861 resultados para Cure Rates


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L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est une condition fréquente en période postnatale pouvant affecter jusqu’à 77% des femmes. Neuf femmes sur dix souffrant d’IUE trois mois après l’accouchement, vont présenter une IUE cinq ans plus tard. Le traitement en physiothérapie de l’IUE par le biais d’un programme d’exercices de renforcement des muscles du plancher pelvien est reconnu comme étant un traitement de première ligne efficace. Les études ont prouvé l’efficacité de cette approche sur l’IUE persistante à court terme, mais les résultats de deux ECR à long terme n’ont pas démontré un maintien de l’effet de traitement. L’effet d’un programme en physiothérapie de renforcement du plancher pelvien intensif et étroitement supervisé sur l’IUE postnatale persistante avait été évalué lors d’un essai clinique randomisé il y a sept ans. Le but principal de la présente étude était d’évaluer l’effet de ce programme sept ans après la fin des interventions de l’ECR initial. Un objectif secondaire était de comparer l’effet de traitement à long terme entre un groupe ayant fait seulement des exercices de renforcement du plancher pelvien et un groupe ayant fait des exercices de renforcement du plancher pelvien et des abdominaux profonds. Un troisième objectif était d’explorer l’influence de quatre facteurs de risques sur les symptômes d’IUE et la qualité de vie à long terme. Les cinquante-sept femmes ayant complétées l’ECR initial ont été invitées à participer à l’évaluation du suivi sept ans. Vingt et une femmes ont participé à l’évaluation clinique et ont répondu à quatre questionnaires, tandis que dix femmes ont répondu aux questionnaires seulement. L’évaluation clinique incluait un pad test et la dynamométrie du plancher pelvien. La mesure d’effet primaire était un pad test modifié de 20 minutes. Les mesures d’effets secondaires étaient la dynamométrie du plancher pelvien, les symptômes d’IUE mesuré par le questionnaire Urogenital Distress Inventory, la qualité de vie mesurée par le questionnaire Incontinence Impact Questionnaire et la perception de la sévérité de l’IUE mesuré par l’Échelle Visuelle Analogue. De plus, un questionnaire portant sur quatre facteurs de risques soit, la présence de grossesses subséquentes, la v présence de constipation chronique, l’indice de masse corporel et la fréquence des exercices de renforcement du plancher pelvien de l’IUE, venait compléter l’évaluation. Quarante-huit pour-cent (10/21) des participantes étaient continentes selon de pad test. La moyenne d’amélioration entre le résultat pré-traitement et le suivi sept ans était de 26,9 g. (écart-type = 68,0 g.). Il n’y avait pas de différence significative des paramètres musculaires du plancher pelvien entre le pré-traitement, le post-traitement et le suivi sept ans. Les scores du IIQ et du VAS étaient significativement plus bas à sept ans qu’en prétraitement (IIQ : 23,4 vs 15,6, p = 0,007) et (VAS : 6,7 vs 5,1, p = 0,001). Les scores du UDI étaient plus élevés au suivi sept ans (15,6) qu’en pré-traitement (11,3, p = 0,041) et en post-traitement (5,7, p = 0,00). La poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien à domicile était associée à une diminution de 5,7 g. (p = 0,051) des fuites d’urine observées au pad test selon une analyse de régression linéaire. Les limites de cette étude sont ; la taille réduite de l’échantillon et un biais relié au désir de traitement pour les femmes toujours incontinentes. Cependant, les résultats semblent démontrer que l’effet du traitement à long terme d’un programme de renforcement des muscles du plancher pelvien qui est intensif et étroitement supervisé, est maintenu chez environ une femme sur deux. Bien que les symptômes d’IUE tel que mesuré par les pad test et le questionnaire UDI, semblent réapparaître avec le temps, la qualité de vie, telle que mesurée par des questionnaires, est toujours meilleure après sept qu’à l’évaluation initiale. Puisque la poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien est associée à une diminution de la quantité de fuite d’urine au pad test, les participantes devraient être encouragées à poursuivre leurs exercices après la fin d’un programme supervisé. Pour des raisons de logistique la collecte de donnée de ce projet de recherche s’est continuée après la rédaction de ce mémoire. Les résultats finaux sont disponibles auprès de Chantale Dumoulin pht, PhD., professeure agrée à l’Université de Montréal.

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Peu d’études ont exploré l’utilisation du traitement prolongé pour les mammites cliniques et aucune ne portait sur l’utilisation du traitement prolongé à base de ceftiofur pour le traitement des mammites cliniques légères à modérées. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité du traitement intra-mammaire prolongé à base de ceftiofur pour les mammites cliniques légères à modérées, en considérant toutes les bactéries responsables ou seulement Staphylococcus aureus (S. aureus) et les streptocoques. Des vaches laitières (n = 241) de 22 élevages du Québec et de l’Ontario ont été inclues. L’étude a été conçue comme un essai clinique à allocation aléatoire. Pour chaque cas de mammite clinique légère à modérée, 125 mg d’hydrochloride de ceftiofur (Spectramast® LC) a été administré par voie intra-mammaire une fois par jour pour 2 ou 8 jours. Le pourcentage de guérison clinique 21 jours après la fin du traitement était de 89% (n = 98/110 pour chaque groupe, p = 0,95). Les pourcentages de guérison bactériologique 21 jours après la fin du traitement pour les groupes 2 jours et 8 jours étaient 32% (n = 15/47) et 61% (n = 25/41) respectivement pour toutes les bactéries (p < 0,01); 64% (n = 9/14) et 82% (n = 9/11) respectivement pour les streptocoques (p = 0,50); et 0% (n = 0/20) et 47% (n = 9/19) pour S. aureus (p < 0,01). Il n'y avait pas de différence entre les 2 groupes pour les nouvelles infections intra-mammaires (p = 0,30). Le traitement prolongé à base de ceftiofur est un choix raisonnable pour le traitement des mammites cliniques légères à modérées, en particulier causées par S. aureus.

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Os tumores malignos do canal anal e do anus são muito raros, não ultrapassam 2% de todos os tumores do colo, reto e anus; segundo os principais levantamentos os melanomas não ultrapassam a incidência de 0,1 a 1,2% dos tumores malignos. Os autores descrevem 2 casos de melanoma, discutindo os principais dados da literatura, enfocando os aspectos diagnósticos, tratamento, evolução e prognostico. Os indicies de cura s são baixos e com elevados índices de mortalidade a curto prazo.

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Purpose: Evaluate the impact autologous fascial sling (AFS) and tension-free vaginal tape (TVT) procedures on quality-of-life in incontinent women. Materials and Methods: Forty-one women were randomly distributed into two groups. Group G1 (n = 21), underwent AFS and group G2 (n = 20) TVT implant. The clinical follow up was performed at 1, 6, 12 and 36 months. Results: TVT operative time was significantly shorter than AFS. Cure rates were 71% at 1 month, 57% at 6 and 12 months in G1. In G2, cure rates were 75% at 1 month, 70% at 6 months and 65% at 12 months; there was no significant difference between groups. As regards the satisfaction rate, there was no statistical difference between groups. Analysis of quality of life at 36 months revealed that there was no significant difference between groups. Conclusion: Similar results between AFS and TVT, except for operative time were shorter in TVT.

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Background Itraconazole is a large spectrum triazole with known efficacy in both continuous and pulse therapy for various mycoses.Objectives Evaluate the efficacy and tolerability of itraconazole pulse therapy for onychomycosis of the toenails due to dermatophytes, in a prospective, open, non-comparative and multicentric investigation.Patients and methods the trial was completed by 72 patients of an initial total of 89. Treatment consisted of four cycles of itraconazole, 200 mg twice a day, for seven consecutive days each month. Patients were evaluated clinically, mycologically and biochemically before, during and at the end of the investigation, and were divided into two groups according to the measure of normal portion of the most affected nail (target nail), as follows: Group 1. 0-5.9 mm; and Group 2: more than 6 mm.Results Improvement was satisfactory and progressive. Results were statistically significant, when comparing the three moments of the study: pre-treatment, end of therapy (fourth month) and follow-up (ninth month) in both groups.Conclusions Itraconazole pulse therapy was efficient and safe for the treatment of onychomycosis caused by dermatophytes, although a much higher daily dosage than the known continuous administration was used. Group 1, with nails initially more extensively affected, had a more evident improvement, by the mean variation in millimeters of normal portion of the target nail. This group showed a very satisfactory response, although not reaching total cure, thus demonstrating the great importance of early treatment of this disease. A residual therapeutic effect is maintained even after suspension of the drug. Group 2 obtained better total cure rates, and four pulses were, in general, sufficient, whereas more cycles would have been beneficial for the Group 1 patients with more extensive involvement. (C) 1998 Elsevier B.V. B.V. All rights reserved.

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Background: Tinea capitis is a common skin disease seen predominantly in children. The standard therapies for this disease are griseofulvin and ketoconazole. Nevertheless, these drugs have drawbacks in that they are only fungistatic and require treatment for at least 6 weeks. Previous studies with oral terbinafine for the treatment of Tinea capitis have shown that this agent is effective when given for 4 weeks, comparable to an 8-week regimen with griseofulvin. To date there is no data on the use of oral terbinafine in Brazilian children. Objectives: To assess the efficacy, safety and tolerability of oral terbinafine in short-term treatments (1-, 2- and 4-week treatment) of Tinea capitis in children. Patients and methods: One hundred and thirty-two children aged 1-14 years were enrolled in this study, but only 107 were considered for the final efficacy analysis. Diagnosis included clinical assessment and examination by Wood's light. Confirmation was obtained by direct microscopy and culture for fungus. Terbinafine dosage (125 or 250 mg/day) was adjusted according to patient weight. Efficacy was evaluated both by clinical and mycological assessment. Safety and tolerability variables included data on adverse reaction and clinical laboratory evaluations. Results: Mycological evaluation in the follow-up visit at week 12 showed negative direct microscopy and culture results in 48.6, 60.5 and 69.7% patients in groups 1-, 2- and 4-week, respectively (n.s.). At week 12, 84.8% patients in group 4-week achieved clinical cure with a significant difference compared to groups 1- and 2-week, 54.3 and 60.5%, respectively (P < 0.01). Adverse reactions were present in 4.8, 6.8 and 10.9% of patients in groups 1-, 2- and 4-week, respectively. Terbinafine was not associated with clinically relevant increases in liver function tests. Conclusions: Terbinafine is an effective, well tolerated and safe antifungal agent for the treatment of Tinea capitis m children. The shorter duration of treatment resulted in lower cure rates. However, it is important to note that depending on the severity of the disease, a 1-week-only treatment can also be effective in this indication.

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Mohs Micrographic Surgery is regarded as a very useful technique for the excision of difficult to han- dle skin cancers. The procedure is divided into clearly defined steps: tumor evaluation and marking, tumor exeresis, tissue preparation and mapping, histologic processing and analysis, and closing of the surgical wound. The histologic analysis of all surgical margins leads to higher cure rates and tissue conservation, which make the procedure safer and more reliable.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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Pós-graduação em Saúde Coletiva - FMB

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Pós-graduação em Medicina Veterinária - FCAV

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Cure rates of youth with Acute Lymphoblastic Leukemia (ALL) have increased in the past decades, but survivor's quality of life and physical fitness has become a growing concern. Although previous reports showed that resistance training is feasible and effective, we hypothesized that a more intense exercise program would also be feasible, but more beneficial than low- to moderate-intensity training programs. We aimed to examine the effects of an exercise program combining high-intensity resistance exercises and moderate-intensity aerobic exercises in young patients undergoing treatment for ALL. A quasi-experimental study was conducted. The patients (n = 6; 5-16 years of age) underwent a 12-week intra-hospital training program involving high-intensity strength exercises and aerobic exercise at 70% of the peak oxygen consumption. At baseline and after 12 weeks, we assessed sub-maximal strength (10 repetition-maximum), quality of life and possible adverse effects. A significant improvement was observed in the sub maximal strength for bench press (71%), lat pull down (50%), leg press (73%) and leg extension (64%) as a result of the training (p < 0.01). The parents' evaluations of their children's quality of life revealed an improvement in fatigue and general quality of life, but the children's self-reported quality of life was not changed. No adverse effects occurred. A 12-week in-hospital training program including high-intensity resistance exercises promotes marked strength improvements in patients during the maintenance phase of the treatment for Acute Lymphoblastic Leukemia without side-effects. Parents' evaluations of their children revealed an improvement in the quality of life.

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Acute promyelocytic leukemia is characterized by gene rearrangements that always involve the retinoic acid receptor alpha on chromosome 15. In the majority of patients t(15;17) is detected, which generates the promyelocytic leukemia gene/retinoic acid receptor alpha rearrangement. This rearrangement interacts with several proteins, including the native promyelocytic leukemia gene, thus causing its delocalization from the nuclear bodies, impairing its function. The immunofluorescence staining technique using the anti-PML antibody may be used to provide a rapid diagnosis and to immediately start therapy using all-trans retinoic acid. The experience of the International Consortium on Acute Promyelocytic Leukemia has demonstrated that early mortality was significantly reduced by adopting the immunofluorescence technique. All-trans retinoic acid combined with chemotherapy is the standard therapy; this promotes complete remission rates greater than 90% and cure rates of nearly 80%. However, early mortality is still an important limitation and hematologists must be aware of the importance of treating newly diagnosed acute promyelocytic leukemia as a medical emergency.

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In quest’ultimi decenni si è assistito ad un notevole miglioramento nella terapia delle Leucemie Acute (LA) pediatriche, nonostante tutto si assiste oggi ad una fase di plateau della curva di sopravvivenza e le leucemie continuano a costituire la principale causa di morte pediatrica per malattia. Ulteriori progressi nel trattamento delle LA potrebbero essere ottenuti mediante studi di farmacogenomica che, identificando le componenti genetiche associate alla risposta individuale ai trattamenti farmacologici, consentono il disegno di terapie personalizzate e tumore-specifiche, ad alta efficacia e bassa tossicità per ciascun paziente. Il lavoro svolto è stato, dunque, finalizzato allo studio della farmacogenomica del farmaco antitumorale Clofarabina (CLO) nel trattamento delle LA pediatriche al fine di identificare marcatori genetici predittivi di risposta delle cellule leucemiche al farmaco, delucidare i meccanismi di resistenza cellulare ed individuare nuovi bersagli verso cui indirizzare terapie più mirate ed efficaci. L’analisi in vitro della sensibilità alla CLO di blasti provenienti da pazienti pediatrici affetti da Leucemia Acuta Linfoblastica (LAL) e Mieloide (LAM) ha consentito l’identificazione di due sottopopolazioni di cellule LAL ad immunofenotipo T a diversa sensibilità alla CLO. Mediante DNA-microarrays, si è identificata la “signature” genetica specificamente associata alla diversa risposta delle cellule LAL-T al farmaco. Successivamente, la caratterizzazione funzionale dei geni differenziali e l’analisi dei pathways hanno consentito l’identificazione specifica di potenziali biomarcatori di risposta terapeutica aprendo nuove prospettive per la comprensione dei meccanismi di resistenza cellulare alla CLO e suggerendo un nuovo bersaglio terapeutico per le forme LAL-T a bassa sensibilità al farmaco. In conclusione, nel lavoro svolto si sono identificati set di geni e pathways di rilievo biologico per la risposta delle cellule LAL-T alla CLO suggerendo marcatori genetici in grado di identificare i soggetti eleggibili per il trattamento o verso cui disegnare terapie innovative. Il lavoro è paradigma per l’applicazione della farmacogenomica in altre neoplasie.