962 resultados para Niagara (Ont. : Township)--History--Sources.
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Because males and females of a species express many homologous traits, sex-specific selection on these traits can shift the opposite sex away from its phenotypic optimum. This mode of sexually antagonistic selection, known as intralocus sexual conflict (IaSC), arises when the evolution of sexual dimorphism is constrained by the two sexes sharing a common gene pool. As IaSC has been historically overlooked, many outstanding questions remain. For example, what is its contribution in maintaining genetic variation for fitness in populations? What characters underlie this variation in fitness? How does the selection history of the population influence the standing genetic variation? I used the model organism Drosophila melanogaster to attempt to resolve some of these questions. The first part of my Master’s project involved assessing the detectability of sexually antagonistic alleles in populations at different stages of adaptation to the laboratory. For the second part of my Master’s project, I looked for evidence of conflict during the development of body size, a well-known sexually dimorphic trait. While the first part of my thesis proved inconclusive, the second part revealed a surprising source of sexual conflict in pre-adult stages of D. melanogaster.
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This paper will propose that, rather than sitting on silos of data, historians that utilise quantitative methods should endeavour to make their data accessible through databases, and treat this as a new form of bibliographic entry. Of course in many instances historical data does not lend itself easily to the creation of such data sets. With this in mind some of the issues regarding normalising raw historical data will be looked at with reference to current work on nineteenth century Irish trade. These issues encompass (but are not limited to) measurement systems, geographic locations, and potential problems that may arise in attempting to unify disaggregated sources. It will discuss the need for a concerted effort by historians to define what is required from digital resources for them to be considered accurate, and to what extent the normalisation requirements for database systems may conflict with the desire for accuracy. Many of the issues that the historian may encounter engaging with databases will be common to all historians, and there would be merit in having defined standards for referencing items, such as people, places, locations, and measurements.
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Afin de comprendre et d’expliquer le malaise actuel vis-à-vis de l’enseignement de la poésie au secondaire, la thèse remonte à la publication du Rapport Parent (1963-1966), document fondateur de l’école québécoise moderne, et à la création du ministère de l’Éducation du Québec (1964) pour suivre, à travers les documents, l’histoire de l’enseignement de la poésie au secondaire au cours des 50 dernières années. Cette période se divise en trois grandes étapes : une révolution en éducation marquée par la publication du Rapport Parent et de deux programmes; le retour aux sources amorcé par L’école québécoise qui verra deux programmes et deux séries de manuels scolaires; la réforme articulée autour de L’école, tout un programme dont les programmes et les manuels sont actuellement en vigueur. C’est à travers ces trois types de documents (documents d’orientation, programmes d’enseignement et manuels scolaires) que je retracerai le parcours de l’enseignement de la poésie à l’école secondaire avec comme toile de fond les grands courants qui ont marqué l’éducation et l’enseignement du français au Québec depuis les années 1960. L’enseignement de la poésie ne peut se détacher du contexte dans lequel il se fait. Ce contexte comprend diverses facettes qui lui sont internes et d’autres qui lui sont externes. Les facettes externes dans ce travail sont la vision de la culture et de l’enseignement ainsi que la place faite à la littérature et à la poésie. L’idée de culture a beaucoup évolué depuis 50 ans. Le Rapport Parent abandonne la vision traditionnelle de la culture au profit d’une vision plus large qui englobe l’ensemble des activités humaines. Nuancée et actualisée, cette vision large de la culture restera la référence. La littérature qui détenait une place importante dans la culture traditionnelle perd ainsi de l’influence. Sa place et son importance, malgré les discours qui la valorisent, vont diminuer jusqu’à ne devenir qu’un adjuvant à l’enseignement de la technique de la langue et des types de textes. L’évolution de l’enseignement transformera la classe traditionnelle bien ordonnée sous l’autorité du maitre en lieu qui doit permettre à l’élève de construire ses connaissances. Les éléments reliés directement à l’enseignement de la poésie comprennent les programmes, les manuels, l’enseignement de la lecture et de l’écriture et le travail du professeur et de l’élève. Les programmes subiront d’importantes modifications. Le programme-cadre de 1969 marque la fin des programmes à visées littéraires. Le seul vrai but des programmes depuis, c’est de parfaire l’apprentissage technique de la langue. Le programme de 1980 marque l’abandon des genres littéraires comme base de l’enseignement des textes au profit de la notion de discours. Comme le discours poétique n’y apparait pas, la poésie peine à se trouver une place. Les programmes de 1995 et de la réforme optent pour les types de textes plutôt que les discours, mais la poésie n’entre pas dans cette typologie. La place de la poésie en lecture et en écriture est variable selon les époques. Sur un même pied que les autres types de textes dans le programme-cadre, elle apparait seulement en lecture dans le programme de 1980. Les programmes subséquents lui redonneront une place en écriture. Depuis 1980, elle reste un genre marginal qui souvent ne sert qu’à illustrer des notions utiles aux discours ou types de textes utilisés par le programme. La relation professeur/élève s’est considérablement modifiée au cours de cette période. De maitre, le professeur est devenu guide et médiateur. L’élève évolue en sens inverse : de passif récepteur de la connaissance, il devient responsable de construire ses connaissances. Le professeur, compte tenu du peu de place qu’occupe la poésie dans les programmes et du fait qu’elle ne fait pas partie de la typologie des textes adoptée par ceux-ci, ne peut compter que sur ses connaissances pour en assurer un enseignement valable. Les manuels accompagnent les programmes sauf pour le programme-cadre. Depuis 1980, les manuels de français ont une visée autoéducative parce qu’ils s’adressent directement à l’étudiant. Ils se présentent comme des préparations de cours que l’élève n’a qu’à suivre pour acquérir les connaissances au programme. La place de la poésie en lecture et en écriture y est variable selon les époques et les manuels.
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Méthodologie: Théorisation ancrée, Interactionnisme symbolique
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Laser ablation ICP-MS U–Pb analyses have been conducted on detrital zircon of Upper Triassic sandstone from the Alentejo and Algarve basins in southwest Iberia. The predominance of Neoproterozoic, Devonian, Paleoproterozoic and Carboniferous detrital zircon ages confirms previous studies that indicate the locus of the sediment source of the late Triassic Alentejo Basin in the pre-Mesozoic basement of the South Portuguese and Ossa-Morena zones. Suitable sources for the Upper Triassic Algarve sandstone are the Upper Devonian–Lower Carboniferous of the South Portuguese Zone (Phyllite–Quartzite and Tercenas formations) and the Meguma Terrane (present-day in Nova Scotia). Spatial variations of the sediment sources of both Upper Triassic basins suggest a more complex history of drainage than previously documented involving other source rocks located outside present-day Iberia. The two Triassic basins were isolated from each other with the detrital transport being controlled by two independent drainage systems. This study is important for the reconstruction of the late Triassic paleogeography in a place where, later, the opening of the Central Atlantic Ocean took place separating Europe from North America.
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The study of textiles is an open area of scientific research, which for its variety of material components and physical chemical diversity of conditions, makes a field of interest for scientific studies in the cultural heritage field. Archaeological/historical textiles offer the possibility to carry out studies on organic materials such as fibers, adhesion elements, dyes, paper, etc., as well as on inorganic compounds for instance metals, alloys, precious stones and other added ornamentation. That variety of composition, allow to use a combination of analytical techniques to solve the questions coming from the object in an archaeometric research. One kind of textile object that provides a valuable cultural information because of its linguistic representation employed by its carrier societies, are the flags/banners/emblems, objects made with a nonverbal communication purpose. As long as depending on the use and/or purpose of each object, varies both the materials/techniques used in its production and its iconography (style, color, emblem, shape), its study gives the possibility to extract information through their materials and manufacturing techniques about a temporal-spatial frame, a particular event or a specific character. The flags/banners have been used since the eleventh century as representative objects of power, hierarchy, social or military organization, or as communicative media. The use of these objects has been spread throughout the world, possibly due to its easy interpretation and/or appropriation by different societies, making it part of their own culture. The flags as symbols of territorial control, using emblems that represent a family, order or army, were introduced to the New World (America) with the arrival of the European conquerors at the end of the fifteenth century. Flags/banners representing the Royal dominion over conquered territories, the Catholic Church and conquistadors’ armies were the first to arrive. One of those flags that have endured over time, that have an invaluable cultural meaning for both American and Iberian societies, is the so-called Francisco Pizarro’s Banner of Arms. It is a textile object with metal threads decoration over a Royal emblem. According to historical sources, this object was used by Francisco Pizarro in 1532 on the conquest process of Peru, after received the permission by King Charles V to on behalf of him, to conquer the lands of the New World today known as Peru. After Pizarro’s control of the Inca territory, it is believed that Pizarro left his banner on top of the Inca’s Sun’s Temple as symbol of his rule. Centuries later, in the America libertarian campaigns, General Sucre, military at charge of the independence army in Peru, reports have found what he considered the Pizarro’s Banner, sending it to Bogotá as a symbol of victory, being kept since that time until today by the National Museum of Colombia. Due to historical discrepancies in the different movements of the so-called Pizarro’s Banner of Arms, its real meaning has been under discussion and because of the passage of time its physical condition has suffer deterioration. That is because its scientific study is now an interesting case study to respond to both historical and conservation questions of it. Through a collaboration with the National Museum of Colombia, a set of 25 samples of so-called Pizarro’s Banner of Arms were collected, covering the various components and areas from the object of study. These samples were subjected to analytical studies for physical and chemical characterization. Microscopic observation, VSEM-EDS analysis, Raman spectroscopy, chromatographic analysis (HPLC-MS, GCMS) and radiocarbon dating were done. Similarly, was sought through a direct in situ physical inspection to the object and through a research into historical sources, adequate information to solve the object’s problems. Results obtained allowed to identify as silk the textile used in the elaboration of the Banner’s fabric, as well as the use of natural dyes for dyeing the fibers used on the emblem: use of cochineal and brazil wood as a source of red, luteolin plant-based for yellow color, indigotine plant-based for blue, and a mixture of yellow and blue dyes for green were identified. Similarly, the use of animal glue in the manufacturing process and the use of rag paper was evident. The metal threads study from the Banner give a confirmation to a silver core wire gilded with a thin gold sheet, being flattened and entwined with silk threads for their use. Finally, using the radiocarbon results, it was possible to postulate with huge accuracy that the Banner date manufacture was between the XV-XVI century and subject to restoration processes with addition of textiles in modern times. Together with, was evident that the state of degradation of the fabric is due to natural degradation in the silk fibers, having that its color has faded and its mechanical properties decreased, leading to loss of rigidity and disappearance of the physical structure. Similarly, it was clear the original colors of the emblem and highlight problems of detachment of paper due to crystallization of the adhesive. In the same way, was found that the metal threads suffer corrosion by sulfur and detachment of its crystals. Finally, combining the analytical results and the historical sources data found from the so-called Francisco Pizarro’s Banner of Arms, allows to postulate that its manufacture process was done in Europe employing precious materials to obtain a long-life object with a deep message for its viewers. Also, the data obtained helps to support the possible idea that the object was employed by Francisco Pizarro in the Peru conquest process. However, by the symbols present in the object, its elaboration date and materials, this object its clearly unique in its kind, and the most important, by its linguistic message, does not represent to Francisco Pizarro or his army, meanwhile, represents the Spanish crown. Therefore, instead to be labeled as Francisco Pizarro’s Banner of Arms, it should be called the Colonial Royal Banner of Charles V in the New World; RESUMEN: El estudio de textiles es un área abierta de investigación científica, la cual por su variedad de componentes materiales y la diversidad de condiciones físico-químicas presentes en estos objetos, lo hace un campo de interés para estudios científicos en el patrimonio cultural. Los textiles arqueológicos/históricos brindan la posibilidad de realizar estudios en materiales orgánicos como fibras, elementos de adhesión, tinturas, papel, etc., e inorgánicos como metales, aleaciones, piedras preciosas y demás materiales decorativos añadidos. Por su variedad de composición, es posible emplear diversas técnicas analíticas para resolver aquellas preguntas propias del objeto en una investigación arqueométrica. Uno de los objetos textiles que brinda gran información cultural debido a su representación lingüística empleada por las sociedades portadoras, son las banderas/estandartes/emblemas. Donde varía dependiendo de su uso y/o propósito, los materiales empleados en su elaboración, al igual que su iconografía (estilo, color, emblema, forma). El estudio de estos objetos construidos con un propósito de comunicación no verbal, da la posibilidad de extraer información a través de sus materiales y técnicas de elaboración sobre un rango temporal-espacial, un evento determinado en la historia o incluso a un personaje en específico. Las banderas han sido empleadas desde el siglo XI como objetos representativos de poder, jerarquía, organización social o militar, o como medio de comunicación. El uso de estos objetos se ha extendido a lo largo del mundo posiblemente debido a su fácil interpretación y/o apropiación por distintas sociedades, haciéndolo parte de su cultura. Las banderas como símbolos de control territorial, empleando símbolos que representan a una familia, orden o armada fueron introducidas a el Nuevo Mundo (América) con la llegada de los conquistadores europeos al final del siglo XV. Las banderas/estandartes que representaban el dominio Real sobre territorios dominados, la iglesia católica y las banderas de ejércitos y/o conquistadores fueron las primeras en llegar al nuevo mundo. Una de aquellas banderas que ha soportado el paso del tiempo, teniendo un gran valor cultural tanto para las sociedades americanas como para las ibéricas, es el denominado Estandarte de armas de Francisco Pizarro. Siendo un objeto textil con decoración en hilos metálicos sobre un emblema Real. De acuerdo a fuentes históricas, este objeto fue usado por Francisco Pizarro en 1532 en el proceso de conquista del Perú, quien recibe por parte del Rey Carlos V el poder para que, en su nombre, Pizarro pueda conquistar las tierras del nuevo mundo hoy conocidas como Perú. Luego del dominio de Pizarro sobre el territorio Inca, se cree que Pizarro dejó su estandarte en la cima del templo Inca del sol como símbolo de su control. Siglos más tarde, en las campañas libertarias de América, el General Sucre, militar encargado de la armada independentista en Perú, reporta haber encontrado lo que él considera como el estandarte de Pizarro, enviándolo a Bogotá como muestra de victoria, siendo custodiada desde ese momento por el Museo Nacional de Colombia hasta la actualidad. Debido a discrepancias históricas, el verdadero significado del llamado estandarte de Pizarro ha sido objeto de discusión y debido del pasar del tiempo su estado de conservación se ha deteriorado. Dejando de este modo, un caso de estudio interesante para que por medio de estudios científicos al objeto se pueda dar respuesta a preguntas tanto históricas como de conservación del mismo. De este modo, por medio de una colaboración con el Museo Nacional de Colombia, se obtuvo un juego de 25 muestras del llamado Estandarte de armas de Francisco Pizarro, abarcando los diferentes componentes y áreas del objeto de estudio. Dichas muestras fueron sometidas a estudios analíticos para su caracterización físico-química. Análisis de observación al microscopio, análisis VSEM-EDS, espectroscopia Raman, análisis cromatográficos (HPLC-MS, GC-MS) y datación por radiocarbono catorce fueron realizados. Del mismo modo, por medio de una inspección física al objeto in situ y una profunda investigación en fuentes históricas del mismo, se buscó la información adecuada para resolver sus problemáticas. Los resultados obtenidos permitieron identificar como seda el textil empleado en la elaboración del estandarte, así como el uso de colorantes naturales para teñir las fibras en el emblema: uso de cochinilla y palo de Brasil como fuente del color rojo, plantas a base de luteolin para el color amarillo, plantas a base de indigotina para el color azul y mezcla de colorantes amarillos y azules para el color verde fueron identificadas. Del mismo modo se evidencio el uso de adhesivos animales y el uso de papel de trapos en el proceso de manufactura. El estudio de los hilos metálicos, permitió evidenciar el uso de alambres con núcleos de plata con un fino recubrimiento de oro en su exterior, siendo aplanados y entrelazados con hilos de seda para su uso. Finalmente usando la datación por radiocarbono, fue posible conocer con alta precisión que el estandarte fue elaborado entre los siglos XV-XVI y sufrió procesos de restauración con añadidura de textiles en tiempos modernos. Junto a lo anterior, es posible postular que el estado de degradación de la tela es debido a degradación natural en las fibras de seda, teniendo así que su color se ha desvanecido y sus propiedades mecánicas disminuidas, conllevando a perdida de rigidez y desaparición de la estructura. Del mismo modo se pudo conocer los colores originales del emblema y evidenciar problemas de desprendimiento del papel debido a cristalización del adhesivo. Asimismo, se comprobó que los hilos metálicos presentan corrosión por azufre y desprendimiento de sus cristales. Finalmente, combinando los resultados analíticos y la información de fuentes históricas encontradas del llamado Estandarte de armas de Francisco Pizarro, se puede postular que su elaboración fue realizada en Europa, usando materiales preciosos para obtener un objeto de larga vida con un profundo mensaje para sus observadores. También, los datos obtenidos ayudan a dar soporte la posible idea de que este objeto fue usado por Francisco Pizarro en el proceso de conquista del Perú. Sin embargo, debido a los símbolos presentes en el objeto, fecha y materiales de elaboración, este objeto es claramente único en su tipo, y lo más importante, por su mensaje lingüístico, este no representa a Francisco Pizarro o su armada, al contrario, representa a la Corona de España. Por ende, en vez de denominarse como Estandarte de armas de Francisco Pizarro, este objeto debería nombrarse como el Estandarte Real de la Colonia de Carlos V en el Nuevo Mundo.