontré des pertes minimales par adsorption. Discussion-conclusion: Cette étude confirme l'existence de biais inversement corrélés au volume et à la concentration du médicament administré, pouvant provoquer des erreurs importantes sur les paramètres PK. Ce problème est négligé ou insuffisamment considéré dans les protocoles de Phase I et nécessiterait une planification rigoureuse. Les procédures opératoires devraient attirer l'attention sur ce point crucial.

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Chaque année en Suisse, 15000 personnes meurent du cancer, ce qui en fait la deuxième cause de mortalité [1]. Il est donc nécessaire d'introduire sur le marché de nouveaux traitements plus efficaces. Ces derniers doivent passer par une période d'essais cliniques qui comporte plusieurs phases, dont la phase I. Celle-ci sert principalement à déterminer la dose maximale tolérable d'un médicament, en exposant le patient à des doses croissantes. Déterminer les motivations des patients à participer à la phase I d'un essai clinique, alors que les bénéfices personnels sont relativement faibles [3].

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Collection : Bibliothèque de botanique cryptogamique

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VEsquisse (1895) ainsi que le chapitre VII de L'interprétation du rêve (1900) de Freud offrent un modèle psychologique - sous-jacent à toute la psychanalyse élaborée par la suite - qui présente des analogies frap¬pantes avec les conceptions aristotéliciennes sur la psyché, principalement développées dans le De l'âme et les Petits traités d'histoire naturelle. Ceci peut se comprendre entre autres par le fait que les seuls cours uni¬versitaires de psychologie et de philosophie que Freud fréquenta, parallèlement à ses études de médecine, furent ceux du théologien, psychologue et philosophe Franz Brentano, grand spécialiste d'Aristote, dont l'impact de l'enseignement sur le jeune Freud est aujourd'hui mieux connu grâce à son échange épistolaire, au début de ses études, avec son ancien ami de gymnase Eduard Silberstein. En effet, plus d'un élément du paradigme psychologique aristotélicien, qui chez cet auteur s'ancre dans la biologie, semblent trouver écho chez Freud : ainsi, la génération de diverses sortes de représentation au sein de l'appareil psychique par l'investissement des traces mnésiques, chez Freud, fait penser à la production ât phantâsmata dans l'âme, par le travail de la phantasîa sur les mouvements résiduels de la perception sensorielle, chez Aristote. De là, ce sont autant le fonctionnement mnésique, que l'explication des phénomènes du rêve et de l'hallucination, que la compréhension du désir dans sa capacité de mettre en mouvement le vivant animé (c'est-à-dire un être doté d'une âme) qui vont représenter les points d'articulation de cette comparaison. -- The Project for a Scientific Psychology (1895) as well as Chapter VII of Freud's Interpretation of Dreams (1900) offer a psychological model - underlying the entire psychoanalysis developed hereafter - which is strikingly similar to Aristotelian conceptions of the psyche in On the Soul and Little Physical Treatises. One explanation may be that the only lectures in psychology and philosophy that Freud attended at university, alongside lectures in medicine, were given by the theologist, psychologist, and philosopher Franz Brentano, who had a deep knowledge of Aristotle. Because of young Freud's correspondence with his high school friend Eduard Silberstein at the beginning of his studies, the influence of Brentano's teachings on Freud is now better known. Indeed, much of the Aristotelian psychological paradigm - rooted in biology - seems to echo in Freud's writings. Thus, the production of various sorts of representations within the psychic apparatus by means of the investment in memory traces in Freud's model evokes the phantâsmata generated in the soul by the action of phantasîa on the residual movements of the sensory perception in Aristotle's psychology. From there, this comparison will hinge as much on the operation of memory as on the explanation of the phenomena of dreams and hallucinations, as on the understanding of desire in its ability to set the animated living being (i.e. a being with a soul) in motion.