996 resultados para capital charge
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L'introduction des antipsychotiques atypiques (AA) avec leurs effets secondaires métaboliques a attiré une plus grande attention sur le risque iatrogène éventuel de maladies cardiovasculaires dans la population des patients atteints de schizophrénie ou de trouble bipolaire. À cet égard, l'analyse du rapport risque/bénéfice dans l'utilisation des ces médicaments se révèle souvent délicate, nécessitant la coordination de plusieurs savoirs et ressources des réseaux somatiques et psychiatriques. Dans cet article, les auteurs présentent une revue sur le syndrome métabolique (SM) et la maladie cardiovasculaire (MCV) dans la population psychiatrique. Sur la base des dernières recommandations internationales, ils proposent des directives de prise en charge des effets secondaires, notamment métaboliques, à l'introduction d'un AA.
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This review describes some dysimmune neuromuscular disorders and their recent management: syndrome of peripheral nerve hyperexcitability (treatment of cramps, immunosuppressors); Guillain-Barré syndrome (new mechanisms and consensus treatment); chronic inflammatory demyelinating polyradiculoneuropathy (new indication for the use of pulse dexamethasone, new scores of activity); importance of subcutaneous immunoglobulin in multifocal motor neuropathy and of infusions of rituximab in myasthenia gravis; new entities in myositis and their treatment.
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Le but de cette étude est d'explorer et de définir, par une analyse des besoins, si l'offre actuelle en services dans le domaine des addictions est encore adaptée à la situation épidémiologique actuelle des addictions, à l'évolution des types de comportements liés à la dépendance et aux besoins des clients. Il s'agit en particulier de répondre aux questions suivantes: Existe-t-il actuellement des besoins en traitement pour lesquels il n'existe aucune offre appropriée ? Quels groupes ne sont pas ou sont insuffisamment atteints par l'offre existante? A quels genres de problèmes liés à la dépendance et à quels nouveaux besoins des clients les structures oeuvrant dans le domaine de la dépendance sont-elles confrontées? Quels sont les besoins d'adaptation du système de prise en charge nécessaires concernant soit les groupes-cibles de services, soit les types d'offres - en particulier le besoin en nouveaux concepts/modèles de prise en charge pour répondre à l'évolution des besoins? Comment ces structures font-elles face à l'accroissement de l'usage de multiples substances (multi-consommation)?
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PURPOSE: Factors associated with maternal satisfaction of anesthetic management during labour and delivery are poorly known. The purpose of this study was to assess these factors. METHODS: We performed a retrospective cohort study on parturients admitted between January 2004 and December 2008. Data on patients' demographics, comorbidities, procedures performed and various aspects of their anesthetic experience were retrieved from the anesthetic records. Maternal satisfaction was measured using a numerical scale from 0 to 10 (0 = not satisfied at all, 10 = very satisfied). A cutoff of ≤ 6 was taken as poor satisfaction. We performed a multivariate analysis to identify the different predictors of maternal satisfaction and more specifically those related to pain, overall experience with the technique, delays, and presence of anesthetic, obstetrical and neonatal complications. RESULTS: There were 15,386 parturients admitted during the study period. Of these, 10,034 had complete information in the chart and 761 (7.6%) parturients were dissatisfied with their anesthetic care. Factors decreasing patient satisfaction were high risk pregnancy [odds ratio (OR) 95% confidence interval (CI) 0.59 (0.34-1.02)] and difficult delivery [OR (95% CI) 0.62 (0.52-0.74)]. Pain, a negative experience of the procedure, delays, poor coordination in management, and the presence of complications decreased patient satisfaction [OR (95% CI) 0.07 to 0.71]; P < 0.001. CONCLUSION: Maternal satisfaction with anesthesia care is largely determined by the effectiveness and correct performance of the procedure carried from the technical and human point of view. However, other factors such as a good coordination in patient management and the absence of complications also influence maternal satisfaction.
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Introduction générale : D'après une étude réalisée en Suisse en 2004, les entreprises de famille représentent 88,14% des entreprises, dont 80,2% sont constitués en sociétés anonymes. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : les sociétés anonymes de famille occupent une place considérable dans le paysage des entreprises suisses. Les sociétés anonymes de famille correspondent donc à une réalité pratique. Juridiquement, la notion de société de famille n'apparaît pas dans le Code des obligations ; les sociétés anonymes de famille revêtent la forme juridique de la société anonyme, qui représente l'entreprise commerciale la plus courante en pratique. Le Code des obligations, à ses art. 620 ss, se limite à donner un cadre général de réglementation, ce qui a notamment pour conséquence que la forme juridique de la société anonyme s'adapte à des entités très variées, dans toutes sortes de secteurs d'activité, que ce soient des petites et moyennes entreprises ou de grandes multinationales, des sociétés capitalistes et impersonnelles ou des sociétés purement privées. Selon la conception générale de la forme juridique de la société anonyme, celle-ci revêt en principe un caractère capitaliste. L'intérêt de l'actionnaire pour la société anonyme est normalement de nature financière. Le fait que la qualité d'actionnaire soit matérialisée dans un titre, l'action, implique tant une certaine liquidité de l'actionnariat qu'une dépersonnalisation des rapports entre les membres qui composent la société anonyme. A l'opposé, la famille repose sur des liens personnels particuliers, étroits, avec notamment des dimensions psychologiques, affectives, émotives. Au premier abord, société anonyme et famille semblent donc antinomiques. Cette dichotomie présente un intérêt dogmatique. Elle correspond en outre à l'un des principaux enjeux : comment tenir compte des intérêts d'une entité fortement personnalisée - la famille - dans une structure impersonnelle et de type capitaliste - la société anonyme ? Le fait que le Code des obligations se limite à donner un cadre général de réglementation prend alors ici toute son importance ; la marge de manoeuvre et la liberté d'aménagement que le législateur accorde aux sociétés anonymes r vont permettre - ou alors empêcher - d'adapter la forme juridique de la société anonyme aux besoins d'une entité personnalisée comme la famille. Cette liberté n'est donc pas sans limites et les membres de la famille devront peut-être aussi assumer les conséquences du choix de cette forme de société. Partant, le but de notre travail est d'étudier les raisons d'être, l'organisation et la pérennité des sociétés anonymes de famille, spécifiquement sous l'angle du maintien du caractère familial de la société. Nous nous concentrerons sur la détention du capital, mais aussi sur sa structure, son maintien et son optimisation ; nous aborderons ainsi notamment les questions relatives à la transmissibilité des actions. Au regard de l'ampleur du sujet, nous avons dû procéder à certains choix, parfois arbitraires, notamment en raison des implications presque infinies des règles avec d'autres domaines. Nous nous limiterons ainsi, dans la première partie, à exposer les notions de base employées dans la suite de notre travail et nous focaliserons sur l'élaboration des définitions d'entreprise, société et société anonyme de famille, prémisses non seulement essentielles sous l'angle théorique, mais aussi fondamentales pour nos développements ultérieurs. S'agissant ensuite de l'analyse des possibilités d'aménagement d'une société anonyme dans le cadre du maintien du caractère familial de la société, nous nous concentrerons sur les règles relatives à la société anonyme et étudierons les limites qu'elles imposent et la liberté qu'elles offrent aux actionnaires familiaux. Nous laisserons en revanche de côté les problématiques particulières de la protection des actionnaires minoritaires et des organes. Enfin, si nous traitons toutes les notions théoriques nécessaires à la compréhension de chaque thématique présentée, seules celles primordiales et déterminantes sous l'angle de la conservation de l'hégémonie familiale seront approfondies. Nous avons structuré notre étude en quatre titres. Dans un premier titre, nous développerons les notions et principes élémentaires de notre sujet. Nous rappellerons ainsi la définition et les particularités de la société anonyme en général, y compris les sources et les modifications législatives, et les conditions de la cotation en bourse. Au stade des notions introductives, nous devrons également définir la société anonyme de famille, en particulier en établissant les éléments de la définition. Qu'entend-on par famille ? Quels critères permettent de qualifier une société anonyme de « société anonyme de famille » ? La définition de la société anonyme de famille devra être à la fois suffisamment précise, afin que cette notion puisse être appréhendée de manière adéquate pour la suite de notre travail, et suffisamment large, pour qu'elle englobe toute la variété des sociétés anonymes de famille. Nous présenterons aussi les raisons du choix de la forme juridique de la société anonyme pour une société de famille. Nous terminerons nos développements introductifs par un exposé relatif à la notion d'action et à son transfert en sa qualité de papier-valeur, préalables nécessaires à nos développements sur la transmissibilité des actions. Nous mettrons ainsi en évidence les conditions de transfert des actions, en tenant compte de la tendance à la dématérialisation des titres. Une fois ces éléments mis en place, qui nous donneront une première idée de la structure du capital d'une société anonyme de famille, nous devrons préciser la manière dont le capital doit être structuré. Nous chercherons comment il peut être maintenu en mains de la famille et si d'autres moyens n'ayant pas directement trait au capital peuvent être mis en oeuvre. Ainsi, dans un deuxième titre, nous analyserons les dispositions statutaires relatives à la structure du capital et à son maintien en mains familiales, en particulier les restrictions au transfert des actions nominatives. Les dispositions statutaires constituent-elles un moyen adéquat pour maintenir le caractère familial de la société ? Quelles sont les conditions pour limiter le transfert des actions ? Le caractère familial de la société peut-il être utilisé afin de restreindre le transfert des actions ? Les solutions sont-elles différentes si les actions sont, en tout ou en partie, cotées en bourse ? Nous traiterons aussi, dans ce même titre, les modalités du droit de vote et déterminerons si des dispositions statutaires peuvent être aménagées afin de donner plus de voix aux actions des membres de la famille et ainsi d'optimiser la détention du capital. Nous examinerons, dans notre troisième titre, un acte qui a trait à la fois au droit des contrats et au droit de la société anonyme, la convention d'actionnaires. En quoi consistent ces contrats ? Quels engagements les actionnaires familiaux peuvent-ils et doivent-ils prendre ? Quelle est l'utilité de ces contrats dans les sociétés anonymes de famille ? Quelles en sont les limites ? Les clauses conventionnelles peuvent-elles être intégrées dans les statuts ? Comment combiner les différentes clauses de la convention entre elles ? Dans ce même titre, nous étudierons également la concrétisation et la mise en application des dispositions statutaires et des clauses conventionnelles, afin de déterminer si, combinées, elles constituent des moyens adéquats pour assurer la structure, le maintien et l'optimisation de la détention du capital. Enfin, dans le quatrième et dernier titre, qui est davantage conçu comme un excursus, nous nous éloignerons du domaine strict du droit des sociétés (et des contrats) pour envisager certains aspects matrimoniaux et d'ordre successoral. En effet, puisque la famille est à la base de la société, il convient de relever l'importance des règles matrimoniales et successorales pour les sociétés anonymes de famille et leur incidence sur la détention des actions et le maintien du caractère familial de la société. Nous examinerons en particulier comment ces instruments doivent être utilisés pour qu'ils n'annihilent pas les efforts entrepris pour conserver la société en mains familiales. Notre travail a pour but et pour innovation de présenter une analyse transversale aussi complète que possible du droit de la société anonyme et des instruments connexes en étudiant les moyens à disposition des actionnaires d'une société anonyme de type personnel, la société anonyme de famille. Il tentera ainsi d'apporter une approche théorique nouvelle de ces questions, de présenter certains aspects de manière pragmatique, d'analyser la mise en oeuvre des différents moyens étudiés et de discuter leur opportunité.
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Although age-dependent effects on blood pressure (BP) have been reported, they have not been systematically investigated in large-scale genome-wide association studies (GWASs). We leveraged the infrastructure of three well-established consortia (CHARGE, GBPgen, and ICBP) and a nonstandard approach (age stratification and metaregression) to conduct a genome-wide search of common variants with age-dependent effects on systolic (SBP), diastolic (DBP), mean arterial (MAP), and pulse (PP) pressure. In a two-staged design using 99,241 individuals of European ancestry, we identified 20 genome-wide significant (p ≤ 5 × 10(-8)) loci by using joint tests of the SNP main effect and SNP-age interaction. Nine of the significant loci demonstrated nominal evidence of age-dependent effects on BP by tests of the interactions alone. Index SNPs in the EHBP1L1 (DBP and MAP), CASZ1 (SBP and MAP), and GOSR2 (PP) loci exhibited the largest age interactions, with opposite directions of effect in the young versus the old. The changes in the genetic effects over time were small but nonnegligible (up to 1.58 mm Hg over 60 years). The EHBP1L1 locus was discovered through gene-age interactions only in whites but had DBP main effects replicated (p = 8.3 × 10(-4)) in 8,682 Asians from Singapore, indicating potential interethnic heterogeneity. A secondary analysis revealed 22 loci with evidence of age-specific effects (e.g., only in 20 to 29-year-olds). Age can be used to select samples with larger genetic effect sizes and more homogenous phenotypes, which may increase statistical power. Age-dependent effects identified through novel statistical approaches can provide insight into the biology and temporal regulation underlying BP associations.
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BACKGROUND AND PURPOSE: Beyond the Framingham Stroke Risk Score, prediction of future stroke may improve with a genetic risk score (GRS) based on single-nucleotide polymorphisms associated with stroke and its risk factors. METHODS: The study includes 4 population-based cohorts with 2047 first incident strokes from 22,720 initially stroke-free European origin participants aged ≥55 years, who were followed for up to 20 years. GRSs were constructed with 324 single-nucleotide polymorphisms implicated in stroke and 9 risk factors. The association of the GRS to first incident stroke was tested using Cox regression; the GRS predictive properties were assessed with area under the curve statistics comparing the GRS with age and sex, Framingham Stroke Risk Score models, and reclassification statistics. These analyses were performed per cohort and in a meta-analysis of pooled data. Replication was sought in a case-control study of ischemic stroke. RESULTS: In the meta-analysis, adding the GRS to the Framingham Stroke Risk Score, age and sex model resulted in a significant improvement in discrimination (all stroke: Δjoint area under the curve=0.016, P=2.3×10(-6); ischemic stroke: Δjoint area under the curve=0.021, P=3.7×10(-7)), although the overall area under the curve remained low. In all the studies, there was a highly significantly improved net reclassification index (P<10(-4)). CONCLUSIONS: The single-nucleotide polymorphisms associated with stroke and its risk factors result only in a small improvement in prediction of future stroke compared with the classical epidemiological risk factors for stroke.