958 resultados para Breast feeding.
Resumo:
Skin to skin contact facilitates the initiation of breast feeding, neonatal thermoregulation and the promotion of maternal-infant attachment. However, there are cultural influences in society and in the labour ward that may make implemention of skin to skin contact difficult.
Resumo:
Aims/hypothesis: The aim of this study was to investigate the evidence of an increased risk of childhood-onset type 1 diabetes in children born by Caesarean section by systematically reviewing the published literature and performing a meta-analysis with adjustment for recognised confounders.
Methods: After MEDLINE, Web of Science and EMBASE searches, crude ORs and 95% CIs for type 1 diabetes in children born by Caesarean section were calculated from the data reported in each study. Authors were contacted to facilitate adjustments for potential confounders, either by supplying raw data or calculating adjusted estimates. Meta-analysis techniques were then used to derive combined ORs and to investigate heterogeneity between studies.
Results: Twenty studies were identified. Overall, there was a significant increase in the risk of type 1 diabetes in children born by Caesarean section (OR 1.23, 95% CI 1.15-1.32, p<0.001). There was little evidence of heterogeneity between studies (p=0.54). Seventeen authors provided raw data or adjusted estimates to facilitate adjustments for potential confounders. In these studies, there was evidence of an increase in diabetes risk with greater birthweight, shorter gestation and greater maternal age. The increased risk of type 1 diabetes after Caesarean section was little altered after adjustment for gestational age, birth weight, maternal age, birth order, breast-feeding and maternal diabetes (adjusted OR 1.19, 95% CI 1.04-1.36, p=0.01).
Conclusions/interpretation: This analysis demonstrates a 20% increase in the risk of childhood-onset type 1 diabetes after Caesarean section delivery that cannot be explained by known confounders.
Resumo:
Background: Maternity care providers, particularly midwives, have a window of opportunity to influence pregnant women about positive health choices. This aim of this paper is to identify evidence of effective public health interventions from good quality systematic reviews that could be conducted by midwives.
Methods: Relevant databases including MEDLINE, Pubmed, EBSCO, CRD, MIDIRS, Web of Science, The Cochrane Library and Econlit were searched to identify systematic reviews in October 2010. Quality assessment of all reviews was conducted.
Results: Thirty-six good quality systematic reviews were identified which reported on effective interventions. The reviews were conducted on a diverse range of interventions across the reproductive continuum and were categorised under: screening; supplementation; support; education; mental health; birthing environment; clinical care in labour and breast feeding. The scope and strength of the review findings are discussed in relation to current practice. A logic model was developed to provide an overarching framework of midwifery public health roles to inform research policy and practice.
Conclusions: This review provides a broad scope of high quality systematic review evidence and definitively highlights the challenge of knowledge transfer from research into practice. The review also identified gaps in knowledge around the impact of core midwifery practice on public health outcomes and the value of this contribution. This review provides evidence for researchers and funders as to the gaps in current knowledge and should be used to inform the strategic direction of the role of midwifery in public health in policy and practice.
Resumo:
OBJECTIVE: This study validates different definitions of reported night blindness (XN) in a vitamin A deficient African population with no local term for XN. DESIGN: Case-control study with follow-up after treatment. SETTING: Eight primary schools and health centres in rural Tanzania. SUBJECTS: A total of 1214 participants were screened for reported XN and other eye signs of xerophthalmia: 461 children aged 24-71 months, 562 primary school-age children and 191 pregnant or breast-feeding women. All 152 cases of reported XN were selected for the validation study and group matched with 321 controls who did not complain of XN. XN reports were validated against serum retinol concentrations and pupillary dark adaptation measurements in cases and controls. INTERVENTION: All children and women who reported XN or had other signs of active xerophthalmia were treated with vitamin A and followed up 3-4 weeks later. Half of the untreated control group who had their serum retinol examined in the baseline examination were also followed up. RESULTS: The overall prevalence of reported XN was 12.5%. At baseline, mean pupillary threshold (-1.52 vs -1.55 log cd/m(2), P=0.501) and median serum retinol concentrations (0.95 vs 0.93 micromol/l, P=0.734) were not significantly different in cases and controls either overall or in each population group. More restricted case definitions reduced the prevalence of reported XN to 5.5% (P<0.001), but there was still no significant difference between cases and controls although the results were in the expected direction. After treatment, the median serum retinol concentration improved significantly only in the most deficient group, the young children. Dark adaptation improved in all the subgroups but the difference was only significant for young children and primary school-age children when the restricted case definitions were used. CONCLUSIONS: XN reports are a poor indicator of vitamin A deficiency in this population. SPONSORSHIP: Task Force Sight and Life, Basel, Switzerland.
Resumo:
Le tire-lait est un appareil conçu pour aider les mères durant l’allaitement. Selon la recherche préliminaire effectuée, c’est un thème très peu exploré dans les études; il est donc difficile d’affirmer si le produit répond correctement aux besoins reliés à son usage et à son utilité ou comment il s’intègre dans l’allaitement. Les fondements de l’étude exploratoire ont été bâtis sur ces enjeux dans le but de comprendre l’expérience d’usage du tire-lait. Inspirée de l’approche phénoménologique centrée sur l’usager, l’étude a permis d’amasser des données qualitatives à travers des entrevues semi-dirigées auprès de sept participantes. L’analyse de ces données a permis d’identifier les thèmes importants qui ont mené à des constats, rédigés dans une optique de design. L’étude a trouvé que c’est souvent quand la réalité de l’allaitement au sein rattrape les mères qu’elles vont vouloir se procurer un tire-lait, en s’inspirant des marques utilisées dans les hôpitaux par manque de temps. Le tire-lait devient alors principalement utile pour se désengorger et pour la liberté qu’il procure, s’intégrant dans une routine. Le tire-lait est par contre peu ergonomique; il semble y avoir un décalage entre le concept proposé et les manipulations réelles, notamment au niveau de la mise en marche, des bouteilles et des embouts. Ces résultats de l’étude pourraient être intégrés dans le tire-lait pour mieux représenter la réalité du contexte, de la pratique et de l’usage du produit. Ils pourraient ainsi nourrir le processus de conception dans un projet futur afin d’améliorer le design du tire-lait.
Resumo:
Problématique. Basée sur les constats effectués lors d’un essai clinique randomisé qui visait à évaluer les effets du lait maternel de fin d’expression sur la croissance et le développement de nouveau-nés prématurés et qui s’est soldé par un recrutement infructueux, une intervention de soutien à la lactation chez les mères de nouveau-nés prématurés a été développée. La mère d’un nouveau-né prématuré est en effet trois fois plus à risque qu’une autre de présenter une production lactée insuffisante. Il est donc crucial de soutenir ces mères dans l’établissement et le maintien d’une production lactée adéquate. Le but de cette étude pilote est d’estimer les effets d’une intervention de soutien à la lactation sur l’expression de lait maternel et la production lactée de mères ayant donné naissance prématurément ainsi que d’évaluer les aspects d’acceptabilité et de faisabilité de l’intervention, de l’étude et de ses procédures. Hypothèse de recherche. Les mères de nouveau-nés prématurés qui reçoivent une intervention de soutien à la lactation expriment leur lait significativement plus longtemps et plus fréquemment et produisent significativement un plus grand volume de lait à plus grande concentration lipidique sur une base quotidienne que celles qui reçoivent les soins usuels. Méthode. Devis : Projet-pilote de type essai clinique randomisé. Échantillon: Quarante mères de nouveau-nés prématurés de <30 semaines de gestation admis à une unité de soins intensifs néonatals. Procédures: Les mères du groupe témoin reçoivent les soins usuels alors que celles du groupe expérimental reçoivent une intervention de soutien à la lactation. Cette dernière comporte quatre volets: une séance d’enseignement portant sur l’établissement et le maintien d’une production lactée suffisante, un suivi téléphonique, une ligne d’aide téléphonique et le prêt d’un tire-lait électrique double pompage. Dans les deux groupes, les mères sont amenées à tenir un journal de bord de leurs séances d’expression et du volume de lait maternel exprimé. Résultats. L’étude et ses procédures de même que l’intervention de soutien sont acceptables et faisables. Les résultats observés en lien avec l’hypothèse de recherche sont orientés dans la même direction que cette dernière à l’exception de la concentration lipidique du lait maternel. Recommandations. Une étude à plus grande échelle doit être réalisée afin d’évaluer les effets de l’intervention de soutien à la lactation sur la production lactée de mères de nouveau-nés prématurés. Quant à la clinique, des actions concertées doivent être menées afin de créer un contexte propice et des conditions favorables à l’expression de lait maternel chez les mères de nouveau-nés prématurés.
Resumo:
Le raton laveur (Procyon lotor) est porteur de nombreux parasites dont certains sont des agents de zoonose. Il nous est apparu opportun d’étudier la faune parasitaire intestinale du raton laveur québécois, particulièrement l’espèce Baylisascaris procyonis. L’étude a donc porté sur l’examen de matières fécales (n = 301) et de contenus intestinaux (n = 203) de 351 ratons laveurs provenant de deux programmes gouvernementaux sur la rage du raton laveur et d’excréments (n = 409) provenant de latrines dans des parcs nationaux du Québec. Des oeufs de B. procyonis étaient excrétés par 23,3 % des ratons laveurs, alors que 29,1 % étaient porteurs de vers. La charge parasitaire moyenne des vers B. procyonis de tout stade variait de 8,5 chez les adultes à 27,1 chez les juvéniles. Chez ces derniers, la charge parasitaire était 11,4 fois supérieure à celle des ratons adultes (p < 0,0001) dont 23,7 fois plus de vers immatures (p < 0,0001) et 9,1 fois plus de vers matures (p = 0,01). Le nombre d’oeufs était 24,7 fois plus élevé chez les ratons juvéniles (p = 0,02) et 50,0 fois moins élevé chez la femelle allaitante. La probabilité du raton d’excréter des oeufs l’automne était de 11,1 (IC95 %: 1,21-101,60) par rapport au printemps et de 21,1 (IC95 %: 2,91-153,18) par rapport à l’été (p < 0,01). La sensibilité (Se) et la spécificité (Sp) de la coproscopie comparée à la nécropsie (norme étalon) ont été calculées en se basant sur l’observation des vers matures (Se : 81,8 %; Sp : 97,7 %) et des vers de tout stade (Se : 53,9 %; Sp : 97,0 %). De plus, la recherche des parasites intestinaux nous a permis de découvrir des ookystes de Giardia (6/159), espèce parasitaire nouvellement rapportée chez le raton. En 2007, nous avons trouvé, par échantillonnage unique, des oeufs de B. procyonis dans 15,8 % des latrines (n = 165) identifiées dans des parcs nationaux du sud du Québec et en 2008, par échantillonnage multiple, dans 89,7 % des latrines (n = 26) actives situées dans des secteurs accessibles à l’homme dans trois parcs nationaux de la Montérégie. Le potentiel zoonotique de B. procyonis est un problème de santé publique qui pourrait devenir sérieux étant donné le pourcentage élevé de ratons laveurs qui excrètent le parasite et qui contaminent des secteurs accessibles par les humains.
Resumo:
Le cancer du sein est une maladie multifactorielle, plusieurs facteurs socio-économiques, alimentaires ainsi que le style de vie ayant été incriminés dans son développement. Une mutation germinale sur un des gènes BRCA1 ou BRCA2 serait responsable d’une augmentation du risque de développer un cancer du sein de 50 à 80% chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2 par comparaison aux non- porteuses. Plusieurs études rapportant l’existence d’une association entre la fréquence des cancers du sein sporadiques, les habitudes alimentaires et le style de vie des femmes atteintes, ceci, nous a amené à nous interroger sur le rôle que pourrait jouer ces mêmes facteurs chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2. Pour répondre à cette question, nous avons effectué une étude cas-témoin. Nos quarante-quatre cas sont porteuses d’une mutation germinale parmi 6 des 14 mutations fondatrices sur BRCA1 et BRCA2 les plus fréquentes dans la population Canadienne Française. Elles sont issues d’une cohorte de plus de 1000 femmes Canadiennes Françaises atteintes de cancers du sein recrutées depuis 1994 et testées pour ces 6 mutations. Les témoins sont recrutés parmi des femmes de la population Canadienne Française, également porteuses d’une de ces six mutations fondatrices de BRCA1 ou BRCA2, mais indemnes de cancers. Quinze d’entre elles ont été recrutées dans les familles des cas de l’étude initiale. Vingt-neuf ont été recrutées à la clinique des cancers familiaux du CHUM, nous permettant ainsi de totaliser 44 témoins. Deux questionnaires ont été administrés aux cas et aux témoins. Le premier, dit Questionnaire de base, a servi à recenser les informations sociodémographiques et le style de vie, couvrant ainsi les deux années précédant la découverte du cancer du sein pour les cas et les deux années précédant la découverte de la mutation pour les témoins. Le deuxième questionnaire, Questionnaire de nutrition, a permis de colliger les informations sur les habitudes alimentaires durant la même période de recueil de données. Une association positive et significative entre le risque de cancer du sein et le niveau d’éducation a été observé parmi les sujets de niveau universitaire (>14 années d’étude) comparés aux sujets n’ayant pas dépassé le niveau d’études secondaires (<11 années d’études) [OR= 7,82; IC95% : (1,99-30,69); p=0,003]. Nous avons mis en évidence que le risque de cancer du sein augmentait lorsque les sujets atteignaient leur poids maximum à un âge avancé > 48 ans [OR = 4,27 ; IC 95% : (0,82-22,25)]. Nous avons montré que le risque du cancer du sein diminuait pour une durée d’allaitement supérieure à 7 mois par comparaison aux femmes n’ayant jamais allaité [OR= 0,35; IC 95% : (0,12-1,06)] mais cette association est non significative. Les porteuses qui pratiquent plus de 22,45 Met-h-sem d’activité physique modérée, comparativement à celles qui pratiquent moins de 11,45 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein diminué de 72% [OR=0,28- IC 95% : (0,08-0,95); p=0,04]. Celles qui pratiquent plus de 31,95 Met-h-sem d’activité physique totale comparativement à celles qui pratiquent moins de 16,40 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein réduit de 79 % [OR=0,21; IC 95% : (0,06-0,75); p= 0,02]. L’analyse des macro et micronutriments et des groupes alimentaires a démontré qu’une consommation de plus de 23,20 g/j d’acide gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de cancer du sein de 6 fois par comparaison à une consommation inférieure à 17,08 g/j [OR=6,00; IC 95% : (0,97-37,02); p=0,05]. Une consommation de plus de 221,79 µg/j de vitamine K réduit le risque du cancer du sein de 83 % par comparaison à une consommation inférieure à 143,57 µg/j [OR= 0,17; IC95% : (0,05-0,61) ; p=0,007]. La consommation de fruits est associée à une réduction du risque de cancer du sein de 73% chez les porteuses de mutations qui en consomment plus de 563,31 g/j comparée à celles qui en consomment moins de 356,18 g/j [OR= 0,27; IC 95% : (0,07-1,01) ; p=0,05]. Nos résultats confortent l’hypothèse selon laquelle le style de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle dans le développement du cancer du sein chez les Canadiennes Françaises porteuses de mutations d’une des 6 mutations fondatrices de BRCA1 ou 2 étudiées. En effet, un niveau d’éducation élevé, un gain de poids sont associés à un risque élevé de développer un cancer du sein. De plus la pratique de l’allaitement et d’une activité physique modérée sont associées à une réduction de ce risque. Nous montrons aussi que la consommation d’acides gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de ce cancer et que la consommation de vitamine K et de fruits permet de réduire ce risque. Nos résultats ouvrent une nouvelle voie de recherche par rapport au rôle de certains nutriments dans le développement du cancer du sein chez les porteuses de mutation d’un des gènes BRCA. Cette voie pourrait également être explorée chez les non porteuses.
Resumo:
Protecting the quality of children growth and development becomes a supreme qualification for the betterment of a nation. Double burden child malnutrition is emerging worldwide which might have a strong influence to the quality of child brain development and could not be paid-off on later life. Milk places a notable portion during the infancy and childhood. Thus, the deep insight on milk consumption pattern might explain the phenomenon of double burden child malnutrition correlated to the cognitive impairments. Objective: Current study is intended (1) to examine the current face of Indonesian double burden child malnutrition: a case study in Bogor, West Java, Indonesia, (2) to investigate the association of this phenomenon with child brain development, and (3) to examine the contribution of socioeconomic status and milk consumption on this phenomenon so that able to formulate some possible solutions to encounter this problem. Design: A cross-sectional study using a structured coded questionnaire was conducted among 387 children age 5-6 years old and their parents from 8 areas in Bogor, West-Java, Indonesia on November 2012 to December 2013, to record some socioeconomic status, anthropometric measurements, and history of breast feeding. Diet and probability of milk intake was assessed by two 24 h dietary recalls and food frequency questionnaire (FFQ). Usual daily milk intake was calculated using Multiple Source Method (MSM). Some brain development indicators (IQ, EQ, learning, and memory ability) using Projective Multi-phase Orientation method was also executed to learn the correlation between double burden child malnutrition and some brain development indicator. Results and conclusions: A small picture of child double burden malnutrition is shown in Bogor, West Java, Indonesia, where prevalence of Severe Acute Malnutrition (SAM) is 27.1%, Moderate Acute Malnutrition (MAM) is 24.9%, and overnutrition is 7.7%. This phenomenon proves to impair the child brain development. The malnourished children, both under- and over- nourished children have significantly (P-value<0.05) lower memory ability compared to the normal children (memory score, N; SAM = 45.2, 60; MAM = 48.5, 61; overweight = 48.4, 43; obesity = 47.9, 60; normal = 52.4, 163). The plausible reasons behind these evidences are the lack of nutrient intake during the sprout growth period on undernourished children or increasing adiposity on overnourished children might influence the growth of hippocampus area which responsible to the memory ability. Either undernutrition or overnutrition, the preventive action on this problem is preferable to avoid ongoing cognitive performance loss of the next generation. Some possible solutions for this phenomenon are promoting breast feeding initiation and exclusive breast feeding practices for infants, supporting the consumption of a normal portion of milk (250 to 500 ml per day) for children, and breaking the chain of poverty by socioeconomic improvement. And, the national food security becomes the fundamental point for the betterment of the next. In the global context, the causes of under- and over- nutrition have to be opposed through integrated and systemic approaches for a better quality of the next generation of human beings.
Resumo:
Introducción: La OMS revela que en 2010 alrededor de 43 millones de niños menores de 5 años presentan sobrepeso. En Colombia según la Encuesta Nacional de Situación Nutricional en Colombia en su versión 2005, mostraba una prevalencia general de sobrepeso de 3.1% niños de 0 a 4 años. Es una condición de salud de origen multifactorial en la que interviene factores genéticos, ambientales, maternos y perinatales. Objetivo: Establecer la asociación de riesgo entre el bajo peso al nacer y el desarrollo de sobrepeso y obesidad en niños de 4 a 5 años. Metodología: Se realizó un estudio observacional descriptivo retrospectivo de corte transversal con los datos nutricionales, maternos y perinatales de la Encuesta Nacional de Demografía en Salud del año 2010 en Colombia. Se analizó la asociación entre la variable independiente bajo peso al nacer con el desenlace sobrepeso y obesidad en menores de 4 a 5 años, usando como medida el IMC según la edad. Se realizaron análisis univariados, bivariados y de regresión logística con un modelo de riesgo según las variables que inciden en el desenlace y la variable independiente. Resultados: La muestra obtenida para el estudio fue de 2166 niños de 4 a 5 años de edad quienes cumplían los criterios de inclusión. La prevalencia de sobrepeso u obesidad en la primera infancia fue de 21.8% (472) y el bajo peso al nacer. Los resultados sugieren la asociación de bajo peso y sobrepeso u obesidad es de ORajustado= 0.560 (0.356 – 0.881). Conclusiones: Los resultados sugieren que existe una asociación como factor protector entre el bajo peso y el sobrepeso u obesidad en la primera infancia. Sin embargo, debido al comportamiento de las variables consideradas en la muestra no hay suficiente información para rechazar completamente la hipótesis nula.
Resumo:
Várias evidências científicas têm mostrado consistentemente que o leite materno é o melhor alimento para os bebés sendo altamente benéfico para sua saúde a curto, médio e longo prazo. É recomendado às mulheres que amamentem o seu bebé exclusivamente por 6 meses e continuem a amamentar após os 6 meses, como parte de uma dieta equilibrada. Em casos em que, por qualquer motivo, a mãe não produz quantidade suficiente de leite, o bebé seja prematuro ou tenha alguma patologia, o leite materno doado pode ser a alternativa mais benéfica. Este trabalho tem por objetivo analisar a realidade dos bancos de leite doado em Portugal e no resto do mundo, bem como descrever o seu funcionamento desde a chegada do leite ao banco até à dispensa. Assim, para além do trabalho diário no banco de leite do Hospital Universitario Virgen de las Nieves em Granada, estudou-se o funcionamento de outros bancos de leite no mundo, incluindo Portugal, com o objetivo de comparar técnicas, procedimentos, e propor melhoramentos no processamento do leite materno doado. Com este estudo, foi possível concluir sobre a relevância nutricional e imunológica do Leite Humano Doado (LHD). Verificando-se que em casos de impossibilidade de a mãe amamentar, esta será a melhor opção de alimentação para bebés prematuros e/ou com muito baixo peso ao nascer. Quanto ao procedimento nos Bancos de Leite Humano (BLH), conclui-se que são necessários mais estudos e mais formação dos profissionais de saúde de forma a melhorar a qualidade do LHD bem como reduzir os riscos de infeção.
Resumo:
The human colonic microflora has a central role in health and disease, being unique ill its complexity and range of functions. As such, dietary modulation is important for improved gut health, especially during the highly-sensitive stage of infancy. Diet call affect the composition of the gut microflora through the availability of different substrates for bacterial fermentation. Differences in gut microflora composition and incidence of infection exist between breast-fed and formula-fed infants, with the former thought to have improved protection. Historically, this improvement has been believed to be a result of the higher presence of reportedly-beneficial genera such as the bifidobacteria. As such, functional food ingredients such as prebiotics and probiotics could effect a beneficial modification in the composition and activities of gut microflora of infants by increasing positive flora components. The prebiotic approach aims to increase resident bacteria that are considered to be beneficial for human health, e.g. bifidobacteria and lactobacilli, while probiotics advocates the use of the live micro-organisms themselves in the diet. Both approaches have found their way into infant formula feeds and aim to more closely simulate the gut microbiota composition seen during breast-feeding.
Resumo:
Background A significant proportion of women who are vulnerable to postnatal depression refuse to engage in treatment programmes. Little is known about them, other than some general demographic characteristics. In particular, their access to health care and their own and their infants' health outcomes are uncharted. Methods We conducted a nested cohort case-control study, using data from computerized health systems, and general practitioner (GP) and maternity records, to identify the characteristics, health service contacts, and maternal and infant health outcomes for primiparous antenatal clinic attenders at high risk for postnatal depression who either refused (self-exclusion group) or else agreed (take-up group) to receive additional Health Visiting support in pregnancy and the first 2 months postpartum. Results Women excluding themselves from Health Visitor support were younger and less highly educated than women willing to take up the support. They were less likely to attend midwifery, GP and routine Health Visitor appointments, but were more likely to book in late and to attend accident and emergency department (A&E). Their infants had poorer outcome in terms of gestation, birthweight and breastfeeding. Differences between the groups still obtained when age and education were taken into account for midwifery contacts, A&E attendance and gestation;the difference in the initiation of breast feeding was attenuated, but not wholly explained, by age and education. Conclusion A subgroup of psychologically vulnerable childbearing women are at particular risk for poor access to health care and adverse infant outcome. Barriers to take-up of services need to be understood in order better to deliver care.
Resumo:
Objective: To assess the nutritional status and dietary practices of 0-24-month-old children living in Brazilian Amazonia. Design: Cross-sectional study. Information oil children`s dietary intakes was obtained from diet history data. Weight and length Were measured for anthropometric evaluation. Fe status Was assessed Using fasting venous blood samples; Hb, serum ferritin and soluble tranferrin receptor concentrations were measured. Setting: The towns of Assis Brasil and Acrelandia in the state of Acre, north-west Brazil. Subjects: A total of sixty-nine randomly selected 0-24-month-old children. Results: Of these children, 40.3 % were anaemic, 63.1% were Fe-deficient, 28.1% had Fe-deficiency anaemia and 11.6% were stunted. Breast-feeding was initiated by 97.1% of mother followed by early feeding with complementary foods. The dietary pattern reflected a high intake of carbohydrate-rich foods and cow`s milk, with irregular intakes Of fruit, Vegetables and meat. All infants and 92.3% of toddlers were at risk Of inadequate Fe intakes. Fe from animal foods contributed Oil average 0.5% and 14.3% to total dietary Fe intake among infants and toddlers, respectively. Conclusions: Poor nutritional status and inadequate feeding practices in this study population reinforce the importance of exclusive breast-feeding during the first 6 months of life. Greater emphasis is required to improve the bioavailability of dietary Fe during complementary feeding practices.
Resumo:
O presente trabalho pretende ser o primeiro no campo da psicologia da mulher, a enfocar o tema amamentação numa perspectiva sócio-cultural. Trata-se de uma pesquisa de campo não experimental realizada entre mulheres que amamentaram seus filhos. O método utilizado para coleta de dados foi a história de vida. A população estudada consta de trinta nutrizes, a saber: dez de classe média, dez de classe baixa e dez avós. Foi feita uma análise comparativa da experiência de amamentação das mulheres dos três grupos estudados. Com base nesses dados pode-se concluir, que a amamentação longe de ser apenas um fato biológico singular, é uma construção social, instrumento ideológico de opressão da mulher.