184 resultados para Collective bargaining unit
Resumo:
Bibliography: p. 212-220.
Resumo:
The purpose of this qualitative case study was to gain insight into the perspectives of experienced higher education administrators regarding faculty unionization, the collective bargaining process, and the interpersonal relationships between higher education faculty members and administrators. ^ The primary method of data collection was semi-structured face to face interviews with nine administrators from two community colleges and two universities in the south Florida area. All of the study participants worked with unionized faculty members and had direct experience participating in bargaining negotiations. ^ Upon the completion of each interview, the researcher listened to the taped audio recording of the interview several times and then transcribed all of the information from the audiotape into a Word file. Data collection and analysis for each participant were performed concurrently. Using a modified concept mapping approach, the research questions were written on large yellow sticky notes and placed in the middle of a wall in the researcher’s home with nine descriptive categorical themes written on smaller sticky notes placed around the study questions. The highlighted quotes and key phrases were cut from each transcript and placed under each of the descriptive categories. Over the course of a few months repeatedly reviewing the research questions that guided this study, the theory of symbolic interactionism, and relevant literature the categorical descriptive themes were refined and condensed into five descriptive themes. ^ Study findings indicated that the administrators: (a) must have a clear understanding of what it is that the faculty does to be an effective representative at the bargaining table, (b) experienced role ambiguity and role strain related to a lack of understanding as to their role at the bargaining table and a lack of organizational support, (c) were not offered any type of training in preparation for bargaining, (d) perceived a definite “us versus them” mentality between faculty and administration, and (e) saw faculty collective bargaining at public institutions of higher education in Florida as ineffectual. ^
Resumo:
At head of cover title: This is a rough draft.
Resumo:
Report for 1937/30 covers period July 1937-Dec. 1939.
Resumo:
Thomas W. Holland, chairman.
Resumo:
No more published?
Resumo:
This article discusses whether European social partners can derive the competence to autonomously devise European collective labour agreements from Article 139 EC (equals Article III-212 Constitution of Europe). Placing the question in the context of discussions of EU governance and private lawmaking in general, the author starts with a comparative overview of legal conceptions for collective labour agreements in Europe, focusing on three Member States' orders where their effects are not or only partly regulated by state legislation. Based on this comparison, she analyses Article 139(2) and offers a new interpretation of its provisions concerning autonomous implementation of European social partner agreements. She concludes that European social partners do have the competence to agree on a basic agreement stating the rules for European collective bargaining autonomously.
Resumo:
The issue of concession bargaining between employers and unions during the Great Recession has received little attention in the research literature. This article presents a systematic analysis of the conduct of concession bargaining during the recession in Ireland in the context of three forms of concession bargaining identified in the international literature: integrative concession bargaining, distributive concession bargaining and ultra concession bargaining – each with different but overlapping sets of institutional foundations and implications for employers and trade unions. Drawing on focus groups of managers and union officials and a representative survey of employers, the article shows that distributive concession bargaining has been the predominant form in the Irish recession. This form of concession bargaining is likely to have few lasting direct effects on employer or union roles in collective bargaining but nevertheless appears to have significant indirect implications for the silent marginalization of unions in workplaces.
Resumo:
Dans le domaine des relations industrielles, on a vu apparaître, ces dernières années, différents changements au niveau des relations du travail, notamment en matière de négociation collective. En effet, de nouvelles formes de négociation ont vu le jour en réponse aux changements qui se sont produits sur le marché du travail. De façon plus précise, les théoriciens se sont penchés, d’une part, sur des méthodes de négociation moins conflictuelles et les acteurs concernés par la négociation collective ont su les mettre en pratique, d’autre part. Cependant, bien que certains aient tenté de substituer ces méthodes plus coopératives à la négociation traditionnelle de façon intégrale, les théoriciens et praticiens se sont aperçus qu’il était plutôt difficile de les adopter à l’état pur et ce, de façon alternative à la négociation traditionnelle. Afin d’optimiser les gains mutuels lors de la négociation d’une entente, les négociateurs vont plutôt opter pour un usage combiné des méthodes plus traditionnelles et des nouvelles formes dites plus coopératives; on parle alors de négociation mixte. Toutefois, peu d’études portant sur la négociation mixte ont été conduites. Nous croyons néanmoins que cette forme de négociation est plus appropriée, notamment en raison de la nature des enjeux traités à l’occasion d’une négociation collective. S’insérant dans ce contexte, l’objet de notre recherche est donc l’étude, par l’entremise d’un cas particulier, de la négociation mixte. De façon plus précise, nous cherchons à évaluer la méthode de négociation adoptée lors de la négociation collective ayant eu lieu entre le Centre de la petite enfance Pomme Soleil (CPE) et le Syndicat des intervenantes en petite enfance de Montréal (SIPEM) – CSQ en 2005. Afin d’y parvenir, nous avons vérifié les propositions et hypothèses suivantes : (1) la nature du climat des négociations précédentes a une influence sur la méthode de négociation de type mixte adoptée par les parties au cours de la négociation de la convention collective, (2) la nature du climat des relations industrielles a une influence sur la méthode de négociation de type mixte adoptée par les parties au cours de la négociation de la convention collective, (3) le passage du temps a un effet de transition sur la méthode de négociation de type mixte qui manifeste une dominante intégrative dans les étapes initiales de la négociation et une dominante distributive dans les étapes finales, (4) les négociateurs ayant reçu une formation à la négociation basée sur la résolution de problèmes ou basée sur les intérêts adoptent une méthode de négociation de type mixte à dominante intégrative, (5) l’expérience des négociateurs patronal et syndical a une influence sur la méthode de négociation de type mixte adoptée par les parties au cours de la négociation de la convention collective, (6) la stratégie de négociation initiale adoptée par les parties a une influence sur la méthode de négociation de type mixte au cours de la négociation de la convention collective et (7) la négociation des clauses à incidence pécuniaire donne lieu à une méthode de négociation de type mixte à dominante distributive. Grâce aux résultats que nous avons recueillis par l’entremise de l’observation de la négociation collective entre le CPE Pomme Soleil et le SIPEM, mais principalement par le biais des entrevues, nous sommes en mesure d’affirmer que, conformément à notre question de recherche, la négociation fut mixte, à dominante intégrative. Cependant, la question salariale, bien qu’elle ne fut pas abordée à la table de négociation mais avec le gouvernement provincial, prit une tangente distributive. En ce sens, nous pouvons dire que la négociation fut mixte et ce, de façon séquentielle.
Resumo:
Au Québec, les négociations collectives dans les secteurs public et parapublic ainsi que dans les services publics sont assujetties aux règles du Code du travail (L.R.Q. C.-27). Certains secteurs dispensant des services dits essentiels, comme le transport en commun et le secteur de la santé et des services sociaux, ont à respecter des règles particulières, différentes de celles des autres secteurs assujettis au régime général édicté par le Code. Ces règles particulières constituent ce qu’on appelle le régime des services essentiels. Les négociations dans les services essentiels comportent des particularités importantes – considérations politiques et absence de substituts des services publics pour la population – qui les distinguent de façon notable des négociations qui se déroulent sous l’égide du modèle général de négociation collective édicté au Code et applicable dans les autres secteurs (Bergeron et Paquet, 2006). Quels sont les effets du régime des services essentiels sur la négociation collective dans le secteur du transport en commun et de la santé et des services sociaux? Dans le cadre de cette recherche, nous avons examiné les effets du régime des services essentiels (les règles du Code du travail et les décisions du Conseil des services essentiels) sur différents aspects de la négociation collective : 1) la mobilisation, 2) le rapport de force, 3) les moyens de pression, 4) le déroulement des négociations, 5) l’arrêt de travail, 6) les résultats de la négociation collective et 7) le climat de travail. Afin d’étudier ces négociations atypiques dans notre système de relations industrielles, nous avons réalisé deux études de cas (secteur du transport en commun et secteur de la santé et des services sociaux). Les résultats indiquent bien que le régime des services essentiels influence le processus de négociation collective dans ces secteurs. Par contre, la comparaison des deux secteurs montre que les règles additionnelles auxquelles est assujetti le secteur de la santé et des services sociaux n’apparaissent pas affecter de façon déterminante le processus de négociation collective.