109 resultados para Calligraphie chinoise


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Les yeux et les masques sont prévalents dans les oeuvres du peintre chinois contemporain Zeng Fanzhi (né en 1964), comme métaphore du jeu de pouvoir qui oppose les individus à l’appareil social et politique. Son oeuvre La Cène, d’après Leonard de Vinci, est un exemple frappant de cette préoccupation. Cet essai examine l’utilisation par l’artiste de cette représentation occidentale d’une crise morale (une trahison qui mène à la mort du Christ) pour exprimer la dystopie qui marque la Chine contemporaine. L’interprétation par Zeng de l’oeuvre de Vinci témoigne d’une compréhension profonde de sa signification à la Renaissance comme conflit entre le pouvoir terrestre et spirituel, auquel il surimpose la fonction du banquet dans la culture chinoise comme lieu de lutte politique. Un nihilisme détaché imprègne ce travail, à l’instar de l’interprétation métaphorique du banquet de Platon par Søren Kierkegaard, In Vino Veritas.

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Since the early nineties, several hundreds of Chinese immigrants have settled in what has become known as the 'Chinese wholesalers area'. For the past two years, Chinese wholesalers in Aubervilliers have been calling on public authorities to address the problem of street robberies and violent thefts, which they experience on a daily basis. Yet, they have been encouraged by the authorities to ensure their own protection, by - amongst other things - installing surveillance cameras to film the streets. This is illegal according to French legislation on camera surveillance. Knowing this, why have surveillance cameras been adopted as a solution? This question guides the ethnographic analysis presented here of a situation where the installation of surveillance cameras was locally negotiated by the main actors involved - namely, the wholesalers' representatives and the police.

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Les élevages intensifs d'animaux de rente, en particulier ceux de bovins et de porcins sont nombreux en France et sont concentrés dans certaines régions (Bretagne, Normandie, Massif central, Alpes, Pyrénées). Au total, on dénombre environ 20 millions de bovins répartis dans 280 000 exploitations et 25 millions de porcs répartis dans 30 000 exploitations. Ceci représente en moyenne 70 vaches/exploitation et 830 porcs/exploitation. De telles densités d'animaux réunis sur des surfaces de taille minimale, génèrent d'énormes quantités de déchets organiques, notamment de matières fécales qui contiennent une grande diversité de bactéries, pouvant parfois être pathogènes pour l'humain. Une partie de ces bactéries sont des bactéries gram négatif (entérobactéries) dont les parois contiennent des endotoxines (1). Ces endotoxines sont connues pour causer des problèmes respiratoires ou des problèmes toxiques (ODTS) (2), lorsqu'elles sont inhalées (Cole, Todd, Wing ; 2000). Jusqu'à présent, plusieurs études se sont attachées à évaluer l'exposition à ces bioaérosols (3) à l'intérieur des élevages d'animaux (vaches, chevaux, porcs, poules) et ont démontré la présence d'importantes concentrations de bactéries et d'endotoxines aéroportées. Cependant, très peu d'études ont estimé la dispersion de ces bioaérosols à l'extérieur des installations d'élevages. En 2008, une étude américaine avait caractérisé les bactéries aéroportées retrouvées dans,et autour, d'une douzaine d'exploitations porcines. Cette étude avait été discutée dans le cadre d'une note d'actualité scientifique précédente (BVS 9). Aujourd'hui, ces mêmes auteurs nous livrent des résultats concernant l'exposition aux endotoxines dans et autour de ces mêmes élevages de porcs (Ko et al., 2010). Une autre équipe de recherche chinoise a estimé la dispersion d'Escherichia coli dans l'environnement immédiat d'exploitations porcines (Yuan, Chai, Miao ; 2010). Cette bactérie, appelée aussi coliforme, fait partie de la flore intestinale normale de tous les animaux à sang chaud (mammifères et oiseaux). Sa mise en évidence dans certains milieux,notamment l'eau, est utilisée comme indicateur de contamination fécale. Finalement, une autre étude vient de paraître concernant les concentrations en endotoxines au cours de l'année, à proximité de stabulations ouvertes de vaches laitières (Dungan, Leytem, Bjorneberg ; 2010). Ce sont ces trois articles qui sont analysés ci-dessous. [Auteure]

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Barrois, Joseph. Manuscrit(s) provenant de sa collection

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Si le Tibet figure en marge des voyages et de l'oeuvre de Théodore Pavie, il occupe pourtant une position-clé, quoique déconsidérée, dans le programme scientifique de l'auteur. L'orientaliste - indianiste et sinologue - s'est rendu en Inde et en Chine lors de son voyage de 1839, mais non au Tibet, alors encore largement inexploré. De surcroît, alors que Pavie succède à Eugène Burnouf, auteur éminent de l'Introduction au bouddhisme indien (1844), à la chaire d'études indiennes du Collège de France, ce n'est pas lui mais son condisciple Philippe-Edouard Foucaux qui prendra en charge l'enseignement du tibétain dans les milieux orientalistes parisiens. Dès lors, en quoi le nom de Pavie se rapporte-t-il à l'histoire des savoirs et des représentations du Tibet ?A Calcutta, notre voyageur fait la rencontre d'Alexandre Csoma de Kőrös, savant hongrois fondateur des études tibétaines. A son retour en France, alors même que l'on apprend en Europe l'exploit du père Huc, lequel missionnaire vient de pénétrer à Lhassa, Pavie rédige un article dans la Revue des Deux Mondes sur « Le Thibet et les études thibétaines » (1847). Cet article, pétri par un souffle romantique grandiose, articule savoirs et imaginaire sur le Tibet. Les Tibétains, sauvages et primitifs, à l'image de leur territoire, sont présentés comme les héritiers historiques des civilisations indienne et chinoise. Le Tibet apparaît dès lors comme le musée pétrifié du bouddhisme originel, que le savant peut reconstituer sous les traits - à ses yeux dégénérés - du « lamaïsme », et, en premier lieu, à travers les livres innombrables des bibliothèques des monastères tibétains - attirant sans le savoir l'attention du public français sur l'une des plus grandes littératures du monde. Tout en balisant un nouveau domaine d'études « interdisciplinaire » s'ouvrant à l'orientalisme, Pavie n'en vient-il pas à formuler ce que l'on pourrait appeler un paradoxe tibétain ? Comment le Tibet, isolé par-delà les plus imposantes chaînes de montagne du globe, peut-il être le dépositaire d'une des plus grandes civilisations de l'histoire humaine ? A l'orée de la grande période d'exploration du Tibet, l'orientaliste ne consacre-t-il pas une vision du Tibet qui fera fortune chez les voyageurs français de la seconde moitié du XIXe siècle ? Examiner ce pan de la tibétologie française naissante amène à croiser différentes figures de savants et d'explorateurs, en vue de dégager les processus par lesquels savoirs et représentations liés au Tibet se sont constitués à la fin du XIXe siècle.

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Challenging the view of asymmetrical power relations between China and Africa, this thesis questions the "Chinese comparative advantages" (monolithic state power and economic advantages) of Chinese state-owned enterprises (SOEs) in Africa. It argues that the power dynamics between Chinese and African actors are dialectical and pluralistic, with localized social capital representing the true Chinese competitive advantage in Africa. Based on ethnographical fieldwork conducted in Ghana, this thesis shows that Chinese SOEs pursue their globalization in a double context - that of the deliberate "retreat" of the Chinese state, and more importantly, that of Ghanaian governance and society (characterized by political party patronage, extraversion dynamics, and worker agency). The trajectories of Chinese expatriates' expatriation/ social promotion and their SOEs' globalization/ localization are mutually influenced and reinforced. By cultivating local relationships and knowledge, a provincial Chinese SOE in Ghana can outperform a large Chinese central SOE, even if the latter has more support from the Chinese state. Moreover, the recent effort to build a "socially acceptable Chinese community" in Ghana has renewed the power dynamics between the Chinese state and the SOEs. All these observations provide for constructing a new perspective of Chinese SOEs in Africa - a "second-class" Chinese globalization - the SOEs may begin with few privileges, but promotion over time is possible. -- A contre pied des approches postulant des relations de pouvoir asymétriques entre la Chine et l'Afrique, cette thèse interroge les « avantages comparatifs chinois » (pouvoir de l'État monolithique et avantages économiques) des entreprises publiques chinoises (EPC) en Afrique. Elle soutient l'idée selon laquelle les dynamiques de pouvoir entre les acteurs chinois et africains est dialectique et pluraliste, et le capital social localisé étant le véritable avantage compétitif chinois en Afrique. S'appuyant sur un travail de terrain ethnographique au Ghana, cette thèse montre que les EPC poursuivent leur mondialisation dans un double contexte - celui de la «retraite» délibérée de l'État chinois, et, de façon plus importante, celui de la gouvernance et de la société ghanéennes (caractérisées par un clientélisme des partis politiques, une dynamique d'extraversion et le pouvoir de négociation des travailleurs). Les trajectoires d'expatriation / de promotion sociale des expatriés chinois et la mondialisation / localisation de leurs EPC s'influencent et se renforcent mutuellement. En cultivant des relations et des connaissances locales, une EPC provinciale au Ghana peut surpasser une grande EPC centrale, même si cette dernière reçoit plus de soutien de l'État chinois. En outre, les efforts récents visant à construire une «communauté chinoise socialement acceptable» au Ghana ont renouvelé la dynamique du pouvoir entre l'État chinois et les EPC. Ces observations permettent de construire une nouvelle perspective des EPC en Afrique - la globalisation chinoise de « deuxième classe » - les EPC peuvent débuter avec peu de privilèges, mais leur promotion reste possible avec le temps.

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Contient : Lettre de P. Dentrecolles au P. Du Halde, Pékin, 8 oct. 1737 ; « Extraits de la botanique chinoise ; sur l'oeil de bambou » ; « Des écoles publiques à la Chine » ; « Du ginseng, plante du premier ordre dans la médecine chinoise, » etc ; « Moeurs de Chine, version d'un ouvrage chinois qui n'est pas ancien ; » avec une lettre du P. Dentrecolles, datée de Pékin, 14 août 1722. — Cf. Sommervogel, Bibliothèque de la Compagnie de Jésus (1891), t. II, col. 1932

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Contient : « Remarques sur le chameau à deux bosses, » et autres extraits « de l'Histoire naturelle ou herbier de la Chine » ; Lettres autogr. de Le Poivre au P. Coeurdoux (Pondichéry, 1747) ; Lettre autogr. du P. J. Bouvet à l'abbé Bignon (Pékin, 15 sept. 1704) sur la religion et l'histoire des Chinois ; Observations météorologiques faites à Pékin en 1690-1691 ; Lettre autogr. du P. J. Bouvet au P. de La Chaize (s. d.) ; Copie d'une « lettre du P. Parennin... à M. de Mairan, de l'Accadémie royale, Péking, 30 sept. 1735 » ; Copie d'une « lettre du R. P. Bouvet, de la Compagnie de Jésus, à Monsieur Leibniz, Pékin, 4 nov. 1701 » ; Lettre du P. Chalier sur les pendules de la Chine (16 oct. 1736) ; « Version littérale du commencement de l'histoire chinoise, depuis Fou-hy jusques à Yao, » par le P. « Dominique Parennin, Pékim, 12 aoust 1730 » ; Copie d'une « lettre du frère Attiret, peintre, missionnaire de la Compagnie de Jésus, au sr Dassaut, de Dole, à Pékin, le 1er nov. 1743. » — Lettre autogr. du P. Symon Wynants, au P. Jean Braze, provincial des Jésuites de la province de Flandres-Belgique (Santa-Fé de Bogota, 18 sept. 1715) ; Lettre autogr. du P. Charles Poncet au P. de La Chaise (Zulpha, Éthiopie, 6 juin 1707) ; Copie d'une « lettre du P. Parennin à M. de Mairan, de l'Académie, à Péking, le 19 nov. 1739 » ; « Reflexions sur le Thé et sur les Pastilles de la Chine (Acta phisico medica de l'Académie des Curiosa naturæ, ... janvier 1729, p. 157) » ; « Dissertationes et notæ criticæ in primam partem commentarii Y-King, » « par J.-B. Regis, 1720 » ; « Extraits d'une compilation faite sous la dynastie Ming ;... l'autheur est... Tang King Tchuen » ; Note sur le projet de Cassini, agréé par Colbert, pour l'envoi de Jésuites mathématiciens en Chine ; Lettres autogr. des P. de Brévedent (Le Kaire,19 févr. 1698), — Bouvet (Péking, 27 oct. 1704), etc ; « De numeratione Sinica » ; « Plan du Ti-vang-miao, ou sale de cérémonie, où l'on rend des honneurs solennels aux roys et empereurs... » ; « Plan du temple dédié au souverain seigneur du ciel, ou à Chang-ti » ; « Plan du Ge-tan, ou temple dédié à l'Intelligence qui conduit le Soleil » ; « Plan du Ti-tan, ou temple où l'Empereur sacrifie à Changti sous le titre de souverain seigneur de la terre » ; « Plan du Sien-num-tan, ou du temple dédié au génie de l'Agriculture... » ; « Plan du Koue-tse-kien-ven-miao, ou de la sale de cérémonie où l'on rend à Confucius... des honneurs solennels... »

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Contient : 1 « L'advis directif pour faire le passaige d'oultre mer par le très chrestien roy de France en la Terre saincte de promission », par frère BURCHARD ou Brochard de Barby, dominicain, au mont Sion, traduit en français par JEAN MIELOT, chanoine de Saint-Pierre de Lille, pour Philippe le Bon, duc de Bourgogne ; Ce traité est précédé d'une introduction dont le commencement et la fin manquent ; En tête du traité on lit : « Cy commence le premier livre, qui contient VIII parties, dont la première est des quatre motifs pour faire le passage d'oultre mer. Du premier motif pour faire le passage d'oultre mer. Le premier motif donques est, mon souverain seigneur, que vous ne admenrissiez en rien envers les hommes l'onneur de voz predecesseurs... ». Derniers mots : «... duquel vous devez attendre le loyer non pas momentel et terriien, mais perpetuel et celestien. Amen ». A la suite est l'explicit transcrit en tête de cette notice ; 2 « Cy commence le livre de la description de la Terre saincte, fait à l'onneur et loenge de Dieu et compilé jadis, l'an mil IIIC XXXII, par frère BROCHART l'Alemant, de l'ordre des Prescheurs, et depuis l'an mil IIIIC LVI, par le commandement et ordonnance de trèshault, trèspuissant et mon très redoubté seigneur... Phelippe, ... duc de Bourgongne... a esté translaté en cler françois par JO. MIELOT, chanoine de Lille en Flandres, en comprenant la substance, selon son petit entendement, sans y adjouster riens du sien, en la fourme et stile qui apperent » cy dessous ; 3 « Cy commence le voyage de BERTRANDON DE LA BROQUIERE, que il fist en la terre d'oultremer, l'an mil IIIIC XXXII » ; 4 « Cy commence l'Advis de messire JEHAN TORZELO, chevalier, serviteur et chambellan, comme il dist, de l'empereur de Constantinople, lequel advis il fist à Flourence, le XVI jours de mars l'an de grace mil CCCCXXXIX, et puis fu envoyé à mon très redoubté seigneur, monseigneur le duc Phelippe, duc de Bourgongne et de Brabant, par messire André de Pelazogo, Florentin » ; 5 « S'ensieut l'advis et advertissement de ce qu'il samble à moy BERTRANDON DE LA BROQUIERE, seigneur de Viel Chasteau, conseillier et premier escuier trenchant » du « duc de Bourgongne ... touchant l'advis cy dessus escript... lequel advis » ledit duc « me bailla, aprez que je fus revenu de mon voyage par terre de Jherusalem jusques en France, pour le faire translater de langage florentin en françois, et puis ordonna qu'il fust attaché en la fin de mondit voyage, mis par escript cy dessus, par Me JEHAN MIELOT, chanoine de S. Pierre de Lille et le moindre des secretaires de mondit très redoubté seignieur »

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Contient : « Fastes de la monarchie chinoise, où l'on voit en abregé et selon l'ordre chronologique ce qui s'est passé de plus remarquable sous chaque Empereur » ; « Description géographique des provinces de la Chine » ; Histoire politique, administrative et littéraire de la Chine ; extraits de différents ouvrages chinois

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Cet ouvrage, connu sous le nom de Saint Édit, comprend seize maximes dues à l'empereur Sheng zu, accompagnées d'un développement explicatif. Décrets impériaux de 1670 et 1685 au sujet de la publication du Saint Édit. Proclamation de Tang, gouverneur du Jiang su.