1000 resultados para Grande Grèce


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Species of Adelpha Hübner, [1819] (Lepidoptera, Nymphalidae, Limenitidinae) occurring in Rio Grande do Sul State, Brazil. Based on literature, collections and sampled butterflies, a list of twelve species of Adelpha Hübner occurring in Rio Grande do Sul State is presented, including host plants. Adelpha epizygis Fruhstorfer, [1916], Adelpha falcipennis Fruhstorfer, [1916], Adelpha goyama Schaus, 1902 and Adelpha isis (Drury, 1782) are new reports to Rio Grande do Sul. The species are illustrated and keyed.

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The genus Xylocopa Latreille in Rio Grande do Sul, Brazil (Hymenoptera, Anthophoridae). A survey of the genus Xylocopa Latreille, 1802 is given for Rio Grande do Sul, the southernmost State of Brazil. Data are based on several studies on the bee fauna of southern Brazil and on unpublished observations. A key is provided to the species (males and females) and information on distribution, nesting habits and relation to flowers. Rio Grande do Sul is strikingly rich in species of Xylocopa because of the diversity of habitats and its geographic position in the transition of tropical/subtropical to temperate climate. Nineteen species, classified into ten subgenera, have been recorded in Rio Grande do Sul. Here we maintain the subgenera Ioxylocopa, Megaxylocopa and Xylocospila, which were put into synonymy recently by Minckley (1998). The species are: Xylocopa (Dasyxylocopa) bimaculata Friese, 1903; Xylocopa (Ioxylocopa) chrysopoda Schrottky, 1902; Xylocopa (Megaxylocopa) frontalis (Olivier, 1789); Xylocopa (Nanoxylocopa) ciliata Burmeister, 1876; Xylocopa (Neoxylocopa) augusti Lepeletier, 1841; Xylocopa (N.) brasilianorum (Linnaeus, 1767); Xylocopa (N.) haematospila Moure, 1951; Xylocopa (N.) hirsutissima Maidl, 1912; Xylocopa (N.) nigrocincta Smith, 1854; Xylocopa (N.) ordinaria Smith, 1874; Xylocopa (N.) suspecta Moure & Camargo, 1988; Xylocopa (N.) tacanensis Moure, 1949; Xylocopa (Schonnherria) macrops Lepeletier, 1841; Xylocopa (S.) simillima Smith, 1854; Xylocopa (S.) splendidula Lepeletier, 1841; Xylocopa (S.) varians Smith, 1874; Xylocopa (Stenoxylocopa) artifex Smith, 1874; Xylocopa (Xylocopoda) elegans Hurd & Moure, 1963; Xylocopa (Xylocopsis) funesta Maidl, 1912; Xylocopa (Xylocospila) bambusae Schrottky, 1902. Xylocopa tacanensis is for the first time recorded in Brasil.

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Résumé Les changements climatiques du Quaternaire ont eu une influence majeure sur la distribution et l'évolution des biota septentrionaux. Les Alpes offrent un cadre spatio-temporel bien étudié pour comprendre la réactivité de la flore et le potentiel d'adaptation d'une espèce végétale face aux changements climatiques. Certaines hypothèses postulent une diversification des espèces en raison de la disparition complète de la flore des Alpes et d'un isolement important des espèces dans des refuges méridionaux durant les dernières glaciations (Tabula Rasa). Une autre hypothèse stipule le maintien de poches de résistance pour la végétation au coeur des Alpes (Nunataks). Comme de nombreuses espèces végétales présentant un grand succès écologique semblent avoir réagi aux glaciations par la multiplication de leur génome (autopolyploïdie), leur étude en milieu naturel devrait permettre de comprendre les avantages inhérents à la polyploïdie. Biscutella laevigata est un modèle emblématique de biogéographie historique, diverses études ayant montré que des populations diploïdes sont actuellement isolées dans les zones restées déglacées durant le dernier maximum glaciaire, alors que des tétraploïdes ont recolonisé l'ensemble des zones alpines mises à nu par le retrait des glaciers. Si le contexte périglaciaire semble avoir favorisé ce jeune complexe autopolyploïde, les circonstances et les avantages de cette mutation génomique ne sont pas encore clairs. Y a-t-il eu de multiples événements de polyploïdisation ? Dans quelle mesure affecte(nt)il(s) la diversité génétique et le potentiel évolutif des polyploïdes ? Les polyploïdes ont-ils une grande flexibilité génomique, favorisant une radiation adaptative, ou doivent-ils leur succès à une grande plasticité écologique ? Cette étude aborde ces questions à différentes échelles spatiales et temporelles. L'échelle régionale des Alpes occidentales permet d'aborder les facteurs distaux (aspects historiques), alors que l'échelle locale cherche à appréhender les facteurs proximaux (mécanismes évolutifs). Dans les Alpes occidentales, des populations ont été densément échantillonnées et étudiées grâce à (1) leur cytotype, (2) leur appartenance taxonomique, (3) leur habitat et (4) des marqueurs moléculaires de l'ADN chloroplastique, en vue d'établir leurs affinités évolutives. Á l'échelle locale, deux systèmes de population ont été étudiés : l'un où les populations persistent en périphérie de l'aire de distribution et l'autre au niveau du front actif de colonisation, en marge altitudinale. Les résultats à l'échelle des Alpes occidentales révèlent les sites d'intérêt (refuges glaciaires, principales barrières et voies de recolonisation) pour une espèce représentative des pelouses alpines, ainsi que pour la biodiversité régionale. Les Préalpes ont joué un rôle important dans le maintien de populations à proximité immédiate des Alpes centrales et dans l'évolution du taxon, voire de la végétation. Il est aussi démontré que l'époque glaciaire a favorisé l'autopolyploïdie polytopique et la recolonisation des Alpes occidentales par des lignées distinctes qui s'hybrident au centre des Alpes, influençant fortement leur diversité génétique et leur potentiel évolutif. L'analyse de populations locales en situations contrastées à l'aide de marqueurs AFLP montre qu'au sein d'une lignée présentant une grande expansion, la diversité génétique est façonnée par des forces évolutives différentes selon le contexte écologique et historique. Les populations persistant présentent une dispersion des gènes restreinte, engendrant une diversité génétique assez faible, mais semblent adaptées aux conditions locales de l'environnement. À l'inverse, les populations colonisant la marge altitudinale sont influencées par les effets de fondation conjugués à une importante dispersion des gènes et, si ces processus impliquent une grande diversité génétique, ils engendrent une répartition aléatoire des génotypes dans l'environnement. Les autopolyploïdes apparaissent ainsi comme capables de persister face aux changements climatiques grâce à certaines facultés d'adaptation locale et de grandes capacités à maintenir une importante diversité génétique lors de la recolonisation post-glaciaire. Summary The extreme climate changes of the Quaternary have had a major influence on species distribution and evolution. The European Alps offer a great framework to investigate flora reactivity and the adaptive potential of species under changing climate. Some hypotheses postulate diversification due to vegetation removal and important isolation in southern refugia (Tabula Rasa), while others explain phylogeographic patterns by the survival of species in favourable Nunataks within the Alps. Since numerous species have successfully reacted to past climate changes by genome multiplication (autopolyploidy), studies of such taxa in natural conditions is likely to explain the ecological success and the advantages of autopolyploidy. Early cytogeographical surveys of Biscutella laevigata have shed light on the links between autopolyploidy and glaciations by indicating that diploids are now spatially isolated in never-glaciated areas, while autotetraploids have recolonised the zones covered by glaciers- during the last glacial maximum. A periglacial context apparently favoured this young autopolyploid complex but the circumstances and the advantages of this genomic mutation remain unclear. What is the glacial history of the B. laevigata autopolyploid complex? Are there multiple events of polyploidisation? To what extent do they affect the genetic diversity and the evolutionary potential of polyploids? Is recolonisation associated with adaptive processes? How does long-term persistence affect genetic diversity? The present study addresses these questions at different spatiotemporal scales. A regional survey at the Western Alps-scale tackles distal factors (evolutionary history), while local-scale studies explore proximal factors (evolutionary mechanisms). In the Western Alps, populations have been densely sampled and studied from the (1) cytotypic, (2) morphotaxonomic, (3) habitat point of views, as well as (4) plastid DNA molecular markers, in order to infer their relationships and establish the maternal lineages phylogeography. At the local scale, populations persisting at the rear edge and populations recolonising the attitudinal margin at the leading edge have been studied by AFLPs to show how genetic diversity is shaped by different evolutionary forces across the species range. The results at the regional scale document the glacial history of a widespread species, representative of alpine meadows, in a regional area of main interest (glacial refugia, main barriers and recolonisation routes) and points out to sites of interest for regional biodiversity. The external Alps have played a major role in the maintenance of populations near the central Alps during the Last Glacial Maximum and influenced the evolution of the species, and of vegetation. Polytopic autopolyploidy in different biogeographic districts is also demonstrated. The species has had an important and rapid radiation because recolonisation took place from different refugia. The subsequent recolonisation of the Western Alps was achieved by independent lineages that are presently admixing in the central Alps. The role of the Pennic summit line is underlined as a great barrier that was permeable only through certain favourable high-altitude passes. The central Alps are thus viewed as an important crossroad where genomes with different evolutionary histories are meeting and admixing. The AFLP analysis and comparison of local populations growing in contrasted ecological and historical situations indicate that populations persisting in the external Alps present restricted gene dispersal and low genetic diversity but seem in equilibrium with their environment. On the contrary, populations colonising the attitudinal margin are mainly influenced by founder effects together with great gene dispersal and genotypes have a nearly random distribution, suggesting that recolonisation is not associated with adaptive processes. Autopolyploids that locally persist against climate changes thus seem to present adaptive ability, while those that actively recolonise the Alps are successful because of their great capacity to maintain a high genetic diversity against founder effects during recolonisation.

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Foram estudadas as faunas de Arctiinae em Camaquã, Iraí, Lagoa Vermelha, Mostardas, Piratini, e São Pedro da Serra. As mariposas foram capturadas por meio de armadilhas luminosas, uma vez por mês, na fase de lua nova, de janeiro de 1998 até dezembro de 1999. Na avaliação das comunidades, foram utilizados a riqueza de espécies, abundancia, constancia bem como, os índices de diversidade e uniformidade de Shannon e Brillouin. Para avaliar a variação do número de exemplares entre os meses e as localidades, foi realizada análise de variância. Na estimativa da riqueza de espécies para cada local, foram usados os procedimentos estatísticos não paramétricos "Bootstrap", "Chao 1", "Chao 2", "Jackknife 1", "Jackknife 2" e "Michaelis-Mentem". Foram capturados 9.800 exemplares de Arctiinae, pertencentes a 192 espécies e distribuídas em 6 tribos. A abundancia e riqueza de espécie, foram maiores em 1998 do que em 1999. Os maiores índices de diversidade em 1998 foram encontrados em Camaquã, Iraí e São Pedro da Serra; entretanto em 1999 Iraí, Piratini e São Pedro da Serra foram os locais de mais elevada diversidade. De acordo com os estimadores de riqueza de espécies podem ser encontradas mais 34% de espécies em Camaquã, 18% em Iraí, 75% em Lagoa Vermelha, 47% em Mostardas, 66% em Piratini e 43% em São Pedro da Serra.

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Este estudo descreve as comunidades de formigas de solo em povoamentos de eucalipto implantados em ecossistema de restinga no Rio Grande do Sul. As coletas de formigas foram feitas em seis povoamentos de Eucalyptus grandis Hill ex Maiden e de Eucalyptus saligna Smith com idades de 31, 19, sete e cinco anos. Para as coletas de formigas, foram selecionados ao acaso 24 talhões, quatro por povoamento. Em cada talhão, foram traçados três transectos com 100 m de comprimento, afastados entre si 12 m. Ao longo dos transectos, foram enterradas 30 armadilhas, tipo pitfall, com iscas de sardinha, afastadas entre si 10 m e mantidas por 24 horas. Foi coletado um total de 21.033 formigas pertencentes a cinco subfamílias, 12 tribos, 19 gêneros e 49 espécies. De acordo com o estimador de riqueza jackknife de primeira ordem, não houve diferenças significativas entre as riquezas das comunidades de formigas considerando as espécies de eucalipto (U = 81,500; g.l.=1; P=0,582) e as idades dos povoamentos (U=2,504; g.l.=3; P=0,547). Os resultados indicam que a riqueza de espécies de formigas não está relacionada à espécie de eucalipto e/ou à idade do povoamento implantado na restinga.

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The genus Agelaia Lepeletier 1836 belongs to the swarming genera of the Polistinae, with species distributed from Mexico to northern Argentina. Fifteen of the 31 described species are found in Brazil. Four species occur in the State of Rio Grande do Sul, two of them recorded herein for the first time. Redescriptions and a key to these species are provided.