1000 resultados para Busser, Henri (1872-1973) -- Correspondance
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30 janvier 1884 : Lui demande de remettre son billet à la fin du mois suivant. - 18 mars 1884 : Lui demande une avance de 1000 francs pour "Loreley"
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13 avril : au sujet de ses droits d'auteur. - 13 mai : remerciements. - 12 juillet : L'informe s'être rendu chez lui pour procéder aux remises d'argent. Déclare être "à la veille de conclure une affaire qui [lui] permettra de faire honneur à tous ses engagements". - 17 juillet : Au sujet du "Timbre d'argent" qui ne trouve pas d'éditeur : "Je regrette pour Saint-Saëns et pour moi que ce pauvre "Timbre" ne soit pas entre les mains d'un croyant qui l'aurait certainement fait vibrer.". - 28 août : Lui adresse un article pour le "Ménestrel". - 15 septembre : Lui recommande une artiste du chant, Mademoiselle Maindron. - 12 novembre : "Je viens d'entendre le duo de Boussy chanté par Madame de Lanchâtre et sa fille. C'est tout simplement adorable". - 1er décembre : remerciements
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26 mars 1886. Accepte son invitation à dîner : "Ce ne sera pas un dîner socialiste... (pardon) ! je voulais écrire : ce ne sera pas un dîner sot s'il y a Liszt". - 20 juillet. Lui adresse ses félicitations. - 30 juillet : Au sujet de l'argent que Heugel doit à Barbier et des reçus conservés entre ses mains
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13 janvier : Au sujet du "Lion amoureux" : "N'y a-t-il donc plus que moi qui apprécie cette admirable langue?". - 15 février : au sujet de ses embarras financiers. - 12 mai 1887 : regrette de ne pouvoir se rendre à un dîner. - 16 novembre : Au sujet de sa canditature subordonée à la retraite éventuelle de Carvalho
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Autour du ballet d'Ambroise Thomas, "La Tempête". - 11 juillet : Lui fait part des difficultés de toutes sortes qu'il a mesurées après sa rencontre avec le directeur de l'Opéra, "difficultés basées surtout sur la question des appointements qui, trop modestes, diminueraient l'artiste et, trop forts, grèveraient inutilement le budget du théâtre". - 30 juillet : au sujet d'un rendez-vous. - 3 août : Souhaite connaître les chiffres des primes qu'il a touchées pour "Néron". - 26 septembre : Évoque la partition de "Miranda" (dont le titre allait se changer en "La Tempête") : "merveille de grâce, de couleur, d'élégance, de légèreté, de distinction, de poésie et de sentiment". - 29 septembre : L'informe qu'ils iront dîner chez Thomas la semaine suivante à Argenteuil. - 25 octobre : Regrette de n'avoir pu retenir la personne que Heugel lui avait recommandée (concours de chant?), laquelle avait de nombreuses concurrentes. - 3 novembre : Au sujet de Mademoiselle Van Zandt qui ne doit pas manquer l'occasion de reparaître devant le public parisien. - 8 décembre : Au sujet de la Patti qui va reprendre son rôle le lundi suivant. - 20 et 21 décembre : au sujet d'un rendez-vous avec Thomas remis à la semaine suivante. - Comporte l'argument manuscrit (2 f.) du ballet dans la NLAS-224 (4)
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14 février. Jugement lapidaire sur "Ascanio" de Saint-Saëns : "tout cela n'est plus de la musique". Au sujet de la mise en scène de "La Tempête" : "je n'ai jamais rencontré un metteur en scène plus intelligent que Gailhard". - 9 mars. Sur les débuts de Mademoiselle Eanus. - 7 mai. Lui promet de faire tout son possible mais l'informe que son "pouvoir" et son "influence" sont fragiles. - 25 mai. Compliments.. - 25 juillet. Lui demande de transmettre une lettre à son valet de chambre dont la femme a travaillé pour Barbier
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Année très difficile : les déceptions s'enchaînent, les projets n'aboutissent pas, son fils Pierre a contracté des dettes auprès de la maison Heugel et Barbier lui-même, endetté jusqu'au cou, implore l'aide d'Heugel qui lui fournit une grosse avance. - 8 juin 1892. Lui demande "trois mois de plus, c'est-à-dire 300 francs". Evoque les répétitions de "Sylvia" et les performances de Rosita Mauri. - 10 septembre 1892. "Je ne m'étendrai pas sur mes malheurs. Mon année (...) se termine par un joli déficit. Si mes amis ne me ravitaillent pas, je ne sais trop à quel saint je vais me vouer.". - 12 septembre 1892. Le rappelle à sa bonne promesse qui consiste à verser 50 francs à son fils chaque mois pendant un an.. - 12 octobre 1892. Lui demande de rectifier une note inexacte publiée par quelques journaux au sujet de "L'Espionne" de Théodore Dubois
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23 janvier 1890. Lui donne carte blanche pour agir auprès de Michaëlis et lui racheter son reste d'exploitation. - 27 février 1890. Au sujet des droits de "Mignon" et "Hamlet" : "je voudrais bien ne pas perdre des droits assez importants actuellement en friche". - 16 mars 1890. Lui demande quelles sont les conditions de Mlle Arnoldson. - 7 avril 1890. Regrette de ne pouvoir répondre à son aimable invitation. - 20 mai 1890. Au sujet de son poème "Circé" rejeté par Léo Delibes : "Je vois venir le moment où je ne pourrai plus placer un poème d'opéra". - 2 juin 1890. Souhaite obtenir des éclaircissements au sujet de sa condamnation à payer une amende de 200 francs pour la publication de "Fleur de neige" sans la restriction accoutumée. - 19 juillet 1890. Au sujet de son poème de "Circé" qu'il souhaite mettre à disposition de Heugel
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9 mai 1891. Le prie d'envoyer 300 francs à son fils Pierre. - 30 juin 1891. Le prie de donner 200 francs à sa fille. - 29 juillet 1891. Lui demande 300 francs d'avance. - 16 août 1891. Au sujet de "Néron" qui pourrait être repris sur la scène du théâtre de Nice. Evoque la distribution qui paraît la plus adéquate et ses relations avec le compositeur Antoine Rubinstein. Barbier voit dans cette reprise un avantage, celui de "mettre enfin la pièce au point, ce qu'[il n'a] pu encore faire, avec la diable de collaboration fantaisiste et vagabonde de Rubinstein.". - 20 août 1891. Au sujet de "Néron" et de la distribution la plus convenable : "Ce qui me séduit le plus, c'est la possibilité de parfaire l'ouvrage et d'en donner enfin une version définitive et dont je sois content". - 23 août 1891. Au sujet de "Néron". S'incline devant les choix de son éditeur et le met en garde sur le compositeur : "Avec son génie (car il en a), c'est un homme à rater tous les succès du monde! Son art l'aveugle et lui masque les nécessités du théâtre". - 12 septembre 1891. Au sujet de "Néron" et des hésitations d'Eugène Bertrand à monter la pièce. Le directeur de théâtre préfèrerait monter "Paul et Virginie". - 15 septembre 1891. Lui renvoie son "traité" signé de "Paul et Virginie" et lui demande une avance
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14 février 1896. Lui demande des avances pour tenir ses engagements. - 20 octobre 1896. Remercie "Le Menestrel" pour son compte rendu favorable de "Clarisse Harlowe", mais exprime toute son amertume à l'encontre des compositeurs : "Ils sont encore plus bêtes que les directeurs! Ils ne comprenaient déjà plus rien à la musique. Ils arrivent à ne plus rien comprendre à leur langue maternelle". - Lieu restitué d'après le cachet de la poste : "Paris. Montparnasse. 20 OCT 96"
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23 janvier 1897. Au sujet de ses droits d'auteurs. - 26 mars 1897. Demande une avance. - 1er avril 1897. A bien reçu son avance pour le mois de mai et redemande encore de l'argent à son éditeur. - 24 mai 1897. Demande à nouveau de l'argent. - 31 juillet 1897. Conteste une dette de 1700 francs qu'il aurait contractée avec Heugel. Lui demande de vérifier dans ses livres de caisse. - 29 octobre 1897. Papier bordé de noir. L'informe qu'il prononcera quelques mots à l'occasion de l'inauguration du monument d'Antonin Mercié
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12 novembre 1898. Le remercie de la bonne grâce qu'il a mise à lui rendre service. - 1er décembre 1898. Lui demande 500 francs. - 3 décembre 1898. Au sujet de l'argent qu'il doit à Heugel. - Papier bordé de noir
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2 juin 1899. Epuisé et fatigué, il sollicite Heugel en lui demandant une avance de1000 francs. - 7 juin 1899. Regrette que les relations avec Heugel s'enveniment : "Non, il ne fallait pas la caisse d'un Rotschild pour me les donner, il fallait simplement vous souvenir des centaines de mille francs que j'ai fait gagner au "Menestrel" ; mais vous avez la mémoire plus courte que votre cher père. Le spectacle de ma misère manquerait apparemment aux joies de votre fortune!..." Elude la question des dettes de son fils Pierre : "Quant à la dette de Pierre, permettez-moi de vous répéter une fois de plus qu'elle ne me regarde pas. Comment ne lui avez-vous pas donné un travail qui vous eut amplement remboursé?". - 14 juillet 1899. "Le relevé des comptes définitifs que me donne Chevalier prouve que je ne me trompais pas". - Papier bordé de noir
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18 janvier 1900. Solde son compte avec le "Ménestrel". - Papier à en-tête : "Au Ménestrel, 2 bis rue Vivienne. Paris". - 5 mars 1900. Au sujet de ses affaires avec Heugel : "Votre oncle m'a accoutumé à ne plus voir en lui qu'un éditeur. J'aime mieux m'en tenir là. Où l'humiliation commence, l'amitié est de trop." L'informe que le règlement qu'ils ont arrangé ne lui convient plus et demande un versement d'argent tous les mois. - Carte bordée de noir
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Rendez-vous divers, demandes d'argent.