987 resultados para C-12(LI-6,D)O-16
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The involvement of the cerebellum in migraine pathophysiology is not well understood. We used a biparametric approach at high-field MRI (3 T) to assess the structural integrity of the cerebellum in 15 migraineurs with aura (MWA), 23 migraineurs without aura (MWoA), and 20 healthy controls (HC). High-resolution T1 relaxation maps were acquired together with magnetization transfer images in order to probe microstructural and myelin integrity. Clusterwise analysis was performed on T1 and magnetization transfer ratio (MTR) maps of the cerebellum of MWA, MWoA, and HC using an ANOVA and a non-parametric clusterwise permutation F test, with age and gender as covariates and correction for familywise error rate. In addition, mean MTR and T1 in frontal regions known to be highly connected to the cerebellum were computed. Clusterwise comparison among groups showed a cluster of lower MTR in the right Crus I of MWoA patients vs. HC and MWA subjects (p = 0.04). Univariate and bivariate analysis on T1 and MTR contrasts showed that MWoA patients had longer T1 and lower MTR in the right and left pars orbitalis compared to MWA (p < 0.01 and 0.05, respectively), but no differences were found with HC. Lower MTR and longer T1 point at a loss of macromolecules and/or micro-edema in Crus I and pars orbitalis in MWoA patients vs. HC and vs. MWA. The pathophysiological implications of these findings are discussed in light of recent literature.
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This study examines trends and geographical differences in total and live birth prevalence of trisomies 21, 18 and 13 with regard to increasing maternal age and prenatal diagnosis in Europe. Twenty-one population-based EUROCAT registries covering 6.1 million births between 1990 and 2009 participated. Trisomy cases included live births, fetal deaths from 20 weeks gestational age and terminations of pregnancy for fetal anomaly. We present correction to 20 weeks gestational age (ie, correcting early terminations for the probability of fetal survival to 20 weeks) to allow for artefactual screening-related differences in total prevalence. Poisson regression was used. The proportion of births in the population to mothers aged 35+ years in the participating registries increased from 13% in 1990 to 19% in 2009. Total prevalence per 10 000 births was 22.0 (95% CI 21.7-22.4) for trisomy 21, 5.0 (95% CI 4.8-5.1) for trisomy 18 and 2.0 (95% CI 1.9-2.2) for trisomy 13; live birth prevalence was 11.2 (95% CI 10.9-11.5) for trisomy 21, 1.04 (95% CI 0.96-1.12) for trisomy 18 and 0.48 (95% CI 0.43-0.54) for trisomy 13. There was an increase in total and total corrected prevalence of all three trisomies over time, mainly explained by increasing maternal age. Live birth prevalence remained stable over time. For trisomy 21, there was a three-fold variation in live birth prevalence between countries. The rise in maternal age has led to an increase in the number of trisomy-affected pregnancies in Europe. Live birth prevalence has remained stable overall. Differences in prenatal screening and termination between countries lead to wide variation in live birth prevalence.
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Cadre de l'étude La part des dépenses de santé dans les budgets des pays occidentaux est importante et tend à croître depuis plusieurs décennies. Une des conséquences, notamment pour la Suisse, est une augmentation régulière des primes d'assurance maladie, dont l'impopularité incite les responsables politiques à trouver des stratégies de frein à la croissance des coûts de la santé. Les médicaments, qui contribuent notablement à l'augmentation de ces coûts, constituent l'une des cibles classiques d'interventions visant à une réduction des dépenses de santé. Le niveau de coûts des médicaments représente plus de 20% des dépenses de soins du domaine ambulatoire à la charge de l'assurance obligatoire des soins (AOS), soit une dépense annuelle de plus de 4 milliards de francs. Différentes mesures peuvent être utilisées par le gouvernement pour contenir cette facture à charge de la collectivité : baisse du prix des médicaments, limitation du nombre de produits remboursés par l'assurance de base et incitations à la concurrence sur les prix en autorisant les importations parallèles. Depuis que de plus en plus de brevets pour des médicaments sont arrivés à échéance, un autre angle d'attaque s'est concrétisé avec l'incitation à la prescription de médicaments génériques. Les génériques sont définis comme des produits thérapeutiques chimiquement identiques à des composés déjà utilisés, appelés médicaments originaux. En principe, une économie substantielle devrait pouvoir être réalisée sur les coûts totaux des médicaments si tous les génériques disponibles sur le marché étaient systématiquement prescrits par les professionnels et acceptés par les patients. Les résultats publiés par les caisses maladie et les offices fédéraux sont des estimations globales et les montants publiés par l'industrie pharmaceutique concernent l'ensemble du marché, incluant les médicaments utilisés dans les séjours hospitaliers, sont par ailleurs exprimés en prix de fabrique. De plus, aucune étude n'a tenu compte de la substituabilité des produits d'un point de vue pharmaceutique. L'objectif général de la thèse est d'évaluer aussi précisément que possible l'économie pouvant être encore réalisée dans le secteur ambulatoire en substituant aux médicaments originaux les produits génériques présents sur le marché et de caractériser plusieurs facteurs qui influencent la substitution générique. Pour cette étude, nous avons pu disposer de l'ensemble des factures pharmaceutiques de la caisse maladie CSS, pour tous ses assurés des cantons d'Argovie, du Tessin et de Vaud, soit plus de 169'000 assurés représentant les trois régions linguistiques de la Suisse. Les 1'341'197 prescriptions médicales qui ont été analysées concernent l'année 2003. C'est un moment critique dans l'histoire des génériques en Suisse, approprié pour établir un premier bilan après l'entrée en vigueur de la première mesure relative au droit de substituer octroyé en 2001 aux pharmaciens et, pour identifier idéalement les principaux déterminants de la substitution par les praticiens avant l'introduction de la quote-part différenciée en 2006. La présence d'un même principe actif n'est pas une condition suffisante pour permettre une substitution et pour ce travail des critères tenant compte des caractéristiques pharmaceutiques des produits ont été établis et appliqués pour valider la substituabilité des originaux par les génériques disponibles sur le marché. Ces critères concernent notamment le mode d'administration, le dosage et le nombre de doses dans l'emballage. L'étude a été réalisée selon deux approches, d'abord par une analyse descriptive sur l'ensemble de la population source pour estimer le marché des génériques et ensuite par une analyse statistique (régression logit multivariée) sur 173'212 prescriptions agrégées, qui concernent spécifiquement soit un générique soit un original substituable, pour caractériser les facteurs déterminants de la substitution générique. Résultats Dans l'ensemble de la population source, les génériques et les originaux substituables représentent 17,4% du marché en termes de coûts facturés, avec 3,4% de génériques et 14,0% d'originaux substituables ce qui correspond à un taux de substitution de 19,5%. En termes de dépenses, les substitutions génériques réalisées représentent une économie de 1,3% du total du marché étudié alors qu'il reste un potentiel notable d'économie par la substitution de 4,6%. Les taux de substitution sont très variables selon les cantons : 10,1% au Tessin, 29,0% pour le canton de Vaud et 35,8% pour Argovie. L'analyse univariée des 173'212 prescriptions de génériques ou d'originaux substituables, montre des taux de substitution plus élevés chez les patients jeunes et lorsqu'il y a d'importantes différences de prix entre les originaux et les génériques. Des taux de substitution peu élevés sont observés chez les patients les plus âgés et pour ceux qui ont des traitements médicamenteux complexes. Les patients ayant plus de 10 médicaments différents durant la même année, présentent une probabilité relative de substituer inférieure (-24%) par rapport aux patients ayant 6 à 10 médicaments différents dans l'année. Cependant, l'analyse multivariée montre que l'effet négatif sur le taux de substitution de l'âge combiné à la complexité des traitements n'excède pas 3%. Bien que le niveau de franchises et la participation financière à la quote-part soient liées à une augmentation de la prescription de génériques, leurs effets sont modérés pour les patients avec des franchises supérieures à 300 francs (effet marginal de 1%) et pour les patients qui n'ont pas atteint le plafond de participation (effet marginal de 2%). La différence de taux substitution entre les médecins hospitaliers et les spécialistes est diminuée de façon notable (effet marginal de -13%) et elle est cependant moins marquée avec les médecins généralistes (effet marginal de -3%). Les facteurs associés au marché ont une influence notable sur la substitution générique et des effets positifs sont observés avec l'augmentation de la taille du marché, du nombre de génériques pour un même original substituable et de l'économie relative entre l'original et le générique. Par contre, la diversification des formes galéniques et des tailles d'emballages au niveau de l'offre des médicaments originaux a des effets fortement négatifs sur la substitution générique (-7%). Le canton de domicile a aussi un impact notable sur la substitution et le canton du Tessin présente un taux plus bas (-26%) que le canton d'Argovie. Conclusion et perspectives Ce travail a montré qu'il y a encore un important potentiel d'économies à réaliser par la substitution générique, calculé à plus de 4% des dépenses pharmaceutiques prises en charge par l'AOS en ambulatoires. Une extrapolation à l'ensemble du marché suisse, qui doit être faite avec prudence, fait apparaître un potentiel d'économies de 127 millions pour les médicaments délivrés par les pharmacies en 2003. L'étude a mis en évidence un certain nombre de déterminants qui freinent la substitution générique, notamment la prescription par un médecin hospitalier. Sur ce point la prescription en DCI (dénomination commune internationale) pourrait favoriser la dispensation de génériques moins chers. Un taux de substitution plus faible est observé chez les patients âgés avec des traitements complexes. Ce constat peut être mis en relation avec la crainte d'avoir un traitement moins efficace ou moins bien supporté et les risques de confusion lors du passage d'un original substituable à un générique ou d'un générique à un autre générique. Sur ces éléments, l'indication claire et précise du nom de la substance, aussi bien sur les emballages des originaux substituables que sur ceux des génériques, pourrait rassurer les patients et diminuer les risques d'erreurs dans la prise des médicaments. Certaines précautions à prendre lors de la prescription de génériques sont reconnues, notamment pour les médicaments à faible marge thérapeutique, et des informations sur la bioéquivalence, régulièrement mises à jour et à disposition des professionnels, pourraient augmenter la confiance dans l'utilisation des génériques. Les industries pharmaceutiques préservent par différentes tactiques leurs parts de marché et notamment avec succès en introduisant de nouvelles formes galéniques juste avant l'expiration des brevets. Des directives complémentaires sur la fixation des prix pour le remboursement, en particulier l'introduction d'un prix de référence quelle que soit la forme galénique, pourraient diminuer l'effet de barrage des médicaments originaux. Les incitations économiques, telles que la franchise et les participations sont efficaces si l'on considère l'impact sur les taux de substitution. Leur effet global reste toutefois modeste et il serait nécessaire de mesurer concrètement l'impact de l'introduction en 2006 de la quote-part différenciée. Les différences de prix entre les originaux et les génériques exigées à 50% pour les gros marchés, c'est-à-dire de plus de 16 millions, devraient aussi avoir un impact qu'il serait opportun de mesurer.
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Brooke-Spiegler syndrome, familial cylindromatosis, and familial trichoepithelioma are autosomal-dominant genetic predispositions for benign tumors of skin appendages caused by mutations in the CYLD gene localized on chromosome 16q12-q13. The encoded protein functions as ubiquitin-specific protease (UBP), which negatively regulates NF-kappaB and c-Jun N-terminal kinase (JNK) signaling. We investigated five families affected with these skin neoplasms and identified four premature stop codons and the novel missense mutation D681G in a family in which 11 of 12 investigated tumors were trichoepitheliomas. CYLD protein harboring this missense mutation had a significant reduced ability to inhibit TNF receptor-associated factor (TRAF)2- and TRAF6-mediated NF-kappaB activation, tumor necrosis factor-alpha (TNFalpha)-induced JNK signaling, and to deubiquitinate TRAF2. CYLD-D681G was coimmunoprecipitated by TRAF2, but was unable to cleave K63-linked polyubiquitin chains. Aspartic acid 681 is highly conserved in CYLD homologues and other members of the UBP family, but does not belong to the Cys and His boxes providing the CYLD catalytic triad (Cys601, His871, and Asp889). As reported previously, the homologous residue D295 of HAUSP/USP-7 forms a hydrogen bond with the C-terminal end of ubiquitin and is important for the enzymatic activity. These results underline that D681 in CYLD is required for cleavage of K63-linked polyubiquitin chains.
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A differentiated reconstruction of palaeolimnologic, -environmental, and -climatic conditions is presented for the Middle Miocene long-term freshwater lake (14.3 to 13.5 Ma) of the Steinheim basin, on the basis of a combined C, 0, and Sr isotope study of sympatric skeletal fossils of aquatic and terrestrial organisms from the lake sediments. The oxygen isotope composition for lake water of the Steinheim basin (delta O-18(H2O) = +2.0 +/- 0.4 parts per thousand VSMOW, n = 6) was reconstructed from measurements of delta O-18(PO4) of aquatic turtle bones. The drinking water calculated from the enamel of large mammals (proboscideans, rhinocerotids, equids, cervids, suids) has delta O-18(H2O) values (delta(OH2O)-O-18 = -5.9 +/- 1.7 parts per thousand VSMOW, n = 31) typical for Middle Miocene meteoric water of the area. This delta O-18(H2O) value corresponds to a mean annual air temperature (MAT) of 18.8 +/- 3.8 degrees C, calculated using a modem-day delta(OH2O)-O-18-MAT relation. Hence, large mammals did not use the lake water as principal drinking water. In contrast, small mammals, especially the then abundant pika Prolagus oeningensis drank from O-18-enriched water sources (delta O-18(H2O) = +2.7 +/- 2.3 parts per thousand VSMOW, n = 7), such as the lake water. Differences in Sr and 0 isotopic compositions between large and small mammal teeth indicate different home ranges and drinking behaviour and support migration of some large mammals between the Swabian Alb plateau and the nearby Molasse basin, while small mammals ingested their food and water locally. Changes in the lake level, water chemistry, and temperature were inferred using isotopic compositions of ostracod and gastropod shells from a composite lake sediment profile. Calcitic ostracod valves (Ilyocypris binocularis; delta O-18 = +1.7 +/- 1.2 parts per thousand VPDB, delta C-18 = -0.5 +/- 0.9 parts per thousand, VPDB, n = 68) and aragonitic, gastropod shells (Gyraulus spp.; delta O-18 = +2.0 +/- 13 parts per thousand VPDB, delta C-13 = -1.1 +/- 1.3 parts per thousand VPDB, n = 89) have delta O-18 and delta C-13 values similar to or even higher than those of marine, carbonates. delta C-13 values:of the biogenic carbonates parallel lake level fluctuations while delta O-18 values scatter around +2 +/- 2 parts per thousand and reflect the short term variability of meteoric water inflow vs. longer term evaporation. Sr-87/Sr-86 ratios of aragonitic Gyraulus spp. gastropod shells parallel the lake level fluctuations, reflecting variable inputs of groundwater and surface waters. Using a water delta O-18(H2O) value of +2.0 parts per thousand VSMOW, water temperatures calculated from skeletal tissue delta O-18 values of ostracods are 16.7 +/- 5.0 degrees C, gastropods 20.6 +/- 5.6 degrees C, otoliths 21.8 +/- 1.4 degrees C, and fish teeth 17.0 +/- 2.7 degrees C. The calculated MAT (similar to 19 degrees C), lake water temperatures (similar to 17 to 22 degrees C) and the O-18-enriched water compositions are indicative of warm-temperate climatic conditions, possibly with a high humidity during this period. Vegetation in the area surrounding the basin was largely of the C-3-type, as indicated by carbon isotopic compositions of tooth enamel from large mammals (delta C-13 = -11.1 +/- 1.1 parts per thousand VPDB, n = 40). (c) 2006 Elsevier B.V. All rights reserved.
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We present the results of a study on myiasis in Panama during the first years of a Cochliomyia hominivorax eradication program (1998-2005), with the aim of investigating the behavior of the flies that produce myiasis in animals and human beings. The hosts that registered positive for myiasis were cattle (46.4%), dogs (15.3%), humans (14.7%), birds (12%), pigs (6%), horses (4%), and sheep (1%). Six fly species caused myiasis: Dermatobia hominis (58%), Phaenicia spp. (20%), Cochliomyia macellaria (19%), Chrysomya rufifacies (0.4%), and maggots of unidentified species belonging to the Sarcophagidae (3%) and Muscidae (0.3%). With the Dubois index, was no evidence that the absence of C. hominivorax allowed an increase in the cases of facultative myiasis.
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The aim of this work is to describe the techniques that have been used for preparation and analysis of whole fetal liver extracts destined for in utero transplantation. Nine fetal livers between 12 and 17 weeks of gestation were prepared: cell counts and assessment of the hematopoietic cell viability were performed on cell suspensions. Hepatocytes represented 40 to 80% of the whole cell population. The remaining cells were constituted by hematopoietic cells (mainly erythroblasts), as well as by endothelial cells. The latter expressed CD34 on their surface, interfering with the assessment of CD34+ hematopoietic cells by flow cytometry. Direct visual morphologic control using alkaline phosphatase anti-alkaline phosphatase techniques was needed to differentiate hematopoietic from extra-hematopoietic CD34+ cells. Between 3.0 and 34.6 x 10(6) CD34+ viable hematopoietic cells were collected per fetal liver. Adequate differentiation of these cells into burst-forming units erythroid (BFU-E), colony-forming units granulocyte-macrophage (CFU-GM), and colony-forming units granulocyte erythroid macrophage megakaryocyte (CFU-GEMM) has been shown for each sample in clonogeneic cultures. In conclusion, fetal liver is a potential source of hematopoietic stem cells. Their numeration, based on the presence of CD34, is hampered by the expression of this antigen on other cells contained in the liver cell extract, in particular endothelial cells.
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PURPOSE: To describe the safety, complications, and liver regeneration associated with the left liver after embolization of the right portal vein (PV) in patients with hepatocellular carcinoma (HCC) developed in the setting of advanced liver fibrosis and cirrhosis. MATERIALS AND METHODS: Forty patients (31 men, nine women; mean age, 62 years) with HCC underwent PV embolization over a 4-year period. Embolization was performed from a left PV percutaneous access with use of n-butyl cyanoacrylate (NBCA) mixed with iodized oil. Computed tomography (CT) volumetry was performed before and 1 month after PV embolization to measure the left lobe volume as well as the functional liver ratio defined by the ratio between the left lobe and the total liver volume minus tumoral volume. PV pressure and liver enzyme levels were compared before and 1 month after the procedure and complications were registered. Factors potentially affecting regeneration (age, sex, diabetes, chemoembolization, functional liver ratio before PV embolization, and Knodell histologic score) were evaluated by one-way and stepwise regression analysis. RESULTS: PV embolization could be achieved successfully in all cases. Two patients had partial PV thrombosis on the 1-month follow-up CT and two patients developed transient ascites after PV embolization. The left lobe volume increase was 41% +/- 32% after PV embolization and the functional liver ratio increased from 28% +/- 10% to 36% +/- 10% (P < .0001). Hypertrophy of the left lobe was greater in patients with a low functional liver ratio before PV embolization and those with an F3 fibrosis score. Other factors had no influence on left lobe regeneration. CONCLUSION: PV embolization with use of NBCA is feasible in patients with advanced fibrosis and cirrhosis. Hypertrophy of the left lobe of the liver after PV embolization has a statistically significant correlation with lower functional liver ratio and lower degrees of fibrosis.
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Our objective was to establish the age-related 3D size of maxillary, sphenoid, and frontal sinuses. A total of 179 magnetic resonance imaging (MRI) of children under 17 years (76 females, 103 males) were included and sinuses were measured in the three axes. Maxillary sinuses measured at birth (mean+/-standard deviation) 7.3+/-2.7 mm length (or antero-posterior)/4.0+/-0.9 mm height (or cranio-caudal)/2.7+/-0.8 mm width (or transverse). At 16 years old, maxillary sinus measured 38.8+/-3.5 mm/36.3+/-6.2 mm/27.5+/-4.2 mm. Sphenoid sinus pneumatization starts in the third year of life after conversion from red to fatty marrow with mean values of 5.8+/-1.4 mm/8.0+/-2.3 mm/5.8+/-1.0 mm. Pneumatization progresses gradually to reach at 16 years 23.0+/-4.5 mm/22.6+/-5.8 mm/12.8+/-3.1 mm. Frontal sinuses present a wide variation in size and most of the time are not valuable with routine head MRI techniques. They are not aerated before the age of 6 years. Frontal sinuses dimensions at 16 years were 12.8+/-5.0 mm/21.9+/-8.4 mm/24.5+/-13.3 mm. A sinus volume index (SVI) of maxillary and sphenoid sinus was computed using a simplified ellipsoid volume formula, and a table with SVI according to age with percentile variations is proposed for easy clinical application. Percentile curves of maxillary and sphenoid sinuses are presented to provide a basis for objective determination of sinus size and volume during development. These data are applicable to other techniques such as conventional X-ray and CT scan.
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Aims: (i) To describe the prevalence and profile of newly diagnosed cancer patients motivated for psychotherapy and (ii) To evaluate its effectiveness.Methods: Between 2006 and 2009, every new patient of the Oncology Service of the University Hospital Lausanne was informed of the opportunity to benefit from psychotherapeutic support. Patients were randomly assigned to an immediate or delayed (4 month waiting list) psychodynamicoriented psychotherapeutic intervention, formalized as short intervention (1-4 sessions) or brief psychotherapy (16 sessions). Patients with no interest were asked to participate in an observational group. Socio-demographic and medical data, anxiety and depression (HADS, SCL-90), alexithymia (TAS) and quality of life were evaluated for all groups at baseline and 1, 4, 8 and 12-months follow-up. Results: Of 1973 patients approached, 1024 were excluded, mainly because of organisational reasons (living too far away, interfering treatments, etc.), ageN75 years, life expectancyb1 year or language difficulties. One fourth (N=530) refused to participate and 229 patients accepted to be followed in the observational group. Patients interested in psychological support (N=190, 94 in immediate and 96 in delayed intervention) were younger, predominantly female and symptomatic (higher depression and anxiety scores); 56% engaged in 1-4 and 44% in 16 sessions.Conclusions: The naturalistic design of this study revealed relevant questions regarding (i) the design of such studies (untargeted intervention, choice of measurement, etc.), (ii) the type of interventions (pro-active approaches of men, those unable to speak the language or who can not leave home) and (iii) the profile of patients accepting support. A complete analysis will be presented at the congress.Keywords: Psychotherapy, psycho-oncology, cancer, methodology, interventions
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RESUMELes troubles des conduites alimentaires atypiques (TCAA) représentent une catégorie diagnostique émergente, relativement peu décrite. Ils regroupent des tableaux cliniques ne satisfaisant pas entièrement aux critères des troubles alimentaires typiques anorexie et boulimie. Désignés par le terme de EDNOS' dans le DSM-IV2 (American Psychiatrie Association, 1994), ils sont appelés troubles atypiques dans la CIM-103 (World Health Organization, 1993).Les TCAA représentent la majorité des demandes dans les consultations pour troubles alimentaires, concernent une grande proportion de la population non-consultante et constituent un enjeu de santé publique prioritaire.Cette étude se penche sur le parcours de 24 jeunes filles présentant de tels troubles, qui ont été suivies dans le cadre d'un groupe thérapeutique à l'UMSA (Unité Multidisciplinaire de Santé des Adolescents, CHUV, Lausanne). Elle a pour but de mieux connaître ces troubles alimentaires atypiques.Deux axes de questions de recherche organisent ce travail: le premier, orienté autour du trouble alimentaire atypique, de sa définition (avec les questions de classification diagnostique) et de son évolution (avec les questions de passages d'une catégorie à une autre), le second autour du groupe thérapeutique, de son utilité et de ses indications.1. Résultats cliniquesLes résultats de l'analyse thématique décrivent un trouble important, qui induit une souffrance plus intense que ne tendraient à le laisser penser la relative banalité de la présentation clinique en comparaison des troubles typiques ainsi que la catégorisation en tant que troubles résiduels. Des moyens compensatoires -qui visent au maintien d'un poids stable en dépit des crises alimentaires ainsi qu'à la perte de poids, soit par des méthodes non-purgatives (restrictions massives, diètes, jeûnes, pratique du sport à outrance), soit par des méthodes purgatives (vomissements auto-induits, usage de laxatifs, diurétiques) - sont présents chez 15 participantes, sous forme de vomissements chez 6 d'entre elles. Seize participantes ont présenté des troubles des menstruations. Des difficultés de la lignée anxio-dépressive sont relevées chez la moitié des participantes, alliées à un perfectionnisme important. L'estime de soi apparaît globalement basse, excessivement influencée par l'insatisfaction attachée au poids et aux formes corporelles. L'analyse fait clairement apparaître le lien complexe unissant les attitudes face à l'alimentation et le désir de maigrir aux crises de frénésie alimentaire. Les crises permettent aux patientes de moduler leurs émotions, tant .positives que négatives. Le vécu de la maladie et des préoccupations pour le corps et l'alimentation semble généralisable. et «transcatégorique», bien que les troubles alimentaires de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive, du fait de l'absence de crises de frénésie, semblent appartenir à un registre différent des troubles avec perte de contrôle sur l'alimentation et crises, notamment en termes d'implications dans la vie quotidienne.Lorsque les participantes sont revues (au minimum un an après la sortie du groupe thérapeutique), 15 d'entre elles sont indemnes de tout symptôme, 5 présentent encore un TCAA type boulimie atypique, et 4 ont parfois des crises résiduelles. Des préoccupations pour l'alimentation et le poids subsistent. Le pronostic d'évolution n'apparaît lié ni à la durée de participation au groupe, ni uniquement à la catégorie diagnostique ou aux seuls éléments de co-morbidité, mais davantage à un investissement rapidement positif du groupe, ainsi qu'à la qualité des prises en charge parallèles en présence d'éléments de co-morbidité importants ou d'antécédents d'autres troubles alimentaires.Notre collectif atteste de passages d'une catégorie de trouble à une autre (anorexie puis boulimie, comme décrit dans la littérature) et de changements d'intensité (trouble typique puis atypique) au cours de la maladie, confirmant un continuum possible, tant entre les troubles typiques, qu'entre les troubles typiques et atypiques. Néanmoins, la multiplicité des parcours possibles dans la maladie, ainsi que l'existence de formes stables, sans passages d'une catégorie à une autre, incite à la prudence et ne permet pas de confirmer en tout point l'hypothèse de la nature dimensionnelle (même nature, intensité différente) des troubles alimentaires.Le trouble atypique représente parfois une étape dans l'évolution à partir d'un trouble typique, pouvant être envisagé comme moment sur le chemin de la guérison, ce qui pose la question des critères de guérison.2. Nature des troubles alimentaires atypiquesDu collectif émergent 4 catégories diagnostiques de troubles alimentaires atypiques: hyperphagie boulimique, boulimie atypique non-purgative, boulimie atypique purgative et anorexie atypique restrictive. Le tableau clinique.de l'hyperphagie boulimique comporte des crises de boulimie, mais peu de préoccupations concernant le poids et les formes corporelles en compá= raison des 3 autres catégories, et pas de moyens de compensation des crises, ce qui induit fréquemment un surpoids voire une obésité pour les patientes concernées. Les moyens de compensation des crises de boulimie demeurent non-purgatives (jeûne, sport) dans la boulimie atypique non-purgative, alors que vomissements et usage de laxatifs suite aux crises caractérisent la boulimie atypique purgative. Le tableau clinique de l'anorexie atypique restrictive ne présente ni crises de boulimie ni moyens de compensation purgatifs type vomissements. Ces catégories sont retrouvées dans la littérature.Nos résultats rejoignent la littérature actuelle qui envisage la nécessité d'une reclassification des troubles alimentaires en vue du DSM-V. Dans l'intervalle, adopter la classification de la CIM et parler d'anorexie atypique, de -type restrictif ou avec crises, de boulimie atypique, purgative ou non, et y ajouter l'hyperphagie boulimique, rendrait mieux compte de la réalité clinique des troubles alimentaires atypiques que ne le fait la classe des EDNOS du DSM, peu différenciée, mêlant des tableaux très divers et au final insatisfaisante.3. Utilité et indication du groupeLe groupe recèle un fort pouvoir thérapeutique pour les patientes qui s'y impliquent. L'étayage sur les autres émerge comme facteur thérapeutique principal, ainsi que le décrit la littérature. Cette prise en charge thérapeutique convient particulièrement à des patientes présentant un trouble alimentaire sur le versant boulimique, comprenant l'hyperphagie boulimique, la boulimie atypique, purgative ou non, ainsi que certaines boulimies de moyenne gravité. Les patientes du collectif qui présentent des difficultés de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive bénéficient moins du groupe que les participantes qui expérimentent des pertes de contrôle sur la nourriture.4. ImplicationsL'intensité de la souffrance, la complexité des tableaux symptomatiques, la diversité des parcours et les multiples répercussions sur la vie sociale démontrent l'importance de repérer et prendre en charge ces troubles alimentaires qui demeurent souvent banalisés. Dans cette perspective, la formation au dépistage, à l'évaluation et à la prise en charge des divers intervenants confrontés à ces troubles représente un enjeu majeur. .Enfin, dénoncer les pressions socioculturelles à la minceur et le dictat des régimes, promouvoir une notion de bien-être et une bonne estime de soi qui ne soient pas liées à l'apparence contribuera à prévenir les troubles alimentaires atypiques.
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Résumé Les mutations du gène APP (amyloïde de la protéine de précurseur) sur le chromosome 21 mènent à une surproduction de protéines β amyloïdes dans la maladie d'Alzheimer (MA). Il existe donc un consensus impliquant la cascade amyloïde dans la genèse et le développement de la MA. C'est pourquoi, afin d'évaluer l'hypothèse de la cascade inflammatoire de la MA, on combine des manipulations génétiques chez des modèles de souris transgéniques avec des traitements anti-inflammatoires. Les animaux porteurs d'une mutation génétique induite permettent d'évaluer le rôle de certains gènes dans le développement de la maladie. Pour ce faire j'ai étudié les performances de différentes cohortes de souris soumises à un ensemble de trois épreuves comportementales complémentaires ; la première étudiant les conduites exploratoires, la deuxième évaluant la capacité de l'animal à effectuer un apprentissage de lieu et la troisième explorant l'efficacité des animaux dans une tâche dite d'élimination. Enfin, une évaluation complémentaire a été fondée sur le répertoire des troubles du comportement des animaux. Chez les animaux APP homozygotes, l'organisation de la mémoire se dégrade et se modifie avec l'âge. Chez ces animaux, le déficit des mémoires de références et de travail se manifeste déjà chez les souris jeunes (dès l'âge de 50 jours).De plus, il est apparu un certain nombre de troubles comportementaux. Enfin les APP homozygotes sont ceux qui ont le plus de dépôt de plaques amyloïdes localisé dans l'hippocampe. Chez les animaux APP hétérozygotes, tant la mémoire de référence, utilisée au cours d'un apprentissage de lieu, que la mémoire de travail permettant d'éviter des bras déjà visités, ne sont affectées que chez les sujets de 15 mois. De plus, tous les troubles du comportement sont présents à 15 mois, mais de manière moins intense que chez les animaux APP homozygotes. Un traitement anti-TNF administré aux APP hétérozygotes n'a pas permis d'améliorer leur performance mais a un effet bénéfique sur les troubles du comportement. Enfin, le pourcentage des dépôts de plaques a été estimé à trois fois moins élevé chez ces animaux hétérozygotes de 16 mois que chez les APP homozygotes de 8 mois. Chez les animaux APP hétérozygotes dont le gène TNFα est bloqué, les mémoires de travail et de référence sont altérées déjà à l'âge de 6 mois, en dépit du blocage de l'expression de TNF. Ces jeunes animaux ont même une capacité cognitive inférieure à celle des animaux hétérozygotes APP, en gardant toutefois leur activité et performance exploratoires intactes. Ainsi, il semble que le blocage de l'expression du gène TNFα chez des souris APP n'influence pas leurs capacités cognitives mais permet, d'une part, d'éviter l'apparition des troubles du comportement et d'autre part, ralentit le processus du déclin cognitif. Enfin, le pourcentage de plaques amyloïdes a été évalué à deux fois plus élevés pour les KO TNF-α APP hétérozygotes de 15 mois par rapport à des APP hétérozygotes sans traitement du même âge. Chez les animaux APP hétérozygotes surexprimant le TNFα, cette association génétique péjore la performance cognitive comparée à celle des APP homozygotes. Ces animaux ont une altération des mémoires de travail et de référence équivalente à celle retrouvée chez des APP homozygotes. Un traitement anti-inflammatoire administré à ces souris n'améliore pas la capacité cognitive mais permet d'une part, d'éviter l'apparition des troubles comportementaux, et d'autre part, d'entraîner la presque disparition des plaques amyloïdes. Abstract Mutations on the amyloid precursor protein (APP) gene on chromosome 21 lead to an overproduction of β amyloid in both human early onset familial Alzheimer's Disease (AD) and transgenic (TG) mice. On the other hand, inflammatory responses in the brain seem to contribute to the genesis and evolution of neurodegenerative damage. To study the influence of inflammatory factors - especially TNFα - on brain amyloid and behavioural components, TG mice expressing mutant amyloid precursor protein were treated with anti-TNFα antibody and compared with controls injected with PBS buffer or human globulins, as well as with APP mice knockout for the TNFα gene. The APP/V717 mutation leads to a brain deposit of amyloid and to significant behavioural deficits in both homozygous at different ages and heterozygous only at 15 months. The percentage of amyloid is almost triple in APP+/+ than in APP+/- animals, indicating a gene dosage effect. There is no significant effect of an anti-TNF treatment on the deposit of brain amyloid nor spatial learning capabilities. Transgenic mice show also stereotyped behaviour but the anti-TNF treatment decreases the production of stereotypies. The blockade of gene TNFα seems several cognitive alterations and increases the production of amyloid in APP mice at 15 months; but this combination allows to avoid the appearance of stereotyped behavior and in addition, the process of the cognitive decline slows down. Tg6074 mice (overexpressing TNF) increase deleterious effects on behavioural adaptive resources. Treatment with anti-TNF doesn't show changes in cognitive performances but seems to increase the production of amyloid and the stereotyped behaviour.
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To provide further insights into ruminant lipid digestion and metabolism, and into cis9, trans-11 18:2 synthesis, 12 growing Engadine lambs grazing either mountain pasture (2,250 m above sea level; n = 6) or lowland pasture (400 m above sea level; n = 6) were studied. Both pastures consisted exclusively of C-3 plants. Before the experiment, all animals grazed a common pasture for 6 wk. Grasses and perirenal adipose tissues of the sheep were analyzed for fatty acids by gas chromatography. Stable C-isotope ratios (delta C-13 values in % vs. the Vienna Pee Dee Belemnite standard) were determined in the composite samples by elemental analysis-isotope ratio mass spectrometry. The delta C-13 of the individual fatty acids were measured by gas chromatography-combustion-isotope ratio mass spectrometry. The delta C-13 value of the entire mountain pasture grass was -27.5% (SD 0.31), whereas that of the lowland pasture grass was -30.0% (SD 0.07). This difference was reflected in the perirenal adipose tissues of the corresponding sheep (P < 0.05), even though the delta C-13 values were less in the animals than in the grass. The delta C-13 values for cis-9 16:1 and cis-9 18:1 in perirenal fat differed between mountain and lowland lambs (P < 0.05). The 16:0 in the adipose tissue was enriched in C-13 by 5% compared with the dietary 16:0, likely as a result of partly endogenous synthesis. The d13C values of cis-9, trans-11 18:2 (cis-9, trans-11 CLA) in the adipose tissue were smaller than those of its dietary precursors, cis-9, cis-12 18:2 and cis-9, cis-12, cis-15 18:3; conversely, the delta C-13 values of trans-11 18:1 were not, suggesting that large proportions of perirenal cis-9, trans-11 18:2 were of endogenous origin and discrimination against C-13 occurred during Delta(9)-desaturation. The same discrimination was indicated by the isotopic shift between 16:0 and cis-9 16:1 in the mountain grazing group. Furthermore, the delta C-13 values of cis-9, trans-11 18:2 were smaller relative to the precursor fatty acids in the mountain lambs compared with the lowland group. This result suggests a reduced extent of biohydrogenation in lambs grazing on mountain grass in comparison with those grazing on lowland grass. This was supported by the smaller cis-9, trans-11 18:2 concentrations in total fatty acids found in the adipose tissues of the lowland lambs (P < 0.001). The results of this study demonstrate that natural differences between delta C-13 values of swards from different pastures and the adipose tissue fatty acids could be used as tracers in studies of lipid metabolism in ruminants.
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OBJECTIVES: The aim of this study is to describe the prenatal diagnosis and epidemiology of multicystic kidney dysplasia (MCKD). METHODS: The study is based on routinely collected data from a European database of major congenital anomalies including 13 registries with cases born in 1997-2006 and covering 1 458 552 births. RESULTS: There were 601 MCKD cases giving an overall prevalence of 4.12 per 10 000 births with regional variation. In live births, 87% of cases had an isolated renal anomaly and 13% had associated major nonrenal anomalies (chromosomal, syndrome or other major anomalies). For the cases with isolated renal anomalies, 51/386 (11%) and 7/386 (2%) choose to terminate the pregnancy or resulted in an intrauterine fetal death, respectively. The prenatal detection rate was 88% in both unilateral and bilateral cases. Birth outcome differed with 92% of unilateral MCKD cases being liveborn compared with 33% of bilateral MCKD cases. For unilateral MCKD cases, 84% had an isolated renal anomaly compared with 51% of bilateral MCKD cases (p < 0.001). CONCLUSIONS: Cases with unilateral MCKD are mainly liveborn, and only 16% have associated major malformations or a syndrome. Cases with bilateral MCKD are often associated with nonrenal major congenital anomalies or part of a syndrome, and only one third of bilateral MCKD cases in this study were liveborn. Prenatal detection rate of MCKD was high for both unilateral and bilateral cases. © 2014 John Wiley & Sons, Ltd.
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Aims: To investigate the long-term efficacy and safety of denosumab (DMAb) for the treatment of postmenopausal women with osteoporosis in an open-label extension to the 3-year FREEDOM study.1Methods: All women who completed the FREEDOM study were eligible to enter a long-term open-label extension (up to 10 years). After providing informed consent, participants received 6-monthly subcutaneous injections of DMAb (60 mg). Here we report data from the first year of followup. For women randomized to DMAb in the FREEDOM study ('long-term group'), this represents up to 48 months of DMAb exposure (eight 6-monthly injections). For those randomized to placebo ('de novo group') the data are from up to 12 months of exposure (two injections). All participants continued to take calcium (1 g) and vitamin D (≥400 IU) supplements daily. Changes in bone mineral density (BMD) and bone turnover markers (BTM) are reported for subjects enrolled in the extension. No formal statistical testing was planned for this interim report. P-values are descriptive.Results: Overall, 4,550 eligible women (70.2%) who completed the FREEDOM study entered the open-label extension study (long-term, n=2,343; de novo, n=2,207). During the first year of the extension, lumbar spine (LS) BMD in the long-term group further increased by 2.0% (12.1% increase vs. FREEDOM baseline at 48 months), and total hip (TH) BMD further increased by 0.8% (6.5% increase at 48 months) (p<0.0001 for both BMD gains during year 4; Fig. 1). During the first year of the extension, LS and TH BMD increased by 5.4% and 3.0%, respectively in the de novo group (both p<0.0001). After DMAb initiation, serum C-telopeptide (CTX) in the de novo group decreased rapidly and similarly to the long-term group (Fig. 2). Reductions in BTMs continue to attenuate at the end of the dosing interval as previously reported. Adverse event (AE) rates were similar (70.4% of women in the longterm group and 67.9% in the de novo group). Serious Aes were also similar (9.8% and 11.2% of women, respectively). During year 4, osteoporotic nonvertebral fractures were reported in 31 women in the long-term group and 51 in the denovo group.Fig. 1. Percentage change in BMD with denosumab for4 years (long-term) or 1 year (de novo)Fig. 2. Percentage change in sCTX over timeConclusions: These interim results suggest that continuation of DMAb treatment through 48 months is associated with further significant increases in spine and hip BMD with sustained reduction of bone turnover. The de-novo treatment group results confirm the first year active treatment findings previously reported1.Acknowledgements: Amgen Inc. sponsored this study. Figure ©2010, American Society for Bone and Mineral Research, used by permission, all rights reserved. Disclosure of Interest: H. Bone Grant/Research Support from: Amgen, Eli Lilly, Merck, Nordic Bioscience, Novartis, Takeda Pharmaceuticals, Consultant/Speaker's bureau/ Advisory activities with: Amgen, Merck, Takeda Pharmaceuticals, Zelos, S. Papapoulos Consultant/Speaker's bureau/ Advisory activities with: Amgen, Merck, Novartis, Lilly, Procter and Gamble, GSK, M.-L. Brandi Grant/Research Support from: MSD, GSK, Nycomed, NPS, Amgen, J. Brown Grant/Research Support from: Abbott, Amgen, Bristol Myers Squibb, Eli Lilly, Pfizer, Roche, Consultant/ Speaker's bureau/Advisory activities with: Abbott, Amgen, Eli Lilly, Novartis, Merck, Warner Chilcott,, R. Chapurlat Grant/Research Support from: Servier, Sanofi-Aventis, Warner-Chilcott, Novartis, Merck, Consultant/Speaker's bureau/Advisory activities with: Servier, Novartis, Amgen, E. Czerwinski: None Declared, N. Daizadeh Employee of: Amgen Inc., Stock ownership or royalties of: Amgen Inc., A. Grauer Employee of: Amgen Inc., Stock ownership or royalties of: Amgen Inc., C. Haller Employee of: Amgen Inc., Stock ownership or royalties of: Amgen Inc., M.-A. Krieg: None Declared, C. Libanati Employee of: Amgen Inc., Stock ownership or royalties of: Amgen Inc., Z. Man Grant/Research Support from: Amgen, D. Mellström: None Declared, S. Radominski Grant/Research Support from: Amgen, Pfizer, Roche, BMS, J.-Y. Reginster Grant/Research Support from: Bristol Myers Squibb, Merck Sharp & Dohme, Rottapharm, Teva, Lilly, Novartis, Roche, GlaxoSmithKline, Amgen, Servier, Consultant/Speaker's bureau/ Advisory activities with: Servier, Novartis, Negma, Lilly,Wyeth, Amgen, GlaxoSmithKline, Roche, Merckle, Nycomed, NPS, Theramex, UCB, Merck, Sharpe & Dohme, Rottapharm, IBSA, Genvrier, Teijin, Teva, Ebewee Pharma, Zodiac, Analis, Theramex, Novo-Nordisk, H. Resch: None Declared, J. A. Román Grant/Research Support from: Roche, Pharma, C. Roux Grant/Research Support from: Amgen, MSD, Novartis, Servier, Roche, Consultant/ Speaker's bureau/Advisory activities with: Amgen, MSD, Novartis, Servier, Roche, S. Cummings Grant/ Research Support from: Amgen, Lilly, Consultant/Speaker's bureau/Advisory activities with: Amgen, Lilly, Novartis, Merck