905 resultados para Currency Depreciation
Resumo:
Rapport de recherche
Resumo:
Full Text / Article complet
Resumo:
Les fluctuations économiques représentent les mouvements de la croissance économique. Celle-ci peut connaître des phases d'accélération (expansion) ou de ralentissement (récession), voire même de dépression si la baisse de production est persistente. Les fluctuations économiques sont liées aux écarts entre croissance effective et croissance potentielle. Elles peuvent s'expliquer par des chocs d'offre et demande, ainsi que par le cycle du crédit. Dans le premier cas, les conditions de la production se trouvent modifiées. C'est le cas lorsque le prix des facteurs de production (salaires, prix des matières premières) ou que des facteurs externes influençant le prix des produits (taux de change) évolue. Ainsi, une hausse du prix des facteurs de production provoque un choc négatif et ralentit la croissance. Ce ralentissement peut être également dû à un choc de demande négatif provoqué par une hausse du prix des produits causée par une appréciation de la devise, engendrant une diminution des exportations. Le deuxième cas concerne les variables financières et les actifs financiers. Ainsi, en période d'expansion, les agents économiques s'endettent et ont des comportements spéculatifs en réaction à des chocs d'offre ou demande anticipés. La valeur des titres et actifs financiers augmente, provoquant une bulle qui finit par éclater et provoquer un effondrement de la valeur des biens. Dès lors, l'activité économique ne peut plus être financée. C'est ce qui génère une récession, parfois profonde, comme lors de la récente crise financière. Cette thèse inclut trois essais sur les fluctuations macroéconomiques et les cycles économiques, plus précisément sur les thèmes décrit ci-dessus. Le premier chapitre s'intéresse aux anticipations sur la politique monétaire et sur la réaction des agents écononomiques face à ces anticipations. Une emphase particulière est mise sur la consommation de biens durables et l'endettement relié à ce type de consommation. Le deuxième chapitre aborde la question de l'influence des variations du taux de change sur la demande de travail dans le secteur manufacturier canadien. Finalement, le troisième chapitre s'intéresse aux retombées économiques, parfois négatives, du marché immobilier sur la consommation des ménages et aux répercussions sur le prix des actifs immobiliers et sur l'endettement des ménages d'anticipations infondées sur la demande dans le marché immobilier. Le premier chapitre, intitulé ``Monetary Policy News Shocks and Durable Consumption'', fournit une étude sur le lien entre les dépenses en biens durables et les chocs monétaires anticipés. Nous proposons et mettons en oeuvre une nouvelle approche pour identifier les chocs anticipés (nouvelles) de politique monétaire, en les identifiant de manière récursive à partir des résidus d’une règle de Taylor estimée à l’aide de données de sondage multi-horizon. Nous utilisons ensuite les chocs anticipés inférer dans un modèle autorégressif vectoriel structurel (ARVS). L’anticipation d’une politique de resserrement monétaire mène à une augmentation de la production, de la consommation de biens non-durables et durables, ainsi qu’à une augmentation du prix réel des biens durables. Bien que les chocs anticipés expliquent une part significative des variations de la production et de la consommation, leur impact est moindre que celui des chocs non-anticipés sur les fluctuations économiques. Finalement, nous menons une analyse théorique avec un modèle d’équilibre général dynamique stochastique (EGDS) avec biens durables et rigidités nominales. Les résultats indiquent que le modèle avec les prix des biens durables rigides peut reproduire la corrélation positive entre les fonctions de réponse de la consommation de biens non-durables et durables à un choc anticipé de politique monétaire trouvées à l’aide du ARVS. Le second chapitre s'intitule ``Exchange Rate Fluctuations and Labour Market Adjustments in Canadian Manufacturing Industries''. Dans ce chapitre, nous évaluons la sensibilité de l'emploi et des heures travaillées dans les industries manufacturières canadiennes aux variations du taux de change. L’analyse est basée sur un modèle dynamique de demande de travail et utilise l’approche en deux étapes pour l'estimation des relations de cointégration en données de panel. Nos données sont prises d’un panel de 20 industries manufacturières, provenant de la base de données KLEMS de Statistique Canada, et couvrent une longue période qui inclut deux cycles complets d’appréciation-dépréciation de la valeur du dollar canadien. Les effets nets de l'appréciation du dollar canadien se sont avérés statistiquement et économiquement significatifs et négatifs pour l'emploi et les heures travaillées, et ses effets sont plus prononcés dans les industries davantage exposées au commerce international. Finalement, le dernier chapitre s'intitule ``Housing Market Dynamics and Macroprudential Policy'', dans lequel nous étudions la relation statistique suggérant un lien collatéral entre le marché immobilier and le reste de l'économique et si ce lien est davantage entraîné par des facteurs de demandes ou d'offres. Nous suivons également la littérature sur les chocs anticipés et examinons un cyle d'expansion-récession peut survenir de façon endogène la suite d'anticipations non-réalisées d'une hausse de la demande de logements. À cette fin, nous construisons un modèle néo-Keynésien au sein duquel le pouvoir d’emprunt du partie des consommateurs est limité par la valeur de leur patrimoine immobilier. Nous estimons le modèle en utilisant une méthode Bayésienne avec des données canadiennes. Nous évaluons la capacité du modèle à capter les caractéristiques principales de la consommation et du prix des maisons. Finalement, nous effectuons une analyse pour déterminer dans quelle mesure l'introduction d'un ratio prêt-à-la-valeur contracyclique peut réduire l'endettement des ménages et les fluctuations du prix des maisons comparativement à une règle de politique monétaire répondant à l'inflation du prix des maisons. Nous trouvons une relation statistique suggérant un important lien collatéral entre le marché immobilier et le reste de l'économie, et ce lien s'explique principalement par des facteurs de demande. Nous constatons également que l'introduction de chocs anticipés peut générer un cycle d'expansion-récession du marché immobilier, la récession faisant suite aux attentes non-réalisées par rapport à la demande de logements. Enfin, notre étude suggère également qu'un ratio contracyclique de prêt-à-la-valeur est une politique utile pour réduire les retombées du marché du logement sur la consommation par l'intermédiaire de la valeur garantie.
Resumo:
Purpose – The purpose of this paper is to consider prospects for UK REITs, which were introduced on 1 January 2007. It specifically focuses on the potential influence of depreciation and expenditure on income and distributions. Design/methodology/approach – First, the ways in which depreciation can affect vehicle earnings and value are discussed. This is then set in the context of the specific rules and features of REITs. An analysis using property income and expenditure data from the Investment Property Databank (IPD) then assesses what gross and net income for a UK REIT might have been like for the period 1984-2003. Findings – A UK REIT must distribute at least 90 per cent of net income from its property rental business. Expenditure therefore plays a significant part in determining what funds remain for distribution. Over 1984-2003, expenditure has absorbed 20 per cent of gross income and been a source of earnings volatility, which would have been exacerbated by gearing. Practical implications – Expenditure must take place to help UK REITs maintain and renew their real estate portfolios. In view of this, investors should moderate expectations of a high and stable income return, although it may well still be so relative to alternative investments. Originality/value – Previous literature on depreciation has not quantified amounts spent on portfolios to keep depreciation at those rates. Nor, to our knowledge, has its ideas been placed in the indirect investor context.
Resumo:
Depreciation is a key element of understanding the returns from and price of commercial real estate. Understanding its impact is important for asset allocation models and asset management decisions. It is a key input into well-constructed pricing models and its impact on indices of commercial real estate prices needs to be recognised. There have been a number of previous studies of the impact of depreciation on real estate, particularly in the UK. Law (2004) analysed all of these studies and found that the seemingly consistent results were an illusion as they all used a variety of measurement methods and data. In addition, none of these studies examined impact on total returns; they examined either rental value depreciation alone or rental and capital value depreciation. This study seeks to rectify this omission, adopting the best practice measurement framework set out by Law (2004). Using individual property data from the UK Investment Property Databank for the 10-year period between 1994 and 2003, rental and capital depreciation, capital expenditure rates, and total return series for the data sample and for a benchmark are calculated for 10 market segments. The results are complicated by the period of analysis which started in the aftermath of the major UK real estate recession of the early 1990s, but they give important insights into the impact of depreciation in different segments of the UK real estate investment market.
Resumo:
The retention rate of a company has an impact on its earnings and dividend growth. Lease structures and performance measurement practice force real estate investment managers to adopt full distribution policies. Does this lead to lower income growth in real estate? This paper examines several European office markets across which the effective retention rates vary. It then compares depreciation rates across these markets. It is concluded that there is evidence of a relationship between retention and depreciation. Those markets with particularly inflexible lease structures exhibit low retention rates and higher levels of rental value depreciation. This poses interesting questions concerning the appropriate way to measure property performance across markets exhibiting significantly different retention rates and also raises important issues for global investors.
Resumo:
This paper assesses the impact of the monetary integration on different types of stock returns in Europe. In order to isolate European factors, the impact of global equity integration and small cap factors are investigated. European countries are sub-divided according to the process of monetary convergence. Analysis shows that national equity indices are strongly influenced by global market movements, with a European stock factor providing additional explanatory power. The global and European factors explain small cap and real estate stocks much less well –suggesting an increased importance of ‘local’ drivers. For real estate, there are notable differences between core and non-core countries. Core European countries exhibit convergence – a convergence to a European rather than a global factor. The non-core countries do not seem to exhibit common trends or movements. For the non-core countries, monetary integration has been associated with increased dispersion of returns, lower correlation and lower explanatory power of a European factor. It is concluded that this may be explained by divergence in underlying macro-economic drivers between core and non-core countries in the post-Euro period.
Resumo:
Purpose – The paper addresses the practical problems which emerge when attempting to apply longitudinal approaches to the assessment of property depreciation using valuation-based data. These problems relate to inconsistent valuation regimes and the difficulties in finding appropriate benchmarks. Design/methodology/approach – The paper adopts a case study of seven major office locations around Europe and attempts to determine ten-year rental value depreciation rates based on a longitudinal approach using IPD, CBRE and BNP Paribas datasets. Findings – The depreciation rates range from a 5 per cent PA depreciation rate in Frankfurt to a 2 per cent appreciation rate in Stockholm. The results are discussed in the context of the difficulties in applying this method with inconsistent data. Research limitations/implications – The paper has methodological implications for measuring property investment depreciation and provides an example of the problems in adopting theoretically sound approaches with inconsistent information. Practical implications – Valuations play an important role in performance measurement and cross border investment decision making and, therefore, knowledge of inconsistency of valuation practice aids decision making and informs any application of valuation-based data in the attainment of depreciation rates. Originality/value – The paper provides new insights into the use of property market valuation data in a cross-border context, insights that previously had been anecdotal and unproven in nature.