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Cf. notice du ms. par Leroquais, Bréviaires, III, 182-185 n° 591 et pl. XCIX; P. Radó, Libri liturgici manuscripti bibliothecarum Hungariae et limitropharum regionum, Budapest, 1973. Un bréviaire d'Esztergom a été imprimé en 1524 à Venise. F. 2-8v Calendrier à l'usage d'Esztergom, avec un grand nombre de saints d'origines diverses (2-7v); cf. Leroquais, op. cit., 182. À noter les saints non mentionnés dans les Acta sanctorum, ou du moins pas pour la date correspondante; ne sont pas relevés les saints hongrois considérés comme classiques par Radó, op. cit., passim : 4 févr., «Victoris m.»; 8 févr., «Juliani m.»; 13 févr., «Adalberti m.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 395; 15févr., «Faustiani m.»; 21 févr., «Septuaginta mm.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 15 mars, «Hilarii conf. et pont.», non signalé sous cette forme pour cette date dans Radó, op. cit.; 17 mars, «Bernardi conf.»; 26mars, «Eustachii abb.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 96 d'après ms. Budapest, B.N. Hung., c. l. m. ae. 395; 28 mars, «Gastuli m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 3 juill., «Bonifacii ep.», non signalé dans Radó, op. cit.; 5 juill., «Dominici m.»; 4 août, «Gaudentii ep. et conf.», signalé une fois dans Radó, op. cit., 329 d'après ms. Budapest, B. N. Hung., c. l. m. ae. 408; 8 août, «Adventus sanguinis D. N. J. C.»; 31 août, «Pauli ep. et m.», non signalé dans Radó, op. cit.; 12 oct., «Quatuor milium mm.», non signalé dans Radó, op. cit., à rapprocher de quatuor mille octingenti septuaginta mm., cf. Radó, op. cit., 167 d'après ms. Esztergom, B. metropolitana Strigoniensis I. 20; 14 oct., «Cerbonii conf.»; 27 oct., «Vedasti m.»; 15 nov., «Martini conf.», non signalé pour cette date dans Radó, op. cit; 20 nov., «Aniani ep. [Aurelianensis] et conf.». Pour plusieurs saints du calendrier on ne trouve pas d'office dans le sanctoral, et vice versa. — «Sequitur tabula impositionis historiarum...» (8-8v). F. 11-76 Psautier férial (11-72). — Office des défunts à l'usage d'Esztergom (72v-76); cf. K. Ottosen, The responsories and versicles of the latin office of the dead, Aarhus 1993, 127 (description des ff.74v-75v = «BN8879B») et 180 (description des ff.72v-74v = «BN8879A»). F. 77-528v Temporal : «Incipit breviarium secundum chorum alme ecclesie Strigoniensis. Dominica prima in adventu Domini...» (77-282v). Sanctoral : «Incipit secunda pars breviarii scilicet de festivitatibus. De s. Silvestro...» (286-486). À noter : office de l'Immaculée Conception composé par Léonard Nogarolo (480v). Commun des saints : «Incipit commune de sanctis et primo in vigilia unius apostoli...» (486v-513v). — «Sequitur de b. Virgine sabbatis diebus per estatem. Ad vesperas...» (513v-516v). «In quotidianis horis b. Virginis...» (516v-525). — «Sequuntur preces in quadragesima...» (525-526v). — «Sequuntur suffragia sabbatis diebus per estatem...» (526v-528), dont suffrages des ss. [Stephani regis Hungariae; Emerici ducis] (527), [Ladislai regis Hungariae; Adalberti ep. Pragensis et m.] (527v). — «Absolutio excommunicati...» (528-528v). 106 hymnes mentionnées dans la table des incipit, dont une non répertoriée dans Chevalier, Repert. hymn. ni dans les A. H., pour les confesseurs : «Christe lucis splendor vere fabrice mundi semper nobis parcens miserere confessorum precibus//...» (506v); cf. P. Radó, Répertoire hymnologique des mss. liturgiques dans les bibliothèques publiques de Hongrie, Budapest 1945, n° 111, relevée une fois dans le ms. Budapest, Bibl. nat. Hung. c. l. m. ae. 132, ms. décrit par Radó, Libri liturgici..., op. cit., 395-400.

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Bible avec massore originaire de Castille (Soria?). F. 2r-4v : calendriers liturgiques pour les années 1295 à 1390, 1541 à 1560. F. 5v-98v : Pentateuque, F. 99v-Josué, F. 111v : Juges, F. 122r : Samuel, F. 149v : Rois, F.179v : Isaïe, F. 199 Jérémie, F. 224v : Ezéchiel, F. 246v : Douze petits prophètes, F. 266v : Chroniques, 296v : Psaumes, F. 320v : Job, F. 330 : Proverbes, F. 337v : Ruth, F. 339 : Cantique des cantiques, F. 340 : Eclésiastes, F. 345v : Esther, F. 349r : Daniel, F. 356v : Esdras-Néhémie. Au f. 370v : cosmologie midrashique.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.

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L'ouvrage est précédé d'une dédicace à François Ier (fol. 1-5) : « Proheme de messire Claude de Seyssel, evesque de Marseille, en la monarchie de France, addressant au très cretien roy de France, François, Premier de ce nom. Plusieurs philosophes, theologiens et aultres sages hommes... ». Il commence (fol. 6) par : « Cy commance la monarchie de France. De l'estat monarchiq en general ; qu'il est meilleur que nul aultre. Il fault presupposer sans entrer plus avant... » et finit (fol. 80) par « ... et ne repugne à la loy divine ». Au bas du fol. 1, dans l'encadrement, sont les armes de l'auteur, Claude de Seyssel. Au fol. A v° sont peintes à pleine page les armes de France avec au-dessous la salamandre ; dans l'encadrement sont des F couronnés et des fleurs de lis au naturel entre chaque F. L'écu de France se retrouve au bas de l'encadrement du fol. 6.

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L'ouvrage est précédé d'une dédicace à François Ier (fol. 1-5) : « Proheme de messire Claude de Seyssel, evesque de Marseille, en la monarchie de France, addressant au très cretien roy de France, François, Premier de ce nom. Plusieurs philosophes, theologiens et aultres sages hommes... ». Il commence (fol. 6) par : « Cy commance la monarchie de France. De l'estat monarchiq en general ; qu'il est meilleur que nul aultre. Il fault presupposer sans entrer plus avant... » et finit (fol. 80) par « ... et ne repugne à la loy divine ». Au bas du fol. 1, dans l'encadrement, sont les armes de l'auteur, Claude de Seyssel. Au fol. A v° sont peintes à pleine page les armes de France avec au-dessous la salamandre ; dans l'encadrement sont des F couronnés et des fleurs de lis au naturel entre chaque F. L'écu de France se retrouve au bas de l'encadrement du fol. 6.

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Contient : « Chi commanche li livres des coustumes et des usages de Biauvoizins, selonc que il couroit ou tans que chis livres fu fais, ch' est assavoir en l'an de l'Incarnation Nostre Signeur M. CC. IIIIxx et III. Ch' est li prologues. La gran esperance que nous avons de l'ayde... » ; « ... après l'an et le jor, por fere de l'iretage et des arrierages son devoir. Explicit. Chi fine Philippe de Biamanoir son livre, qu'il fist des coustumes de Biavoisis, en l'an de l'Incarnation Nostre Segneur mil IIc IIIIxx et III. Cix Diex li otroit bone fin, qui regne et regnera sans fin. Amen. Que Dix l'otroit »

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Contient : « Cy ensuivent les croniques de Normandie. Pour ce que ceulx de bonne voulenté qui tendent venir à honneur selon Dieu par vaillance et par hardement... » ; « ... cel an s'esmeurent les Chrestiens de toutes terres de Chrestienté à eulx croisier pour aler en Jherusalem conquerre [la Sainte Terre] »

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Sur le feuillet 1 r°, dans la marge inférieure, au-dessous de l'encadrement, on lit la devise et la signature du roi Charles VIII : « Plus qu'autre. Charles ». Au verso du feuillet A on lit, dans le haut du feuillet : « Cest livre est au roy Loys XIIme ».

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Contient : 1 Statuts de l'ordre de la Toison d'or, donnés par Philippe le Bon, duc de Bourgogne, 27 novembre 1431 ; 2 Ordonnance dudit duc relative aux offices de chancelier, trésorier, greffier et roi d'armes dudit ordre

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Contient : « Maintes gens dient que en songes... » ; « ... Ainssint oy la rose vermeille, Adonc fu jour et je m'esveille. Explicit le Rommans de la Rose, Où l'art d'amours est toute enclose »

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Contient : « Ci commence le Roumanz de la Rose, Où l'art d'amours est toute enclose. Maintes gens dient que en songes... » ; « ... Ainsi oy la rose vermeille, Atant fut jour et je m'esveille. Explicit. Chi fenist li jolis Rommans de la Rose »

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Le texte est celui que fournissent les mss. français 2623, 2651, 16939, 18929, etc. — Début (fol. 1) : « Pour ce que ceulx de bonne voulenté qui tendront venir à honneur...»— Le ms. est incomplet, à la fin, de plusieurs feuillets ; en outre, toute la moitié inférieure du feuillet 129 v° et dernier est effacée ; par suite, le texte s'arrête avec ces mots : «... et ne dist pas la cause pourquoy le roy le heoit. [Les] plain[tes]...» [Cf. mss. fr. 2623, fol. 80 v°, col. 2 ; 2651, fol. 62 r° ; 16939, fol. 231 v°, col. 1-2, etc.] Au feuillet 1 r°, miniature et encadrement. Lettres ornées.

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Graduel à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans. F. 1-164v Temporale. Incomplet du début par lacune matérielle, le temporal commence le 27 décembre, au milieu du graduel de s. Jean apôtre, et se termine avec la fête de la Trinité, placée à la suite du 23e dimanche après la Pentecôte. Les versets alleluiatiques des dimanches après la Pentecôte sont attestés à Orléans; cf. Leroquais, Versets alleluiatiques, ms. NAL 3164, f. 41-41v. F. 164v-168v "In dedicatione ecclesie" (164v-166v); — "In festo s. Crucis" (166v-168v). F. 168v-235v Sanctorale. De festis s. Mariae (168v-177v); — de angelis (177v-179); — de s. Johanne Baptista (179-182); — de apostolis (182-192v); — de s. Laurentio (192v-195v) et de martyribus (195v-220); — de confessoribus (220-228); — de una virgine (228-235v); — pro fidelibus defunctis (235v-237). Le manuscrit a été composé à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans: l'usage est celui d'Orléans, et la fête de la Sainte-Croix suit immédiatement celle de la dédicace. Le manuscrit a servi longtemps: au bas de nombreux feuillets des mains différentes, datables du XVe au XVIIe s., ont développé la musique et le texte des versets psalmodiques de l'introit. A plusieurs reprises le texte et la musique des versets alleluiatiques ont été effacés et changés, notamment ff. 107, 108v, 112-113 et ff. 133, 134v-135 pour les semaines de Pâques et de la Pentecôte. Notes en français dans les marges des ff. 105, 124v, etc.

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Traduction de la Genèse en vers rimés regroupés en strophes de huit.F. 3-118 : "Incipit liber Genesis per magistro Petrum de Neapoli ...-... Finisce el Genesis divulgato e rimato per magistro Petro da Napoli, in Cremona. Explicit liber Genesis. Incipit liber Exodi ".