999 resultados para Pozzi, Emilio, 1889-1912.


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L’objectif de ce mémoire est de décrire et expliquer le traitement des jeunes filles traduites devant la Cour des jeunes délinquants de Montréal durant toute la période de son existence, soit de 1912 à 1950. Une analyse statistique a tout d’abord été utilisée sur un échantillon de 1 465 jeunes filles pour lesquelles nous avions des données quantitatives provenant du plumitif de la cour. Une analyse documentaire a ensuite été utilisée sur un sous-échantillon de 126 mineures pour lesquelles nous avions accès aux divers documents contenus dans leur dossier judiciaire. L’analyse met particulièrement en évidence la différence d’application de la loi en fonction du sexe des mineurs traduits devant la cour. Les jeunes filles sont poursuivies pour des motifs différents de ceux pour lesquels on poursuit les garçons : elles sont particulièrement poursuivies pour des infractions spécifiques aux mineurs telles que l’incorrigibilité, les infractions à caractère sexuel, la désertion ou la protection. Les garçons, quant à eux, sont davantage poursuivis pour des infractions prévues au Code criminel (notamment le vol). Les mineures sont plus souvent amenées devant la cour par leurs parents plutôt que par les officiers de la cour et se voient imposer des mesures différentes de celles qu’on impose aux garçons pour une même infraction. Le placement est ainsi plus fréquemment utilisé chez les filles que chez les garçons et la probation plus fréquemment utilisée chez ces derniers. La définition de ce qui pose problème chez ces mineures et les solutions souhaitables pour y remédier varient en fonction des différents acteurs (les agents de probation, les officiers de la cour, les parents et les mineures elles-mêmes).

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de tous les documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Les références proviennent du Centre des archives diplomatiques de Nantes (France)

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El objetivo general de la investigación es captar la trayectoria vital del maestro asturiano Luis Huerta Naves (1889-1975). Al mismo tiempo, se pretende dar algunas claves que permitan al lector conocer e interpretar los fenómenos sociales y educativos en los que estuvo inmerso y los cambios que se dieron en la sociedad española durante su existencia. Método de investigación descriptivo de tipo histórico y retrospectivo que trata de repasar cronológicamente la experiencia biográfica en el tiempo y en el espacio de Huerta. Las fuentes documentales de análisis son fruto de una búsqueda por varios archivos públicos y privados, regionales y nacionales, de la lectura de decenas de artículos suyos y, por supuesto, de sus obras, en las que aporta datos personales. Luis Huerta naves (1889-1975) fue fundador de la revista gijonesa Enseñanza Moderna (1912), director y colaborador asiduo de otras, autor de varios libros y artículos, alcalde de San Lorenzo del Escorial, iniciador de varios proyectos, exitosos unos y fracasados otros (el Instituto de Medicina Social, en Madrid, o un Instituto de Maternología y Puericultura en Gijón, por ejemplo). Sin embargo, fue olvidado y silenciado durante los años posteriores a la Guerra Civil española. Huerta fue uno de los cientos de maestros exiliados a Francia, a donde llego en 1938 con su esposa y un grupo de niños. En la medida en que su salud de lo permitió, colaboró con varios actos organizados por la colonia española , publico artículos en el Boletín de los Intelectuales Españoles, retornó su compromiso sindical y fue presidente de la Federación Española de Trabajadores de la Enseñanza en 1974. Allí permaneció hasta 1954, año en que regresa a España para recuperar su profesión. Con sesenta y nueve años se hizo cargo de la escuela de niños de Getáfe (Madrid). Solo pudo ejercer el magisterio un curso académico, el anterior a su jubilación, en 1959.