958 resultados para Soins de longue durée


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La fécondation in vitro (FIV) n'est pas remboursée. Le Tribunal fédéral le répète inlassablement depuis bientôt 30 ans. Néanmoins, les assurées ne baissent pas les bras et périodiquement resoumettent la question, espérant que de nouvelles données scientifiques sauront infléchir la Haute Cour. En vain. Le tribunal l'a redit en octobre 2012:1 cette prestation n'est pas à charge des caisses.2 L'ordonnance sur les prestations de l'assurance-maladie (OPAS3) le prévoit explicitement, et il n'y a simplement pas lieu d'examiner une disposition d'une ordonnance du Département fédéral de l'intérieur (DFI). Le raisonnement est toutefois un peu court. Premièrement, le refus du Tribunal fédéral d'examiner si l'ordonnance respecte le cadre de la délégation législative ne convainc pas. Deuxièmement, la FIV remplit les critères imposés à la prise en charge tels que décidés par le législateur dans la loi sur l'assurance-maladie (LAMal4). Enfin, les assurés qui décident de recourir contre un refus de remboursement sont privés des garanties minimales de procédure que leur garantit pourtant la Convention européenne des droits de l'homme. La présente contribution commence par une brève description de la FIV. Elle expose ensuite la législation applicable (partie 2) et la jurisprudence fédérale qui en découle (partie 3). La partie suivante critique la position du Tribunal fédéral au regard des principes énoncés dans la législation. Une comparaison avec l'insémination intra-utérine (IIU), pour laquelle le Tribunal fédéral a admis le remboursement, met en lumière les incohérences de la jurisprudence. La compatibilité de la jurisprudence fédérale avec l'art. 6 de la Convention européenne sur les droits de l'homme est évaluée. La conclusion plaide pour une réforme partielle du système procédural gouvernant la prise en charge des prestations de soins, mais aussi des techniques médicales alternatives.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cet article décrit les procédures de soins mises en place depuis 10 ans au Centre de jeu excessif à Lausanne pour intégrer les proches dans le traitement des addictions aux jeux d'argent. Ce bilan permet de dégager également des pistes pour améliorer cette prise en compte des proches, que ce soit au niveau de la formation ou au niveau politique. (réd.).

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ce rapport décrit le marché des médicaments remboursés par l'assurance obligatoire des soins (AOS) avec une intention particulière des génériques. En premier lieu, l'évolution des coûts et des quantités de médicaments entre 2006 et 2011; et présente la part de marché des génériques dans le marché des médicaments. Ensuite les économies résiduelles des génériques sont estimées dans l'hypothèse d'une utilisation plus étendue de ces derniers. Enfin le rapport montre l'influence des mesures des autorités fédérales dans le domaine des médicaments et de l'incidence de la commercialisation de génériques sur le prix des médicaments.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les suivis spécialisés de douleurs chroniques comportent des enjeux communicationnels sensibles liés notamment à la subjectivité des ressentis douloureux et aux fréquentes divergences de vue entre médecins et patients quant à l'origine du problème de santé et à son traitement. Centré sur ces suivis, ce travail de thèse a cherché à appréhender comment les situations sociolinguistiques des patients migrants allophones se répercutent sur la communication médicale et, plus particulièrement, sur la compréhension mutuelle dans les consultations. Il a emprunté une approche discursive s'appuyant sur l'analyse interactionnelle de consultations filmées et sur un riche corpus de données contextuelles recueillies dans des interviews de patients et de cliniciens. Les analyses réalisées ont, entre autres, mis en évidence que les difficultés de compréhension non résolues se concentrent dans les consultations des patients les moins à l'aise en français et que ces difficultés renferment pour la plupart une charge problématique certaine en termes de qualité des soins. Il apparaît également que lorsque des malentendus ou incompréhensions cliniquement pertinents ne peuvent être résolus, le caractère limité des compétences de français de base des patients migrants n'est jamais seul en cause. Des facteurs de complexité médicaux (ex. surestimations des connaissances médicales de base des patients), relationnels (ex. non-signalement de malentendus par les patients pour éviter de faire perdre la face au médecin) et discursifs (ex. nécessité de traiter de discours ou « voix » venant de l'extérieur de la consultation dans le cadre d'une polyphonie particulièrement marquée) jouent également des rôles de premier plan dans les difficultés non résolues les plus problématiques au plan clinique et sont généralement étroitement intriqués avec le langagier au sens strict. En termes pratiques, les résultats soulignent le rôle décisif de l'autoréflexivité chez les médecins, ainsi que de leur capacité à ajuster de manière flexible leurs styles communicationnels afin, par exemple, d'éviter le cumul de facteurs de complexités favorisant des malentendus ou incompréhensions problématiques. Les observations effectuées rappellent également l'importance du recours à des ressources d'interprétariat.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Deux ans après la création du poste d'infirmier au Service de Psychiatrie de Liaison du CHUV à Lausanne, nous proposons de faire le constat de nos réflexions issues de cette nouvelle pratique. Nous voulons, en portant un regard extérieur sur les équipes infirmières, définir notre implication au sujet des difficultés relationnelles qu'elles peuvent rencontrer auprès d'un malade. Nous constatons que ce vécu difficile peut être influencé par des facteurs de stress liés au contexte des soins somatiques aigus, ceux-ci se surajoutant à une problématique relationnelle ou psychiatrique. Nous postulons que la position double du rôle de l'infirmier psychiatrique de liaison, que nous définissons dans cet article, (infirmier tiers pour les équipes infirmières, et infirmier "spécialiste" pour le patient), permet d'offrir des espaces intermédiaires de réflexions quant à une recherche de compréhension d'une relation soignant / soigné et de proposer des outils spécifiques aux équipes infirmières.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L'État s'appuie aujourd'hui sur le secteur privé pour déployer les nombreuses activités qui sont les siennes et cela suivant de multiples formules : en tant que client ou partenaire, dans le cadre de collaborations ou au sein de structures communes (sociétés d'économie mixte), voire dans le modèle de la privatisation. La 18e Journée de droit administratif, organisée à Lausanne le 10 février 2015, a ainsi choisi pour thème une modalité particulière de cette collaboration, fréquente aujourd'hui, celle de la délégation d'activités étatiques au secteur privé. Elle implique un transfert - partiel - de responsabilité de l'État au bénéficiaire de la délégation, pour un ensemble d'activités déterminées ; tel est le cas par exemple de celles accomplies par une caisse maladie dans le domaine de l'assurance-maladie sociale, une association interprofessionnelle investie de tâches de formation professionnelle ou encore le concessionnaire d'une ligne de transport public. Dans un premier temps, l'ouvrage revisite brièvement le phénomène dans une approche non juridique. Il s'agit en particulier d'en repérer les justifications (managériales ou, plus largement, économiques) et de prendre la mesure des objections qu'on lui oppose, notamment sur le plan démocratique. Le coeur de l'analyse porte sur le régime juridique applicable à ce mécanisme. Après une introduction générale, les principaux thèmes liés à la délégation de tâches publiques sont abordés. Comment, tout d'abord, prend naissance la relation entre l'administration et le délégataire, par quel type d'acte (décision, contrat) et selon quelle procédure intervient le choix du délégataire ? Sont traitées ensuite des relations de ce dernier avec les particuliers, plus spécialement sous l'angle des droits fondamentaux. L'ouvrage présente en outre le cadre juridique pertinent lorsque la délégation porte respectivement sur une activité étatique classique (ministérielle ; non économique) ou, au contraire, sur une activité à caractère économique ; les divergences, on le verra, sont nombreuses entre ces deux grandes catégories de délégations. Une étude sectorielle, consacrée au cas spécifique de la délégation aux hôpitaux (qui porte plus précisément sur les prestations de soins aigus en milieu stationnaire, à charge de l'assurance-maladie de base), complète la perspective. Le présent ouvrage dresse en définitive un « état de la question » du droit suisse sur le thème très actuel de la délégation ; une synthèse finale permet encore de nouer la gerbe dans une approche comparative.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : Les fractures du membre inférieur (MI) de l'enfant traitées par immobilisation plâtrée engendrent une modification significative de la mobilité exacerbée en cas d'obésité. L'accéléromètre est un outil d'évaluation du degré d'activité physique (AP) de l'enfant scientifiquement validé. Il n'a jamais fait l'objet d'étude chez un enfant ayant souffert d'une fracture du MI. Le but de ce travail était d'identifier les problèmes dans l'utilisation d'un accéléromètre comme moyen de mesure de l'AP après fracture nécessitant une décharge du MI. Une adaptation de la réhabilitation post-traumatique en fonction du BMI pourrait alors être proposée. Méthode : Identification d'enfants âgés de 8 et 15 ans, victimes d'une fracture du membre inférieur, consultant aux urgences de l'Hôpital de l'Enfance d'octobre 2013 à mai 2014 et nécessitant une décharge post-traumatique. Etaient exclus les enfants polytraumatisés ou souffrants d'un déficit mental. Données pré-requises des patients: âge, poids, taille, sexe, mécanisme de l'accident, type de fracture et traitement. Proposition de port d'un Actiwatch® Spectrum au poignet et cheville pour la période de remobilisation en décharge. Identification des avantages et problèmes liés à l'usage de l'appareil durant les premiers 30 jours de la période de réhabilitation. Importance : L'absence totale d'étude sur la mobilité post-fracture, la complexité des problèmes liés à la marche en décharge, les contraintes de l'immobilisation plâtrée et la prévalence grandissante de l'obésité pédiatrique justifient la recherche d'un moyen fiable pour quantifier la mobilité d'un enfant en décharge après traumatisme du MI. Résultats : Sur 43 fractures du MI traitées à l'HEL durant la période de l'étude, 13 enfants identifiés, dont 1 exclu pour maladie psychiatrique, 1 refus de participation, 2 transferts immédiats, 2 non inclus pour causes pratiques. Sept garçons âgés de 11 à 16 ans ont accepté le port de l'Actiwatch® pour une durée variant entre 7 et 27 jours (moyenne 15). Nombre d'activités (NA) médians de 5 enfants: 171,79 ±105,37 [cpm]* à J1 et 219,48 ±145,52 [cpm] à J5. NA totales médianes sur 24h : 114'072±44'791 [cpm] à J1 et 234'452 ±134'775 [cpm] à J5. Une dynamique de regain de mobilité est mise en évidence avec intensités maximales et minimales du nombre d'activités pour chacun. La médiane du temps de sommeil des 5 enfants était de 716± 45,5 [mn]. Les problèmes rencontrés ont été d'ordre mécanique (Un Actiwatch® fut défectueux), d'ordre pratique (un perdu et rendu tardivement, un port intermittent, une réaction allergique au bracelet à 4j de port). Conclusions La compliance à l'utilisation de l'Actiwatch® sur toute la durée de la décharge n'était pas optimale. La mobilité moyenne des enfants était objectivable de par leur dynamique, leur intensité maximale et minimale et comparables vis-à-vis de certaines études. Une différence avec les sujets en surpoids est observable. La durée de sommeil de chaque enfant suggère que l'antalgie administrée en cours de traitement est suffisante. Utiliser ce capteur de manière prolongée et sur un grand collectif d'enfants serait un moyen fiable et simple d'objectiver la dynamique de reprise de l'activité physique chez ces patients. Profil de l'étude : observation de cas.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 58597

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Comprend : [ Planche 1. Moines remettant à l'empereur Justinien un rouleau. Transmission de la technique d'élevage du vers à soie. XVIIè siècle.] [ Cote : BNF C 28668. ] ; [ Planche 2. Femmes s'occupant des vers à soie. XVIIè siècle.] [ Cote : BNF C 28666. ] ; [ Planche 3. La cueillette des feuilles de murier et leur séchage sur les claies. XVIIè siècle.] [ Cote : BNF C 203806. ] ; [ Planche 4. Elevage des vers à soie. Tri, sélection, surveillance. Soins apportés aux vers et aux muriers. XVIIè siècle.] [ Cote BNF : C 28667. ] ; [ Dernière planche. Différentes étapes de la transformation des vers à soie. XVIIè siècle.] [ Cote : BNF C 28665. ]

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : « LE ROY DE NAVARRE » ; « HUBERT CHANCESEL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « Monseigneur ANDRIEU DOUCHE » ; « Mestre RICHART DE FOURNIVAL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « LI VIDAMES DE CHARTRES » ; « Mesire QUESNES » ; « AUDEFROIS LI BASTARS » ; « JAQUES DE DEMPIERRE » ; « MONNIOS » ; « SENDRART à Colart » ; « JEHAN DE TOURNAY » ; « CHIERTAIN à Sandrart » ; « JEHAN à Sendrart » ; « COLART à Mahieu » ; « JEHAN à Colart le Changeur » ; « COLART à Michiel » ; « LI ROYS DE NAVARRE à Girart d'Amiens » ; « RENIER à Jehan » ; « HUE à Robert » ; « RENIER DE QUARIGNON à Andriu Douche » ; « JEHAN à Robert » ; « ANDRIU DOUCHE à Jehan amis » ; « GUILLAUME à Thoumas » ; « SAUVAGE à Robert de Betune » ; « FRERE à roy de Navarre » ; « LE ROY DE NAVARRE à Frere » ; « MONNIOS » ; « Mes[i]res GASSES BRULEZ » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « Mesires GUILLAUME LI VINIERS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « LE ROI DE NAVARRE » ; « Mesires QUESNES, chevalier » ; « Monseigneur RAOUL DE SOISSONS » ; « JEHAN au roy de Navarre » ; « TIEBAUT, ROY DE NAVARRE » ; « MONNIOS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « CRESTIENS DE TROIES » ; « HUCS DE BARGI » ; « Monseingneur PIERRE DE CRAON » ; « BLONDIAUS » ; « CARASAUS » ; « ROBERT DU CHASTEL » ; « MARTINS LI BEGUINS » ; « GASTEBLE » ; « CUVELIERS » ; « GERARDIN DE BOULOINGNE » ; Nom des auteurs resté en blanc ; « Li desirriers que j'ai d'achever ». [ADAM LE BOSSU] ; « On me reprent d'amours qui me maistrie ». [JEAN LE PETIT] ; « Paine d'amour et li maux que je trai ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant plaing et souspir » ; « Orendroit plus que onques mais » ; « On dit que j'aing et pour quoi n'ameroie » ; « Se j'ai chanté, encore chanterai » ; « Pluseurs amans ont souvent desirré » ; « Li hons qui veut honneur et joie avoir » ; « Bien doi du tout à amours obeir » ; « En mon chant lo et graci » ; « Aucun qui weullent leur vie » ; « Du plaissant mal savoureus, jolis » ; « Li rosignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Tout autresi con l'ente fet venir ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Qui plus aimme et plus endure ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Il feroit trop bon mourir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Mauves arbre ne peut flourir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Une doulour enossée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chanter m'estuet que ne m'en puis tenir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Li dous pensers et li dous souvenirs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nien plus que dit peut estre sans raison ». [EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Phellippe, je vouz demant : Dui ami ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Phelippes, je vous demant : Que est devenue ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Cil qui chantent de fleur ne de verdure ». EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Aymans fins et verais ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Des ore mais est raison ». [GUIOT DE DIJON] ; « De bonne amour et de loial amie ». [GASSE BRULE.] ; « Onques ne fui sans amour ». [JEHAN] ; « Se j'ai chanté sans guerredon avoir ». [ROBERT DU CHASTEL D'ARRAS] ; « Je n'ai loisir d'assez penser ». [Le ROI DE NAVARRE.] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Au repairier que je fis de Prouvence » ; « Haute chose a en amour ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « Ou nouviaus temps que iver se debrise ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Qui veult amours maintenir ». [MONIOT DE PARIS] ; « Quant esté faut encontre la saison » ; « Amours, pour ce que mes chans soit jolis ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Pensis, desirant d'amours ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « A la plus sage et à la miex vaillant ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Se felon et losengier ». [JEHANNOT PAON DE PARIS] ; « Quant voi la glaie meure ». [Messire RAOUL DE SOISSONS.] ; « Je ne chant pas pour verdour ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Beau desir et pensée jolie » ; « Li grans desir de deservir amie » ; « Amours est une merveille ». [JEAN LE CHARPENTIER D'ARRAS] ; « Je ne sui pas esbahis ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Diex, je n'os nommer amie » ; « Grant deduit a et savoureuse vie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Bien doi chanter la qui chançon set plaire ». [GUILLAUME LE VINIER] ; « Li jolis maus que je sent ne dedoit mie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je sent en moi l'amour renouveler ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Ma douce dainé et amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Qui à droit veult amours servir ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Sans espoir d'avoir secours de nului ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dame, vos hons vous estrainne ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Pour ce se je n'ai esté chantans ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tels s'entremet de garder ». [RICHART DE FOURNIVAL.] ; « Lors quant je voi le buisson en verdure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il ne me chaut d'esté ne de rousée ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Quant voi la douce saison » ; « Puisqu'amours m'a donné le beau savoir » ; « Puisque je sui de l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Li jolis mais ne la flor qui blanchoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Lonc tamp ai esté envite et sanz joie ». [AUBUIN DE SEZANNE] ; « Tres haute amour qui tant s'est abaissie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Biau m'est du tamps de gain qui raverdoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Ne m'i donne pas talent ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Ne rose ne flour de lis » ; « Chanter m'i fait pour mez malz aligier ». [EUSTACHE LE PEINTRE ou LE COMTE DE BAR.] ; « Cilz qui d'amourz me conseille ». [GASSE BRULE] ; « Aurenouviau de la douchour d'esté. [GASSE BRULE] ; « Hé! amours, je sui norris ». [ROBERT DE LA PIERRE] ; « Desconfortés et de joie partis ». [GAUTIER D'ESPINAUS.] ; « Encor ferai une chanson perdue ». [HUGUES DE BREGI] ; « Foy et amour et loyautés ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Quant fueille, glais et verdure ». [GASSE BRULE.] ; « Onques d'amours n'oi nulle si grief painne ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « A vous, amant, plus qu'à nulle autre gent ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant je plus sui en paour de m'amie ». [BLONDIAU] ; « Les oisillons de mon païs ». [GASSE BRULE.] ; « Quant li tamps pert sa chalour ». [SAUVAGE D'ARRAS] ; « Iriés et destrois et pensis ». [GASSE BRULE.] ; « Mercis clamant de mon fol errement ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « S'onques nulz hom pour dure departie ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant partis sui de Provence ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « En loyal amour ai mis » ; « Au besoing voit on l'ami ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Bien doit chanter [qui] fine amor adrece ». [BLONDIAU DE NESLE.] ; « Au commenchement du tamps » ; « Quant à son vol a failli » ; « Au tamps que muert la froidure » ; « Tant sai d'amours que cilz qui plus l'emprent ». [AUBIN DE SEZANNE] ; « Quant l'erbe muert, voi la fueille cheoir ». [GASSE BRULE] ; « Li nouveax tamps et mays et violette ». [LE CHATELAIN DE COUCI.] ; « J'aim par coustume et par us ». « BLONDIAU » [DE NESLE] ; « Au repairier en la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Nulz ne doit estre alentis » ; « Aucun dient que poins et lieus et tamps » ; « Aucune gent vont disant » ; « Sens et raisons et mesure ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Ce que je sui de bonne amour espris » ; « Moult me merveil comment on puet trouver » ; « Moult scet amours tres savoureusement » ; « Amours m'assaut doucement » ; « Dedens mon cuer s'est, n'a gaires, fichiés » ; « Je sent le doulz mal d'amours » ; « Liés et loiaus, amoureu et jolis » ; « Pris fui amoureusement » ; « Onques n'amai plus loyalmentnuljour » ; « Si me fait tres doucement » ; « Mervilliés me sui forment » ; « Moult a cilz plaisant deduit » ; « Onquez mais mainz esbahis » ; « Plus amoureusement pris » ; « Hé! bonne amour, si com vous ai servie » ; « Ce qu'amours a si tres grande poissance » ; « Loyal amour point celer » ; « Bien doi chanter liés et baus » ; « Douce amours, je vous pri merci » ; « Li doulz malz qui met en joie » ; « Amours me fait joliement chanter » ; « Onques mais si doucement » ; « Si me tient amours joli » ; « Plus ne me voeil abaubir de chanter » ; « Mult douce souffrance » ; « Merci amours de la douce dolour ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On demande moult souvent qu'est amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « J'ai.I. joli souvenir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant voi le felon temps fine ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « On voit souvent en chantant esmartir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant la flour de l'espinete » ; « Quant li cincenis s'escrie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Novelle amour qui m'est ou cors entrée ». [JACQUES DE CHISON.] ; « Quant yvers trait à fin » ; « Quant li nouviaus tens define » ; « Li dous maus mi renouvelle ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Pourquoi se plaint d'amour nuls ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Au repairié de la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tant me plest vivre en amoureus dangier ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dous est li maus qui met la gent en voie ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Amours ne me veult oïr ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je n'ai autre recevance ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Il ne muet pas de sens celui ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On me deffent que mon cuer pas ne croie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mais nuls qui aint ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mes nuls qui n'aint ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Puis que je sui en l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Or voi je bien qu'i souvient ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Li souvenir me retient » ; « Li roussignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Tout autressi que l'ente fait venir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « A tort m'ocies, amours » ; « Au dieu d'amours ai requis.I. don ». [RAOUL DE BEAUVAIS] ; « Chanter me fait bons vins et resjoïr » ; « D'enuis sent mal qui ne l'a apris ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nuls hons ne puet ami reconforter ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chançon ferai, car talens m'en est prins ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « L'autre nuit en mon dormant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant veul ma doulour descouvrir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Pour mau temps ne pour gelée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je ne chant paz revelans de merci ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Merveille est quel talent j'ai de chanter ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Robert, vees de Pierron ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Merci, où estes vous manans » ; « Une chançon encor veul ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « De grant joie me sui tous esmeüs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Puisqu'il m'estuet de ma dame partir » ; « Au temps plain de felonnie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Malvais arbrez ne puet flourir ». [LE ROI DE NAVARRE]