966 resultados para LARYNGEAL MUCOSA
Resumo:
La maladie de Crohn (MC) et la colite ulcéreuse (CU) sont des maladies inflammatoires chroniques du tube digestif qu’on regroupe sous le terme maladies inflammatoires de l’intestin (MII). Les mécanismes moléculaires menant au développement des MII ne sont pas entièrement connus, mais des études génétiques et fonctionnelles ont permis de mettre en évidence des interactions entre des prédispositions génétiques et des facteurs environnementaux - notamment la flore intestinale – qui contribuent au développement d’une dérégulation de la réponse immunitaire menant à l’inflammation de la muqueuse intestinale. Des études d’association pangénomiques et ciblées ont permis d’identifier plusieurs gènes de susceptibilité aux MII mais les estimations de la contribution de ces gènes à l’héritabilité suggèrent que plusieurs gènes restent à découvrir. Certains d’entre eux peuvent se trouver dans les régions identifiées par des études de liaison génétique. L’objectif de mon projet de doctorat était d’identifier un ou des facteurs de risque génétique dans la région chromosomale 19p (identifiée comme région de liaison IBD6) et de le/les caractériser au niveau fonctionnel. Nous avons d’abord entrepris une cartographie d’association de la région 19p. À la suite du génotypage successif de deux cohortes indépendantes, nous avons identifié un SNP intronique et quatre SNP codants dont un non-synonyme, rs8108738, tous localisés dans le gène microtubule associated serine threonine kinase gene-3 (MAST3) et associés aux MII. Peu d’information fonctionnelle sur MAST3 était disponible. Par contre MAST2, une protéine encodée par un gène de la même famille, régule l’activité du facteur de transcription inflammatoire NF-kappaB. Nous avons confirmé l’implication de MAST3 dans l’activité de NF-kappaB via un knockdown de MAST3 et des essais gène-rapporteur. Pour poursuivre la caractérisation fonctionnelle de MAST3, nous avons choisi une approche non ciblée pour étudier les effets de la variation des niveaux d’expression de MAST3 sur la cellule. C’est-à-dire que nous avons créé un 1er modèle cellulaire de surexpression du gène MAST3 dans les cellules HEK293 et analysé l’expression pangénomique endogène. La validation de l’expression génique dans un 2e modèle cellulaire de knockdown et de type cellulaire différent (THP1), nous a permis d’identifier et de contrer les effets non-spécifiques dus aux niveaux non-physiologiques. Notre étude d’expression a mené à l’identification d’un groupe de gènes dont l’expression est régulée par MAST3. Ces gènes sont majoritairement impliqués dans des fonctions immunitaires (cytokines pro-inflammatoires, régulateurs de NF-kappaB, migration cellulaire, etc.) et une forte proportion est régulée par NF-kappaB. Nous avons évalué l’importance du groupe de gènes régulés par MAST3 dans la présentation clinique des MII à travers des études d’expression dans des biopsies intestinales de patients atteints de CU. Nous avons constaté que l’expression de ces gènes est significativement supérieure dans les régions enflammées par rapport aux régions saines de la muqueuse intestinale des patients atteints de CU. Globalement, les résultats de nos études suggèrent que le facteur de risque aux MII MAST3 agit via la voie du facteur de transcription NF-kappaB pour influencer l’expression d’un groupe de gènes impliqués dans l’inflammation intestinale typique des MII. Chaque étude génétique sur les MII a le potentiel d’orienter les recherches fonctionnelles vers de nouvelles voies biologiques causales. Le dévoilement des mécanismes moléculaires sous-jacents à ces voies permet d’augmenter les connaissances sur le développement de ces maladies vers une compréhension plus complète de la pathogenèse qui permettra d’optimiser le diagnostic et le traitement de ces maladies.
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La transmission mère-enfant du VIH-1 (TME) représente le principal mode d’infection chez l’enfant et se produit durant la grossesse (in utero, IU), l’accouchement (intrapartum, IP) ou l’allaitement (postpartum, PP). Les mécanismes qui sous-tendent le passage du VIH-1 à travers le placenta et les muqueuses intestinales du nouveau-né sont encore très peu décrits. « Dendritic cell-specific ICAM-grabbing non-integrin » (DC-SIGN) et son homologue DC-SIGN « related » (DC-SIGNR) sont des récepteurs d’antigènes exprimés au niveau du placenta et capables de capter et de transmettre le VIH-1 aux cellules adjacentes. Ils pourraient donc participer au passage trans placentaire du VIH-1 et le polymorphisme génétique affectant l’expression ou modifiant l’interaction avec le virus aurait une influence sur la TME du VIH-1. Afin d’explorer cette hypothèse, nous avons procédé à une analyse exhaustive du polymorphisme de DC-SIGN et DC-SIGNR dans la population du Zimbabwe. Par la suite, nous avons déterminé l’association entre le polymorphisme de DC-SIGN et DC-SIGNR et la TME du VIH-1 dans une cohorte d’enfants nés de mères VIH-positives à Harare, au Zimbabwe. Enfin, nous avons défini l’impact fonctionnel des mutations associées. Les enfants homozygotes pour les haplotypes H1 et H3 dans le gène de DC-SIGNR sont 4 à 6 fois plus à risque de contracter le VIH-1 par voie IU et IP. H1 et H3 contiennent la mutation du promoteur p-198A et la mutation de l’intron 2, int2-180A, et des études fonctionnelles nous ont permis de démontrer que p-198A diminue l’activité transcriptionnelle du promoteur de DC-SIGNR et l’expression des transcrits d’ARNm dans le placenta, alors que int2-180A modifie le répertoire d’isoformes de DC-SIGNR vers une proportion diminuée d’isoformes membranaires. Les enfants porteurs des haplotypes H4 et H6 de DC-SIGN sont 2 à 6 fois plus à risque de contracter le VIH-1 par voie IU. Ces haplotypes contiennent deux mutations du promoteur (p-336T/C et p-201C/A) et quatre mutations codant pour un changement d’acide aminé dans l’exon 4 (R198Q, E214D, R221Q ou L242V) associées à un risque augmenté de transmission IU, IP et PP du VIH-1. Des études fonctionnelles ont démontré que les mutations du promoteur diminuent l’expression de DC-SIGN dans les macrophages placentaires. Toutefois, l’exposition IU au VIH-1 module le niveau d’expression de DC-SIGN, résultant en des niveaux d’expression similaires entre les macrophages des porteurs des allèles sauvages et mutés. Les mutations de l’exon 4 augmentent l’affinité de DC-SIGN pour le VIH-1 et sa capacité à capturer et à transmettre le virus aux lymphocytes T, favorisant possiblement la dissémination du VIH-1 à travers le placenta. L’association entre les mutations de DC-SIGN et la transmission IP et PP du VIH-1 suggèrent qu’il aurait aussi un rôle à jouer dans les muqueuses intestinales de l’enfant. Notre étude démontre pour la première fois l’implication de DC-SIGN et DC-SIGNR dans la TME du VIH-1. L’augmentation des capacités de capture et de transmission de DC-SIGN résulte en une susceptibilité accrue de l’enfant à l’infection au VIH-1 et concorde avec un rôle dans la dissémination transplacentaire. Toutefois, la diminution préférentielle des transcrits membranaires de DC-SIGNR au placenta augmente la TME du VIH-1 et laisse croire à son implication via un autre mécanisme. Ces mécanismes pourraient aussi s’appliquer à d’autres pathogènes reconnus par DC-SIGN et DC-SIGNR et transmis de la mère à l’enfant.
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Introduction: La stomatite prothétique est une condition inflammatoire chronique de la muqueuse buccale recouverte par une prothèse. Cette maladie est considérée comme la lésion buccale la plus fréquente chez les porteurs de prothèses amovibles. Des études récentes sur l'étiologie de la stomatite prothétique suggèrent que des traitements basés sur la réduction de l'inflammation seraient efficaces dans le traitement de cette maladie. Objectifs: Évaluer l'efficacité du brossage du palais dans le traitement de la stomatite prothétique. Méthodes: Quarante-huit participants (âge moyen : 66,0 ± 11,2 ans) avec un diagnostic de stomatite prothétique, ont été sélectionnés à partir d’un examen préalable de 143 individus, afin de participer à cet essai clinique de phase I à deux centres, réalisé selon un devis de type pré-test/post-test à un seul groupe. L'intervention a consisté en un brossage du palais avec une brosse manuelle après chaque repas et avant le coucher. Des examens cliniques et microbiologiques ont été effectués avant le traitement, et à 1 mois et 3 mois de suivi. Des données supplémentaires ont été obtenues par l'utilisation d'un questionnaire validé. Les résultats primaires et secondaires étaient, respectivement, la rémission de stomatite prothétique et la diminution du nombre de colonies de Candida. Des tests statistiques descriptifs et non paramétriques ont été menés pour analyser les données. Résultats: À 3 mois de suivi, 10,4 % des participants ont été guéris et 70,8 % ont eu une amélioration clinique de la stomatite prothétique grâce au brossage du palais. Une réduction statistiquement significative de la surface et de l’intensité de l’inflammation après 3 mois de brossage du palais a été démontrée (p < 0,0001). L’ampleur de l’effet a varié d’un effet modéré à important (0,34 à 0,54) selon la classification utilisée pour le diagnostique de la stomatite prothétique. De plus, le nombre de colonies de Candida, recueillies par sonication des prothèses et par échantillonnage du palais, a diminué de manière statistiquement significative après 3 mois de brossage (p ≤ 0,05). Conclusion: Les résultats de cette étude suggèrent que le brossage du palais est efficace comme traitement de la stomatite prothétique.
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Objectif: La caractérisation des facteurs immunitaires associés à la protection contre l’infection au VIH est cruciale pour le développement de stratégies de prévention. Cette étude évalue les IgGs dirigées contre l’enveloppe du VIH-1 dans le sérum et les liquides cervicovaginaux (LCV) de travailleuses du sexe béninoises. Méthode : Notre étude porte sur 23 travailleuses du sexe séropositives (TS+) et 20 travailleuses du sexe séronégatives (TS-). Le potentiel de neutralisation a été évalué par un essai de neutralisation. La détection d’IgGs a été effectuée par un ELISA sur base cellulaire. La capacité d’induire une réponse ADCC a été est évaluée par l’élimination de cellules cibles recouvertes de gp120 par le mécanisme d’ADCC. Résultats : Malgré que nous n’ayons pas détecté d’IgG dirigées contre l’enveloppe du VIH-1, ni d’activité de neutralisation ou d’élimination de cellules cibles par ADCC chez les TS-, nous avons facilement détecté ces activités de neutralisation et d’élimination de cellules cibles par ADCC chez les TS+ dans le sérum et les LCV qui reconnaissent mieux la forme de l’enveloppe liée à CD4. Ces IgGs pourraient être impliquées dans l’élimination par ADCC des cellules cibles présentant les glycoprotéines de l’enveloppe à leur surface, et ce à la muqueuse vaginale, le premier site de transmission virale. Conclusion : Ces résultats permettent pour la première fois de montrer la conformation de l’enveloppe préférentiellement reconnue par les IgGs présentes au site de transmission par voie sexuelle.
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réalisé en cotutelle avec Marie Archambault
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The present study examined the antiulcer effect of glucosamine on mucosal antioxidant defense system in ibuprofen-induced peptic ulcer in male albino rats. The results of the present study indicate that the pre-oral administration of chitosan and glucosamine maintain near to the normal status the activities of the mucosal antioxidant enzymes and the level of GSH (Glutathione), which protect mucosa against oxidative damage by decreasing the lipid peroxidation and strengthening the mucosal barrier, and which are the first line of defense against exogenous ulcerogenic agents. In this study indicate that the oral pre-treatment of chitosan and glucosamine can prevent ibuprofen-induced peptic ulcer in rats.This study can be concluded that co-administration of chitsosan and glucosamine can effectively prevent the isonized and rifampicin induced hepatotoxicity in rats.Comparatively, chitosan was found to have better results than glucosamine in alleviating the hepatic disorders.
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The present study examined the antiulcer effect of glucosamine on mucosal antioxidant defense system in ibuprofen-induced peptic ulcer in male albino rats. The results of the present study indicate that the pre-oral administration of chitosan and glucosamine maintain near to the normal status the activities of the mucosal antioxidant enzymes and the level of GSH (Glutathione), which protect mucosa against oxidative damage by decreasing the lipid peroxidation and strengthening the mucosal barrier, and which are the first line of defense against exogenous ulcerogenic agents. In this study indicate that the oral pre-treatment of chitosan and glucosamine can prevent ibuprofen-induced peptic ulcer in rats.This study can be concluded that co-administration of chitsosan and glucosamine can effectively prevent the isonized and rifampicin induced hepatotoxicity in rats.Comparatively, chitosan was found to have better results than glucosamine in alleviating the hepatic disorders
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Estudio de los profesionales de la enseñanza con problemas de voz y de las repercusiones de estos problemas en su actividad laboral y en sus actitudes personales, así como las distintas técnicas de tratamiento conductual. Profesores de EGB, BUP y Preescolar. Cuestionario de afectación vocal a los participantes a un curso de disfonía; Entrevistas a los directores de centros escolares y aplicación de cuestionarios basados en la escala de Cooper, a los profesores. Escala de autoevaluación de síntomas vocales negativos de Cooper modificada. Cuestionario de personalidad EPI, adaptación española. Autoevaluación de ansiedad estado-rasgo (Spielberger y Col). Medias y desviaciones típicas otorgadas por jueces en las diferentes variables y sesiones analizadas a través de ANOVAS unifactoriales de grupos independientes con dos niveles; Método de predicción lineal analizado mediante ANOVA; Exploración laringoscópica. La disfonía profesional es debida a : la cantidad de habla, la necesidad de hablar de una forma determinada; la sensibilidad especial de la mucosa laríngea como componente hereditario, componentes alérgicos, etc.. Necesidad de colaboración y un enfoque interdisciplinar en el tratamiento e investigación de las disfonías. Además de una información con carácter preventivo sobre la utilización óptima de la voz hablada.
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Evaluar si el Heliox reduce la resistencia en la vía aérea en niños y adolescentes con patología bronquial obstructiva que requieren ventilación mecánica. Materiales y Métodos: Estudio prospectivo observacional descriptivo en niños y adolescentes con patología bronquial obstructiva y ventilación mecánica con Fi02 ≤ 0,5. Medición de variables: resistencia, presión pico, presión media de la vía aérea, presión meseta, volumen corriente, autoPEEP, distensibilidad, PetCO2, ventilación de espacio muerto antes de inicio de heliox y a los 30 minutos, 2, 4, 6, 12, 18 y 24 horas y diariamente hasta suspenderlo por extubación o FiO2 > 0,5. Resultados: Resultados parciales, incluyó 9 pacientes encontrando descenso significativo de resistencia espiratoria a los 30 minutos (51,2 vs 32,3; p=0,0008 ), 2 horas ( 51,2 vs 33,4; p=0,0019) y 4 horas (51,2 vs 30,7; p=0,0012) así como de la resistencia inspiratoria a la hora 2 (48,6 vs 36,2; p = 0,013) y hora 4 (48,6 vs 30 ; p=0,004). Se observó tendencia al descenso de la PetCO2 que no fue significativa (52,3 vs 34,3: p=0,06). No se evidenció cambios en las variables; autoPEEP, presión pico, presión media de la vía aérea, distensibilidad, ventilación de espacio muerto, presión meseta y volumen corriente antes y después del inicio del Heliox. Conclusión: La ventilación mecánica con Heliox en niños con patología bronquial obstructiva parece ser que reduce de manera significativa la resistencia de la vía aérea, con tendencia al descenso de la PetC02. Se necesitan estudios prospectivos al menos observacionales analíticos que corroboren estos hallazgos.
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Introducción: A pesar de que las combinaciones de Propofol y opioides son ampliamente usadas para inducir y mantener una adecuada anestesia y analgesia, disminuir la dosis del inductor, incrementar la estabilidad hemodinámica y suprimir la respuesta a la laringoscopia y la intubación; no existen estudios que comparen el uso de Anestesia Total Intravenosa manual con Remifentanil - Propofol versus Fentanil - Propofol. Objetivo: Comparar el tiempo de despertar y el tiempo de descarga entre dos técnicas de Anestesia Total Intravenosa manual empleadas en el Hospital Occidente de Kennedy, una basada en Propofol y Remifentanil y otra basada en Propofol y Fentanil controlado por Stangraf. Metodología: Estudio de corte transversal, en 43 pacientes llevados a cirugía bajo Anestesia Total Intravenosa en el Hospital Occidente de Kennedy. Se analizó la información mediante las pruebas de Shapiro-Wilks, t de Student y U de Mann Withney y los coeficientes de correlación de Spearman y de Pearson, usando SPSS versión 20 para Windows. Un valor de p < 0.05 fue aceptado como estadísticamente significativo. Resultados: Al comparar las dos técnicas, no se encontraron diferencias estadísticamente significativas en los tiempos evaluados. El tiempo de despertar promedio fue 10,1 minutos para Fentanil y 10,2 minutos para Remifentanil. El tiempo de descarga para Fentanil fue 11,9 minutos y para Remifentanil fue 11,5 minutos. Conclusiones: El uso de Fentanil - Propofol guiado por Stangraf es equivalente al uso de Remifentanil – Propofol en cuanto a los tiempos de despertar y de descarga. Se requieren nuevos estudios para corroborar estos hallazgos.
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Objetivo: Determinar las lesiones laríngeas post-intubación endotraqueal en la unidad de cuidado intensivo (UCI) y cirugía ambulatoria y evaluar su asociación con respecto al tiempo de intubación y otras variables clínico-demográficas en un hospital universitario. Materiales y métodos: Estudio de cohorte analítico incluyendo 60 pacientes (30 de UCI y 30 de cirugía ambulatoria) a quienes se les realizó nasofibrolaringoscopia a las 24 horas post-extubación y a las 3 semanas de control y se registran las lesiones laríngeas encontradas. Resultados: En la primera endoscopia el 70% de los pacientes de cirugía ambulatoria presentaban al menos una lesión laríngea con un promedio de duración de intubación de 0.12 días DS±0.05 desapareciendo todas las lesiones en la segunda endoscopia. En el análisis del grupo de UCI se encontraron lesiones en el 76.6% de los pacientes con un promedio de duración de intubación de 6.0 días DS±3.3. La presencia de edema en pacientes con intubación prolongada por más de 6 días mostró diferencias estadísticamente significativa con respecto al grupo con menos días de intubación (RR 3.048, 95% IC 0.9-9.3, P=0.03) al igual que con antecedente de EPOC (P=0.032) y APACHE II mayor de 17 (RR 1.8, 95% IC 1.114-3.0, P=0.013). EPOC tiene una diferencia estadísticamente significativa con hiperemia (P=0.02) y granuloma (P=0.019). En la segunda endoscopia se encontró mayor frecuencia de hiperemia en los pacientes con intubación prolongada (>6 días) con una diferencia estadísticamente significativa (P=0.01). Conclusión: La intubación prolongada se encuentra asociada a la aparición edema e hiperemia en la laringe. EPOC y puntaje superior de APACHE II se relacionan con hiperemia y granulomas glóticos.
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Introducción: La anestesia total intravenosa (TIVA) es ampliamente usada y reportada en la literatura como técnica para disminuir la respuesta a la laringoscopia e intubación, en la inducción y mantenimiento de una adecuada anestesia, además de una mejor estabilidad hemodinámica y recuperación pos anestésica; sin embargo no existen un gran número de estudios que comparen el uso de TIVA, determinando si existen diferencias en el perfil farmacocinético según el género del paciente. Objetivo: Describir diferencias farmacocinéticas y de los tiempos de despertar y salida a la unidad de cuidados pos anestésicos (descarga), según el género; en pacientes que reciben TIVA, con remifentanil y propofol, orientado por Stangraf. Metodología: Estudio observacional analítico de corte transversal, en pacientes llevados a cirugía bajo TIVA en el Hospital Occidente de Kennedy en el periodo de junio de 2013 a Enero de 2014.Usando SPSS versión 20 Windows, se analizaron los datos mediante pruebas Kolmogorov-Smirnov y Shapiro-Wilk y U de Mann Withney. Un valor de p menor 0.05 fue aceptado como estadísticamente significativo. Resultados: Se aplicaron pruebas de normalidad y no se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre género. El tiempo de despertar fue 9.36 minutos para mujeres y 11.26 minutos para hombres. Los tiempos de descarga fueron 10.71 minutos para mujeres y 12.82 minutos para hombres. Discusión. El tiempo de despertar y descarga no es diferente entre mujeres y hombres en los pacientes analizados. Se requieren estudios adicionales entre grupos poblacionales de diversas condiciones farmacocineticas para corroborar los datos.
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La presión que ejerce el manguito del tubo orotraqueal (TOT) sobre la mucosa al ser insuflado debe mantenerse en un rango de seguridad que evite complicaciones por sobreinflación o por desinsuflación. En nuestro medio, los instrumentos de medición objetiva no son de uso común. Objetivo: evaluar la concordancia de la presión del manguito del TOT estimada por palpación frente al uso de un manómetro manual en pacientes adultos sometidos a anestesia general. Materiales y métodos: se realizó un estudio de corte transversal que incluyó a 40 pacientes, a quienes, una vez intubados, dos anestesiólogos enmascarados, diferentes al que los intubó, palparon el manguito del TOT categorizándolo como sobreinflado, normal o desinflado; posteriormente, uno de los investigadores registró la medida con un manómetro en fase inspiratoria y espiratoria. Se consideró como rango normal de 20 a 30 cm H2O. Resultados: la concordancia de la estimación por palpación entre los dos anestesiólogos fue débil (Kappa = 0,21, ES: 0,11). La concordancia entre la estimación por palpación y la medición con el manómetro manual fue muy débil. Entre el primer anestesiólogo y el investigador en fase inspiratoria, . 0,08 (ES: 0,09), y en espiración, . 0,08 (ES: 0,07). Entre el segundo anestesiólogo y el investigador, . 0,05 (ES: 0,07) y 0,02 (ES: 0,06), respectivamente. Conclusión: el estudio muestra que la concordancia entre los métodos subjetivo y objetivo para determinar si el manguito del TOT está adecuadamente inflado fue débil. Se sugiere el empleo de métodos más objetivos para su determinación.
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Los médicos responsables del manejo de la vía aérea en urgencias se pueden beneficiar de una capacitación específica para ese fin, como lo es el curso de Apoyo Integral Respiratorio en Emergencias (AIRE). Objetivos: Establecer si la capacitación ofrecida por el curso AIRE genera cambios en la técnica de intubación orotraqueal. Métodos: Estudio prospectivo de intervención, en el cual, antes y después del curso, se evaluó a los participantes del curso AIRE sobre conocimientos teóricos en técnica de intubación y en secuencia rápida de intubación. Se midió el número de intentos de intubación, el tiempo requerido para una intubación exitosa y el grado de laringoscopia obtenido empleando la secuencia rápida de intubación (SRI). Resultados: El tiempo de intubación final fue 28 segundos menor que el inicial (p = 0,010); el número de intubaciones en el primer intento final fue de 93,1%, en comparación con el 75% inicial (p = 0,047). El grado de laringoscopia final fue I: 75,9%, II: 24,1%, en comparación con la inicial, I: 37,2%, II: 48,3% y III: 10,3 (p = 0,000). El promedio del examen teórico final fue 1,91 mayor que en el examen teórico inicial (p = 0,000). Conclusiones: El curso AIRE mejoró significativamente la técnica del manejo de la vía aérea, y la convirtió en una herramienta útil para el personal médico de urgencias
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Resumen: En la población docente, el uso de la voz como principal herramienta del trabajo por su esfuerzo constante y prolongado constituye el principal factor de riesgo para padecer trastornos de la voz, concomitante con otros factores que inciden en la presentación de estas patologías. Objetivo: Determinar la prevalencia de los trastornos en la voz y sus factores asociados de la población docente de dos instituciones de educación superior (IES) en Colombia y los factores de riesgo asociados. Materiales y métodos: Se realizó un estudio descriptivo de tipo transversal, en el que participaron 149 docentes de dos IES (instituciones de educación superior) de dos ciudades de Colombia. Se aplicó un cuestionario sustentado en el Modelo de Técnicas Foniátricas para Prevenir la Disfonía en Profesores de Secundaria en Portugal y validado por la escuela de Medicina y Ciencias de la Salud, programa de fonoaudiología de la Universidad del Rosario con el trabajo denominado “La Voz como herramienta de trabajo” para Colombia; el cual indagaba los factores riesgo asociados al uso de la voz en el quehacer docente. Se realizó un análisis descriptivo de las variables cualitativas con frecuencias absolutas y porcentajes, medidas de tendencia central, promedio y mediana, de dispersión y desviación estándar. La información recolectada fue analizada con el software SPSS.PASW 18. La correlación entre las variables dependientes y las independientes, se realizaron con el coeficiente no-paramétrico de Spearman y la asociación con la prueba Ji-cuadrado de Pearson o el test exacto de Fisher (valores esperados < 5). Se evaluaron las distribuciones de las variables ordinales de las variables de problemas de la voz con el género, con la prueba no-paramétrica exacta de Mann Whitney. Las pruebas estadísticas se evaluaron a un nivel de significancia del 5% (p<0.05). Resultados: El promedio de edad fue de 36±11.7 años, con un rango que varió entre 25 y 68 años. El género más frecuente fue el masculino con 57,0% de participación. Los datos presentados se dan como resultado de las respuestas a tres preguntas indicativas de los trastornos de voz, las cuales no fueron respondidas por la totalidad de los docentes, por esta razón los datos se presentan así t= número total de personas que respondieron la pregunta y n= número de personas que respondieron afirmativamente. La prevalencia de alteración de voz fue del 63,4% (t=82; n=52), de disminución en el volumen de su voz de 57,3% (t=122; n=70) y cansancio laríngeo en el 76,8% (t=121; n=93). El cansancio laríngeo fue significativamente mayor en los hombres que en las mujeres (p=0.026, Test Mann Whitney exacto a una cola), con algunos hábitos de voz como el realizar esfuerzos en el cuello al hablar (rs = 0,461; p< 0,001) y con la dificultad para inhalar o exhalar aire al hablar (rs = 0,368; p<0.001), con el ruido de fondo (rs =0,361, p<0,001), al permanecer en ambientes contaminados con polvo y humedad (rs=0,311; p=0.001), con sufrir de estrés representado por dolor cervical en espalda y hombros (rs=0,349, p<0.001), y con los problemas familiares (rs= 0,397; p<0.001). Al analizar con la disminución del volumen de voz durante la práctica docente, las correlaciones más significativas mostradas fue estadísticamente mayor entre los hombres que en las mujeres (p=0.006, Test Mann Whitney exacto a una cola), con el esfuerzo cervical para hablar (rs =:0,596, p=<,001), y con el presentar dificultad para inhalar/exhalar aire al usar la voz (rs =0,508, p<,001), con la exposición a ruido de fondo (rs=0,204, p=0,030), ambientes contaminados con polvo y humedad (rs:=305, p<,001), con el estrés (rs =0,316, p=0,001), con los problemas familiares (rs =0,560, p<,001) y en las mujeres con la alteración de la voz en presencia de la menstruación (rs =0,751, p=0,000). Por último, se correlacionó con las alteraciones de voz durante la exposición laboral en la que se mostró mayor correlación en las mujeres que en los hombres (p=0.001, Test Mann Whitney exacto a una cola). Se mostró correlación directa con el no realizar pausas al hablar (rs=0,337, p<0,001), con toser para aclarar la voz (rs =0,349, p=0,001), y con el uso de la voz grave (rs =0,975; p=,004) ,con la presencia de ruido de fondo mientras se dicta clase (rs =0,370, p=0,001) con el permanecer en ambientes contaminados con polvo y humedad (rs =0,253,p=,023), con los síntomas cervicales asociados al estrés (rs=0,323, p=0,003), e inversa con los cambios en tono y volumen de la voz en presencia de menstruación en las mujeres (rs=-0,414,p=,017). Conclusiones: Con los hallazgos encontrados en este estudio es importante reconocer que en las características demográficas, se encontró que el género masculino refirió mayor cantidad de problemas de voz. Para las características laborales la antigüedad ocupacional es factor principal que incide en los problemas de voz; en el análisis de las características demográfico– laborales en las variables analizadas, el grupo etario que reporto cansancio laríngeo se encontraba entre los 36 a 45 años de edad, y los que referían un tiempo de exposición ocupacional mayor a 6 y menor a 15 años. En cuanto a los factores ambientales se identificó que la asociación más significativa está relacionada con estar sometido a cambios bruscos de temperatura, estar expuesto a ruido de fondo durante su labor y finalmente a permanecer en ambientes contaminados. Por ultimo al analizar las alteraciones de la voz con las características personales de los docentes, se observó que el estrés y los problemas familiares inciden de forma significativa en estas patologías. Con estos resultados se recomienda establecer un sistema de vigilancia epidemiológica en las IES, donde se capacite integralmente a los docentes en cuanto a los factores de riesgo personales y de hábitos de voz, además de supervisar y adecuar los factores ambientales que inciden en la presentación de trastornos de voz para evitar la presentación de estas patologías.