Evolving national park models: The emergence of an economic imperative and its effect on the contested nature of the 'national' park concept in Northern Ireland.

National park models have evolved in tandem with the emergence of a multifunctional countryside. Sustainable development has been added to the traditional twin aims of conservation and recreation. This is typified by recent national park designations, such as the Cairngorms National Park in Scotland. A proposed Mournes national park in Northern Ireland has evolved a stage further with a model of national park to deliver national economic goals envisaged by government. This seeks to commodify the natural landscape. This paper compares Cairngorm and Mourne stakeholders’ views on the principal features of both models: park aims, management structures and planning functions. While Cairngorm stakeholders were largely positive from the outset, the model of national park introduced is not without criticism. Conversely, Mourne stakeholders have adopted an anti-national park stance. Nevertheless, the model of national park proposed possessing a strong economic imperative, an absence of the Sandford Principle as a means to manage likely conflicts, and lacking any planning powers in its own right, may still be insufficient to bring about widespread support for a Mourne national park. Such a model is also likely to accelerate the degradation of the Mourne landscape. Competing national identities (British and Irish) provide an additional dimension to the national park debate in Northern Ireland. Deep ideological cleavages are capable of derailing the introduction of a national park irrespective of the model proposed. In Northern Ireland the national park debate is not only about reconciling environmental and economic interests but also political and ethno-national differences.

Towards a Mourne National Park?Emergent prospects and pitfalls fromarticulating needs in a local context

This paper examines the prospects for sustainable rural tourism within a rural development paradigm. Specifically, an adaptive management approach is proposed as a means of understanding and accommodating the different goals and interests that exist within multi-functional rural areas. This model allows priorities to change in line with particular situations while remaining sensitive to economic, environmental, social and cultural impacts. The proposed Mourne National Park in Northern Ireland, also designated an Area of Outstanding Natural Beauty (AONB), forms the backdrop for this study. Through a critique of a consultation process that was undertaken with the community the question is posed: can a sustainable rural tourism approach achieve meaningful community engagement and thereby reflect the needs of the community? Central to the analysis are the power differentials between the various partners participating in this model of governance. The conclusions consider implications for rural communities, revealing how trusting and meaningful relationships are central to facilitating collaboration, cooperation and adaptation.

Évaluation de la vulnérabilité des fermes productrices de maïs-grain du Québec aux variabilités et changements climatiques : les cas de Montérégie-Ouest et du Lac-Saint-Jean-Est

Réalisées aux échelles internationales et nationales, les études de vulnérabilité aux changements et à la variabilité climatiques sont peu pertinentes dans un processus de prise de décisions à des échelles géographiques plus petites qui représentent les lieux d’implantation des stratégies de réponses envisagées. Les études de vulnérabilité aux changements et à la variabilité climatiques à des échelles géographiques relativement petites dans le secteur agricole sont généralement rares, voire inexistantes au Canada, notamment au Québec. Dans le souci de combler ce vide et de favoriser un processus décisionnel plus éclairé à l’échelle de la ferme, cette étude cherchait principalement à dresser un portrait de l’évolution de la vulnérabilité des fermes productrices de maïs-grain des régions de Montérégie-Ouest et du Lac-St-Jean-Est aux changements et à la variabilité climatiques dans un contexte de multiples sources de pression. Une méthodologie générale constituée d'une évaluation de la vulnérabilité globale à partir d’une combinaison de profils de vulnérabilité aux conditions climatiques et socio-économiques a été adoptée. Pour la période de référence (1985-2005), les profils de vulnérabilité ont été dressés à l’aide d’analyses des coefficients de variation des séries temporelles de rendements et de superficies en maïs-grain. Au moyen de méthodes ethnographiques associées à une technique d’analyse multicritère, le Processus d’analyse hiérarchique (PAH), des scénarios d’indicateurs de capacité adaptative du secteur agricole susmentionné ont été développés pour la période de référence. Ceux-ci ont ensuite servi de point de départ dans l’élaboration des indicateurs de capacité de réponses des producteurs agricoles pour la période future 2010-2039. Pour celle-ci, les deux profils de vulnérabilité sont issus d’une simplification du cadre théorique de « Intergovernmental Panel on Climate Change » (IPCC) relatif aux principales composantes du concept de vulnérabilité. Pour la dimension « sensibilité » du secteur des fermes productrices de maïs-grain des deux régions agricoles aux conditions climatiques, une série de données de rendements a été simulée pour la période future. Ces simulations ont été réalisées à l’aide d’un couplage de cinq scénarios climatiques et du modèle de culture CERES-Maize de « Decision Support System for Agrotechnology Transfer » (DSSAT), version 4.0.2.0. En ce qui concerne l’évaluation de la « capacité adaptative » au cours de la période future, la construction des scénarios d’indicateurs de cette composante a été effectuée selon l’influence potentielle des grandes orientations économiques et environnementales considérées dans l’élaboration des lignes directrices des deux familles d’émissions de gaz à effet de serre (GES) A2 et A1B. L’application de la démarche méthodologique préalablement mentionnée a conduit aux principaux résultats suivants. Au cours de la période de référence, la région agricole du Lac-St-Jean-Est semblait être plus vulnérable aux conditions climatiques que celle de Montérégie-Ouest. En effet, le coefficient de variation des rendements du maïs-grain pour la région du Lac-St-Jean-Est était évalué à 0,35; tandis que celui pour la région de Montérégie-Ouest n’était que de 0,23. Toutefois, par rapport aux conditions socio-économiques, la région de Montérégie-Ouest affichait une vulnérabilité plus élevée que celle du Lac-St-Jean-Est. Les valeurs des coefficients de variation pour les superficies en maïs-grain au cours de la période de référence pour la Montérégie-Ouest et le Lac-St-Jean-Est étaient de 0,66 et 0,48, respectivement. Au cours de la période future 2010-2039, la région du Lac-St-Jean-Est serait, dans l’ensemble, toujours plus vulnérable aux conditions climatiques que celle de Montérégie-Ouest. Les valeurs moyennes des coefficients de variation pour les rendements agricoles anticipés fluctuent entre 0,21 et 0,25 pour la région de Montérégie-Ouest et entre 0,31 et 0,50 pour la région du Lac-St-Jean-Est. Néanmoins, en matière de vulnérabilité future aux conditions socio-économiques, la position relative des deux régions serait fonction du scénario de capacité adaptative considéré. Avec les orientations économiques et environnementales considérées dans l’élaboration des lignes directrices de la famille d’émission de GES A2, les indicateurs de capacité adaptative du secteur à l’étude seraient respectivement de 0,13 et 0,08 pour la Montérégie-Ouest et le Lac-St-Jean-Est. D’autre part, en considérant les lignes directrices de la famille d’émission de GES A1B, la région agricole du Lac-St-Jean-Est aurait une capacité adaptative légèrement supérieure (0,07) à celle de la Montérégie-Ouest (0,06). De façon générale, au cours de la période future, la région du Lac-St-Jean-Est devrait posséder une vulnérabilité globale plus élevée que la région de Montérégie-Ouest. Cette situation s’expliquerait principalement par une plus grande vulnérabilité de la région du Lac-St-Jean-Est aux conditions climatiques. Les résultats de cette étude doivent être appréciés dans le contexte des postulats considérés, de la méthodologie suivie et des spécificités des deux régions agricoles examinées. Essentiellement, avec l’adoption d’une démarche méthodologique simple, cette étude a révélé les caractéristiques « dynamique et relative » du concept de vulnérabilité, l’importance de l’échelle géographique et de la prise en compte d’autres sources de pression et surtout de la considération d’une approche contraire à celle du « agriculteur réfractaire aux changements » dans les travaux d’évaluation de ce concept dans le secteur agricole. Finalement, elle a aussi présenté plusieurs pistes de recherche susceptibles de contribuer à une meilleure évaluation de la vulnérabilité des agriculteurs aux changements climatiques dans un contexte de multiples sources de pression.

Derecho penal y la obligación de investigar y sancionar graves violaciones de derechos humanos y el derecho internacional humanitario -especial referencia a la sentencia de la corte constitucional colombiana c-579/13-

En el presente trabajo se analiza la obligación de investigar graves violaciones de Derechos Humanos y Derecho Internacional Humanitario, a la luz de la sentencia de la Corte Constitucional Colombiana referente a la constitucionalidad del Marco Jurídico para la paz. De la aparente remisión que hace la Corte Constitucional a la Corte Interamericana de Derechos Humanos sobre el deber de investigar graves violaciones de Derechos Humanos y de Derecho Internacional Humanitario se concluye que la Corte Constitucional propone como premisa mayor una obligación que surge de una interpretación extensiva de la Convención Interamericana. De la misma forma, se estudia el tratamiento indebido del derecho aplicable a las amnistías e indultos, que se relaciona con la necesidad de evitar cualquier tipo de impunidad, cuyo concepto sirve para esclarecer cuáles son los estándares que se quiere proteger. Por último, se analiza el contexto al que se pretende aplicar dicha obligación, es decir, la justicia transicional, proponiendo un modelo interpretativo de los fines de la pena, y su aplicación por medio de la favorabilidad penal, para la justicia transicional, que sea acorde a la interpretación de la Convención Interamericana.

Análisis de las formas de apropiación nocturna del espacio público, en el parque de los hippies, localidad de chapinero, a partir de una muestra poblacional de jóvenes entre 18-­‐28 años, a la luz de los parámetros de Enric Pol y Tomeur Vidal sobre la “apropiación” del espacio

El interés de este estudio de caso es comprender y explicar la apropiación del espacio público urbano no sólo como un vínculo cotidiano entre el territorio y sus ciudadanos, sino, además, como un proceso dialéctico que, genera significado, identidad y apego al lugar. En este sentido se analizan las formas de apropiación nocturnas del Parque de los Hippies a partir de una muestra poblacional de jóvenes entre 18-28 años, a la luz de los parámetros de Enric Pol y Tomeu Vidal. Evidenciando que desde un acercamiento cotidiano a la realidad urbana, que reconozca la significación histórica, social, cultural y económica de los territorios, así como las dinámicas de convivencia y conflictos que se presentan en dichos espacios, se puede, desde el enfoque de gestión y desarrollo urbanos, generar recomendaciones para movilizar acciones que resalten y preserven los valores urbanos multidimensionales del lugar; fortalezcan algunas de sus formas de apropiación y, promuevan la convivencia entre las distintas formas y sus actores.

Límites del ordenamiento ambiental del territorio al turismo: el caso del Aeropuerto Internacional en la Isla de Providencia

El presente trabajo comenzará por abordar los antecedentes históricos y la caracterización del grupo étnico raizal desde una perspectiva jurídica enfocada en el turismo, el medio ambiente y la especial protección nacional e internacional del grupo étnico para el caso de la isla de Providencia, Colombia. A continuación se realizará un análisis del fenómeno turístico, incluyendo aspectos relacionados con los estudios del turismo y el desarrollo sostenible de esta actividad. A partir de este análisis, se examinarán los antecedentes y las características del modelo actual de desarrollo turístico en el municipio de Providencia y Santa Catalina. En el marco de los resultados del análisis anterior, se realizará una exposición de los aspectos jurídicos relacionados con el ordenamiento ambiental del territorio en el caso de la ampliación y remodelación del Aeropuerto el Embrujo en zona amortiguadora del Parque Nacional Natural Old Providence and Mc Bean Lagoon. Por último se expondrán las conclusiones y algunas recomendaciones.

Land use modelling and the role of stakeholders in natural protected areas: the case of Doñana national park, Spain

Doñana, a National Park since 1969, a UNESCO site since 1994 among other protected area designations of national and international character, is a coastal dune and marshland ecosystem of outstanding importance for biodiversity and conservation at the mouth of the Guadalaquivir River, Southwest Spain. However, the Doñana natural area is seriously threatened by global change factors such as humanly induced climate change, habitat loss, overexploitation of ecosystem services, and pollution. Not all stakeholders are convinced of the benefits of the national park, and management of Doñana, its environs and watershed are the subject of intense disagreement. This interplay between natural characteristics of great value with intense human pressure makes Doñana a fascinating workshop for the study of global human environment interactions. Here, we discuss the role of stakeholders in the application of a cellular automatabased model to Doñana and its environs and present the results of a series of exercises undertaken with stakeholders to parametrize the model, something often done by researchers without stakeholder engagement. By engaging with stakeholders early in the project, feedback generated from workshops contributes to model development. Stakeholders are therefore contributors of empirical data for the model as well as independent evaluators providing local and specialist knowledge.

Teoría y práctica de la restauración de la Mezquita-Catedral de Córdoba durante el siglo XX

La Mezquita-Catedral de Córdoba es un edificio vivo. Un edificio que ha sido transformado sucesivamente por hombres de razas, culturas y religiones distintas durante sus más de 1.200 años de vida y que, a pesar de ello, no ha dejado de estar en uso ni uno solo de esos días de esa larga vida. De esta forma, el edificio se muestra ante el visitante como un complejo objeto arquitectónico, resultado de una continua transformación. La capacidad de la transformación de los edificios es algo inherente a su propia condición arquitectónica, no es un hecho exclusivo de la Mezquita-Catedral. Sin embargo, en este edificio esa transformación se produce con una gran intensidad y sin pérdida de su autenticidad. Tradicionalmente, los edificios se han adaptado a los nuevos requerimientos de cada época en un proceso que ha buscado en el propio edificio las leyes o principios que habían de regir la intervención. De esta forma, tanto las sucesivas ampliaciones de la Mezquita de Abd al-Rahman I como las siguientes intervenciones cristianas debieron asumir lo preexistente como material de trabajo. Así, los arquitectos del califa al-Hakam II dialogaron con sus antecesores complejizando el espacio que recibieron, así como los Hernán Ruiz consiguieron un nuevo organismo resultante de la introducción de su arquitectura luminosa en la trama hispanomusulmana. El siglo XIX confirmó el deseo por descubrir las huellas de un pasado esplendoroso que la intervención barroca había silenciado bajo un tratamiento homogéneo del espacio. La recuperación de esas huellas supuso, hace exactamente dos siglos, el inicio de la última gran etapa en la transformación del edificio, la de la restauración. La fábrica es considerada como objeto a conservar y los esfuerzos desde ese momento se centraron en la recuperación de la arquitectura omeya latente. De este modo, la práctica de la restauración como disciplina se encontró absolutamente influenciada por la Arqueología como única fuente de conocimiento. Las intervenciones buscaban lo original como modo de recuperar espacial y formalmente aquel pasado, concentrándose en los lugares del edificio considerados como esenciales. La declaración del edificio como monumento nacional en 1882 propició que el Estado se hiciera cargo de su mantenimiento y conservación, sustituyendo en esa tarea a los Obispos y Cabildos del siglo XIX, que tuvieron un entendimiento muy avanzado para su época. La llegada del arquitecto Velázquez Bosco en las últimas décadas del siglo XIX supuso un cambio trascendental en la historia del edificio, puesto que recibió un edificio con importantes deterioros y consiguió poner las bases del edificio que hoy contemplamos. El empeño por la recuperación material y espacial devolvió a la Mezquita-Catedral buena parte de su imagen original, reproduciendo con exactitud los modelos hallados en las exploraciones arqueológicas. La llegada de Antonio Flórez tras la muerte de Velázquez Bosco supuso la traslación al edificio del debate disciplinar que se desarrolló en las dos primeras décadas del siglo XX. Flórez procuró un nuevo entendimiento de la intervención, considerando la conservación como actuación prioritaria. En 1926 el Estado reformó la manera en que se atendía al patrimonio con la creación de un sistema de zonas y unos arquitectos a cargo de ellas. La existencia de un nuevo marco legislativo apuntaló esa nueva visión conservativa, avalada por la Carta de Atenas de 1931. Este modelo restauración científica huía de la intervención en estilo y valoraba la necesidad de intervenir de la manera más escueta posible y con un lenguaje diferenciado, basándose en los datos que ofrecía la Arqueología. Por tanto, se continuaba con la valoración del edificio como documento histórico, buscando en este caso una imagen diferenciada de la intervención frente a la actitud mimética de Velázquez. Resulta destacable la manera en la que el historiador Manuel Gómez-Moreno influyó en varias generaciones de arquitectos, arqueólogos e historiadores, tanto en el entendimiento científico de la restauración como en la propia estructura administrativa. La labor desarrollada en el edificio por José Mª Rodríguez Cano primero y Félix Hernández a continuación estuvo influida de manera teórica por el método de Gómez-Moreno, aunque en muchos aspectos su labor no representó una gran diferencia con lo hecho por Velázquez Bosco. La búsqueda de lo original volvió a ser recurrente, pero la carga económica del mantenimiento de un edificio tan extenso conllevó la no realización de muchos de los proyectos más ambiciosos. Esta obsesiva búsqueda de la imagen original del edificio tuvo su última y anacrónica etapa con la intervención de la Dirección General de Arquitectura en los 70. Sin embargo, el agotamiento del modelo científico ya había propiciado un nuevo escenario a nivel europeo, que cristalizó en la Carta de Venecia de 1964 y en una nueva definición del objeto a preservar, más allá del valor como documento histórico. Esta nueva posición teórica tuvo su traslación al modelo restaurador español en el último cuarto de siglo XX, coincidiendo con la Transición. El arquitecto Dionisio Hernández Gil defendió una interpretación distinta a la de los arqueólogos y de los historiadores, que había prevalecido durante todo el siglo. En opinión de Hernández Gil, los problemas de intervención debían enfocarse fundamentalmente como problemas de Arquitectura, abandonando la idea de que solamente podían ser resueltos por especialistas. Esta convicción teórica fue defendida desde la nueva Administración y deparó la utilización de unos criterios de intervención particularizados, provenientes del análisis multifocal de cada situación y no sólo desde el valor de los edificios como documentos históricos. Y este cambio tuvo su traslación a la Mezquita-Catedral con la práctica de Gabriel Ruiz Cabrero y Gabriel Rebollo. En consecuencia con esa nueva perspectiva, aceptaron el edificio que recibieron, sustituyendo la búsqueda de aquella página original por la aceptación de cada una de las páginas de su historia y el respeto a las técnicas constructivas del pasado. La búsqueda de soluciones específicas desde el propio objeto arquitectónico significó la renovada atención a la potente estructura formal-constructiva como origen de toda reflexión. Considerar la Mezquita-Catedral en primer lugar como Arquitectura implicaba la atención a todo tipo de factores además de los históricos, como medio para preservar su autenticidad. Esta tesis pretende demostrar que la práctica de la restauración realizada en la Mezquita-Catedral a lo largo del siglo XX ha evolucionado desde la búsqueda de lo original hasta la búsqueda de lo auténtico, como reflejo de una visión basada en lo arqueológico frente a una renovada visión arquitectónica más completa, que incluye a la anterior. La consideración de la intervención en este edificio como otra página más de su historia y no como la última, significa la reedición de un mecanismo recurrente en la vida del edificio y un nuevo impulso en ese proceso de continua transformación. ABSTRACT The Mosque-Cathedral of Cordoba is a living building. A building transformed by men of different races, cultures and religions during more than 1.200 years old and that, nevertheless, it has continued to be in use all days in that long life. Thus, the building shows to the visitor as a complex architectural object, the result of continuous transformation. This transformation capacity of the buildings is inherent in their own architectural condition, it’s not an exclusive fact of the Mosque-Cathedral. However, in this building that transformation happens with a great intensity, without losing their authenticity. Traditionally, buildings have been adapted to the new requirements of times in a process that looked for laws or principles in order to guide the intervention. Thus, both the successive enlargements of the Mosque of Abd al-Rahman and Christian interventions must assume the preexistence as a working material. So, the architects of the caliph al-Hakam II spoke to their predecessors, complexing the receiving space, as well as Hernan Ruiz got a new organism as result the introduction of his luminous architecture into hispanic-muslim weft. The nineteenth century confirmed the desire to discover the traces of a glorious past that Baroque intervention had silenced, under a uniform space treatment. Exactly two centuries ago, the recovery of these traces meant the start of the last major phase in the transformation of the building: the restoration. The building was considered subject to conserve and since then, efforts focused on the recovery of latent Umayyad architecture. Thus, the practice of restoration as a discipline was absolutely influenced by Archaeology as the only source of knowledge. Interventions were seeking the original as the way to recover that past in a space and formal way, concentrating on essential sites of the building. The statement as a national monument in 1882 prompted the State take charge of its maintenance and preservation, replacing to the nineteenth century Bishops and Cabildos, which had a very advanced understanding for that time. The arrival of the architect Velazquez Bosco in the last decades of the nineteenth century involved a momentous change in the history of the building, since he received a building with significant damage and he achieved the foundations of the building that we can see today. Efforts to a material and space recover returned the Mosque-Cathedral to its original image, accurately reproducing the models found in archaeological explorations. The arrival of Antonio Florez after Velazquez’s death involved the translation of discipline debate, which was developed in the first two decades of the twentieth century. Florez tried a new understanding of the intervention, considering conservation as a priority action. In 1926, the State reformed the way in which heritage was attended, creating a zones system with a few architects in charge of them. The existence of a new legislative framework, underpinned this new conservative vision, supported by the Athens Charter of 1931. This scientific restoration model fleeing from intervention in style and it appreciated the need to intervene in the most concise way, with a distinct language based on the data offered by Archaeology. Therefore, it continued with the appraisement of the building as a historical document, seeking in this case a differentiated image of intervention, against Velazquez mimetic attitude. It is remarkable the way in which the historian Manuel Gomez-Moreno influenced several generations of architects, archaeologists and historians, both in the scientific understanding of the restoration and the administrative structure. The work of Jose Maria Rodriguez Cano first and then Felix Hernandez was theoretically influenced by the Gomez-Moreno’s method, although in many respects their work did not represent a great difference to Velazquez Bosco. The search of the original returned to recur, but the economic charge of maintaining such a large building led to the non-realization of many of the most ambitious projects. This obsessive search for the original image of the building had its last and anachronistic stage with the intervention of the Department of Architecture at 70’s. However, the exhaustion of the scientific model had already led to a new scenario at European level, which crystallized in the Venice Charter of 1964 and a new definition of the object to be preserved beyond the value as a historical document. This new theoretical position had its translation to Spanish restaurateur model in the last quarter of the twentieth century, coinciding with the Transition. The architect Dionisio Hernandez Gil defended a different interpretation from archaeologists and historians, that had prevailed throughout the century. According to Hernandez Gil, the problems of intervention should focus primarily as architectural issues, abandoning the idea that they could only be determined by specialist. This theoretical conviction was defended from the new administration and led to the use of particularized criteria, from a multifocal analysis of each situation. And this change had its translation to the Mosque with the practice of Gabriel Ruiz Cabrero and Gabriel Rebollo. Consistent with this new perspective, they accepted the receiving building, replacing the search on original page for acceptance of all historical pages and respecting the constructive techniques of the past. The search for specific solutions from the architectural object meant the renewed attention to the powerful formal-constructive structure as the origin of all thought. Consider the Mosque-Cathedral as Architecture, involved the attention to all kinds of factors in addition to the historical, as a means to preserve its authenticity. This thesis aims to demonstrate that the practice of restoration in the Mosque-Cathedral throughout the twentieth century has evolved from the search of the original to the search for the authentic, reflecting a vision based on the archaeological against a renewed more complete architectural vision, including the above. Consideration of intervention in this building as another page in its history and not the last one, means the reissue of an own mechanism and a new impetus in that continuous transformation process.

Notice historique des monumens des arts, réunis au Depot national, rue des Petits Augustins : suivis d'un traité de la peinture sur verre /

Pages 39-92 wrongly numbered 59-112.

Rapid responses of vegetation to hydrological changes in Taylor Slough, Everglades National Park, Florida, USA

We analyzed the dynamics of freshwater marsh vegetation of Taylor Slough in eastern Everglades National Park for the 1979 to 2003 period, focusing on cover of individual plant species and on cover and composition of marsh communities in areas potentially influenced by a canal pump station (‘‘S332’’) and its successor station (‘‘S332D’’). Vegetation change analysis incorporated the hydrologic record at these sites for three intervals: pre-S332 (1961–1980), S332 (1980–1999), post-S332 (1999–2002). During S332 and post-S332 intervals, water level in Taylor Slough was affected by operations of S332 and S332D. To relate vegetation change to plot-level hydrological conditions in Taylor Slough, we developed a weighted averaging regression and calibration model (WA) using data from the marl prairies of Everglades National Park and Big Cypress National Preserve. We examined vegetation pattern along five transects. Transects 1–3 were established in 1979 south of the water delivery structures, and were influenced by their operations. Transects 4 and 5 were established in 1997, the latter west of these structures and possibly under their influence. Transect 4 was established in the northern drainage basin of Taylor Slough, beyond the likely zones of influence of S332 and S332D. The composition of all three southern transects changed similarly after 1979. Where muhly grass (Muhlenbergia capillaris var. filipes) was once dominant, sawgrass (Cladium jamaicense), replaced it, while where sawgrass initially predominated, hydric species such as spikerush (Eleocharis cellulosa Torr.) overtook it. Most of the changes in species dominance in Transects 1–3 occurred after 1992, were mostly in place by 1995–1996, and continued through 1999, indicating how rapidly vegetation in seasonal Everglades marshes can respond to hydrological modifications. During the post-S332 period, these long-term trends began reversing. In the two northern transects, total cover and dominance of both muhly grass and sawgrass increased from 1997 to 2003. Thus, during the 1990’s, vegetation composition south of S332 became more like that of long hydroperiod marshes, but afterward it partially returned to its 1979 condition, i.e., a community characteristic of less prolonged flooding. In contrast, the vegetation change along the two northern transects since 1997 showed little relationship to hydrologic status.

Water Quality and Wet Season Diatom Assemblage Characteristics from the Tamiami Trail Pilot Swales Sites (Everglades National Park, Florida, USA)

A pivotal component of hydrological restoration of the Florida Everglades is the improvement of water conveyance to Everglades National Park by the degradation of the current network of canals, roadways and levees. The Tamiami Trail (L29) road/canal complex represents a major barrier to natural water flows into the park and a variety of modification options for flow improvement are currently being explored, including the installation of spreader swales immediately downstream of culverts conveying water under Tamiami Trail from the L29 canal into Everglades National Park. In this study, we evaluated water column chemistry and wet-season diatom community structure to provide baseline information for use in future monitoring activities related to the proposed Tamiami Trail modifications. Water chemistry showed pronounced fluctuations in response to precipitation and anthropogenically mediated hydrological events. Differences in water quality variables among sites were dampened during periods of inundation, and became more pronounced during periods of low canal stage, suggesting the importance of small-scale mechanisms related to isolation of habitat patches. Diatom assemblages were unexpectedly speciose (127 taxa in 40 samples) compared to typical Everglades assemblages, and spatially heterogeneous in sites associated with concentric areas of dense vegetation immediately downstream of culverts. We also observed significant compositional dissimilarities among transects, indicating that culvert pool and north transect assemblages were substantially influenced by propagule input from the canal and areas to the north, while south transect sites were compositionally similar to typical sawgrass prairie diatom communities. Central transect sites were compositionally intermediate to their north and south counterparts. We propose that the position and spatial extent of this “transitional assemblage” is a sensitive indicator of subtle environmental change related to Tamiami Trail modifications.

Data compilation on the biological response to ocean acidification: environmental and experimental context of data sets and related literature

The exponential growth of studies on the biological response to ocean acidification over the last few decades has generated a large amount of data. To facilitate data comparison, a data compilation hosted at the data publisher PANGAEA was initiated in 2008 and is updated on a regular basis (doi:10.1594/PANGAEA.149999). By January 2015, a total of 581 data sets (over 4 000 000 data points) from 539 papers had been archived. Here we present the developments of this data compilation five years since its first description by Nisumaa et al. (2010). Most of study sites from which data archived are still in the Northern Hemisphere and the number of archived data from studies from the Southern Hemisphere and polar oceans are still relatively low. Data from 60 studies that investigated the response of a mix of organisms or natural communities were all added after 2010, indicating a welcomed shift from the study of individual organisms to communities and ecosystems. The initial imbalance of considerably more data archived on calcification and primary production than on other processes has improved. There is also a clear tendency towards more data archived from multifactorial studies after 2010. For easier and more effective access to ocean acidification data, the ocean acidification community is strongly encouraged to contribute to the data archiving effort, and help develop standard vocabularies describing the variables and define best practices for archiving ocean acidification data.

Regulatory governance of ‘training markets’, ‘market failure’, and ‘quasi’ markets: historical dimensions of the post-initial training market in the Netherlands

This article examines regulatory governance of the post-initial training market in The Netherlands. From an historical perspective on policy formation processes, it examines market formation in terms of social, economic, and cultural factors in the development of provision and demand for post-initial training; the roles of stakeholders in the longterm construction of regulatory governance of the market; regulation of and public providers; policy responses to market failure; and tripartite division of responsibilities between the state, social partners, commercial and publicly-funded providers. Historical description and analysis examine policy narratives of key stakeholders with reference to: a) influence of societal stakeholders on regulatory decision-making; b) state regulation of the post-initial training market; c) public intervention regulating the market to prevent market failure; d) market deregulation, competition, employability and individual responsibility; and, e) regulatory governance to prevent ‘allocative failure’ by the market in non-delivery of post-initial training to specific target groups, particularly the low-qualified. Dominant policy narratives have resulted in limited state regulation of the supply-side, a tripartite system of regulatory governance by the state, social partners and commercial providers as regulatory actors. Current policy discourses address interventions on the demand-side to redistribute structures of opportunity throughout the life courses of individuals. Further empirical research from a comparative historical perspective is required to deepen contemporary understandings of regulatory governance of markets and the commodification of adult learning in knowledge societies and information economies. (DIPF/Orig.)

La manipulation idéologique dans l’édition et deux traductions de la Description de l’Afrique de Hassan El Wazzan / Jean-Léon l’Africain

En 1526, Hassan El Wazzan / Jean-Léon l’Africain, achève à Rome la rédaction en italien du manuscrit du Libro della Cosmographia Dell’Africa, œuvre majeure considérée à la Renaissance comme l’une des principales sources de connaissance du continent africain en Europe. En 1550, un savant vénitien du nom de Jean-Baptiste Ramusio publie le texte italien de Jean-Léon dans un recueil de récits de voyages. L’édition, intitulée Descrizione dell’Africa (Description de l’Afrique), diffère significativement du manuscrit original. Elle subit maintes modifications par Ramusio dont l’objectif est de livrer un ouvrage qui répond aux attentes des Européens et qui correspond à l’image que l’Occident chrétien se faisait du monde musulman. Cette version a servi de texte de départ aux nombreuses traductions qui ont suivi. La première traduction française, datant de 1556, est réalisée par Jean Temporal, éditeur et imprimeur lyonnais. La deuxième, parue en 1956 et rééditée en 1980, est l’œuvre d’Alexis Épaulard; elle s’appuie partiellement sur le manuscrit original, mais aussi sur la version imprimée de Ramusio. Notre travail consiste à confronter les deux traductions françaises à l’édition de Ramusio. Nous tenterons de démontrer que les deux traducteurs français sont lourdement intervenus dans le texte traduit, et ce afin de servir des desseins expansionnistes et colonialistes. Notre recherche met en évidence la prise de position des traducteurs et les idéologies qui affectent l’appréciation du livre. Pour ce faire, nous procédons à l’analyse des traductions au niveau textuel et au niveau paratextuel tout en mettant en évidence le contexte historique et politico-idéologique entourant la parution de ces deux traductions françaises. Nous consacrons une attention toute particulière au choix des mots, aux allusions et aux stratégies utilisées par les traducteurs et les éditeurs. Les travaux de Maria Tymoczko sur la traduction et l’engagement politique fournissent le cadre de référence théorique de cette recherche, tout autant que les textes d’Edward Said sur l’orientalisme et le postcolonialisme. Il ressort de cette recherche que ces traductions françaises sont empreintes d’une idéologie eurocentrée visant à conforter les ambitions hégémoniques en terre africaine.

La manipulation idéologique dans l’édition et deux traductions de la Description de l’Afrique de Hassan El Wazzan / Jean-Léon l’Africain

En 1526, Hassan El Wazzan / Jean-Léon l’Africain, achève à Rome la rédaction en italien du manuscrit du Libro della Cosmographia Dell’Africa, œuvre majeure considérée à la Renaissance comme l’une des principales sources de connaissance du continent africain en Europe. En 1550, un savant vénitien du nom de Jean-Baptiste Ramusio publie le texte italien de Jean-Léon dans un recueil de récits de voyages. L’édition, intitulée Descrizione dell’Africa (Description de l’Afrique), diffère significativement du manuscrit original. Elle subit maintes modifications par Ramusio dont l’objectif est de livrer un ouvrage qui répond aux attentes des Européens et qui correspond à l’image que l’Occident chrétien se faisait du monde musulman. Cette version a servi de texte de départ aux nombreuses traductions qui ont suivi. La première traduction française, datant de 1556, est réalisée par Jean Temporal, éditeur et imprimeur lyonnais. La deuxième, parue en 1956 et rééditée en 1980, est l’œuvre d’Alexis Épaulard; elle s’appuie partiellement sur le manuscrit original, mais aussi sur la version imprimée de Ramusio. Notre travail consiste à confronter les deux traductions françaises à l’édition de Ramusio. Nous tenterons de démontrer que les deux traducteurs français sont lourdement intervenus dans le texte traduit, et ce afin de servir des desseins expansionnistes et colonialistes. Notre recherche met en évidence la prise de position des traducteurs et les idéologies qui affectent l’appréciation du livre. Pour ce faire, nous procédons à l’analyse des traductions au niveau textuel et au niveau paratextuel tout en mettant en évidence le contexte historique et politico-idéologique entourant la parution de ces deux traductions françaises. Nous consacrons une attention toute particulière au choix des mots, aux allusions et aux stratégies utilisées par les traducteurs et les éditeurs. Les travaux de Maria Tymoczko sur la traduction et l’engagement politique fournissent le cadre de référence théorique de cette recherche, tout autant que les textes d’Edward Said sur l’orientalisme et le postcolonialisme. Il ressort de cette recherche que ces traductions françaises sont empreintes d’une idéologie eurocentrée visant à conforter les ambitions hégémoniques en terre africaine.