968 resultados para MV PHOTONS
Resumo:
Contient : 1 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER [évêque de Quimper]... à la royne, mere du roy... De Rome, ce premier jour de juillet 1560 » ; 2 Lettre du « cardinal STROZZI,... alla regina, madre del re... Di Roma, il primo di gennaro nel M.D.LX ». En italien ; 3 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XX novembre 1559 » ; 4 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne... De Rome, le jour de Noël » ; 5 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY », à Catherine de Médicis. « Du conclave, ce Xe de novembre 1559 » ; 6 Lettre de « BARTOLOMEO CAMERARIO, conservateur de Naples... alla Maesta christianissima della regina di Francia... Da Roma, li 15 di novembre 1559 ». En italien ; 7 Lettre de « PANDOLPHO STUPHA,... alla serenissima regina madre di Francia... Di Fiorenza, alli 30 di maggio M.D.LX ». En italien ; 8 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne... De Rome, ce VIIe octobre 1557 » ; 9 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne... De Rome, ce XIIe jour de septembre 1557 » ; 10 « Sommaire de la depesche » de PHILIBERT BABOU DE LA BOURDAISIERE, évêque d'Angoulême, « venue de Rome depuis le partement de la royne mere » ; 11 « Don faict par la royne [CATHERINE DE MEDICIS] à Me Estienne Mauguin : tout ce à quoy peuvent monter les lotz et ventes qui luy pourroient appartenir pour l'acquisition d'une maison, du VIIIe jour de novembre V.C.LVII ». Minute ; 12 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le doyen de la Roue, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 13 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur de St Ferme,... De St Germain en Laye, ce XVe jour de decembre 1557 » ; 14 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le cardinal Strossy,... De St Germain en Laye, ce XIIe jour d'octobre 1557 » ; 15 Donation faite par « CATHERINE » DE MEDICIS à Hippolyte, « cardinal de Ferrare », des territoires situés en Italie entre les villes de Terracine, Piperne et Sezzi. Copie ; 16 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... à monseigneur le cardinal Du Bellay,... De St Germain en Laye, ce XVe jour de decembre 1557 ». Minute ; 17 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à monsieur de Fizes, secretaire des finances... De Lyon, le XVIIIe apvril 1561 » ; 18 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à monsieur de Fizes,... De Molins, ce XIIe apvril 1561 » ; 19 Lettre du marquis « DE MONTE-SARCHIO,... alla serenissima et christianissima reina di Francia... Di Roma, el di XVI di novembre M.D.LIX ». En italien ; 20 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XVIe jour de juin 1560 » ; 21 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne... De Rome, ce XVIIIe novembre 1557 » ; 22 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XXVe jour de novembre 1557 » ; 23 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur l'evesque de Forly, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 24 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le conte de Paliane ». Minute ; 25 Lettre de « PIERO CAPPONI, consule... a la regina, madre del re... Di Lyone, alli VI d'agosto 1559 » ; 26 Lettre du « duque DE ALVA,... à la royne tres chrestienne... De Tolede, le XXIXe decembre 1559 » ; 27 Lettre du duc de Ferrare « ALFONSO D'ESTE,... alla serenissima regina, madre del re... Di Ferrara ». En italien ; 28 Lettre de SEBASTIANO GUALTERIO, « vescovo de Viterbo... alla regina, madre del re... Da Roma, il di X di novembre 1559 ». En italien ; 29 Lettre du « cardinal STROZZI,... alla regina, madre del re... Del conclave, alli 9 di novembre del M.D.LVIII ». En italien ; 30 Lettre de « PEDRO MONTEMERLO » et « AMBROSIO DA FIRENZA ». En italien ; 31 Lettre de « PEDRO MONTEMERLO » et « AMBROSIO DA FIRENZA,... allo illmo... mons. lo admiraglio... 29 maii 1571 ». En italien ; 32 Lettre de « TORQUATO CONTI,... alla regina, madre del re... Di Roma, a di X di novembre nel [MD]LIX ». En italien ; 33 Lettre de « LODOVICO ANTINORI,... alla regina, madre del re... Di Roma, alli XIIII di novembre del [MD]LIX ». En italien ; 34 Lettre de « J[EAN BERTRANDI], cardinal [archevêque] de Sens... à la royne... De Rome, ce premier jour de l'an 1559 » ; 35 Lettre de « RUBERTO STROZZI,... alla regina, madre del re... Di Roma, il primo di gennaro nel [MD]LIX ». En italien ; 36 Lettre de « BARTOLOMEO CAMERARIO, conservateur de Naples... alla regina, matre del re... Da Roma, il primo di gennaro 1560 ». En italien ; 37 Lettre d'«E[MMANUEL-]PHILIBERT [duc] DE SAVOYE,... à la royne, mere du roy... De Nice, ce XIIe jour de jung 1560 » ; 38 Lettre d'«E[MMANUEL-]PHILIBERT, [duc] DE SAVOYE,... à la royne, mere du roy... De Nice, ce XXIXme jour de juin 1560 » ; 39 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « au pape, du IXe septembre M.V.C.LVII ». Minute ; 40 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... au pape... Escript à St Germain en Laye, le XVe decembre 1557 ». Minute ; 41 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « au pape, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 42 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... au pape... Escript à Compiegne, le VIIIe juillet 1557 ». Minute ; 43 Lettre d'ANTONIO ALTOVITI, « arcivescovo di Firenze... alla regina, madre del re... Di Roma, alli 30 di decembre 1559 ». En italien ; 44 Lettre de CHARLES DE COSSE, maréchal DE « BRISSAC,... à la royne... De Turin, le XXIme jour de juillet 1559 » ; 45 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne, mere du roy... De La Ruffine pres Rome, le Xme jour d'aoust 1559 » ; 46 Lettre de JEAN-ANGE, « cardinale DE MEDICI,... alla regina madre di Francia... Di Roma, a XI di novembre 1559 ». En italien ; 47 Lettre des Srs « RAPHAELLO BARTHOLI, THOMMASO FORTINI, LUIGI GUIDICCIONI, GIROLAMO BONVISI,... deputati fiorentini e luchesi, creditori della Maesta del re, al gran partito... alla regina, madre del re... Di Lyone, addi X di luglio M.D.LX ». En italien ; 48 Lettre de « HIPPOLITO, cardinale DI FERRARA,... a la serenissima regina madre... Di Roma, li XV di giugno 1560 ». En italien ; 49 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le conservateur de Naples, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 50 Lettre de PHILIBERT « BABOU[DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Romme, ce XIIe janvier 1560 » ; 51 Lettre de CESARE CIBO, « arcivescovo di Torino... alla serenissima reina matre... Da Roma, il XV di febrajo del 1560 ». En italien ; 52 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à la royne... De Molins, ce XIIe apvril 1561 » ; 53 Lettre de PHILIBERT « BABOU [DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Romme, ce XXIe novembre 1559 » ; 54 Lettre des « gens tenans le parlement du roy... à la royne, mere du roy... Escript à Paris en parlement, soubz le signet d'icelluy, le vingtiesme juillet 1560 » ; 55 « Double des lettres de [JOACHIM], marquis DE BRANDEBOURG, à Mr l'admyral... Escript hastivement ce lundi apres la St Jehan... XXVIIe jung » de « l'an [MD]XIX » ; 56 Lettre de PHILIBERT « BABOU [DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XXVIIe jour de feuvrier 1559 » ; 57 Lettre de JEAN-ANGE, « cardinale DE MEDICI,... alla serenissima et christianissima regina madre... Di Fiorenza, li VIIII di febraro MD5VIIII ». En italien ; 58 Lettre de « MARIO SFORZA,... alla regina... Di Santa Fiora, li XXV de giugno 1560 ». En italien ; 59 Lettre de « HIPPOLITO, cardinale DI FERRARA,... a la serenissima regina madre... Di Roma, li 2 di luglio 1560 ». En italien ; 60 Lettre de FRANCESCO BANDINI, « arcivescovo di Siena... a la christianissima regina, madre del re... Di Viterbo, il di XXII di novembre 1559 ». En italien ; 61 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance », et de M. de « RANDAN,... à la royne, mere du roy... De Lislebourg, ce IX juillet 1560 » ; 62 « Revocation fecte par la royne [CATHERINE DE MEDICIS] du don par elle cy devant faict à monseigneur le cardinal Ferneze de sa vigne de Rome... A St Germain en Laye, octobre » 1557. Minute ; 63 « Roolle et estat des officiers de l'ostel du roy [François Ier], que ledict Sr a ordonné estre paiez pour l'année commançant le premier jour de janvier mil cinq cens vingt six et finissant le dernier jour de decembre ensuyvant mil cinq cens vingt et sept, par Me Guillaume Tertreau ». Copie ; 64 et 65 « Roolle et estat des officiers de l'hostel du roy » François Ier, pour l'année 1524. Copie double ; 66 « Ordonnances et despartement fait par le roy pour le fait de sa maison et de ses officiers domesticques, lesquelz ledict Sr veult et entend qui le serve dorezenavant par cartiers ». Copie ; 67 « Roolle et estat des officiers de l'hostel du roy [François Ier], pour le quartier de janvier, fevrier et mars MV.C.XXVI ». Copie ; 68 « Estat fait par NICOLAS DE PARIS, marchant et bourgeois de Paris, à cause des deniers par luy receuz des bourgeois et habitans du quartier des Halles, dont est quartinier Nicolas Bourbon, presenté et affermé au bureau par ledit DE PARIS,... le IIIe jour de juillet M.V.C.IIII.XX.XII ». Copie ; 69 « Estat au vray de la recepte et despense faicte par Me BENJAMYN LE RICHE, receveur du taillon en l'ellection de Paris cy devant et en l'année mil V.C.IIII.XX. cinq » ; 70 Requête adressée par « BENJAMIN LE RICHE, receveur du taillon en l'election de Paris... à nosseigneurs des comptes », pour demander le remboursement des frais de sa charge. Le 12 septembre 1592. Copie ; 71 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PIERRE COCQUART, l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust M.V.C.???IIII.XX.XII ; 72 « Estat au vray des recepte et despence faictes par CLAUDE DU PRE, commis au quartier de Saincte Geneviefve de la ville de Paris es mois de novembre et decembre mil V.C.IIII.XX.IX », pour le duc de Mayenne ; 73 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par NICOLAS BRICART, l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 74 « Extraict faict en la chambre des comptes... à Paris... d'une partie de recepte emploiée soubz le nom de Me Pierre Le Gay, tresorier de l'extraordinaire des guerres en Piedmont », en 1554 ; 75 « Estat abbregé de la recepte et despence faicte par Me FRANÇOIS PASCAL, tresorier ordinaire des guerres, en l'année finye en decembre 1565 » ; 76 « Estat au vray de la recepte et despense faicte par sire GEOFFROY CHAILLOU, commis et depputté en cinq dixaines du quartier de sire Nicollas Bourlon,... Cloz le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 77 Mémoire pour « Me Robert Marteau, tresorier des officiers domesticques de la maison du roy », contre « Me Jehan Berot », receveur général de Toulouse. 1574 ; 78 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PHILLIPPES PASSART, l'un des six dixiniers du quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz et arresté le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 79 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PIERRE DE LASSUS, commis au quartier de Jacques Huot,... Cloz au bureau, le 7e septembre M.V.C.IIII.XX.XII » ; 80 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par feu RAOUL MUTEAU, vivant l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an ci devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust » 1592 ; 81 « Estat des recepte et despence faictes par feu FRANÇOIS PREDESEIGLE, luy vivant commis à la recepte des deniers provenus des cottisations faictes par les bourgeois des quatorze dizaines du quartier de Saincte Geneviefve... Cloz au bureau, le quatriesme jour de febvrier » 1592 ; 82 « Estat des ordonnances faictes à Jehan de Gilles, commis par Mr de Martigues, gouverneur et lieutenant general pour le roy en Bretaigne, à l'extraordinaire des guerres à sa suitte, pour le payement et solde des gens de guerre, qu'il a amenez dudict pays... durant les moys de novembre et decembre derniers et present moys de janvyer 1568 » ; 83 « Estat du paiement de la solde et entretenement de douze galeres et une fregate... » pour le premier quartier de l'année 1560. « Faict à Orleans, le XIIIIe jour de janvier, l'an mil V.C. soixante ». Copie
Resumo:
A Czerny Mount double monochromator is used to measure Raman scattered radiation near 90" from a crystalline, Silicon sample. Incident light is provided by a mixed gas Kr-Ar laser, operating at 5145 A. The double monochromator is calibrated to true wavelength by comparison of Kr and Ar emission Une positions (A) to grating position (A) display [1]. The relationship was found to be hnear and can be described by, y = 1.219873a; - 1209.32, (1) where y is true wavelength (A) and xis grating position display (A). The Raman emission spectra are collected via C"*""*" encoded software, which displays a mV signal from a Photodetector and allows stepping control of the gratings via an A/D interface. [2] The software collection parameters, detector temperature and optics are optimised to yield the best quality spectra. The inclusion of a cryostat allows for temperatmre dependent capabihty ranging from 4 K to w 350 K. Silicon Stokes temperatm-e dependent Raman spectra, generally show agreement with Uterature results [3] in their frequency haxdening, FWHM reduction and intensity increase as temperature is reduced. Tests reveal that a re-alignment of the double monochromator is necessary before spectral resolution can approach literature standard. This has not yet been carried out due to time constraints.
Resumo:
The atomic mean square displacement (MSD) and the phonon dispersion curves (PDC's) of a number of face-centred cubic (fcc) and body-centred cubic (bcc) materials have been calclllated from the quasiharmonic (QH) theory, the lowest order (A2 ) perturbation theory (PT) and a recently proposed Green's function (GF) method by Shukla and Hiibschle. The latter method includes certain anharmonic effects to all orders of anharmonicity. In order to determine the effect of the range of the interatomic interaction upon the anharmonic contributions to the MSD we have carried out our calculations for a Lennard-Jones (L-J) solid in the nearest-neighbour (NN) and next-nearest neighbour (NNN) approximations. These results can be presented in dimensionless units but if the NN and NNN results are to be compared with each other they must be converted to that of a real solid. When this is done for Xe, the QH MSD for the NN and NNN approximations are found to differ from each other by about 2%. For the A2 and GF results this difference amounts to 8% and 7% respectively. For the NN case we have also compared our PT results, which have been calculated exactly, with PT results calculated using a frequency-shift approximation. We conclude that this frequency-shift approximation is a poor approximation. We have calculated the MSD of five alkali metals, five bcc transition metals and seven fcc transition metals. The model potentials we have used include the Morse, modified Morse, and Rydberg potentials. In general the results obtained from the Green's function method are in the best agreement with experiment. However, this improvement is mostly qualitative and the values of MSD calculated from the Green's function method are not in much better agreement with the experimental data than those calculated from the QH theory. We have calculated the phonon dispersion curves (PDC's) of Na and Cu, using the 4 parameter modified Morse potential. In the case of Na, our results for the PDC's are in poor agreement with experiment. In the case of eu, the agreement between the tlleory and experiment is much better and in addition the results for the PDC's calclliated from the GF method are in better agreement with experiment that those obtained from the QH theory.
Resumo:
The dependence of the electron transfer (ET) rate on the Photosystem I (PSI) cofactor phylloquinone (A1) is studied by time-resolved absorbance and electron paramagnetic resonance (EPR) spectroscopy. Two active branches (A and B) of electron transfer converge to the FX cofactor from the A1A and A1B quinone. The work described in Chapter 5 investigates the single hydrogen bond from the amino acid residue PsaA-L722 backbone nitrogen to A1A for its effect on the electron transfer rate to FX. Room temperature transient EPR measurements show an increase in the rate for the A1A- to FX for the PsaA-L722T mutant and an increased hyperfine coupling to the 2-methyl group of A1A when compared to wild type. The Arrhenius plot of the A1A- to FX ET in the PsaA-L722T mutant suggests that the increased rate is probably the result of a slight change in the electronic coupling between A1A- and FX. The reasons for the non-Arrhenius behavior are discussed. The work discussed in Chapter 6 investigates the directionality of ET at low temperature by blocking ET to the iron-sulfur clusters FX, FA and FB in the menB deletion mutant strain of Synechocyctis sp. PCC 6803, which is unable to synthesize phylloquinone, by incorporating the high midpoint potential (49 mV vs SHE) 2,3-dichloro-1,4-naphthoquinone (Cl2NQ) into the A1A and A1B binding sites. Various EPR spectroscopic techniques were implemented to differentiate between the spectral features created from A and B- branch electron transfer. The implications of this result for the directionality of electron transfer in PS I are discussed. The work discussed in Chapter 7 was done to study the dependence of the heterogeneous ET at low temperature on A1 midpoint potential. The menB PSI mutant contains plastiquinone-9 in the A1 binding site. The solution midpoint potential of the quinone measures 100 mV more positive then wild-type phylloquinone. The irreversible ET to the terminal acceptors FA and FB at low temperature is not controlled by the forward step from A1 to FX as expected due to the thermodynamic differences of the A1 cofactor in the two active branches A and B. Alternatives for the ET heterogeneity are discussed.
Resumo:
Photosynthesis is a process in which electromagnetic radiation is converted into chemical energy. Photosystems capture photons with chromophores and transfer their energy to reaction centers using chromophores as a medium. In the reaction center, the excitation energy is used to perform chemical reactions. Knowledge of chromophore site energies is crucial to the understanding of excitation energy transfer pathways in photosystems and the ability to compute the site energies in a fast and accurate manner is mandatory for investigating how protein dynamics ef-fect the site energies and ultimately energy pathways with time. In this work we developed two software frameworks designed to optimize the calculations of chro-mophore site energies within a protein environment. The first is for performing quantum mechanical energy optimizations on molecules and the second is for com-puting site energies of chromophores in a fast and accurate manner using the polar-izability embedding method. The two frameworks allow for the fast and accurate calculation of chromophore site energies within proteins, ultimately allowing for the effect of protein dynamics on energy pathways to be studied. We use these frame-works to compute the site energies of the eight chromophores in the reaction center of photosystem II (PSII) using a 1.9 Å resolution x-ray structure of photosystem II. We compare our results to conflicting experimental data obtained from both isolat-ed intact PSII core preparations and the minimal reaction center preparation of PSII, and find our work more supportive of the former.
Resumo:
Les transformations économiques visant la création d’un marché mondial unique, le progrès technologique et la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée dans les pays à bas salaire amènent les dirigeants des entreprises à réexaminer l’organisation et la localisation de leurs capacités productives de façon à en accroître la flexibilité qui est, selon plusieurs, seule garante de la pérennité de l’organisation (Atkinson, 1987; Patry, 1994; Purcell et Purcell, 1998; Kennedy 2002; Kallaberg, Reynolds, Marsden, 2003; Berger, 2006). Une stratégie déployée par les entreprises pour parvenir à cette fin est la délocalisation (Kennedy, 2002; Amiti et Wei, 2004; Barthélemy, 2004; Trudeau et Martin, 2006; Olsen, 2006). La technologie, l’ouverture des marchés et l’accès à des bassins nouveaux de main-d’œuvre qualifiée rendent possible une fragmentation de la chaîne de production bien plus grande qu’auparavant, et chaque maillon de cette chaîne fait l’objet d’un choix de localisation optimale (Hertveldt et al., 2005). Dans ces conditions, toutes les activités qui ne requièrent aucune interaction complexe ou physique entre collègues ou entre un employé et un client, sont sujettes à être transférées chez un sous-traitant, ici ou à l’étranger (Farrell, 2005). La plupart des recherches traitant de l’impartition et des délocalisations se concentrent essentiellement sur les motivations patronales d’y recourir (Lauzon-Duguay, 2005) ou encore sur les cas de réussites ou d’échecs des entreprises ayant implanté une stratégie de cette nature (Logan, Faught et Ganster, 2004). Toutefois, les impacts sur les employés de telles pratiques ont rarement été considérés systématiquement dans les recherches (Benson, 1998; Kessler, Coyle-Shapiro et Purcell, 1999; Logan et al., 2004). Les aspects humains doivent pourtant être considérés sérieusement, car ils sont à même d’être une cause d’échec ou de réussite de ces processus. La gestion des facteurs humains entourant le processus de délocalisation semble jouer un rôle dans l’impact de l’impartition sur les employés. Ainsi, selon Kessler et al. (1999), la façon dont les employés perçoivent la délocalisation serait influencée par trois facteurs : la manière dont ils étaient gérés par leur ancien employeur (context), ce que leur offre leur nouvel employeur (pull factor) et la façon dont ils sont traités suite au transfert (landing). La recherche vise à comprendre l’impact de la délocalisation d’activités d’une entreprise sur les employés ayant été transférés au fournisseur. De façon plus précise, nous souhaitons comprendre les effets que peut entraîner la délocalisation d’une entreprise « source » (celle qui cède les activités et les employés) à une entreprise « destination » (celle qui reprend les activités cédées et la main-d’œuvre) sur les employés transférés lors de ce processus au niveau de leur qualité de vie au travail et de leurs conditions de travail. Plusieurs questions se posent. Qu’est-ce qu’un transfert réussi du point de vue des employés? Les conditions de travail ou la qualité de vie au travail sont-elles affectées? À quel point les aspects humains influencent-t-ils les effets de la délocalisation sur les employés? Comment gérer un tel transfert de façon optimale du point de vue du nouvel employeur? Le modèle d’analyse est composé de quatre variables. La première variable dépendante (VD1) de notre modèle correspond à la qualité de vie au travail des employés transférés. La seconde variable dépendante (VD2) correspond aux conditions de travail des employés transférés. La troisième variable, la variable indépendante (VI) renvoie à la délocalisation d’activités qui comporte deux dimensions soit (1) la décision de délocalisation et (2) le processus d’implantation. La quatrième variable, la variable modératrice (VM) est les aspects humains qui sont examinés selon trois dimensions soit (1) le contexte dans l’entreprise « source » (Context), (2) l’attrait du nouvel employeur (pull factor) et (3) la réalité chez le nouvel employeur (landing). Trois hypothèses de recherche découlent de notre modèle d’analyse. Les deux premières sont à l’effet que la délocalisation entraîne une détérioration de la qualité de vie au travail (H1) et des conditions de travail (H2). La troisième hypothèse énonce que les aspects humains ont un effet modérateur sur l’impact de la délocalisation sur les employés transférés (H3). La recherche consiste en une étude de cas auprès d’une institution financière (entreprise « source ») qui a délocalisé ses activités technologiques à une firme experte en technologies de l’information (entreprise « destination »). Onze entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des acteurs-clés (employés transférés et gestionnaires des deux entreprises). Les résultats de la recherche indiquent que la délocalisation a de façon générale un impact négatif sur les employés transférés. Par contre, cette affirmation n’est pas généralisable à tous les indicateurs étudiés de la qualité de vie au travail et des conditions de travail. Les résultats mettent en évidence des conséquences négatives en ce qui a trait à la motivation intrinsèque au travail, à l’engagement organisationnel ainsi qu’à la satisfaction en lien avec l’aspect relationnel du travail. La délocalisation a également entraîné une détérioration des conditions de travail des employés transférés soit au niveau de la sécurité d’emploi, du contenu et de l’évaluation des tâches, de la santé et sécurité au travail et de la durée du travail. Mais, d’après les propos des personnes interviewées, les conséquences les plus importantes sont sans aucun doute au niveau du salaire et des avantages sociaux. Les conséquences de la délocalisation s’avèrent par contre positives lorsqu’il est question de l’accomplissement professionnel et de la satisfaction de l’aspect technique du travail. Au niveau de la confiance interpersonnelle au travail, l’organisation du travail, la formation professionnelle ainsi que les conditions physiques de l’emploi, les effets ne semblent pas significatifs d’après les propos recueillis lors des entrevues. Enfin, les résultats mettent en évidence l’effet modérateur significatif des aspects humains sur les conséquences de la délocalisation pour les employés transférés. L’entreprise « source » a tenté d’amoindrir l’impact de la délocalisation, mais ce ne fut pas suffisant. Comme les employés étaient fortement attachés à l’entreprise « source » et qu’ils ne désiraient pas la quitter pour une entreprise avec une culture d’entreprise différente qui leur paraissait peu attrayante, ces dimensions des aspects humains ont en fait contribué à amplifier les impacts négatifs de la délocalisation, particulièrement sur la qualité de vie au travail des employés transférés. Mots clés : (1) délocalisation, (2) impartition, (3) transfert d’employés, (4) qualité de vie au travail, (5) conditions de travail, (6) technologies de l’information, (7) entreprise, (8) gestion des ressources humaines.
Resumo:
Le but de cette étude était d’évaluer les qualifications de performance du système FlexiWare® chez le rat male Sprague Dawley et le singe Cynomolgus éveillés, ainsi que chez le chien Beagle éveillé et anesthésié, suite à l’administration de produits ayant une activité pharmacologique connue. Les produits utilisés incluaient l’albutérol administré par inhalation, la méthacholine, et le rémifentanil administrés par voie intraveineuse. Une solution saline administré par voie intraveneuse, a été utilisée comme substance témoin. Différentes variables ont servi à évaluer la réponse des animaux (rats, chien, singe). Ces dernières comprenaient la fréquence respiratoire (RR), le volume courant (TV), la ventilation minute (MV). Des paramètres additionnels ont été évalués chez le rat, soit les temps d’inspiration (IT) et d’expiration (ET), le temps du pic de débit expiratoire, les pics de débits inspiratoire et expiratoire, le ratio inspiratoire:expiratoire (I:E), le ratio inspiratoire sur respiration totale (I:TB), et l’écoulement expiratoire moyen (EF50). Les résultats obtenus ont démontré que le système FlexiWare® était suffisamment sensible et spécifique pour dépister, chez les espèces animales utilisées, les effets bronchodilateur, bronchoconstricteur et dépresseur central des substances testées. Il pourrait faire partie des méthodes (ICH 2000) utilisées en pharmacologie de sécurité lors de l’évaluation de substances pharmacologiques sur le système respiratoire des animaux de laboratoire. Les espèces animales utilisées ont semblé s’adapter aisément aux procédures de contention. Les paramètres évalués, RR, TV et MV ont permis de caractériser la réponse des animaux suite à l’administration de produits pharmacologiques à effets connus, judicieusement complétés par les variables de débit. L’ajout de paramètres du temps n’était pas primordiale pour détecter les effets des drogues, mais offre des outils complémentaires d’interpréter les changements physiologiques. Cependant, chez le rat conscient, la période d’évaluation ne devrait pas s’étendre au-delà d’une période de deux heures post traitement. Ces études constituent une évaluation des qualifications de performance de cet appareil et ont démontré de manière originale, la validation concurrentielle, en terme de précision (sensibilité et spécificité) et fiabilité pour différentes variables et sur différentes espèces.
Resumo:
Un nouveau contrôleur de EMCCD (Electron multiplying Charge Coupled Device) est présenté. Il permet de diminuer significativement le bruit qui domine lorsque la puce EMCCD est utilisé pour du comptage de photons: le bruit d'injection de charge. À l'aide de ce contrôleur, une caméra EMCCD scientifique a été construite, caractérisée en laboratoire et testée à l'observatoire du mont Mégantic. Cette nouvelle caméra permet, entre autres, de réaliser des observations de la cinématique des galaxies par spectroscopie de champ intégral par interférométrie de Fabry-Perot en lumière Ha beaucoup plus rapidement, ou de galaxies de plus faible luminosité, que les caméras à comptage de photon basées sur des tubes amplificateurs. Le temps d'intégration nécessaire à l'obtention d'un rapport signal sur bruit donné est environ 4 fois moindre qu'avec les anciennes caméras. Les applications d'un tel appareil d'imagerie sont nombreuses: photométrie rapide et faible flux, spectroscopie à haute résolution spectrale et temporelle, imagerie limitée par la diffraction à partir de télescopes terrestres (lucky imaging), etc. D'un point de vue technique, la caméra est dominée par le bruit de Poisson pour les flux lumineux supérieurs à 0.002 photon/pixel/image. D'un autre côté, la raie d'hydrogène neutre (HI) à 21 cm a souvent été utilisée pour étudier la cinématique des galaxies. L'hydrogène neutre a l'avantage de se retrouver en quantité détectable au-delà du disque optique des galaxies. Cependant, la résolution spatiale de ces observations est moindre que leurs équivalents réalisés en lumière visible. Lors de la comparaison des données HI, avec des données à plus haute résolution, certaines différences étaient simplement attribuées à la faible résolution des observations HI. Le projet THINGS (The HI Nearby Galaxy Survey a observé plusieurs galaxies de l'échantillon SINGS (Spitzer Infrared Nearby Galaxies Survey). Les données cinématiques du projet THIGNS seront comparées aux données cinématiques obtenues en lumière Ha, afin de déterminer si la seule différence de résolution spatiale peut expliquer les différences observées. Les résultats montrent que des différences intrinsèques aux traceurs utilisées (hydrogène neutre ou ionisé), sont responsables de dissemblances importantes. La compréhension de ces particularités est importante: la distribution de la matière sombre, dérivée de la rotation des galaxies, est un test de certains modèles cosmologiques.
Resumo:
Thèse réalisée en cotutelle avec l'université Montpellier2 dans le laboratoire de pharmacologie moléculaire de Jean-Philippe Pin à l'institut de génomique fonctionnelle (IGF), Montpellier, France.
Resumo:
Nous présentons un modèle pour l’irradiance solaire spectrale entre 200 et 400 nm. Celui-ci est une extension d’un modèle d’irradiance solaire totale basé sur la simulation de la fragmentation et l’érosion des taches qui utilise, en entrée, les positions et aires des taches observées pour chaque pas de temps d’une journée. L’émergence des taches sur la face du Soleil opposée à la Terre est simulée par une injection stochastique. Le modèle simule ensuite leur désintégration, qui produit des taches plus petites et des facules. Par la suite, l’irradiance est calculée en sommant la contribution des taches, des facules et du Soleil inactif. Les paramètres libres du modèle sont ajustés en comparant les séquences temporelles produites avec les données provenant de divers satellites s’étalant sur trois cycles d’activité. Le modèle d’irradiance spectrale, quant à lui, a été obtenu en modifiant le calcul de la contribution des taches et des facules, ainsi que celle du Soleil inactif, afin de tenir compte de leur dépendance spectrale. Le flux de la photosphère inactive est interpolé sur un spectre synthétique non magnétisé, alors que le contraste des taches est obtenu en calculant le rapport du flux provenant d’un spectre synthétique représentatif des taches et de celui provenant du spectre représentatif du Soleil inactif. Le contraste des facules est quand à lui calculé avec une procédure simple d’inversion de corps noir. Cette dernière nécessite l’utilisation d’un profil de température des facules obtenu à l’aide de modèles d’atmosphère. Les données produites avec le modèle d’irradiance spectrale sont comparées aux observations de SOLSTICE sur UARS. L’accord étant peu satisfaisant, particulièrement concernant le niveau d’irradiance minimal ainsi que l’amplitude des variations, des corrections sont appliquées sur le flux du Soleil inactif, sur le profil de température des facules, ainsi qu’à la dépendance centre-bord du contraste des facules. Enfin, un profil de température des facules est reconstruit empiriquement en maximisant l’accord avec les observations grâce à un algorithme génétique. Il est utilisé afin de reconstruire les séquences temporelles d’irradiance jusqu’en 1874 à des longueurs d’ondes d’intérêt pour la chimie et la dynamique stratosphérique.
Resumo:
Les seize détecteurs MPX constituant le réseau ATLAS-MPX ont été placés à différentes positions dans le détecteur ATLAS et sa averne au CERN dans le but de mesurer en emps réel les champs de radiation produits ar des particules primaires (protons des faisceaux) et des particules secondaires (kaons, pions, g, protons) issues des collisions proton-proton. Des films de polyéthylène (PE) et de fluorure de lithium (6LiF) recouvrent les détecteurs afin d’augmenter leur sensibilité aux neutrons produits par les particules primaires et secondaires interagissant avec les matériaux présents dans l’environnement d’ATLAS. La reconnaissance des traces laissées par les particules dans un détecteur ATLAS-MPX se fait à partir des algorithmes du logiciel MAFalda (“Medipix Analysis Framework”) basé sur les librairies et le logiciel d’analyse de données ROOT. Une étude sur le taux d’identifications erronées et le chevauchement d’amas a été faite en reconstruisant les activités des sources 106Ru et 137Cs. L’efficacité de détection des neutrons rapides a été mesurée à l’aide des sources 252Cf et 241AmBe (neutrons d’énergie moyenne de 2.13 et 4.08 MeV respectivement). La moyenne des efficacités de détection mesurées pour les neutrons produits par les sources 252C f et 241AmBe a été calculée pour les convertisseurs 6LiF et PE et donnent (0.8580 ± 0.1490)% et (0.0254 ± 0.0031)% pour LiF et (0.0510 ± 0.0061)% et (0.0591 ± 0.0063)% pour PE à bas et à haut seuil d’énergie respectivement. Une simulation du calcul de l’efficacité de détection des neutrons dans le détecteur MPX a été réalisée avec le logiciel GEANT4. Des données MPX correspondant aux collisions proton-proton à 2.4 TeV et à 7 TeV dans le centre de masse ont été analysées. Les flux détectés d’électrons et de photons sont particulièrement élevés dans les détecteurs MPX01 et MPX14 car ils sont plus près du point de collision. Des flux de neutrons ont été estimés en utilisant les efficacités de détection mesurées. Une corrélation avec la luminosité du LHC a été établie et on prédit que pour les collisions à 14 TeV dans le centre de masse et avec une luminosité de 10^34 cm-1*s-1 il y aura environ 5.1x10^8 ± 1.5x10^7 et 1.6x10^9 ± 6.3x10^7 particules détectées par les détecteurs MPX01 et MPX14 respectivement.
Détection des événements de "Minimum Bias" et neutrons avec les détecteurs ATLAS-MPX par simulations
Resumo:
Un réseau de seize détecteurs ATLAS-MPX a été mis en opération dans le détecteur ATLAS au LHC du CERN. Les détecteurs ATLAS-MPX sont sensibles au champ mixte de radiation de photons et d’électrons dans la caverne d’ATLAS et sont recouverts de convertisseurs de fluorure de lithium et de polyéthylène pour augmenter l’efficacité de détection des neutrons thermiques et des neutrons rapides respectivement. Les collisions à haute énergie sont dominées par des interactions partoniques avec petit moment transverse pT , associés à des événements de “minimum bias”. Dans notre cas la collision proton-proton se produit avec une énergie de 7 TeV dans le centre de masse avec une luminosité de 10³⁴cm⁻²s⁻¹ telle que fixée dans les simulations. On utilise la simulation des événements de "minimum bias" générés par PYTHIA en utilisant le cadre Athena qui fait une simulation GEANT4 complète du détecteur ATLAS pour mesurer le nombre de photons, d’électrons, des muons qui peuvent atteindre les détecteurs ATLASMPX dont les positions de chaque détecteur sont incluses dans les algorithmes d’Athena. Nous mesurons les flux de neutrons thermiques et rapides, générés par GCALOR, dans les régions de fluorure de lithium et de polyéthylène respectivement. Les résultats des événements de “minimum bias” et les flux de neutrons thermiques et rapides obtenus des simulations sont comparés aux mesures réelles des détecteurs ATLAS-MPX.
Resumo:
Les résultats présentés dans cette thèse précisent certains aspects de la fonction du cotransporteur Na+/glucose (SGLT1), une protéine transmembranaire qui utilise le gradient électrochimique favorable des ions Na+ afin d’accumuler le glucose à l’intérieur des cellules épithéliales de l’intestin grêle et du rein. Nous avons tout d’abord utilisé l’électrophysiologie à deux microélectrodes sur des ovocytes de xénope afin d’identifier les ions qui constituaient le courant de fuite de SGLT1, un courant mesuré en absence de glucose qui est découplé de la stoechiométrie stricte de 2 Na+/1 glucose caractérisant le cotransport. Nos résultats ont démontré que des cations comme le Li+, le K+ et le Cs+, qui n’interagissent que faiblement avec les sites de liaison de SGLT1 et ne permettent pas les conformations engendrées par la liaison du Na+, pouvaient néanmoins générer un courant de fuite d’amplitude comparable à celui mesuré en présence de Na+. Ceci suggère que le courant de fuite traverse SGLT1 en utilisant une voie de perméation différente de celle définie par les changements de conformation propres au cotransport Na+/glucose, possiblement similaire à celle empruntée par la perméabilité à l’eau passive. Dans un deuxième temps, nous avons cherché à estimer la vitesse des cycles de cotransport de SGLT1 à l’aide de la technique de la trappe ionique, selon laquelle le large bout d’une électrode sélective (~100 μm) est pressé contre la membrane plasmique d’un ovocyte et circonscrit ainsi un petit volume de solution extracellulaire que l’on nomme la trappe. Les variations de concentration ionique se produisant dans la trappe en conséquence de l’activité de SGLT1 nous ont permis de déduire que le cotransport Na+/glucose s’effectuait à un rythme d’environ 13 s-1 lorsque le potentiel membranaire était fixé à -155 mV. Suite à cela, nous nous sommes intéressés au développement d’un modèle cinétique de SGLT1. En se servant de l’algorithme du recuit simulé, nous avons construit un schéma cinétique à 7 états reproduisant de façon précise les courants du cotransporteur en fonction du Na+ et du glucose extracellulaire. Notre modèle prédit qu’en présence d’une concentration saturante de glucose, la réorientation dans la membrane de SGLT1 suivant le relâchement intracellulaire de ses substrats est l’étape qui limite la vitesse de cotransport.
Resumo:
Le recours au plasma pour stériliser des dispositifs médicaux (DM) est un domaine de recherche ne datant véritablement que de la fin des années 1990. Les plasmas permettent, dans les conditions adéquates, de réaliser la stérilisation à basse température (≤ 65°C), tel qu’exigé par la présence de polymères dans les DM et ce contrairement aux procédés par chaleur, et aussi de façon non toxique, contrairement aux procédés chimiques comme, par exemple, l’oxyde d’éthylène (OEt). Les laboratoires du Groupe de physique des plasmas à l’Université de Montréal travaillent à l’élaboration d’un stérilisateur consistant plus particulièrement à employer les effluents d’une décharge N2-%O2 basse pression (2-8 Torrs) en flux, formant ce que l’on appelle une post-décharge en flux. Ce sont les atomes N et O de cette décharge qui viendront, dans les conditions appropriées, entrer en collisions dans la chambre de stérilisation pour y créer des molécules excitées NO*, engendrant ainsi l’émission d’une quantité appréciable de photons UV. Ceux-ci constituent, dans le cas présent, l’agent biocide qui va s’attaquer directement au bagage génétique du micro-organisme (bactéries, virus) que l’on souhaite inactiver. L’utilisation d’une lointaine post-décharge évite du même coup la présence des agents érosifs de la décharge, comme les ions et les métastables. L’un des problèmes de cette méthode de stérilisation est la réduction du nombre de molécules NO* créées par suite de la perte des atomes N et O, qui sont des radicaux connus pour interagir avec les surfaces, sur les parois des matériaux des DM que l’on souhaite stériliser. L’objectif principal de notre travail est de déterminer l’influence d’une telle perte en surface, dite aussi réassociation en surface, par l’introduction de matériaux comme le Téflon, l’acier inoxydable, l’aluminium et le cuivre sur le taux d’inactivation des spores bactériennes. Nous nous attendons à ce que la réassociation en surface de ces atomes occasionne ainsi une diminution de l’intensité UV et subséquemment, une réduction du taux d’inactivation. Par spectroscopie optique d’émission (SOE), nous avons déterminé les concentrations perdues de N et de O par la présence des matériaux dans le stérilisateur, ainsi que la diminution de l’émission UV en découlant. Nous avons observé que cette diminution des concentrations atomiques est d’autant plus importante que les surfaces sont catalytiques. Au cours de l’étude du phénomène de pertes sur les parois pour un mélange N2-%O2 nous avons constaté l’existence d’une compétition en surface entre les atomes N et O, dans laquelle les atomes d’oxygènes semblent dominer largement. Cela implique qu’au-delà d’un certain %O2 ajouté à la décharge N2, seuls les atomes O se réassocient en surface. Par ailleurs, l’analyse des courbes de survie bi-phasiques des micro-organismes a permis d’établir une étroite corrélation, par lien de cause à effet, entre la consommation des atomes N et O en surface et la diminution du taux d’inactivation des spores dans la première phase. En revanche, nous avons constaté que notre principal agent biocide (le rayonnement ultraviolet) est moins efficace dans la deuxième phase et, par conséquent, il n’a pas été possible d’établir un lien entre la diminution des concentrations et le taux d’inactivation de cette phase-là.
Resumo:
Nous investiguons dans ce travail la création d'échantillons permettant l'étude du comportement des polaritons excitoniques dans les matériaux semi-conducteurs organiques. Le couplage fort entre les états excités d'électrons et des photons impose la création de nouveaux états propres dans le milieu. Ces nouveaux états, les polaritons, ont un comportement bosonique et sont donc capables de se condenser dans un état fortement dégénéré. Une occupation massive de l'état fondamental permet l'étude de comportements explicables uniquement par la mécanique quantique. La démonstration, au niveau macroscopique, d'effets quantiques promet d'éclairer notre compréhension de la matière condensée. De plus, la forte localisation des excitons dans les milieux organiques permet la condensation des polaritons excitoniques organiques à des températures beaucoup plus hautes que dans les semi-conducteurs inorganiques. À terme, les échantillons proposés dans ce travail pourraient donc servir à observer une phase cohérente macroscopique à des températures facilement atteignables en laboratoire. Les cavités proposées sont des résonateurs Fabry-Perot ultraminces dans lesquels est inséré un cristal unique d'anthracène. Des miroirs diélectriques sont fabriqués par une compagnie externe. Une couche d'or de 60 nanomètres est ensuite déposée sur leur surface. Les miroirs sont ensuite mis en contact, or contre or, et compressés par 2,6 tonnes de pression. Cette pression soude la cavité et laisse des espaces vides entre les lignes d'or. Une molécule organique, l'anthracène, est ensuite insérée par capillarité dans la cavité et y est cristallisée par la suite. Dans leur état actuel, les cavités présentent des défauts majeurs quant à la planarité des miroirs et à l'uniformité des cristaux. Un protocole détaillé est présenté et commenté dans ce travail. Nous y proposons aussi quelques pistes pour régler les problèmes courants de l'appareil.