875 resultados para dieu
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Ce ms. a été légué au chapitre de Notre-Dame par Pierre du Jardin, prêtre du diocèse de Limoges et chapelain de Notre-Dame de Paris, mort en 1431, comme l'indique la note au f. 251v: "Venerabilis et discretus vir deffunctus dominus Petrus de Orto, alias dictus Mallerat, presbiter Lemovicensis diocesis, quondam cappellanus hujus venerabilis eccelesie Parisiensis, qui obiit anno M° CCCC° XXXI° die XXIII° mensis aprilis, legavit per suum testamentum supra dicte ecclesie hunc presentem librum..." (XVe s.). Au f. 1 figure l'ex-libris "A la bibliotheque de l'Eglise de Paris" (XVIIe s.). Notre-Dame.
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Note autographe "Ce manuscrit est un recueil original des lectures de feu M. de Larroque un des plus habiles ministres protestans du 17e siecle, sur plusieurs matieres ecclesiastiques, escrit de sa propre main. C'est Mr. son fils, qui ne luy cede en rien pour la doctrine, et qui a eu le bonheur d'embrasser la religion catholique encore jeune, qui m'en fit present le 8 novembre 1704. Fr. Leonard A. d. M. priez Dieu pour moy" (2)
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Commençant par : « A tres hault et tres puissant prince Charles, le quint de son nom, par la digne pourveance de Dieu... » et finissant par : «... Tulles, Theophile, Varro, Virgilles. Explicit le livre des Proprietés des choses, translatée de latin en françois par Frere Jehan de Corbechan, de l'ordre de St Augustin » .
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Ce ms. renferme la lettre de saint Jérôme au pape Damase, "Beato papae Damaso..." (1-3v), sa préface "Plures fuisse" (4-6r), les tables de concordances évangéliques (6v-14r), les textes des quatre Évangiles accompagnés des préfaces, prologues et sommaires (14v-213v), ainsi que le Capitulare evangeliorum ou liste des péricopes évangéliques (214-231v). En marge des Évangiles, numérotation des chapitres des sommaires à l'encre rouge et indication des concordances évangéliques à l'encre brune. Entre les ff. 61 et 66, 96- 101, 155-160v et 204v-208v (c'est-à-dire dans les passages correspondant à la Passion dans chacun des quatre Evangiles), de petites lettres à l'encre rouge orangé (a, c, m) introduisent les différents protagonistes du discours, le m désignant le Christ, le c Pilate et le a le narrateur. Au f. 155, le m est partiellement développé sous la forme "mans.". Ces indications nous renseignent sur les pratiques de la lecture liturgique, qui s'effectuait à plusieurs voix. Nombreuses corrections marginales ou interlinéaires à l'encre rouge ou noire, mots à corriger parfois surlignés en couleur (cf. "aliquid" f. 76v surligné en violet), mots réécrits par-dessus grattage aux ff. 115v-116 (par le copiste E).Dans le Capitulare evangeliorum, on remarquera, parmi un sanctoral à dominante romaine, la présence de deux saints mérovingiens du Hainaut, saint Ursmer, fêté le 18 avril (f. 226v), et sainte Amalberge, fêtée le 10 juillet (f. 228), ainsi que celle des saints Emerentienne et Macaire l'Egyptien, fêtés le 23 janvier (f. 225v), et des saints martyrs romains Pierre et Marcellin, fêtés le 2 juin (f. 227). Ursmer et Amalberge ont tous deux un lien avec l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Lobbes: le premier en est le véritable fondateur, la seconde y a été ensevelie, mais cela n'implique pas nécessairement que le ms. ait été exécuté à Lobbes, car le culte de ces deux saints jouissait d'une diffusion régionale. Quant aux autres saints, le culte de sainte Emerentienne et de saint Macaire était répandu en particulier dans les diocèses de Cambrai et Reims et celui des martyrs Pierre et Marcellin autour de Valenciennes, Gand et Soissons, où se trouvaient depuis le IXe siècles leurs reliques ; cf. sur le culte d'Amalberge, Pierre et Marcellin: F. Dolbeau, "La bibliothèque de l'abbaye d'Hasnon...", Revue des études augustiniennes 34 (1988), p. 237-246; sur celui d'Ursmer: F. Dolbeau, "La diffusion de la Vita S. Ursmari de Rathier de Vérone", Scribere sanctorum gesta. Recueil d'études d'hagiographie médiévale offert à Guy Philippart, Turnhout, 2005, p. 181-207.Au f. 231v ont été rajoutées diverses maximes et formules pieuses, par deux mains différentes, des XIIe-XIIIe siècles.
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Durand (Jean). Album amicorum (1583-1592)
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F. 1 Calendrier de Sens. F. 5v Ordo officii. F. 7 Psautier, litanies de Sens et « preces ». F. 35 Temporal. F. 171 Vig., jour et oct. de la dédicace. F. 173-268v Sanctoral ; — ste Colombe (219) ; — ss. Savinien et Potentien (239 et 256) ; — ss. Augustin et Félicité (265v). F. 268v Commun des saints. F. 282v « Pro fidelibus defunctis. » F. 286-341v Offices divers, avec additions du XIVe s. (298-341v) ; — Fête-Dieu (313) ; — s. Louis (328). F. 342v Hymne à la Vierge (XVIe s.). Cf. Chevalier, n° 1183.
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Commençant par : « En nom et en honneur de Dieu, creatour et seigneur de toutes choses... » et finissant par : «... en cest monde et en l'autre comme il meismes voudroit » .
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Commençant par : « En nom et en honneur de Dieu, creatour et seigneur de toutes choses... » et finissant par : «... en cest monde et en l'autre comme il meismes voudroit » .
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Contient : 1° « Le Chasteau perilleux, compilé et ordonné d'un moyne de l'ordre Chartreuse pour une nonnain de l'ordre de Frontevaulx » ; 2° « Le Livre appellé l'Orreloge de sapience, lequel fist Frere JEHAN DE SOUHAUBE, de l'ordre des Freres Prescheurs », traduction faile en 1389 par « JEHAN », religieux de l'ordre de St-François, de Neufchâtel en Lorraine ; 3° « Le Livre du Seul parler St AUGUSTIN, autrement Meditacions de veoir Dieu et congnoistre »
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Contient : 1° « Les Lamentacions monseigneur sainct BERNARD » ; 2° « Le Livre des Meditacions monseigneur saint BERnard » ; 3° « Les Contemplacions monseigneur saint AUGUSTIN » ; 4° « Une belle Oroison de saint AUGUSTIN » (fol. 55) : ; 5° « Les Meditacions saint AUGUSTIN pensant à Dieu » ; 6° « Ung Traitié comment on doit Dieu amer de tout son cueir » ; 7° « L'Ordonnance du char Heliez le prophete » (fol. 67) : ; 8° « Un Preschement de Nostre Seigneur Jhesu Crist » (fol. 69), parabole de la semence ; 9° « Ce sont les sept choses que cuer en qui Dieu habite doit avoir » (fol. 71) : ; 10° « Comment.IIII. pechiés mortelz sont signifiés par.IIII. bestes sauvaiges » (fol. 72) : ; 11° « De la Demande que fist la mere de saint Jehan et de saint Jaques à Nostre Seigneur Jhesu Crist » ; 12° « Le Livre de la misere de l'omme », par « LOTHIER » ; 13° « Le Livre des biens que tribulacion fait à l'ame » ; 14° « Aucuns bons Enseignements pour eschiver les pechies de luxure, d'avarice et d'accide » ; 15° « De l'Aage Adam, et comment il envoya Seth son filz en paradis terrestre » (fol. 130) : ; 16° « La Devise de la messe » (fol. 132) : ; 17° « L'Ordonnance comment on se doit confesser » (fol. 135) : ; 18° « Les Enseignements que le bon roy saint Loys fist et escript de sa main, et les envoya de Cartaige où il estoit au roy Phelippes son filz » ; 19° « Les Enseignements que... saint Loys... envoya... à la royne de Navarre sa fille » (fol. 140) : ; 20° « La Fin que le bon roy saint Loys ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thibaut, roy de Navarre » (fol. 141) : ; 21° « Le Livre maistre HUGUES DE SAINT VICTOR » ; 22° « Les Proverbes de SENEQUE, en prose » ; 23° « Les Dictz et Proverbes des Saiges », cinquantecinq quatrains ; 24° « Le Dit des philosophes du grant roy Alixandre, quant il fut mort », en seize vers (fol. 172) ; 25° « Ung beau Dictié c'on appelle : Je vois mourir », quarante-cinq sixains ; 26° « Le Pater noster en françois » ; 27° « La Meditacion de la mort »
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Commençant par : « Gent debonneire, gent courtoise, Or faites paiz, taisiez la noise... » et finissant par : « Or nous doint Dieu par son plesir Qu'à sa merci puissions venir. Amen. Explicit iste liber : La Bible des.VII. estaz du monde » .
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Même ornementation, mêmes armoiries que dans le ms. français 5094. Le texte de ce ms., qui offre en plusieurs endroits des lacunes que nous indiquerons dans un instant, donne au feuillet 5 v° une strophe de 8 vers qui n'existe pas dans les exemplaires précédents : « Ensemble furent si bien d'accord Qu'ilz engendrèrent un fils de grant noblesse, Nommé Jehan, dit conte de Monfort, Après la mort de la noble duchesse, Et quatre filles qui en grant leesse Furent toutes colloquées haultement, Car de France, la royalle haultesse, Fut descendue la noble Yollant » . Quant aux lacunes, en voici l'énumération : Fol. 31. Ce feuillet est mutilé de la marge droite, de sorte qu'il ne donne pas les deux écussons coloriés qui accompagnent dans les autres mss. la notice relative à Étampes et à Hue Le Maire, sieur de Chaillou. — Entre les feuillets 33 et 34 est une lacune qui correspond aux 4 vers relatifs à N.-D. des Champs, au départ du corps de la reine de l'église N.-D. des Champs, le 14 février 1514, jusqu'aux premières lignes du sermon prononcé à St-Denis par M. Parvy, confesseur de la reine, le 16 février 1514, là où l'orateur donne l'origine de l'hermine qui figure dans les armes de Bretagne, soit en tout une lacune de 18 pages. — Au revers du feuillet 42 devrait être une miniature représentant la « chapelle royalle ardant » en l'église des Carmes, à Nantes, où fut déposé le coeur d'Anne de Bretagne. Cette miniature n'a pas été exécutée, et la place est restée en blanc. Après cette miniature existent dans les autres mss. 20 vers qui ne figurent pas dans le présent ms. — Entre les feuillets 44 et 45 manquent 31 lignes, soit la valeur d'une page et 6 lignes, qui commencent par l'épitaphe de François II, duc de Bretagne : « Si dedans gist le corps du duc Françoys, deuxe de ce nom, lequel regna trente deux... », et finissent par la description du coeur d'or contenant le coeur d'Anne de Bretagne, dont la portraiture, qui existe dans les mss. précédents, manque dans celui-ci. — Les 38 lignes qui forment la fin de notre relation dans les mss. précédents, manquent dans celui-ci, qui s'arrête avec la phrase : « Ainsy finirent iceulx services, mais les pleurs, criz et lamentacions auront longue durée. Prions Dieu pour elle, celluy qui son ame a créé ».
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Elle est divisée en huit livres ; le dernier seul (fol. 71-79) est consacré aux rois de France. Elle commence (fol. 1) par : « Le premier livre de ceste presente cronique. De la creation du monde. Le premier jour Dieu crea les anges... » et finit (fol. 79 v°) par : «... Loys XIIe de ce non... qui a present regne en l'an de grace mil Ve et quatre ». A la fin du volume (fol. 80-84) est une traduction abrégée des Enseignements de saint Louis, commençant par : « Pour accomplissement de nostre euvre, j'ay redigé par escrit, selon la cronique latine, les beaux et bons enseignemens que le tres illustre et noble roy sainct Loys, roy de France... donnoit à son filz Philippes IIIe de ce non, jusques au nombre de XXXI... ». Au fol. A v° sont les armes d'Orléans, avec les deux vers suivants pour devise : « Cynthia, cresce, sua coeant tua cornua luce Aurea ; gryneis stabis adulta comis » .