1000 resultados para France, Anatole, 1844-1924.


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Frank C. (Case) McCordick (1873-1946) was the son of William Henry (1849-1930) and Emily D. Howell (1851-1927) McCordick. William H. McCordick was in the coal business. The McCordick family included Frank Case, Mabel Gertrude, Ethel Howell and Arthur Stanley. Frank C. McCordick was educated in St. Catharines, and worked with his father in the coal business and eventually opened up a leather tanning operation. McCordick was active in the Lincoln Regiment and in 1906 was promoted to captain and in command of Company A, 19th Regiment. He was promoted to major and at the outbreak of war he was sent overseas as a commander of the 35th Battalion of the Canadian Expeditionary Forces (CEF). Upon arrival in France he was made officer commanding the 15th Battalion, King’s Own Yorkshire Light Infantry (KOYLI). After the war and his return to Canada he continued to play an active role in the local military units in the area as well as in Hamilton. After his retirement from the military in 1927 McCordick served as alderman and then mayor of St. Catharines from 1930 to 1931. He was a member of a large number of civic clubs, including St. Catharines Chamber of Commerce, Y.M.C.A., Lion’s Club, St. Catharines Golf Club, Detroit Boat Club, the St Catharines Club, as well as a member of several Masonic lodges. He continued to operate McCordick Tannery and other local investments. In 1903 Frank C. McCordick married May Beatrice Simson, daughter of Thomas E. Simson of Thorold. They had three children, E. (Edward) Frank McCordick, Bruce McCordick and (Margaret) Doris McCordick (m. Hubert Grigaut, d. 1977). The McCordick family resided at 82 Yates Street, near Adams Street. May Simson McCordick (b. 1873) was the daughter of Thomas Edward (1836-1908) and Julia Headlam (1844-1887) Simson of Thorold. Her siblings included: Edward, Frances, John, Augusta, Georgia and Gertrude. E. (Edward) Frank McCordick (1904-1980) was born in St. Catharines, Ont., attended Lake Lodge School in Grimsby, Ridley College in St. Catharines, Beechmont Preparatory School in England, Upper Canada College in Toronto and graduated from Royal Military College in Kingston, Ont. in 1925. Upon graduation he was made a lieutenant in the 10th (St. Catharines) Field Battery. In 1929 he married Helen Stanley Smith, daughter of Stanley George and Mary Walker Smith of St. Catharines. Col. McCordick, now promoted to Major, played an active role in the 10th (St. Catharines) Field Battery, being officer commanding the battery. In late 1939 McCordick headed to England for artillery tactical training and on December 6, 1939 the battery began the long trek overseas. McCordick saw action in Italy and in Holland. Upon his return to Canada at the end of the war he was the Liberal candidate in the federal election for Lincoln County. He remained active in the local military serving as honorary lieutenant-colonel of the 56th Field Regiment (ARCA) and in 1976 as the honorary colonel of the regiment. Col. McCordick held the Efficiency Decoration, the Order of the British Empire, granted in 1945 and was made an officer in the Order of St. John in 1978. He continued to serve his community in various capacities, including the Unemployment Insurance Canada Board, Royal Trust Company and the St. John Ambulance Society. He remained an active member of the alumni of Royal Military College, editing and compiling a newsletter and organizing reunion weekends. He kept in close contact with many of his classmates. Helen Stanley Smith McCordick lived in St. Catharines, Ont., attended Robertson School, and graduated from the University of Toronto in 1926 with a Bachelor of Arts degree in Modern Languages. During the war years (1939-1945) Helen was active in the Transport division of the local branch of the Canadian Red Cross and the Women’s Auxiliary of the 10th Field Battery. In 1932 E. Frank and Helen McCordick welcomed their only child, (Catharine) Anne McCordick. Helen continued to play an active role in her community until her passing in 1997. Stanley George Smith (1865-1960) was born in St. Catharines, Ont., the only child of William Smith (d. June 16, 1876) a native of Edinburgh, Scotland and his wife Hannah Louisa Maria Bulkeley a native of Fairfield, Connecticut. Stanley George Smith married Mary Walker of Guelph, Ont.(d. 1956) Mary was the daughter of Hugh and Elizabeth (d. 1924) Walker. Her siblings included Margaret, Agnes, Jessie, Isabella, Lorne, Ada, Alice, Eva, Alexander and George. Hugh Walker was a prominent fruit and vegetable merchant in Guelph. On 1904 their only child, Helen Stanley Smith was born. He was a post office clerk, and the treasurer for the James D. Tait Co. Ltd., a clothing and dry goods retailer in St. Catharines. The family lived at 39 Church Street in St. Catharines, Ont.

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La France est souvent perçue comme la principale garante du traité de Versailles. Le révisionnisme français envers l’ordre établi par le traité, contrairement au même courant chez les responsables allemands, est un sujet peu étudié. Il a été abordé par quelques auteurs, tels George-Henri Soutou et Stanislas Jeannesson, mais la question mérite davantage d’élaboration. Grâce à l’analyse de la presse française, ce mémoire vérifie l’existence d’une volonté de rendre le traité de paix plus favorable à la France. Une Machtpolitik ainsi qu’un révisionnisme français sont apparents de 1919 à 1923 avec, comme zénith, l’occupation de la Ruhr. Les années suivantes virent la situation de la France se détériorer sur les plans politique, économique et diplomatique. La dégradation de sa posture inclina la France à se tourner vers une conciliation qui émanait de l’esprit du traité de Versailles. La couverture de l’actualité internationale de trois journaux français (Le Temps, L’Action française et L’Humanité) avant et après l’invasion de la Ruhr est analysée. On constate l’existence d’un révisionnisme français qui mène, après son échec en 1924, à un recentrage de la politique allemande de la France. En liant la perception des différents journaux à leur idéologie, nous avons aussi expliqué les variations dans leurs analyses des mêmes événements. L’étude de la presse, conjuguée aux sources secondaires, révèle un discours teinté d’une volonté révisionniste. Elle porte à croire, aussi, que le traité de Versailles ne fut réellement défendu en France qu’après l’échec de la politique de puissance et du révisionnisme français.

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Depuis les quatre dernières décennies, des publications célèbres analysent l’histoire, l’art et l’architecture de la psychiatrie de la fin du dix-neuvième siècle afin de dénoncer les aspects négatifs de la science psychiatrique : voyeurisme sur la personne du fou, déshumanisation de l’asile, autoglorification du psychiatre, abus de pouvoir. C’est ce regard à sens unique que j’ai voulu déjouer dans cette thèse en consacrant ma recherche aux œuvres produites en amont de cette période. Leur analyse a permis de prendre conscience de l’autre versant de la science psychiatrique, celui qui est philanthropique, bienveillant et animé d’un réel espoir de guérison. Mon objectif a été de construire, par l’analyse de ce domaine iconographique inédit ou négligé, une nouvelle histoire de la naissance de la psychiatrie, celle de sa culture visuelle. Une histoire qui révèle ses idéaux du début du siècle et les écarts à ses propres aspirations par son besoin de légitimation et de professionnalisation. Ma thèse propose une enquête épistémologique de l’histoire de l’aliénisme français, par le biais du discours porté par les œuvres d’art commandées par ses fondateurs. Le premier chapitre est consacré aux premiers asiles conçus comme le prolongement du corps du psychiatre et ils sont analysés selon les valeurs de la nouvelle science. Je me suis appliquée à y démontrer que le concept même d’asile, agissant sur nos sensations et sur notre cognition, relève autant des théories architecturales des Lumières que des besoins spécifiques de l’aliénisme. Le deuxième chapitre identifie, pour la première fois, un ensemble de portraits de la première génération d’aliénistes et de leurs disciples. J’argumente que ce corpus voulait imposer l’image de l’aliéniste comme modèle de raison et établir sa profession. Pour ce faire, il s’éloigne des premières représentations des aliénistes, paternalistes, et philanthropiques. Le troisième chapitre analyse les représentations des aliénés produites pour les traités fondateurs de la psychiatrie publiés en France. Le vecteur de mon analyse et le grand défi pour l’art et la science viennent de l’éthique des premiers psychiatres : comment représenter la maladie mentale sans réduire le malade à un être essentiellement autre ? Une première phase de production accorde à l’aliéné autonomie et subjectivité. Mais la nécessité d’objectiver le malade pour répondre aux besoins scientifiques de l’aliénisme a, à nouveau, relégué l’aliéné à l’altérité. Le sujet du quatrième et dernier chapitre est le cycle décoratif de la chapelle de l’hospice de Charenton (1844-1846), principal asile parisien de l’époque. J’y interroge comment l’art religieux a pu avoir un rôle face à la psychiatrie, en empruntant à l’iconographie religieuse sa force et sa puissance pour manifester l’autorité de l’aliéniste jusque dans la chapelle de l’asile. Le dix-neuvième siècle a été porteur d’espoirs en la reconnaissance de la liberté des êtres et de l’égalité des droits entre les personnes. Ces espoirs ont pourtant été déçus et les œuvres de l’aliénisme montrent un nouvel aspect de ces promesses non tenues envers les groupes fragilisés de la société, promesses de reconnaissance de leur subjectivité, de leur autonomie et de leur dignité.

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Includes index.

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Minutely classified under 15 main and 904 subclasses.

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Vol. 1-79 list patents in numerical order, v.80-116 in classified order (selected patents only); new ser. contains extracts from selected patents in classified order.

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1. ptie. État politique et religieux.--2. ptie. État militaire et chevaleresque.--3. ptie. Sciences, littérature et arts.--4. ptie. Industrie et vie privée.

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At head of title: Auguste Longnon.

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Bibliography: p. 275-277. "Notes and references": p. 279-[287]

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Half-title: ... Tarif officiel. 1844.

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1. ptie. 1444 à 1610. 1882.--2. ptie. 1610 à 1648. 1885--3. ptie. 1648-1684. 1888.--4. ptie. 1685 à 1700. 1891.--5. ptie. Tables onomastiques. Table des matières. 1894.