959 resultados para Museus virtuais
Resumo:
I. INTRODUCTION PAGE II. BUTS ET OBJECTIFS DE L’EVALUATION PAGE III. METHODOLOGIE DE L’EVALUATION PAGE IV. PRÉSENTATION DE LA BANQUE CULTURELLE DE FOMBORI PAGE IV.1. Naissance de la banque culturelle IV.2. Objectifs de la banque culturelle IV.3. Résultats attendus IV.4. Fonctionnement de la banque culturelle IV.5. Gestion de la banque culturelle IV.6. Description du problème abordé et des groupes cibles IV.7. Description des activités de la banque culturelle IV.8. Relations avec les services techniques et les autres partenaires V. RESULTATS DE L’EVALUATION PAGE V.1. Atteinte des objectifs V.2. Pertinence du concept mis en avant V.3. Qualité de la mise en oeuvre V.4. Qualité des partenariats établis V.5. Impact du projet VI. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS PAGE VI.1. Problèmes et contraintes VI.2. Recommandations VII. ANNEXES PAGE - Termes de référence pour l’évaluation du projet - Liste des personnes rencontrées - Programme de la mission
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Le musée comme forum de citoyenneté est une proposition qu'il convient de mettre en perspective. Cette posture intellectuelle et cet enjeu social sont couramment manipulés aujourd'hui par les musées y compris les musées de beaux-arts mais plus largement encore par d’autres domaines de la culture. La démocratisation culturelle tant attendue et rarement atteinte resurgirait sous cette forme spontanée et dynamique du forum où chaque citoyen trouverait un lieu d’expression. La participation citoyenne dont on aimerait pouvoir donner une définition et cerner les contours, devient un préalable à tout projet culturel. Le forum comme lieu public de débat n’est pas en reste. D’ailleurs les grands musées de société récemment inaugurés ont enfoui le terme de musée pour ériger la notion de cité (Cité de l’architecture, Cité de l’immigration) qui dans sa définition première n’est pas si loin que ça du forum. Il semblerait qu’en réunissant des activités différentes avec un souci de pluridisciplinarité dans un même lieu, on tende vers cet objectif de forum ou de cité, caractérisés par un souci d’ouverture au plus grand nombre.
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El museo representa un recinto que necesariamente tiene forma, contenido y protagonistas. En cuanto a la forma ésta es tridimensionalmente diversa, es decir, ningún museo es ni puede ser idéntico, pero conceptualmente, según la nueva museología, es la misma. Y es la misma, por la sencilla razón de que todos los espacios museísticos de la nueva museología se derivan de la relación indisoluble que existe entre territorio, patrimonio y comunidad. El museo tiene como objetivos investigar, documentar, explicar, problematizar y sistematizar todo lo relacionado con el patrimonio natural y cultural, -tangible e intangible- que condiciona su existencia. Además, también tiene como objetivos proteger, conservar, restaurar, inventariar, catalogar y proporcionarle seguridad a dicho patrimonio. Pero el museo no sería tal, si no cumpliera con los objetivos de educar, sensibilizar, concienciar, promover, comunicar y difundir el patrimonio que posee, lo estructura y lo define. El museo es un espacio temporal para el estudio y la reflexión, representa un magnífico instrumento educativo que coadyuva en los procesos de organización y acción comunitaria, en ese sentido, el museo es y debe ser un poderoso instrumento de gestión para el desarrollo comunitario.
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La museología comunitaria es una disciplina de las ciencias sociales que tiene como propósito fundamental desarrollar un proceso de organización comunitaria en torno a la planeación y operación de espacios educativos y culturales dedicados a la investigación, protección, conservación, valoración y difusión del patrimonio natural y cultural de una comunidad o región determinada, cuya misión es promover e instrumentar procesos de enseñanza-aprendizaje que contribuyan en el desarrollo integral para el mejoramiento de la calidad de vida de la población. La museología comunitaria se sustenta en tres conceptos básicos: 1. El Territorio; 2. El patrimonio y 3. La comunidad.
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La gestation du mouvement, étendue sur une période cruciale de 13 années environ (l972, Santiago et l’Ecomusée l985, fondation du Mouvement, à Lisbonne ) s’est inscrite au coeur de la mudance des sociétés, de la rénovation du discours muséologique, qu’il fut de droite ou de gauche, dans la tranformation radicale du musée, entré dans l’ère des communications, fut il communautaire ou spectaculaire: Le Mouvement véhicule dès lors la contestation de l’ordre établi, cherchant à l’ enrichir de nouvelles propositions, notament sur le plan social, éducatif et politique sous entendant l’entièreté de ses interventions. Bien qu’il ne prétende pas se présenter comme un front unitaire, tributaire des multiples tendances progressistes qui s’y côtoient, s’y entrecroisent, s’y entrechoquent, le mouvement trouve en premier lieu sa meilleure expression, conciliatrice, dans le concept révolutionnaire de l’Ecomusée. L’écomuséologie, telle qu’entendue à son origine, reprenant à son compte les acquis de la vie démocratique et de la libération collective, refuse la contrainte de la règle, les cloisonnements imposés. Le musée est ainsi collectivisé. L’écomusée franchit plusieurs étapes, qualifiées de générations selon la recherche suivie de pratiques évolotives, poussant le principe de l’autonomie et de l’égalité dans ses retranchements les plus incisifs.
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MUSÉE = Espace intérieur ou extérieur présentant des sujets ou des objets ayant acquis, par leur interprétation, une signification particulière méritant leur exposition ou leur transmission sous forme de communication visuelle ou plurimédiatique, le mouvement privilégiant l’expression directe du groupe social concerné, l’animation culturelle la provocation d’un débat, plutôt que la seule exposition.
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Une fois le mandat établi, l’entente contractuelle conclue sur la base du plan de travail, une évaluation sommaire de l’espace attribué, de la construction, de la localisation, de même que de la vocation du musée, des sources primaires de documentation et d’information, des objets disponibles, enfin de la taille et de la durée du projet, les professsionnels engagés pour préparer l’étude de programmation muséale soumettent, pour consultation, le Plan directeur. Le scénario thématique, le parcours muséographique prévisible, de même que les services se rattachant à l’accueil, permettent, dès le stade initial de l’étude, d’informer le milieu sur le parti adopté, d’apporter les corrections nécessaires avant l’étude détaillée des éléments proposés dans le plan de travail. Ce premier concensus sur le “ projet muséal” permettra, au besoin, d’appeler la collaboration du milieu par des mandats de recherché précis, confiés à des membres de la communauté, de préparer celui-ci à la gestion future du musée et de ses expositions (Portée formative de la démarche). Le Plan directeur, s’il est clairement énoncé, bien fondé, constitue le guide infailllible du processus de construction du projet, associant muséologie (Récit, thématique) et muséographie (Communication visuelle, didactique). Le Plan directeur a le grand avantage de réaliser une économie de temps, de cadrer le projet d’un coup d’oeil, de permettre de passer rapidement, sur des bases sûres et concensuelles, au stade de l’exécution, d’ en mesurer au préalable les coûts et les difficultés à résoudre. Le professionnel de musée, duement formé, en est le maître d’oeuvre privilégié.
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Nous présentons, à présent, un texte à cheval sur les concepts sur lesquels reposent les différentes formes de musées actuels et la terminologie qui en découle dans sa partie des définitions. Intitulé “la révolution muséale passe par l’exposition (Mayrand, 2007), le texte introduit de nouvelles combinaisons de mots afin de catégoriser les grandes tendances tant à gauche, qu’à droite, qu’au centre. Comme l’indique l’appellation que nous lui attribuons, cette catégorie de musées répondant aux critères de changements les plus radicaux dans le fonctionnement du musée, deviennent des unites (chaînes) de production au même titre que l’entreprise commerciale ou industrielle. Elle rejoint le Festival, la Foire, le Cirque. Elle emprunte à l’industrie sa terminologie: Vente, consommateur, client, satisfaction, rentabilité, recherche–développement, attraction, exportabilité, et tant d’autres. Le commanditaire ou partenaire financier y joue un role de premier plan. Autrefois, on allait au musée (la sortie familiale du Dimanche). A présent on va voir l’exposition X, annoncée à grands renforts de publicité (transports publics, panneaux routiers). Cette exposition “vedette” accompagnée d’expositions satellites quand ce n’est pas le bâtiment lui-même offert à voir (Bilbao), peut être considérée de deux façons, soit de l’intérieur, soit de l’extérieur (le parcours mental et physique du visiteur-client).
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POPULATION = Terme générique pour désigner l’adhésion d’une population, ou d’un groupe significatif de citoyens d’un territoire d’appartenance, au projet de muséologie sociale. Celle-ci se mesure par le degré de participation, d’implication et de vision partagée, d’interaction au sein de la collectivité territoriale, son fief. PARTICIPANTS = Sont les acteurs actifs au sein de la population adhérante, partie prenante au projet de muséologie social. La participation se mesure selon le degré d’implication dans le projet et de compréhension de celui-ci (Intérêt, gestion partagée, militance, volonté de capacitation...) COOPÉRANT = Par solidarité, par engagement, il s’insère dans le système de l’action ccopérative, possédant ses règles propres, offrant sa contribution à l’unité de production conciliant la dimension sociale (de la muséologie), son idée au regroupement de personnes désireuses de contribuer à la production commune de biens de qualité au service de la population dont ils sont issus.
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....est l’expression d’une communauté humaine, laquelle se caractérise par le partage d’un territoire, d’une culture vivante, de modes de vie et d’activités communes...Il est enfin un outil dynamique du développement de cette communauté, dont le mat´riau principal est le patrimoine au sens le plus large... (Hugues de Varine, Les Racines du futur, 2002). «Celui qui rassemble, autour d’activités culturelles et muséales, des personnes de la communauté, suffisament représentatives, désireuss de réfléchir, par une démarche démocratique (l’action communautaire) orientée vers l’action, sur l’identité collective, sur les problèmes d’épanouissement collectif, sur la recherche de pistes de solution fondées sur l’esprit coopératif (P.Mayrand).
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Nous ne croyons pas qu’il soit réaliste de penser parvenir à un concensus solide, tellement les points de vue, tenant en partie aux nuances, sont partagés sur les orientations idéologiques du MINOM, sur la crainte que l’idéologie ne prenne le dessus sur les considérations professionnelles ou éthiques. Il faut seulement espérer que la voix univoque qui s’est permise, selon un mandat du mouvement, de lancer la ligne à l’eau, ne sera pas entièrement perdue, qu’elle produira à la longue une rérflexion stimulante sur les convictions, sur l’imaginatioin créatrice qui nous amènent à faire usage de tel ou tel langage, d’entrer plus profondément dans nos univers respectifs, mais également de renforcer notre système de valeurs communes. Il ne s’agit pas d’instituer, à travers l’imposition d’un langage commun, soit un monopole, soit une dictature de la pensée unique, mais plutôt d’amener le débat sur la viabilité d’un pluriel dialectique. Une dernière tentative de sondage auprès des membres actuels du Conseil d’administration (musealogando) et de personnes qui y sont associées, sur la définition du musée, n’aura donné aucun résultat.
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Les chroniques d’un Altermuséologue, diffusées régulièrement dans un bulletin, “ Minuit-Express “, auprès d’une vingtaine de muséologues partageant notre intérêt pour la muséologie sociale, à la recherche d’alternatives pour contrer la standardisation de la muséologie actuelle, ont pour but de stimuler la réflexion auprès de nos cadets, de penser autrement. Ces chroniques ont pris les formes suivantes: Commentaires au fil de rencontres et de lectures, reconnaissance de la valeur de travaux de collègues, analyse critique de cheminements personnels quotidiens, courts essais sur des problématiques au coeur de la légitimité de la muséologie en rapport avec sa prise en compte des enjeux de société, la valorisation de la muséologie locale, son insertion dans le monde, le courage du muséologue engagé. Ces jours le jour cherchent enfin à entrer dans l’univers clos d’un muséologue, à favoriser la transparence, la confidence, le partage instantanné de nos processus, de nos états d’âme à l’intérieur d’un mouvement qui se meurt d’ hermétisme et de clostrophobie.
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Version adaptée de la série française, préparée par Luisa Rogado, pour servir à deux projets (Musée de la forge, Casa museu de la misericorde), dans la Municipalité d’Alcoutin, en Algarve. Le projet avait, entre autres , pour but d’éviter les erreurs qui firent du Musée du Guadiana, à Guerreiro dos Rios, un semi échec, les contrôles du design et du programme d’animation ayant échappé à la muséologue, coordonnatrice du projet, qui servira néanmoins de leçon au projet pilote de Carrapateira (Musée de la Terre et de la Mer) tous deux devant être jumelés comme les premiers prototypes de musées locaux de la nouvelle génération. Le musée de Carapateira introduira dans sa toute dernière phase le récit donnant sa cohésion à l’ensemble de la segmentation thématique. Cet épisode est rapporté dans l´étude de cas de carapateira sur le rapport exposition-institution (tutelle) dans le texte d’une communication intitutée «L’exposition, la face déchaînée du musée» Pierre Mayrand, ACFAS, 2008.
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Na literatura consultada, verifica-se que, nos últimos anos, a grande parte das experiências e investigações desenvolvidas na área da Museologia refere-se ao papel do museu centrado na questão da sua dimensão pedagógica, sendo que, em geral, concebe-se essa dimensão, como a mera reprodução dos conteúdos transmitidos em sala de aula, utilizando o espaço do museu e as suas coleções. Salienta-se que, na maioria das vezes, os programas educativos desenvolvidos pelos museus com a rede escolar, não passam de atividades eventuais, ao mesmo tempo em que as ações museológicas de pesquisa, conservação, exposição e documentação, têm sido ineficazes no sentido de fornecer o suporte necessário para a construção de uma nova prática pedagógica. Neste sentido, objetiva-se com a presente pesquisa, analisar e sugerir a possibilidade de realização de uma nova prática pedagógica no museu, através de uma análise de historicidade do objeto museal, que deverá embasar todo o processo documental, entendido como suporte básico para a realização da comunicação no museu. No presente trabalho, considera-se a historicidade a partir das teias de relações que são estabelecidas, através de uma manifestação cultural, isto é, o processo de produção do homem em determinado momento histórico, dando significado ao espaço-tempo do contexto primário e museológico no qual o objeto museal está inserido. (Dissertação de Mestrado defendida no Departamento de Museologia da UFBA).
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Há uma gota de sangue em cada museu: a ótica museológica de Mário Andrade (M.A.) é uma dissertação de mestrado que aborda o pensamento museológico do autor de Macunaíma através da análise de seus escritos, de sua coleção particular e de suas práticas à frente do Departamento de Cultura da cidade de São Paulo e do Serviço do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional. Três questões orientam a presente dissertação: 1a. Até que ponto as propostas museológicas de M.A. representam consolidação ou rompimento com o pensamento modernista? 2a. Como se colocam na obra de M.A. as questões referentes à identidade nacional e cultura popular? 3a. Sendo o museu um lugar privilegiado de construção de memória, não seria também um baluarte da tradição? Em que sentido um museu pode ser ruptura? Como são tratadas as idéias de coleção e museu pelo poeta modernista? O enfrentamento destas questões, aliado ao entendimento de que a gota de sangue é gota de humanidade e sinal de historicidade presente nos museus, constitui a base desse estudo.