IRM cardiaque dans le suivi des cardiopathies congénitales à l'âge adulte [Cardiac MRI in the follow-up of adult congenital cardiomyopathy patients].

Magnetic resonance imaging is a rapidly developing modality in cardiology. It offers an excellent image definition and a large field of view, allowing a more accurate morphological assessment of cardiac malformations. Due to its unique versatility and its ability to provide myocardial tissue characterization, cardiac magnetic resonance (CMR) is now recognized as a central imaging modality for a wide range of congenital heart diseases, including assessment of post-surgical cardiac anatomy, quantification of valvular disease and detection of myocardial ischemia. CMR provides useful diagnostic information without any radiation exposure, and improves the global management of patients with congenital heart disease.

Long-term follow-up of four patients with Langer-Giedion syndrome: clinical course and complications.

Long-term observations of individuals with the so-called Langer-Giedion (LGS) or tricho-rhino-phalangeal type II (TRPS2) are scarce. We report here a on follow-up of four LGS individuals, including one first described by Andres Giedion in 1969, and review the sparse publications on adults with this syndrome which comprises ectodermal dysplasia, multiple cone-shaped epiphyses prior to puberty, multiple cartilaginous exostoses, and mostly mild intellectual impairment. LGS is caused by deletion of the chromosomal segment 8q24.11-q24.13 containing among others the genes EXT1 and TRPS1. Most patients with TRPS2 are only borderline or mildly cognitively delayed, and few are of normal intelligence. Their practical skills are better than their intellectual capability, and, for this reason and because of their low self-esteem, they are often underestimated. Some patients develop seizures at variable age. Osteomas on processes of cervical vertebrae may cause pressure on cervical nerves or dissection of cerebral arteries. Joint stiffness is observed during childhood and changes later to joint laxity causing instability and proneness to trauma. Perthes disease is not rare. Almost all males become bald at or soon after puberty, and some develop (pseudo) gynecomastia. Growth hormone deficiency was found in a few patients, TSH deficiency so far only in one. Puberty and fertility are diminished, and no instance of transmission of the deletion from a non-mosaic parent to a child has been observed so far. Several affected females had vaginal atresia with consequent hydrometrocolpos.

Neuro-developmental follow-up of neonates treated with magnesium sulfate for persistent pulmonary hypertension

Rapport de synthèse : DEVENIR NEURO-DEVELOPPEMENTAL DE NOUVEAU-NES TRAITES PAR DU SULFATE DE MAGNESIUM POUR UNE HYPERTENSION PULMONAIRE PERSISTANTE L'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HTPP) est un trouble de l'adaptation post-natale de la circulation pulmonaire caractérisé par une défaillance de la diminution normale des résistances vasculaires pulmonaires, accompagné d'un shunt droite-gauche, résultant en une hypoxémie profonde. C'est une pathologie sévère nécessitant des soins intensifs avec un risque augmenté de handicaps neurologiques chez les survivants. Le traitement de l'HTPP du nouveau-né inclut une ventilation mécanique ainsi que différents agents pharmacologiques pour dilater les vaisseaux pulmonaires, dont le sulfate de magnésium (MgSO4) à hautes doses par voie intraveineuse et le monoxyde d'azote par voie inhalée (iN0). Le MgSO4 est une alternative thérapeutique de l'HTPP du nouveau-né avec peu d'effets secondaires et une mortalité basse. Il a aussi été démontré que le MgSO4 est un traitement de l'HTPP du nouveau-né autant efficace que le iN0 et moins coüteux. Des études sur le suivi neuro-développemental de nouveau-nés avec HTPP traités selon différentes méthodes ont été publiées reportant des taux élevés de handicaps majeurs et mineurs. Plus récemment, des études de suivi après traitement par iN0 ont montré des taux plus bas qu'avec des traitements antérieurs. Le devenir neuro-développemental àlong terme d'enfants traités avec du MgSO4 n'a pas été documenté. Le but de cette étude est de décrire le développement des enfants qui ont présenté une HTPP traitée seulement avec du MgS04, de reporter l'incidence de handicaps majeurs et mineurs, et de les comparer à un groupe contrôle d'enfants sains du même âge ainsi qu'aux données de la littérature. La population consiste en 33 nouveau-nés traités pour une HTPP avec seulement du MgSO4 (groupe étude) et 32 nouveau-nés à terme sains (groupe contrôle). Un suivi neurodéveloppemental standardisé et approfondi a été effectué aux âges clés de 18 mois et 5 ans. Les taux de handicaps majeurs à 18 mois et 5 ans dans le groupe étude étaient de 6% et 11,4% respectivement, et de 0% aux deux âges dans le groupe contrôle. Les taux de handicaps mineurs aux mêmes âges étaient de 3% et 26,9% pour le groupe étude, et de 0% et 26,1% pour le groupe contrôle. Les quotients développementaux moyens à 18 mois étaient de 106,6 (DS 1,6) dans le groupe étude et de 118,3 (DS 1,0) dans le groupe contrôle (P < 0,001). L'index général intellectuel en âge préscolaire était de 112.6 (DS 3.7), respectivement de 119.3 (DS 3.1 ), sans différence significative entre les deux groupes. A 18 mois, les taux de handicaps majeurs et mineurs dans les groupes études et contrôle étaient de 6% et 3%. Dans la littérature, des taux entre 0% et 33% ont été décrits. A cet âge, il y avait une différence significative pour tous les scores du test de Griffiths, mëme en tenant compte du status socio-économique de la famille. Ceci suggère un léger retard du développement global et non une altération spécifique. Ces différences n'étaient plus significatives en âge préscolaire, suggérant un rattrapage développemental. Le taux de handicaps majeurs en âge préscolaire pour le groupe étude était de 11.5%, sans aucune infirmité motrice cérébrale. Ces résultats correspondent à ceux d'études de suivi après d'autres traitements jusqu'à l'âge de 24 mois avec des taux variant de 0% à 15%. Le taux de handicaps mineurs était de 26.9% dans le groupe étude et de 26.1% dans le groupe contrôle, sans différence significative entre les deux groupes. L'incidence de handicaps mineurs dans le groupe étude était plutôt élevée en comparaison aux données de la littérature (6 à 22% à 6 ans). Une explication possible est que nous avons considéré des problèmes de langage et de comportement comme handicaps mineurs. Ceci suggère une différence méthodologique et non une plus mauvaise issue dans nos deux groupes. Les évaluations cognitives des enfants des deux groupes se trouvaient dans la norme, ce qui est aussi le cas dans la littérature. En conclusion, cette étude longitudinale non randomisée d'enfants traités avec du MgSO4 seul pour une HTPP sévère ne montre pas de conséquences sur le devenir neuro-développemental à long terme. Cette étude le démontre pour la première fois. Malgré le fait que iN0 soit le traitement actuellement recommandé pour l'HTPP du nopuveau-né, le MgSO4 reste largement utilisé, en particulier dans des pays en voie de développement. L'absence de complications neuro-développementales majeures à long terme permet de considérer l'administration du MgSO4 pour le traitement de l'HTPP du nouveau-né en cas de non réponse ou d'inaccessibilité au iNO.

Solitary fibrous tumor of the lateral ventricle: CT appearances and pathologic correlation with follow-up.

Intracranial solitary fibrous tumors are rare, and intraventricular fibrous tumors are even more unusual. We report a case of solitary fibrous tumor in the region of trigone and body of the left lateral ventricle and discuss the clinical presentation, CT characteristics, and histopathologic features with 1-year follow-up. We speculate that the tumor arose from the perivascular connective tissue of the choroid plexus.

The role of ceramide trihexoside (globotriaosylceramide) in the diagnosis and follow-up of the efficacy of treatment of Fabry disease: a review of the literature.

Fabry disease is caused by a deficiency of a-galactosidase A which leads to the progressive intra-lysosomal accumulation of ceramide trihexoside (CTH), also known as globotriaosylceramide (Gb3), in different cell types and body fluids. The clinical manifestations are multisystemic and predominantly affect the heart, kidney and central nervous system. The role of CTH in the pathophysiological process of Fabry disease is not established, and the link between the degree of accumulation and disease manifestations is not systematic. The use of CTH as a diagnostic tool has been proposed for several decades. The recent introduction of a specific treatment for Fabry disease in the form of enzyme replacement therapy (ERT) has led to the need for a biological marker, in place of a clinical sign, for evaluating the efficacy of treatment and also as a tool for following the long term effects of treatment. The ideal biomarker must adhere to strict criteria, and there should be a correlation between the degree of clinical efficacy of treatment and a change in its concentration. This review of the literature assesses the utility of CTH as a diagnostic tool and as a marker of the efficacy of ERT in patients with Fabry disease. Several techniques have been developed for measuring CTH; the principles and the sensitivity thresholds of these methods and the units used to express the results should be taken into consideration when interpreting data. The use of CTH measurement in Fabry disease should be re-evaluated in light of recent published data.

Mental Health Services Follow Up Regional Summary (PDF 186 KB)

June 2004 - main findings on progress arising from follow-up, emerging issues, key conclusions

Radiology Services in NI Follow Up Regional Summary (PDF 1243 KB)

Report Published June 2001 - Contains key recommendations and the way forward

Water Management Performance in NIHPSS Follow Up Report (PDF 638 KB)

Report Published December 1998

District Nursing Services in Northern Ireland Follow Up Regional Report (PDF 1080 KB)

District Nursing Services in Northern Ireland Follow Up Regional Report

Energy Management Follow Up Report (PDF 1996 KB)

Report Published August 1998

Concomitant cisplatin and hyperfractionated radiotherapy in locally advanced head and neck cancer: 10-year follow-up of a randomized phase III trial (SAKK 10/94).

Purpose: To compare the long-term outcome of treatment with concomitant cisplatin and hyperfractionated radiotherapy versus treatment with hyperfractionated radiotherapy alone in patients with locally advanced head and neck cancer.Methods and Materials: From July 1994 to July 2000, a total of 224 patients with squamous cell carcinoma of the head and neck were randomized to receive either hyperfractionated radiotherapy alone (median total dose, 74.4 Gy; 1.2 Gy twice daily; 5 days per week) or the same radiotherapy combined with two cycles of cisplatin (20 mg/m(2) for 5 consecutive days during weeks 1 and 5). The primary endpoint was the time to any treatment failure; secondary endpoints were locoregional failure, metastatic failure, overall survival, and late toxicity assessed according to Radiation Therapy Oncology Group criteria.Results: Median follow-up was 9.5 years (range, 0.1-15.4 years). Median time to any treatment failure was not significantly different between treatment arms (hazard ratio [HR], 1.2 [95% confidence interval [CM 0.9-1.7; p = 0.17]). Rates of locoregional failure-free survival (HR, 1.5 [95% CI, 1.1-2.1;p = 0.021), distant metastasis-free survival (HR, 1.6 [95% CI, 1.1-2.5; p = 0.021), and cancer-specific survival (HR, 1.6 [95% CI, 1.0-2.5;p = 0.03]) were significantly improved in the combined-treatment arm, with no difference in major late toxicity between treatment arms. However, overall survival was not significantly different (HR, 1.3 [95% CI, 0.9-1.8; p = 0.11]).Conclusions: After long-term follow-up, combined-treatment with cisplatin and hyperfractionated radiotherapy maintained improved rates of locoregional control, distant metastasis-free survival, and cancer-specific survival compared to that of hyperfractionated radiotherapy alone, with no difference in major late toxicity. (C) 2012 Elsevier Inc.

Long-term follow-up of patients with follicular lymphoma receiving single-agent rituximab at two different schedules in trial SAKK 35/98.

PURPOSE: We report the long-term results of a randomized clinical trial comparing induction therapy with once per week for 4 weeks single-agent rituximab alone versus induction followed by 4 cycles of maintenance therapy every 2 months in patients with follicular lymphoma. PATIENTS AND METHODS: Patients (prior chemotherapy 138; chemotherapy-naive 64) received single-agent rituximab and if nonprogressive, were randomly assigned to no further treatment (observation) or four additional doses of rituximab given at 2-month intervals (prolonged exposure). RESULTS: At a median follow-up of 9.5 years and with all living patients having been observed for at least 5 years, the median event-free survival (EFS) was 13 months for the observation and 24 months for the prolonged exposure arm (P < .001). In the observation arm, patients without events at 8 years were 5%, while in the prolonged exposure arm they were 27%. Of previously untreated patients receiving prolonged treatment after responding to rituximab induction, at 8 years 45% were still without event. The only favorable prognostic factor for EFS in a multivariate Cox regression was the prolonged rituximab schedule (hazard ratio, 0.59; 95% CI, 0.39 to 0.88; P = .009), whereas being chemotherapy naive, presenting with stage lower than IV, and showing a VV phenotype at position 158 of the Fc-gamma RIIIA receptor were not of independent prognostic value. No long-term toxicity potentially due to rituximab was observed. CONCLUSION: An important proportion of patients experienced long-term remission after prolonged exposure to rituximab, particularly if they had no prior treatment and responded to rituximab induction.