980 resultados para Butler, Gary
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John Butler (1728-1796) was originally from Connecticut but settled with his family in the Mohawk valley of New York around 1742. His father was a Captain in the British army and well acquainted with William Johnson (superintendent of Northern Indians). Butler impressed Johnson with his aptitude for Indian languages and diplomacy. He began to work with Johnson in 1755, and received several promotions in the department, until his apparent retirement in the early 1770s. At the onset of the Revolutionary War in 1775, Butler relocated to Canada to join the British forces, settling in Niagara. During the War, Butler was instrumental in maintaining the alliance with the Indians. After the War, Butler became prominent in local affairs in Niagara, but failed to secure any important offices when the province of Upper Canada was formed in 1792. In an effort to recoup some of the financial losses his family suffered during the War, Butler illegally attempted to supply trade goods to the Indian department with his son Andrew, his nephew Walter Butler Sheehan, and Samuel Street, a Niagara merchant.
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An advertisement for Hedges & Butler, Wine Merchants to the Queen, in London, England. The advertisement lists the prices for: Sherries, Ports, Clarets, Champagnes, Burgundies, and Madeiras.
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Indenture of bargain between James and Hannah Vine of the Town of Niagara and James Butler of Niagara Township for 1/2 an acre and 6/10 of an acre of Lot no. 113 in the Township of Niagara. The instrument no. is 6325. May 11, 1855.
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Indenture of bargain and sale between Johnson T. Butler and his wife Ann Jane Butler, both of the Township of Niagara to Henry Rogers of the Township of Niagara regarding part of Lot no. 113 in the Township of Niagara - instrument no. 14467 [it is listed as 14467 and 14466 on different parts of the document], April 13, 1864.
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List (4 pages of printed material) tracing the details of the water race to go through the lands of Phelps, Clendinnan, Sanderson, Butler and Chase. This includes a copy of the following: the authority dated Dec. 22, 1829; a letter of encouragement dated Oct. 24, 1833; a transfer from Dittrick, Adams and others to the Welland Canal Company dated Dec. 6, 1834; a lease from the Welland Canal Co. to Adams and others dated Nov. 28, 1834 and the terms of the indenture dated May 24, 1847.
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Indenture of bargain and sale between James and Ann Jane Butler of the Town of Niagara to Joseph Augustus Woodruff of the Town of Niagara for 50 acres composed of the west half of Lot no. 169 in the Township of Niagara – instrument no. 3309. This was recorded in the Niagara Township Register on Aug. 14, 1851, Book A, Folio 219, Aug. 12, 1851.
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Receipt from J. M. Butler, St. Catharines for butter and oysters, March 25, 1887.
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Receipt from J.M. Butler, St. Catharines for groceries, April 18, 1887.
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Receipt from J.M. Butler, St. Catharines for groceries, May, 9, 1887.
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Receipt from J.M. Butler, St. Catharines for groceries, Nov. 1, 1887.
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Documents and papers relating to Colonel John Butler and his corps of rangers. Pt.I. 1711-1777
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Documents and papers relating to Colonel John Butler and his corps of rangers, Pt. II. 1778-1779.
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Documents and papers relating to Colonel John Butler and his corps of rangers. Pt.III. 1780-1782.
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Documents and papers relating to Colonel John Butler and his corps of rangers. Pt.IV. 1783-1977.
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L’aliénation est une problématique clé de la littérature haïtienne. Ce thème, abordé à de nombreuses reprises, est renouvelé dans les œuvres de l’écrivain Gary Victor, plus particulièrement dans les romans À l’angle des rues parallèles et Je sais quand Dieu vient se promener dans mon jardin. Ce mémoire a pour but d’étudier l’aliénation due à l’assimilation des différents discours qui circulent dans la société. Victor ne fait pas que montrer l’aliénation collective et individuelle ainsi que les différents mécanismes qui provoquent cette «folie». Il campe ses récits dans un univers chaotique où les modalités interdiscursives de la représentation des lieux et des milieux viennent renforcer cette impression d’aliénation quasi généralisée, et les personnages les plus fous apparaissent finalement comme étant les plus lucides. Des notions empruntées à la sociocritique nous ont servi de cadre théorique pour cette recherche. Le mémoire est composé de cinq chapitres. Les quatre premiers procèdent à l’analyse des discours qui sont présentés comme les sources de l’aliénation des personnages. Le chapitre un est consacré aux discours qui découlent de la société de consommation, qui ne s’appliquent plus uniquement aux objets, mais bien à la gestion des relations interpersonnelles. Le second chapitre se penche sur la question des croyances religieuses, que ce soient les croyances traditionnelles indigènes ou la religion catholique, et montre comment elles peuvent être potentiellement dangereuses pour ceux et celles qui sont trop crédules et comment elles peuvent devenir une arme pour les personnes malintentionnées. Le troisième chapitre étudie la façon dont les discours politiques et historiques sont devenus des lieux de référence pernicieux pour la société haïtienne et la manière dont les personnes au pouvoir les utilisent afin de manipuler le peuple. Le quatrième chapitre aborde les effets pervers des différents discours des savoirs en sciences humaines, plus particulièrement ceux de la philosophie et de la psychanalyse. Il montre les conséquences désastreuses qu’ils peuvent entraîner lorsqu’ils sont transformés en principes immuables. Le dernier chapitre analyse quelques modalités de cette représentation inédite de l’aliénation. Des lieux hostiles, des personnages violents ainsi que l’utilisation de références littéraires et cinématographiques marquant l’imaginaire social font partie des techniques employées par Victor. Ce chapitre fait ressortir également les différentes figures qui traduisent la résistance à cet univers démentiel. Notre lecture des romans de Victor conduit à une réflexion sur la définition du roman populaire, en lien avec la modernité telle que définie par Alexis Nouss. D’après ce qui se dégage de l’œuvre de Gary Victor, ce genre, objet de nombreuses critiques et défini comme servant uniquement au simple divertissement des lecteurs, peut aussi aider à prévenir les dérives des sociétés en perte de repères.