980 resultados para Babeuf, Gracchus, 1760-1797.


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Oliver Rising (1775-1855) lived in Herkimer County, New York. He is buried in Cedar Lake Cemetery, Cedar Lake (part of the town of Litchfield) in Herkimer County, with his wife Hannah (1780-1855) and his son Oliver Rising Jr. (1817-1861).

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A diary and account book of Oliver Rising Senior, of Herkimer County, New York. The diary includes a black and white photograph of Esther Rising Myers and one of Rev. John Myers pasted onto the pages. Oliver recounts his travels into Canada through Chippawa, Niagara Falls, and the garrison at Little York in 1797 (p. 61-62). He also describes the British invasion of Sacket’s Harbour in 1812 (p. 100).

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Thomas Millard Senior was born in Middlesex, Connecticut, in 1728. He served as a Private with Butler’s Rangers. In July 1784, Thomas and his wife Mary, along with their 4 children, were on a list “to settle and cultivate the lands opposite Niagara”. He took the oath of allegiance at Niagara around 1784-85.

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John Butler (1728-1796) was originally from Connecticut but settled with his family in the Mohawk valley of New York around 1742. His father was a Captain in the British army and well acquainted with William Johnson (superintendent of Northern Indians). Butler impressed Johnson with his aptitude for Indian languages and diplomacy. He began to work with Johnson in 1755, and received several promotions in the department, until his apparent retirement in the early 1770s. At the onset of the Revolutionary War in 1775, Butler relocated to Canada to join the British forces, settling in Niagara. During the War, Butler was instrumental in maintaining the alliance with the Indians. After the War, Butler became prominent in local affairs in Niagara, but failed to secure any important offices when the province of Upper Canada was formed in 1792. In an effort to recoup some of the financial losses his family suffered during the War, Butler illegally attempted to supply trade goods to the Indian department with his son Andrew, his nephew Walter Butler Sheehan, and Samuel Street, a Niagara merchant.

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La métaphore de la famille a été utilisée, aussi bien à l’époque coloniale qu’à l’époque républicaine, pour illustrer le système politique idéal, la domination d’un groupe privilégié, les parents, sur une population obéissante, les enfants. Cette thèse survole les multiples facettes de la minorité en Équateur à l’époque coloniale et au début de l’époque républicaine (1760-1845), en se penchant sur les stratégies mises en place par l’État pour reléguer à un rang subalterne des individus n’appartenant pas à la catégorie raciale blanche métisse, c’est-à-dire les Indiens, les Noirs, les sang-mêlés, à travers un discours infantilisant. Elle s’intéresse aussi à la résistance d’individus refusant de se percevoir comme des mineurs et qui n’acceptaient pas l’ordre établi, les lois ou les décisions gouvernementales. En se présentant comme des parents compétents et en réclamant la patria potestad, l’autorité légale sur leurs enfants, des adultes considérés comme des enfants métaphoriques dans la grande famille patriarcale, par exemple des femmes, des pères indiens ou même des esclaves d’origine africaine, ont revendiqué plus d’autonomie pour eux, pour leurs familles, ou pour leurs communautés. Les guerres d’indépendance ont donné naissance à une république, la Grande-Colombie, et plus tard à un pays, l’Équateur. La figure symbolique du « parent » n’était plus incarnée par le roi d’Espagne et son appareil bureaucratique. Le système politique avait maintenant plusieurs « pères », membres d’un groupe restreint de Créoles qui, hier encore, se plaignaient d’être infantilisés par les Espagnols tyranniques. Les gens du peuple, en grande partie composé d’Indiens, étaient toujours considérés comme des « enfants » dans la nouvelle république. Comment expliquer que, dans une Nation désormais libre, des pans entiers de la population demeurent sous la tutelle d’hommes blancs? Une justification sera utilisée à répétition pour expliquer ce phénomène : l’ignorance du peuple et le besoin d’encadrement temporaire de celui-ci. Ainsi, s’est construit sur plus d’un siècle un véritable « mythe », celui d’une Nation en émergence où tous les citoyens seraient enfin placés sur un pied d’égalité, d’une Nation propre qu’on aurait nettoyée à l’aide d’écoles et de campagnes d’éducation populaire d’une tache tenace : celle de la Barbarie.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.