990 resultados para American fiction


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Selected stories from his: Crooked trails, and Pony tracks.

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A romantic sketch of the early history of Virginia, concluding with Bacon's insurrection.

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Wright's American fiction, v. III, no. 2497.

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Castiron Culver -- Miss Mansel's sister -- The liar -- Five millions -- The little old woman -- The handicap -- The home for decayed schoolmasters.

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Printed on decorated paper.

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Wright American fiction,

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Red cloth stamped in white and blind.

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Homero Aridjis (b. 1940) is a major Mexican poet, novelist, essayist and ecological activist whose prolific body of work, ranging over forty years and including more than eleven volumes of poetry and thirteen novels, has yet to be studied as a coherent literary corpus in the context of recent Latin American fiction. The purpose of this dissertation was to analyze the narrative works of this author as both illustrative of the changes that have occurred in Latin American fiction since the 1960s when it first burst onto the world scene, as well as to study the uniqueness of this particular author's view of literature as it relates to historical discourse, apocalypticism. and social commitment. ^ Research showed that in the case of the narrative style of Aridjis, major trends in the contemporary Latin American novel were present in such a profuse and model manner as to confirm this author's importance as a prime example of what is commonly known as “Post-Boom” fiction. However, beyond the mere presence of literary elements, this study showed that the author's unique approach to narrative style has altered and expanded the aesthetic and thematic possibilities of the contemporary novel. The area where this is most clearly seen is in his experimentation with the historical genre. By manipulating the referential techniques of what has lately come to be known as the “new historical novel,” Aridjis has written both a cycle of purely historical novels and a cycle of futuristic ones that attempt to transcend the temporal limits traditionally imposed by these narrative forms, fusing them into one constant questioning of the nature of love, hate and identity. In this manner, he has developed a “simultaneist” narrative approach where distinct historical and imagined periods, places, people, things, and texts coexist and interact, widening almost to delirium the interpretative possibilities of the work. ^ This unique view of time and narrative, together with the author's political activism and millenarian view of history, make the novels of Homero Aridjis an important element in understanding the continuing development and evolution of Latin American fiction at the turn of the century. ^

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Cette thèse étudie la façon dont trois romans latino-canadiens utilisent le trope de l’exil comme allégorie d’un trauma historique qui comprend plus que l’expérience individuelle de ses protagonistes : la transition forcée de l’État vers le Marché en Amérique latine effectuée par les dictatures. Cobro revertido (1992) de José Leandro Urbina; Le pavillon des miroirs (1994) Sergio Kokis; et Rojo, amarillo y verde (2003) de Alejandro Saravia, explorent divers aspects de ce processus à travers les exercices de mémoire de leurs personnages. L’exil oblige les protagonistes de ces oeuvres à se confronter aux limites des structures sémiotiques par lesquelles ils essaient de donner un fondement idéologique à leur existence sociale. Ils découvrent ainsi qu’il n’est pas possible de reproduire des hiérarchies, des valeurs, ni des relations de pouvoir de leur pays d’origine dans leur pays d’accueil, non seulement à cause des différences culturelles, mais aussi à cause d’un changement historique qui concerne la relation du sujet avec la collectivité et le territoire. Ces œuvres abordent l’expérience de ce changement par un dialogue avec différents genres littéraires comme le roman de fondation, la méta-fiction historique du Boom, le roman de formation et le testimonio, mis en relation avec divers moments historiques, de la période nationale-populaire aux transitions, en passant par les dictatures. Cela permet aux auteurs de réfléchir aux mécanismes narratifs que plusieurs œuvres latino-américaines du XXème siècle ont utilisé pour construire et naturaliser des subjectivités favorables aux projets hégémoniques des États nationaux. Ces exercices méta-narratifs comprennent le rôle de l’écriture comme support privilégié pour l’articulation d’une identité avec le type de communauté imaginaire qu’est la nation. Ils servent aussi à signaler les limites de l’écriture dans le moment actuel du développement technologique des médias et de l’expansion du capitalisme transnational. Ainsi, les auteurs de ces œuvres cherchent d’autres formes de représentation pour rendre visibles les traces d’autres histoires qui n’ont pas pu être incorporées dans le discours historique officiel.

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Cette thèse étudie la façon dont trois romans latino-canadiens utilisent le trope de l’exil comme allégorie d’un trauma historique qui comprend plus que l’expérience individuelle de ses protagonistes : la transition forcée de l’État vers le Marché en Amérique latine effectuée par les dictatures. Cobro revertido (1992) de José Leandro Urbina; Le pavillon des miroirs (1994) Sergio Kokis; et Rojo, amarillo y verde (2003) de Alejandro Saravia, explorent divers aspects de ce processus à travers les exercices de mémoire de leurs personnages. L’exil oblige les protagonistes de ces oeuvres à se confronter aux limites des structures sémiotiques par lesquelles ils essaient de donner un fondement idéologique à leur existence sociale. Ils découvrent ainsi qu’il n’est pas possible de reproduire des hiérarchies, des valeurs, ni des relations de pouvoir de leur pays d’origine dans leur pays d’accueil, non seulement à cause des différences culturelles, mais aussi à cause d’un changement historique qui concerne la relation du sujet avec la collectivité et le territoire. Ces œuvres abordent l’expérience de ce changement par un dialogue avec différents genres littéraires comme le roman de fondation, la méta-fiction historique du Boom, le roman de formation et le testimonio, mis en relation avec divers moments historiques, de la période nationale-populaire aux transitions, en passant par les dictatures. Cela permet aux auteurs de réfléchir aux mécanismes narratifs que plusieurs œuvres latino-américaines du XXème siècle ont utilisé pour construire et naturaliser des subjectivités favorables aux projets hégémoniques des États nationaux. Ces exercices méta-narratifs comprennent le rôle de l’écriture comme support privilégié pour l’articulation d’une identité avec le type de communauté imaginaire qu’est la nation. Ils servent aussi à signaler les limites de l’écriture dans le moment actuel du développement technologique des médias et de l’expansion du capitalisme transnational. Ainsi, les auteurs de ces œuvres cherchent d’autres formes de représentation pour rendre visibles les traces d’autres histoires qui n’ont pas pu être incorporées dans le discours historique officiel.

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This article compares the sorrowing child in Jonathan Safran Foer’s Extremely Loud and Incredibly Close (2005) and Brian Selznick’s The Invention of Hugo Cabret (2007), which break traditional novelistic frames through their use of visual material. Through their employment of the orphan figure and their inventive, experimental formal aspects, both Foer’s and Selznick’s novels work as interventions in the debate about the role of fiction after 9/11. Steering clear of a never-ending state of orphanhood, or a return to the nuclear family ideal of the 1950s, they offer different solutions to the family crisis triggered by the loss of a father in a burning building, and, by extension, to the national crisis triggered by 9/11. The bond between father and son that the novels portray represents an affective masculinity that is in line with the emotional narrative work that the two orphan boys perform in the plot and for the readers, which is similar to that of orphan girls in earlier American fiction. In addition to fulfilling the time-honored function of the orphan healing the adult world in a crisis-laden present, Foer’s Oskar and Selznick’s Hugo are post-9/11 “inventions” that highlight the uses of invention in a post-9/11 world.