996 resultados para Catherine de Saint Augustin, Mother, 1632-1668.
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Commençant par : « Selon la doctrine de monseigneur saint Augustin en son livre des meurs de l'Esglise... » et finissant par : «... que vous aves promise à voz enfans, à ceulx qui acompliront vostre benoiste volunté. Amen. Explicit » .
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[Vie de saint Augustin (latin). 1731]
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[Vie de saint Augustin (latin). 1731]
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Contient : « Lamentacions S. BERNARD » ; incomplètes du premier feuillet ; « Meditacions saint BERNARD » ; « Contemplacions saint AUGUSTIN » ; « Livre saint AUGUSTIN des seulx parlers de l'ame à Dieu » ; « Oraison de saint AUGUSTIN à Dieu » ; « Les méditacions saint AUGUSTIN » ; « Comment on doit Dieu amer. Fins amans sont appelez ceulz et celles qui Dieu ayment... » ; « La voye comment nous devons aler en paradis. La voye par quoy nous devons aller en paradis... » ; « L'ordenance du char Helye. La sainte Escripture dist que Helyas le prophete... » ; « Un preschement de nostre Seigneur. Simile est regnum celorum homini qui seminavit... » ; « Comment on doit Dieu amer, et le monstre par plusieurs raisons. Cuers en qui Dieu habite... » ; « Livre à la misere de l'omme [par le diacre Lothier, plus tard INNOCENT III, en trois livres]... Pourquoy issi ge du ventre ma mere... » (Cf. Romania (1887), t. XVI, p. 68) ; « Du livre de la science des phylosophes [et] de la science des moralités [Enseignements des philosophes]. Talent m'estoit pris que je racontasse... » ; « Livre des biens que tribulacion fait à l'ame, en laquelle tribulacion on doit esjoir. Da nobis, Domine, auxilium de tribulacione. A toy, ame livrée aus temptacions... » ; « Comment IIII. pechiez mortelz sont segnefiez par quatre bestes sauvagez. De nulle viande ne menjust Dieux... » ; « Aucuns bons enseignemens pour eschiver les pechiez de luxure, d'avarice et d'accide. Ilz sont VIII. choses qui donnent occasion de cheoir... » ; « De la demande que fist la mere saint Jhean, S. Jaque à nostre Seigneur et de la response. Quant nostre Seigneur Jhesucrist aloit par terre... » ; « Comment on se doit garder contre aucunes temptacions. Nous trouvons ou vielz Testament d'un roy qui ot nom Nas... » ; « De l'age Adam, et comment il envoya Seth, son filz, en paradiz terrestre. Après ce que Adam nostre premier pere... » ; « De la devise de la messe. Quant on sonne la messe... » ; « De l'ordonnance comment on se doit confesser. Quiconques se vuelt à droit confesser... » ; « Enseignemens que le bon roy S. LOYS fist et escript de sa main et les envoya de Carthage, où il estoit, à roy Phelippe » ; Autres Enseignements envoyés par S. LOUIS « à la royne de Navarre, sa fille, etc. » ; « La fin du bon roy S. Loys que il ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thybault, roy de Na[va]rre et conte de Champaigne et de Brie » ; « Les proverbes que SENEQUES fist en prose » ; « Les dis et proverbes des sages. Chaton. N'est pas sire de son pays... »
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Contient : « La vie S. Patrice. En cel tans que sains Patrices li grans preechoit en Yrlande... — ... je l'enseveli de mes deus mains » ; « D'Antechris. Vous devés savoir premierement que Antecrist est apelés pour çou que il sera en toutes coses contraires à Jhesucrist... — ... a ceus qui vaudront faire penitance qui seront deceu par Antecrist » ; « Le jugemens. Quant .XL. jors seront passé après la mort Antecrist nus hom ne set con grant tans il a... — ... alés el feu pardurable qui vous est appareilliés. Amen » ; Vers sur l'amour de Dieu et de la Vierge ; « De sainte Marthe. Aprie chou ke nostre sires fu resuscités de mort a vie e fu montés el ciel... — ... et les goies parmenables la vos doinst et otroit parvenir nostre sires, » etc ; HELINAND, Vers de la mort ; « De saint Augustin. Quant Augustin estoit de l'aage de XX. et quatre ans si tint il escole a Cartage... — ... dusques adont que ele soit repuse en l'esconsement de ton viaire. Amen » ; « De la Magdelainne. Quant li desciple Jhesucrist erent receu li Saint Esprit... — ... que li arbre enclinerent le cors. Explicit »
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Contient : « Le livre du gouvernement des rois et des princes que frere GILLE DE ROME, de l'Ordre Saint Augustin a fet ; lequel livre mestre Hanri de Gauchi, par le commandement de noble roi de France a translaté de latin en françois » ; Lucidaire, en prose, attribué à S. Anselme de Cantorbéri. « Ci commence li prologues Anseaume l'arceve[sque] sor Lucidaire. Souventes fois m'avoient requis notre disciple... » (quatre livres) ; « Les Moralités des philosophes. Talent m'estoit pris que je racontasse... — ... paine à faire ce que il commandent. Ci fenissent Moralitez »
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Contient : 1° « Le Livre qui est apelé Tresor » [de BRUNET LATIN] ; 2° Chronique [de TURPIN] ; 3° « L'Istoire de la male marrastre et des.VII. sages de Romme la cité » ; 4° « Le Livre du gouvernement des rois et des princes, que Freres GILLES DE ROMME, de l'ordre de Saint Augustin, compila des dis de pluseurs philosophes », traduction de « maistre HENRY DE CAUCHI » ; 5° Lettre apocryphe d'HIPPOCRATE à César
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Contient : 1° Abrégé des « hystoires de la Bible, avec plusseurs notables et ensignement de pluseurs anciens et saiges docteurs » ; 2° « Lez Eages », ou Les sept Ages du monde ; 3° « De Job et de sa sapience » ; 4° « Les Ensignement et doctrines de plusseurs saint et auctoriteit des evvangiles, dez prophetes, dez grant maistres » ; 5° « L'Istoire de Charlemaigne », traduction de la Chronique de Turpin, par « maistre JEHAN » ; 6° « Du Roy Lohier de France, qui fuit filz du roy Lowis et de la royne Gilberge », notice sur l'avénement de Hugues Capet ; 7° « Le Livre du glorioux docteur saint AUGUSTIN, qui est appelleis li Livres des secretes et solitaires parolles et parleirs de sainct AUGUSTIN »
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Contient : 1° « Livre de contemplacion » [par JEAN GERSON] ; 2° « Le Tractié de la mendicité espirituelle » [par GERSON] ; 3° « La Science de bien mourir » ; 4° « Escript à Gerson », lettre de sa mère ; 5° « L'Examen de conscience selon les.VII. pechiez mortelz » ; 6° « De la Cougnoissance de Dieu » ; 7° « Le livre saint AUGUSTIN : Des seuls parlers de l'ame à Dieu » ; 8° « Sermon » de la Passion [par GERSON] ; 9° « La Collacion » dudit sermon ; 10° Miroir de bonne vie [par GERSON] ; 11° Méditation sur le verset 7 du psaume LIV ; 12° « Une Maniere simple et devote pour aviser simples gens à faire un pelerinage espirituel à Rome qui n'ont pas aisement de y aler corporelment » ; 13° «.XV. Perfections necessaires à personne qui veult Dieu servir et le parfaitement aimer » ; 14° « La Vie de monseigneur saint Estienne, tres saint et glorieux confesseur et hermite », comprenant deux parties ; 1° Un Sermon en vers sur la vie de « saint Etienne de Grantmont » ; 2° La Vie en prose de « saint Etienne de Grandmont, translatée de latin par le venerable chappitre de Saint Geneis de Thiert »
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Contient : 1° « Les Revelacions que Nostre Dame fist à saincte Elizabeth » ; 2° « Comme l'en aprent à bien mourir » ; 3° « Le Livre monseigneur saint AUGUSTIN des parlemens de l'ame à Dieu » ; 4° Fragments ascétiques (fol. 32) : « Misere... de la vie de l'omme ; De la lumiere de Dieu ; De la vie contemplative » ; etc ; 5° « Le Regrez de Nostre Dame » sur « la mort de son filz Jhesu Crist », attribué à saint BERNARD ; 6° Oraisons diverses en prose et en vers ; 7° « La Vie saincte Margarite » ; 8° Oraisons diverses en prose et en vers ; 9° « L'Aguillon d'amour » divin [par St BONAVENTURE]
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Cette thèse veut déterminer la contribution de Julien Macho, membre de l’Ordre des ermites de saint Augustin de Lyon, à la vie culturelle de son époque. Son œuvre n’est pas, à proprement parler, une œuvre originale, mais un ensemble de traductions du latin au français, de corrections et d’éditions de textes religieux ou moraux. Ses livres ont été publiés dans une courte période, entre 1473 et 1480, et plusieurs rééditions, de la fin du 15e s. et du début du 16e s., sont connues. Il est question, à cette époque, à Lyon comme ailleurs en France, d’un grand désordre dans l’organisation religieuse et les critiques se font entendre de part et d’autre du pays. Devant la décadence de l’Église, la piété privée commence à se développer, une piété qui a besoin d’un nouveau support pour rendre accessibles les enseignements moraux à une population bourgeoise de plus en plus lettrée. Or, conscient de ces récents développements, Macho oriente tout son travail dans le but précis de rejoindre, en langue vernaculaire, un vaste auditoire. L’objectif de cette thèse de doctorat est d’analyser une partie de l’œuvre de Macho dans le but de mieux comprendre les intentions de l’auteur. Ce but premier permettra aussi de documenter, par un biais nouveau, une période charnière du développement intellectuel occidental, le passage du Moyen Âge à la Renaissance. Le travail comporte trois parties. Dans la première partie, il a fallu entreprendre une étude approfondie des contextes social, historique et intellectuel de cette période : tout d’abord, l’histoire de l’Ordre des ermites de saint Augustin et de l’enseignement offert à leurs membres, dans le contexte de la spiritualité en France à la fin du 15e siècle; par la suite, il convenait de présenter un survol de la ville de Lyon, de son Église et du développement de l’imprimerie dans cette ville. La deuxième partie porte sur les œuvres attribuées, à tort ou à raison, à Macho, vu la carence de recherches sur Julien Macho lui-même, et sur une enquête systématique pour apporter une preuve de l’existence de ce traducteur. La troisième partie s’attache à une lecture de deux œuvres de l’augustin lyonnais : une de longue tradition littéraire, Ésope, l’adaptation d’un recueil de fables, et une religieuse, rattachée à la pratique religieuse contemporaine, le Mirouer de la redemption de lumain lignage. Ésope est l’œuvre la plus originale de Macho, c’est-à-dire l’ouvrage où il est le plus intervenu comparativement au texte original. La comparaison avec sa source, l’Äsop latin-allemand d’Heinrich Steinhöwel, a montré comment le fabuliste lyonnais s’en est détaché pour ajouter à son texte un grand nombre de proverbes. Le Mirouer de la redemption de lumain lignage, une somme de toutes les observances de la vie religieuse et des lectures qu’un chrétien doit connaître, intègre des parties d’une autre œuvre bien connue, la Légende dorée, une pratique que l’on ne retrouve pas dans les autres traductions françaises du Speculum humanae salvationis. Loin d’être une analyse exhaustive de l’œuvre, la compilation des citations et du contenu même du texte permet de cerner en quoi consistait une certaine pratique de la religion au 15e siècle. Il en résulte un panorama du contexte culturel dans lequel vivait Julien Macho, théologien, prieur et traducteur et des œuvres qui lui sont attribuée. Un personnage dont l’étude montre un intellectuel représentatif de son époque, la fin du 15e siècle.
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Ce mémoire démontre que la pratique littéraire de l’écrivain américain Ralph Waldo Emerson s’inscrit dans le sillage de la tradition des exercices spirituels mise au jour par l’helléniste Pierre Hadot et qu’elle permet de penser une modernité insoupçonnée par ce dernier. La production de textes littéraires devient alors une manière d’établir « une relation originale avec l’univers » (cf. l’introduction de Nature). Le premier chapitre explique la spécificité de la spiritualité traditionnelle, où l’écriture consiste à implanter en soi le texte de la tradition. La pratique littéraire de Marc Aurèle, Sénèque et saint Augustin est étudiée afin de montrer comment ils tâchent de vivre conformément à la conception de la transcendance qui est la leur : personnelle chez les stoïciens, institutionnelle chez les chrétiens. Le deuxième chapitre montre comment Emerson renverse le rapport traditionnel au texte dans la vie de l’esprit en arguant que la révélation du Christ est, à l’origine, une expérience personnelle de la transcendance qui n’est pas institutionnalisable. Il se dégage de cette confrontation romantique avec le christianisme un concept de littérature lié au mysticisme et inséparable d’une compréhension « expressiviste » du langage (Charles Taylor). Le dernier chapitre examine l’ascèse littéraire d’Emerson : sa conception antiscolastique du « scholar » est étudiée puis mise en relief avec sa façon d’arrimer sa pratique de la pensée à une conception fluctuante de l’univers. La dernière section porte sur la façon dont son mode de vie expérimental suppose une conception de la littérature en tant que processus.
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La présente étude se propose de dégager les significations successives qu’emprunte le fameux paradoxe socratique du mal involontaire dans l’œuvre de Platon. Pour ce faire, notre propos se déclinera en trois principaux développements : 1) le premier consistera à clarifier le sens que recouvraient les catégories du volontaire et de l’involontaire dans l’Antiquité, de manière à éviter toute confusion anachronique avec les acceptions modernes de ces mêmes notions ; 2) le second tâchera de mettre au jour le postulat anthropologique qui fonde chez Platon l’idée qu’aucun homme ne saurait agir méchamment de son plein gré ; 3) le troisième exposera à tour de rôle les trois grands dispositifs de disculpation qu’élabore Platon dans son œuvre : les dispositifs de l’âme ignorante, de l’âme renversée et de l’âme malade. Nous montrerons ainsi comment Platon, à rebours de la théodicée chrétienne classique, cherche à blanchir l’homme de toute implication morale véritable dans la genèse causale de ses « mauvaises » actions.
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The following text addresses the magical-religious experience carried on by many individuals when they seek to solve their love, financial and health problems by means of white magic spells done by pais-de-santo e mães-de-santo (saint s father and saint s mother) from umbanda. The rites through which this seek can be detected are free love spells, troublesolving spells, and healing spell. The concept of experience, here understood as the thing which gives sense to the sense, has been the main guiding idea of the reflections here enclosed. People who seek the umbandista spells as a way of solving their daily afflictions have the opportunity of living a rich magical-religious experience in which several dimensions intersect. Among these dimensions I decided to study the performance, the knowhow and the subjetivity. Each one gave rise to the opportunity of studying a range of other themes, such as the corporeity, the gestuality, vocality, the world knowledge, the science, the secret, the emotions and the moral. The ethnographic research was carried on in the yards which are named after Dona Luiza, Pai Gledson, Pai Salviano and Dona Terezinha umbanda, all of them situated in the town of Limoeiro do Norte, Ceará