1000 resultados para Alexander J. Grant -- Welland Canal, Ontario
Resumo:
Key factors that provide context for the state's Maternal and Child Health (MCH) annual report and state plan are highlighted in this overview. This section briefly outlines Iowa's demographics, population changes, economic indicators and significant public initiatives. Major strategic planning efforts affecting development of program activities are also identified.
Resumo:
This document is the DMC Section of Iowa’s 2009 federal Juvenile Justice and Delinquency Prevention Act (JJDP Act) formula grant three year plan update. The Division of Criminal and Juvenile Justice Planning (CJJP) wrote this update. CJJP is the state agency responsible for administering the JJDP Act in Iowa. Federal officials refer to state administering agencies as the state planning agency (SPA). The Plan was developed and approved by Iowa’s Juvenile Justice Advisory Council. That Council assists with administration of the JJDP Act, and also provides guidance and direction to the SPA, the Governor and the legislature regarding juvenile justice issues in Iowa. Federal officials refer to such state level groups as state advisory groups (SAG’s). The acronyms SPA and SAG are used through this report.
Resumo:
The Iowa Department of Corrections (DOC) and the Department of Human Rights, Division of Criminal and Juvenile Justice Planning (CJJP) entered into a contract for services from January 2, 2007 to June 30, 2008 for the purposes of assisting in the evaluation component for the two-year Prison Re-Entry Initiative (PRI) grand awarded to the DOC by the U.S. Office of Justice Programs. The PRI grant period ran from July 2006 through June 2008 and included two primary components. First, all PRI participants returning to Polk County would participate in a Lifeskills curriculum offered through the Des Moines Area Community College (DMACC) at four Iowa prison institutions located at Mitchellville, Newton, Fort Dodge and Rockwell City. Second, all PRI participants returning to Polk County would be referred to The Directors Council (TDC) for cmmunity-based wrap-around services.
Resumo:
STUDY DESIGN: Computed tomography-based anatomical study. OBJECTIVE: To study the secular changes in lumbar spinal canal dimensions. SUMMARY OF BACKGROUND DATA: Development of symptomatic lumbar spinal stenosis, among other factors, is related to the dimensions of the bony canal. The canal reaches its adult size early on in life. Several factors, including protein intake, may influence its final dimensions. As with increases in human stature from improvements of socioeconomic conditions, we hypothesized that adult bony canal size has also grown larger in recent generations. METHODS: This study analyzes computed tomographic reconstructions from 184 subjects performed for either trauma (n = 81) or abdominal pathologies (n = 103) and born either between 1940 and 1949 (n = 88) or 1970 and 1979 (n = 96). The cross-sectional area of the bony canal was digitally measured at the level of the pedicle (i.e., at a level not influenced by degenerative changes) for each lumbar vertebra. Intra- and interobserver reliability was assessed. RESULTS: Intra- and interobserver measurement reliability were excellent (interclass correlation coefficient = 0.87) and good (interclass correlation coefficient = 0.61), respectively. Contrary to our hypothesis, the 1940-1949 generation patient group exhibited larger lumbar canals at all levels as compared with the 1970-1979 group. Statistically this difference was highly significant (P < 0.001) and particularly pronounced in the trauma subgroup. CONCLUSION: Given that human stature evolution has stabilized and adult height is established during the first 2 years of long bone growth, it is possible that antenatal factors are responsible for this surprising finding. Maternal smoking and age may be possible explanations. This finding may have significant implications. An increasing number of patients may emerge with lumbar spinal stenosis as degenerative changes develop, putting a strain on health resources. Further studies in different population groups and countries will be important to further confirm this trend. LEVEL OF EVIDENCE: 3.
Resumo:
Se ha estudiado la flora algal del Canal de Piragüismo de Aguas Tranquilas durante un año. Se han identificado 90 taxa (20 Cyanophyta, 25 Chlorophyta , 1 Charophyta, 9 Euglenophyta, 31Chrysophyta, 2 Cryptophyta y 2 Pirrophyta). Se aportan datos morfométricos, descripciones y fotografÃas de microscopio óptico de algunas de las especies. También se incluyen fotografÃas de diatomeas realizadas al microscopio electrónico de barrido. Se comentan los cambios observados en la composición florÃstica en relación con la mejora de la calidad del agua del canal. También se discute el efecto del progresivo incremento de salinidad del agua sobre las poblaciones de diatomeas.
Resumo:
Suédois de Finlande
Resumo:
La présente recherche se propose de désobstruer un certain nombre de catégories « esthétiques », au sens étendu du terme, de leur métaphysique implicite. La thèse que je souhaite défendre se présente sous la forme d'un paradoxe : d'une part, le sens originel d'« esthétique » a été perdu de vue, d'autre part, malgré cet oubli, quiconque s'interroge philosophiquement sur les beaux-arts reçoit, nolens volens, Baumgarten en héritage. Avec AEsthetica (1750/1758), ouvrage inachevé et hautement problématique, nous pourrions dire, citant René Char, qu'il s'agit-là d'un « héritage précédé d'aucun testament ». En d'autres termes, ce qui nous échoit nous occupe, voire nous préoccupe, sans que nous disposions des outils conceptuels pour nous y rapporter librement. Soyons clairs, je ne soutiens pas que l'esthétique philosophique, telle qu'elle s'énonce à ses débuts, soit un passage obligé pour penser l'art, et ce d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'un passage, mais proprement d'une impasse. Ce que je veux dire, c'est que Kant répond à Baumgarten, et que Hegel répond à Kant et ainsi de suite. Il n'y a pas de tabula rasa dans l'histoire de la pensée, et l'oubli de l'historicité d'une pensée est le meilleur moyen de la neutraliser en simple supplément culturel, tout en demeurant entièrement captifs de ses présupposés.Au départ, la question qui motivait implicitement la rédaction de cette recherche se formulait ainsi : « Dans quelle mesure la philosophie énonce-t-elle quelque chose d'important au sujet des beaux-arts ? » Au fil du temps, la question s'est inversée pour devenir : « Qu'est-ce que les écrits sur les beaux- arts, tels qu'ils foisonnent au 18e siècle, nous enseignent à propos de la philosophie et des limites inhérentes à sa manière de questionner ?» Et gardons-nous de penser qu'une telle inversion cantonne la question de l'esthétique, au sens très large du terme, à n'être qu'une critique immanente à l'histoire de la philosophie. Si la philosophie était une « discipline » parmi d'autres, un « objet » d'étude possible dans la liste des matières universitaires à choix, elle ne vaudrait pas, à mon sens, une seule heure de peine. Mais c'est bien parce que la philosophie continue à orienter la manière dont nous nous rapportons au « réel », au « monde » ou à l'« art » - je place les termes entre guillemets pour indiquer qu'il s'agit à la fois de termes usuels et de concepts philosophiques - que les enjeux de la question de l'esthétique, qui est aussi et avant tout la question du sentir, excèdent l'histoire de la philosophie.Pour introduire aux problèmes soulevés par l'esthétique comme discipline philosophique, j'ai commencé par esquisser à grands traits la question du statut de l'image, au sens le plus général du terme. Le fil conducteur a été celui de l'antique comparaison qui conçoit la poésie comme une « peinture parlante » et la peinture comme une « poésie muette ». Dans le prolongement de cette comparaison, le fameux adage ut pictura poesis erit a été conçu comme le véritable noeud de toute conception esthétique à venir.Il s'est avéré nécessaire d'insister sur la double origine de la question de l'esthétique, c'est-à -dire la rencontre entre la pensée grecque et le christianisme. En effet, l'un des concepts fondamentaux de l'esthétique, le concept de création et, plus spécifiquement la possibilité d'une création ex nihiio, a été en premier lieu un dogme théologique. Si j'ai beaucoup insisté sur ce point, ce n'est point pour établir une stricte identité entre ce dogme théologique et le concept de création esthétique qui, force est de l'admettre, est somme toute souvent assez flottant dans les écrits du 18e siècle. L'essor majeur de la notion de création, couplée avec celle de génie, sera davantage l'une des caractéristiques majeures du romantisme au siècle suivant. La démonstration vise plutôt à mettre en perspective l'idée selon laquelle, à la suite des théoriciens de l'art de la Renaissance, les philosophes du Siècle des Lumières ont accordé au faire artistique ou littéraire une valeur parfaitement inédite. Si l'inventeur du terme « esthétique » n'emploie pas explicitement le concept de création, il n'en demeure pas moins qu'il attribue aux poètes et aux artistes le pouvoir de faire surgir des mondes possibles et que ceux-ci, au même titre que d'autres régions de l'étant, font l'objet d'une saisie systématique qui vise à faire apparaître la vérité qui leur est propre. Par l'extension de l'horizon de la logique classique, Baumgarten inclut les beaux-arts, à titre de partie constituante des arts libéraux, comme objets de la logique au sens élargi du terme, appelée « esthético- logique ». L'inclusion de ce domaine spécifique d'étants est justifiée, selon les dires de son auteur, par le manque de concrétude de la logique formelle. Or, et cela n'est pas le moindre des paradoxes de l'esthétique, la subsomption des beaux-arts sous un concept unitaire d'Art et la portée noétique qui leur est conférée, s'opère à la faveur du sacrifice de leur singularité et de leur spécificité. Cela explique le choix du titre : « métaphysique de l'Art » et non pas « métaphysique de l'oeuvre d'art » ou « métaphysique des beaux-arts ». Et cette aporîe constitutive de la première esthétique est indépassable à partir des prémices que son auteur a établies, faisant de la nouvelle discipline une science qui, à ce titre, ne peut que prétendre à l'universalité.Au 18e siècle, certaines théories du beau empruntent la voie alternative de la critique du goût. J'ai souhaité questionner ces alternatives pour voir si elles échappent aux problèmes posés par la métaphysique de l'Art. Ce point peut être considéré comme une réplique à Kant qui, dans une note devenue célèbre, soutient que « les Allemands sont les seuls à se servir du mot "esthétique" pour désigner ce que d'autres appellent la critique du goût ». J'ai démontré que ces deux termes ne sont pas synonymes bien que ces deux positions philosophiques partagent et s'appuient sur des présupposés analogues.La distinction entre ces deux manières de penser l'art peut être restituée synthétiquement de la sorte : la saisie systématique des arts du beau en leur diversité et leur subsomption en un concept d'Art unitaire, qui leur attribue des qualités objectives et une valeur de vérité indépendante de toute saisie subjective, relègue, de facto, la question du jugement de goût à l'arrière-plan. La valeur de vérité de l'Art, définie comme la totalité des qualités intrinsèques des oeuvres est, par définition, non tributaire du jugement subjectif. Autrement dit, si les oeuvres d'art présentent des qualités intrinsèques, la question directrice inhérente à la démarche de Baumgarten ne peut donc nullement être celle d'une critique du goût, comme opération subjective {Le. relative au sujet, sans que cela soit forcément synonyme de « relativisme »), mais bien la quête d'un fondement qui soit en mesure de conférer à l'esthétique philosophique, en tant que métaphysique spéciale, sa légitimité.Ce qui distingue sur le plan philosophique le projet d'une métaphysique de l'Art de celui d'une esthétique du goût réside en ceci que le premier est guidé, a priori, par la nécessité de produire un discours valant universellement, indépendant des oeuvres d'art, tandis que le goût, pour s'exercer, implique toujours une oeuvre singulière, concrète, sans laquelle celui-ci ne reste qu'à l'état de potentialité. Le goût a trait au particulier et au contingent, sans être pour autant quelque chose d'aléatoire. En effet, il n'est pas un véritable philosophe s'interrogeant sur cette notion qui n'ait entrevu, d'une manière ou d'une autre, la nécessité de porter le goût à la hauteur d'un jugement, c'est-à -dire lui conférer au moins une règle ou une norme qui puisse le légitimer comme tel et le sauver du relativisme, pris en son sens le plus péjoratif. La délicatesse du goût va même jusqu'à être tenue pour une forme de « connaissance », par laquelle les choses sont appréhendées dans toute leur subtilité. Les différents auteurs évoqués pour cette question (Francis Hutcheson, David Hume, Alexander Gerard, Louis de Jaucourt, Montesquieu, Voltaire, D'Alembert, Denis Diderot, Edmund Burke), soutiennent qu'il y a bien quelque chose comme des « normes » du goût, que celles-ci soient inférées des oeuvres de génie ou qu'elles soient postulées a priori, garanties par une transcendance divine ou par la bonté de la Nature elle-même, ce qui revient, en dernière instance au même puisque le geste est similaire : rechercher dans le suprasensible, dans l'Idée, un fondement stable et identique à soi en mesure de garantir la stabilité de l'expérience du monde phénoménal.La seconde partie de la recherche s'est articulée autour de la question suivante : est-ce que les esthétiques du goût qui mesurent la « valeur » de l'oeuvre d'art à l'aune d'un jugement subjectif et par l'intensité du sentiment échappent aux apories constitutives de la métaphysique de l'Art ?En un sens, une réponse partielle à cette question est déjà contenue dans l'expression « esthétique du goût ». Cette expression ne doit pas être prise au sens d'une discipline ou d'un corpus unifié : la diversité des positions présentées dans cette recherche, bien que non exhaustive, suffit à le démontrer. Mais ce qui est suggéré par cette expression, c'est que ces manières de questionner l'art sont plus proches du sens original du terme aisthêsis que ne l'est la première esthétique philosophique de l'histoire de la philosophie. L'exercice du goût est une activité propre du sentir qui, en même temps, est en rapport direct avec la capacité intellectuelle à discerner les choses et à un juger avec finesse et justesse.Avec le goût esthétique s'invente une espèce de « sens sans organe » dont la teneur ontologique est hybride, mais dont le nom est identique à celui des cinq sens qui procurent la jouissance sensible la plus immédiate et la moins raisonnable qui soit. Par la reconnaissance de l'existence d'un goût « juste » et « vrai », ou à défaut, au moins de l'existence d'une « norme » indiscutable de celui-ci, c'est-à -dire de la possibilité de formuler un jugement de goût une tentative inédite de spîritualisation de la sensibilité a lieu.Par conséquent, il est loin d'être évident que ce que j'ai appelé les esthétiques du goût échappent à un autre aspect aporétique de la métaphysique de l'Art, à savoir : passer à côté du caractère singulier de telle ou telle oeuvre afin d'en dégager les traits universels qui permettent au discours de s'étayer. Dans une moindre mesure, cela est même le cas dans les Salons de Diderot où, trop souvent, le tableau sert de prétexte à l'élaboration d'un discours brillant.Par contre, tout l'intérêt de la question du goût réside en ceci qu'elle présente, de façon particulièrement aiguë, les limites proprement métaphysiques dont l'esthétique, à titre de discipline philosophique, se fait la légataire et tente à sa manière d'y remédier par une extension inédite du concept de vérité et sa caractérisai ion en termes de vérité « esthéticologique » au paragraphe 427 de Y Esthétique. Cela dit, le fait même que dans l'empirisme la sensibilité s'oppose, une fois de plus, à l'intellect comme source de la naissance des idées - même si c'est dans la perspective d'une réhabilitation de la sensibilité -, indique que l'horizon même de questionnement demeure inchangé. Si le goût a pu enfin acquérir ses lettres de noblesse philosophique, c'est parce qu'il a été ramené, plus ou moins explicitement, du côté de la raison. Le jugement portant sur les arts et, de manière plus générale, sur tout ce qui est affaire de goût ne saurait se limiter au sentiment de plaisir immédiat. Le vécu personnel doit se transcender en vertu de critères qui non seulement permettent de dépasser le relativisme solipsiste, mais aussi de donner forme à l'expérience vécue afin qu'elle manifeste à chaque fois, et de façon singulière, une portée universelle.Le goût, tel qu'il devient un topos des discours sur l'art au 18e siècle, peut, à mon sens, être interprété comme l'équivalent de la glande pinéale dans la physiologie cartésienne : l'invention d'un « je ne sais quoi » situé on ne sait où, sorte d'Hermès qui assure la communication entre l'âme et le corps et sert l'intermédiaire entre l'intellect et la sensibilité. L'expérience décrite dans l'exercice du goût implique de facto une dimension par définition occultée par la métaphysique de l'Art : le désir. Pour goûter, il faut désirer et accepter d'être rempli par l'objet de goût. Dans l'exercice du goût, le corps est en jeu autant que l'intellect, il s'agit d'une expérience totale dans laquelle aucune mise à distance théorétique n'est, en un premier temps, à même de nous prémunir de la violence des passions qui nous affectent. L'ambiguïté de cette notion réside précisément dans son statut ontologiquement problématique. Mais cette incertitude est féconde puisqu'elle met en exergue le caractère problématique de la distinction entre corps et esprit. Dans la notion de goût est contenue l'idée que le corps pense aussi et que, par voie de conséquence, la sensibilité n'est pas dépourvue de dimension spirituelle. Reste que formuler les choses de la sorte revient à rejouer, en quelque sorte, l'antique diaphorâ platonicienne et à convoquer, une fois de plus, les grandes oppositions métaphysiques telles que corps et âme, sensible et intelligible, matière et forme.La troisième partie est entièrement consacrée à Shaftesbury qui anticipe le statut ontologiquement fort de l'oeuvre d'art (tel qu'il sera thématisé par Baumgarten) et l'allie à une critique du goût. Cet auteur peut être considéré comme une forme d'exception qui confirme la règle puisque sa métaphysique de l'Art laisse une place prépondérante à une critique du goût. Mais le cumul de ces deux caractéristiques opposées un peu schématiquement pour les besoins de la démonstration n'invalide pas l'hypothèse de départ qui consiste à dire que la saisie philosophique de la question du goût et l'invention conjointe de l'esthétique au 18e siècle sont deux tentatives de trouver une issue au problème du dualisme des substances.Cette recherche doit être prise comme une forme de propédeutique à la fois absolument nécessaire et parfaitement insuffisante. Après Baumgarten et le siècle du goût philosophique, les propositions de dépassement des apories constitutives d'une tradition qui pense l'art à partir de couples d'oppositions métaphysiques tels qu'âme et corps, forme et matière, ainsi que leurs traductions dans les arts visuels (dessin et couleur ou encore figuration et abstraction), n'ont pas manqué. Il aurait fallu in fine s'effacer pour laisser la place aux plasticiens eux-mêmes, mais aussi aux poètes, non plus dans l'horizon de Y ut pictura, mais lorsqu'ils expriment, sans verser dans l'analyse conceptuelle, leurs rencontres avec telle ou telle oeuvre (je pense à Baudelaire lorsqu'il évoque Constantin Guys, à Charles Ferdinand Ramuz lorsqu'il rend hommage à Cézanne ou encore à Pascal Quignard lorsqu'il raconte les fresques de la maison des Dioscures à Pompéi, pour ne citer que trois noms qui affleurent immédiatement à ma mémoire tant leur souvenir est vivace et leur exemple un modèle). Et puis il s'agit, malgré tout, de ne pas renoncer pour autant au discours esthétique, c'est- à -dire à la philosophie, mais de réinterroger les catégories dont nous sommes les légataires et de penser avec et au-delà des limites qu'elles nous assignent. Mais cela ferait l'objet d'un autre ouvrage.
Resumo:
This study aimed to assess the response of apical and periapical tissues of dogs¿ teeth after root canal filling with different materials. Forty roots from dogs¿ premolars were prepared biomechanically and assigned to 4 groups filled with: Group I: commercial calcium hydroxide and polyethylene glycol-based paste (Calen®) thickened with zinc oxide; Group II: paste composed of iodoform, Rifocort® and camphorated amonochlorophenol; Group III: zinc oxide-eugenol cement; Group IV: sterile saline. After 30 days, the samples were subjected to histological processing. The histopathological findings revealed that in Groups I and IV the apical and periapical regions exhibited normal appearance, with large number of fibers and cells and no resorption of mineralized tissues. In Group II, mild inflammatory infiltrate and mild edema were observed, with discrete fibrogenesis and bone resorption. Group III showed altered periapical region and thickened periodontal ligament with presence of inflammatory cells and edema. It may be concluded that the Calen paste thickened with zinc oxide yielded the best tissue response, being the most indicated material for root canal filling of primary teeth with pulp vitality.
Resumo:
This is an overview of the program that the General Assembly of Iowa appropriated $1 million for to the Iowa Department of Veterans Affairs with the intent to improve delivery services by the various County Commissions of Veterans Affairs to veterans in their respective counties.
Resumo:
BACKGROUND AND PURPOSE: Patients with symptoms of semicircular canal dehiscence often undergo both CT and MR imaging. We assessed whether FIESTA can replace temporal bone CT in evaluating patients for SC dehiscence. MATERIALS AND METHODS: We retrospectively reviewed 112 consecutive patients (224 ears) with vestibulocochlear symptoms who underwent concurrent MR imaging and CT of the temporal bones between 2007 and 2009. MR imaging protocol included a FIESTA sequence covering the temporal bone (axial 0.8-mm section thickness, 0.4-mm spacing, coronal/oblique reformations; 41 patients at 1.5T, 71 patients at 3T). CT was performed on a 64-row multidetector row scanner (0.625-mm axial acquisition, with coronal/oblique reformations). Both ears of each patient were evaluated for dehiscence of the superior and posterior semicircular canals in consensual fashion by 2 neuroradiologists. Analysis of the FIESTA sequence and reformations was performed first for the MR imaging evaluation. CT evaluation was performed at least 2 weeks after the MR imaging review, resulting in a blinded comparison of CT with MR imaging. CT was used as the reference standard to evaluate the MR imaging results. RESULTS: For SSC dehiscence, MR imaging sensitivity was 100%, specificity was 96.5%, positive predictive value was 61.1%, and negative predictive value was 100% in comparison with CT. For PSC dehiscence, MR imaging sensitivity was 100%, specificity was 99.1%, positive predictive value was 33.3%, and negative predictive value was 100% in comparison with CT. CONCLUSIONS: MR imaging, with a sensitivity and negative predictive value of 100%, conclusively excludes SSC or PSC dehiscence. Negative findings on MR imaging preclude the need for CT to detect SC dehiscence. Only patients with positive findings on MR imaging should undergo CT evaluation.
Resumo:
Objective: To report a single-center experience treating patients with squamous- cell carcinoma of the anal canal using helical Tomotherapy (HT) and concurrent chemotherapy (CT).Materials/Methods: From October 2007 to February 2011, 55 patients were treated with HT and concurrent CT (5-fluorouracil/capecitabin and mitomycin) for anal squamous-cell carcinoma. All patients underwent computed- tomography-based treatment planning, with pelvic and inguinal nodes receiving 36 Gy in 1.8 Gy/fraction. Following a planned 1-week break, primary tumor site and involved nodes were boosted to a total dose 59.4 Gy in 1.8 Gy/fraction. Dose-volume histograms of several organs at risk (OAR; bladder, small intestine, rectum, femoral heads, penile bulb, external genitalia) were assessed in terms of conformal avoidance. All toxicity was scored according to the CTCAE, v.3.0. HT plans and treatment were implemented using the Tomotherapy, Inc. software and hardware. For dosimetric comparisons, 3D RT and/or IMRT plans were also computed for some of the patients using the CMS planning system, for treatment with 6-18 MV photons and/or electrons with suitable energies from a Siemens Primus linear accelerator equipped with a multileaf collimator.Locoregional control and survival curves were compared with the log-rank test, and multivariate analysis by the Cox model.Results: With 360-degree-of-freedom beam projection, HT has an advantage over other RT techniques (3D or 5-field step-and-shot IMRT). There is significant improvement over 3D or 5-field IMRT plans in terms of dose conformity around the PTV, and dose gradients are steeper outside the target volume, resulting in reduced doses to OARs. Using HT, acute toxicity was acceptable, and seemed to be better than historical standards.Conclusions: Our results suggest that HT combined with concurrent CT for anal cancer is effective and tolerable. Compared to 3D RT or 5-field step-andshot IMRT, there is better conformity around the PTV, and better OAR sparing.