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Brief interventions (BI) commonly employ screening and target a single substance. Multi-substance interventions are a more adequate reflection of risk behaviors in adolescents and young adults. Systematic screening complicates BI in many settings. The effectiveness of a voluntary multi-substance intervention among 19-year-old men and the incremental impact of booster sessions were analyzed. Participants were enrolled during mandatory army conscription in Switzerland. Compared with 461 controls, 392 BI subjects showed reduced substance use on 10 of 12 measures (4 tobacco, 4 cannabis, and 2 alcohol measures). Between-group effects were small and non-significant (except for cannabis use prevalence). Three-month booster sessions were not effective and even contraindicated. The usefulness of targeting multi-substances during BIs without prior screening depends on the value of small effects. The addition of booster sessions was not effective and therefore is not recommended.

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PURPOSE OF REVIEW: Despite progress in the understanding of the pathophysiology of invasive candidiasis, and the development of new classes of well tolerated antifungals, invasive candidiasis remains a disease difficult to diagnose, and associated with significant morbidity and mortality. Early antifungal treatment may be useful in selected groups of patients who remain difficult to identify prospectively. The purpose of this review is to summarize the recent development of risk-identification strategies targeting early identification of ICU patients susceptible to benefit from preemptive or empirical antifungal treatment. RECENT FINDINGS: Combinations of different risk factors are useful in identifying high-risk patients. Among the many risk factors predisposing to invasive candidiasis, colonization has been identified as one of the most important. In contrast to prospective surveillance of the dynamics of colonization (colonization index), integration of clinical colonization status in risk scores models significantly improve their accuracy in identifying patients at risk of invasive candidiasis. SUMMARY: To date, despite limited prospective validation, clinical models targeted at early identification of patients at risk to develop invasive candidiasis represent a major advance in the management of patients at risk of invasive candidiasis. Moreover, large clinical studies using such risk scores or predictive rules are underway.

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OBJECTIVE: A multidimensional lifestyle intervention performed in 652 preschoolers (72% of migrant, 38% of low educational level (EL) parents) reduced body fat, but not BMI and improved fitness. The objective of this study is to examine whether the intervention was equally effective in children of migrant and/or low EL parents.¦METHODS: Cluster-randomized controlled single blinded trial, conducted in 2008/09 in 40 randomly selected preschools in Switzerland. The culturally tailored intervention consisted of a physical activity program and lessons on nutrition, media use and sleep. Primary outcomes included BMI and aerobic fitness. Secondary outcomes included %body fat, waist circumference and motor agility.¦RESULTS: Children of migrant parents benefitted similarly from the intervention compared to their counterparts (p for interaction≥ 0.09). However, children of low EL parents benefitted less, although these differences did not reach statistical significance (p for interaction≥ 0.06). Average intervention effect sizes for BMI were -0.10, -0.05, -0.11 and 0.04 kg/m(2) and for aerobic fitness were 0.55, 0.20, 0.37 and -0.05 stages for children of non-migrant, migrant, middle/high EL and low EL parents, respectively.¦CONCLUSIONS: This intervention was similarly effective among preschoolers of migrant parents compared to their counterparts, while children of low EL parents benefitted less.

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La durée de psychose non traitée (Duration of Untreated Psychosis, DUP) est définie par le temps écoulé entre l'émergence d'un trouble psychotique et le début de son traitement. La réduction de la DUP est un des objectifs principaux des programmes spécialisés dans le traitement de la psychose émergente, de nombreux travaux de recherche suggérant qu'une DUP longue est associée à une évolution défavorable de la maladie. Ces résultats restent cependant controversés, certaines études ne démontrant pas une telle association. Cette contradiction dans les résultats pourrait être la conséquence d'un manque d'uniformité dans les définitions appliquées pour mesurer la DUP, plus particulièrement en ce qui concerne la définition de ce que l'on considère être « début » du traitement. En effet, si l'étude de la phase d'émergence de la pathologie psychotique a été le focus d'une attention considérable qui a conduit à un certain degré de consensus quant à sa définition, le concept de début du traitement n'est clairement pas défini de manière aussi homogène. Compte tenu de l'importance des enjeux relatifs à l'intervention précoce dans les troubles psychotiques, il nous a semblé utile d'explorer cette question de manière plus approfondie, considérant qu'un manque de consensus dans la définition de la DUP contribue certainement à troubler les résultats des études qui visent à évaluer son impact sur l'évolution de ces maladies. En conséquence, l'objectif premier de ce travail est d'explorer l'impact de l'application de diverses définitions de début de traitement sur l'estimation de la DUP. Dans un premier article, publié dans Acta Neuropsychiatrica en 2009 (Duration of untreated psychosis : What are we talking about ?), le focus a été placé sur une revue de littérature concernant les définitions utilisées pour caractériser la fin de la DUP ainsi que sur les conséquences possibles d'un manque de précision dans cette définition sur l'évaluation de l'impact d'un retard de traitement dans la psychose débutante. Ce travail nous a permis d'identifier trois groupes principaux de définition de fin de DUP (End of DUP ; E-DUP) parmi les multiples critères utilisés dans les études publiées. E-DUP-1 est définie par la mise en route d'un traitement antipsychotique, le plus souvent sans tenir compte ni du dosage prescrit, ni de l'adhérence au traitement. E-DUP-2 est définie par l'entrée dans un programme de traitement spécialisé, et E-DUP-3 enfin est définie par la conjonction de la prescription d'un traitement antipsychotique adapté, de l'adhérence à ce traitement, et de la mise en route d'une prise en charge dans un programme spécialisé. En conclusion, nous relevions que cette grande variété dans les définitions appliquées pour l'évaluation de la DUP avait probablement contribué à l'aspect contradictoire des résultats des études de son impact sur l'évolution des psychoses et qu'il était donc temps de proposer une définition de consensus. La deuxième étude a été conduite dans le cadre d'un suivi de cohorte mis en place dans le programme de Traitement et Intervention Précoce dans les troubles Psychotiques (TIPP) établi dans le Département de Psychiatrie du CHUV à Lausanne depuis 2004. Les objectifs de cette seconde étude étaient au nombre de trois: (1) Exploration des variations de la DUP en fonction de l'application de trois principales définitions de fin de DUP (E-DUP) identifiées dans la littérature ; (2) Evaluation de la proportion de patients remplissant au moins une fois au cours des 18 mois de traitement la définition de E-DUP la plus compatible avec les directives de traitement proposées par l'International Early Psychosis Association (patient est à la fois engagé dans le traitement et se montre compliant à la médication, E-DUP-3); (3) Enfin, identification desfacteurs qui caractérisent les patients qui ne remplissent jamais les critères de cette dernière définition. L'exploration de différentes durées de DUP en utilisant les trois définitions d'E-DUP a donné les résultats suivants : La DUP1 médiane (2.2 mois) était significativement plus courte que la DUP2 (7.4 mois), et la DUP3 (13.6 mois) était significativement la plus longue des trois. De plus, 19.7% des patients n'avaient jamais rempli les critères de E-DUP-3 ; on peut donc considérer que près de 20% des patients traités dans ce programme spécialisé ne recevaient pas un traitement adéquat selon les directives intrernationales actuellement reconnues. Sur la base de ces chiffres, il apparaît clairement que, dans les études de l'impact de la DUP sur l'évolution de la psychose débutante, bon nombre des patients pour lesquels on considère que la DUP est terminée ne sont en fait pas adéquatement traités. Il est en conséquence très probable que ceci ait faussé les résultats de ces études, et qu'une définition plus restrictive permettrait de répondre de manière plus précise à cette question. Les patients qui ne remplissaient pas les critères E-DUP3 au cours des 18 premiers mois de traitement étaient caractérisés par un moins bon niveau de fonctionnement au cours de leur vie (« lower lifetime SOFAS » ; p=0.017) et ils étaient plus susceptibles de consommer du cannabis à l'entrée du programme ???? (?2 (1, n=49)=4.241, p=0.039). Pour ceux qui avaient rempli les critères E-DUP-3 au cours des 18 mois, une longue DUP3 était associée avec un jeune âge au début des symptômes psychotiques (rs =-0.573, p<0.001), et avec un faible niveau de fonctionnement pré-morbide (score de PAS élevés (rs =0.373, p=0.001), niveau maximal au cours de la vie bas pour le GAF(rs =-0.367, p<0.001) et pour le SOFAS (rs =-0.314, p=0.003)). En conclusion, ce travail a permis de mettre en évidence une grande variabilité dans la définition de la fin de la DUP parmi les études publiées jusque à ce jour, et l'impact important que le choix d'une ou l'autre de ces définitions peut avoir sur l'estimation de la DUP. De plus, nous avons observé que malgré la mise en place d'un programme spécialisé, près de 20% des patients ne remplissent pas les critères d'exposition à un traitement adéquat au cours des 18 premiers mois de prise en charge. Il est donc probable que l'estimation de l'impact de la DUP ait été faussé par cette variabilité, et il semble important que la communauté scientifique s'accorde sur une définition plus rigoureuse de cette variable. Enfin, certaines caractéristiques permettent d'identifier les patients qui sont à risque de ne pas remplir les critères de traitement adéquat a cours des 18 premiers mois de prise en charge ; il est possible qu'une identification précoce de ceux-ci permette la mise en place de stratégies mieux adaptées pour les aider à s'engager dans les soins. Le futur développement de ce travail sera d'évaluer l'impact de la DUP sur l'évolution des patients au cours des 36 mois de traitement proposés dans le programme TIPP, en appliquant les divers critères E-DUP, afin de voir si notre hypothèse que la variation des définitions a effectivement faussé les résultats de telles études. Nous devons pour cela attendre qu'un nombre suffisant de patients ait complété les 36 mois de traitement, de manière à avoir une puissance statistique suffisante pour répondre clairement à cette question.

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We develop a real option model of the irreversible native grassland conversion decision. Upon plowing, native grassland can be followed by either a permanent cropping system or a system in which land is put under cropping (respectively, grazing) whenever crop prices are high (respectively, low). Switching costs are incurred upon alternating between cropping and grazing. The effects of risk intervention in the form of crop insurance subsidies are studied, as are the effects of cropping innovations that reduce switching costs. We calibrate the model by using cropping return data for South Central North Dakota from 1989 to 2012. Simulations show that a risk intervention that offsets 20% of a cropping return shortfall increases the sod-busting cost threshold, below which native sod will be busted, by 41% (or $43.7/acre). Omitting cropping return risk across time underestimates this sod-busting cost threshold by 23% (or $24.35/acre), and hence underestimates the native sod conversion caused by crop production.

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Introduction Le rythmes circadiens influencent différents paramètres de la physiologie et de la physiopathologie cardiovasculaire. Récemment, une relation entre la taille d'un infarctus et l'heure du jour à laquelle il se produit a été suggérée dans des modèles expérimentaux d'infarctus du myocarde. Le but de cette étude a été de déterminer si les rythmes circadiens pouvaient influencer la gravité d'un infarctus en terme de taille et de mortalité chez les patients hospitalisés pour un infarctus du myocarde avec sus-décalage du segment ST (STEMI) ayant bénéficié d'une intervention coronarienne percutanée primaire (ICPP). Méthode Chez 353 patients consécutifs admis avec un STEMI et traités par ICPP, l'heure à la survenue des symptômes, le pic de créatine kinase (reflet de la taille d'un infarctus) et le suivi à 30 jours ont été collectés. Les patients ont été répartis en 4 groupes en fonction de l'heure de survenue de leurs symptômes (00 :00 - 05h59, 06:00 - 11 59 12 00-17h59 et 18h00-23h59). Résultats Aucune différence statistiquement significative n'a été retrouvée entre les différents groupes en ce qui concerne les caractéristiques des patients ou de leur prise en charge. Après analyse multivariée, nous avons mis en évidence une différence statistiquement significative entre les pics de créatine kinase chez les patients avec survenue des symptômes entre 00 :00 et 05:59, qui étaient plus élevés que les pics de créatine kinase chez les patients avec survenue des symptômes à tout autre moment de la journée (augmentation moyenne de 38,4%, ρ <0.05). A 30 jours, la mortalité des patients avec survenue des symptômes entre 00 :00 et 05:59 était également significativement plus élevé que celle des patients avec survenue à tout autre moment de la journée (p <0.05). Conclusion Notre étude démontre une corrélation indépendante entre la taille d'un infarctus STEMI traité par ICPP et le moment de la journée où les symptômes apparaissent. Ces résultats suggèrent que ce moment devrait être un paramètre important à prendre en compte pour évaluer le pronostic des patients.

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OBJECTIVES: Early intervention and preventive strategies have become major targets of research and service development in psychiatry over the last few years. Compared to schizophrenia, bipolar disorder (BD) has received limited attention in this regard. In this paper, we review the available literature in order to explore the public health significance of BD and the extent to which this may justify the development of early intervention strategies for this disorder. METHODS: The main computerized psychiatric literature databases were accessed. This included Medline and PsychInfo, using the following keywords: bipolar, early intervention, staging model, burden, caregiver, public health, and manic depression. RESULTS: BD is often recurrent and has an impact that goes well beyond symptomatic pathology. The burden it incurs is linked not only to its cardinal clinical features, but also to cognitive dysfunction, poor functional outcome, poor physical health, high rate of comorbidities, and suicide. At a societal level, BD induces enormous direct and indirect costs and has a major impact on caregivers. The available literature reveals a usually long delay between illness onset and the start of treatment, and the absence of specific guidelines for the treatment of the early phase of BD. CONCLUSIONS: Considering the major impact of BD on patients and society, there is an urgent need for the development of early intervention strategies aimed at earlier detection and more specific treatment of the early phase of the disorder.

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The outcome after primary percutaneous coronary intervention (pPCI) for ST-elevation myocardial infarction (STEMI) is strongly affected by time delays. In this study, we sought to identify the impact of specific socioeconomic factors on time delays, subsequent STEMI management and outcomes in STEMI patients undergoing pPCI, who came from a well-defined region of the French part of Switzerland. A total of 402 consecutive patients undergoing pPCI for STEMI in a large tertiary hospital were retrospectively studied. Symptom-to-first-medical-contact time was analysed for the following socioeconomic factors: level of education, origin and marital status. Main exclusion criteria were: time delay beyond 12 hours, previous treatment with fibrinolytic agents or patients immediately referred for coronary artery bypass graft surgery. Therefore, 222 patients were finally included. At 1 year, there was no difference in mortality between the different socioeconomic groups. Furthermore, there was no difference in management characteristics between them. Symptom-to-first-medical-contact time was significantly longer for patients with a low level of education, Swiss citizens and unmarried patients, with median differences of 23 minutes, 18 minutes and 13 minutes, respectively (p <0.05). Nevertheless, no difference was found regarding in-hospital management and clinical outcome. This study demonstrates that symptom-to-first-medical-contact time is longer amongst people with a lower educational level, Swiss citizens and unmarried people. Because of the low mortality rate in general, these differences in delays did not affect clinical outcomes. Still, tertiary prevention measures should particularly focus on these vulnerable populations.