967 resultados para Renaissance fortresses
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Dealing with ancient manuscript or old printed texts often constitutes a difficult task, especially to philologists and editors, for two main reasons: the precarious state of preservation of the documents and the uncertainty regarding their origin, authenticity and authorship. These problems are aggravated by spurious versions, due to the publication of truncated works, poorly supervised miscellanies and non-authorised editions. Sir Robert Sidney’s literary text constitutes an exception amidst such vicissitudes, once the original corpus is wholly contained in a notebook exhibiting the organisation and unity conceived by the author himself. Today, there is no evidence that any loose poems, either autograph or copied by amanuenses, were in circulation among members of the Elizabethan court society. The notebook was kept in private collections for four centuries, which probably explains why it was so well preserved. In fact, only in 1984 would P.J. Croft’s fine edition bring the youngest Sidney’s Poems into light. In this work, I approach Croft’s perceptive, accurate philological study that eventually rescued from oblivion a remarkable piece both of the Elizabethan lyric poetry and of the English Renaissance, and, at the same time, look into Robert Sidney’s peculiar, careful and original formatting of his own autograph manuscript.
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Concepts such as righteousness, equality, tolerance and freedom are nowadays considered fundamental issues that should prevail in any society. Balance and righteousness thrive however on a very thin layer. We are, in fact, living in an era of duality and antithetical paradigms. This essay approaches two Renaissance authors who dealt with the same matters in their works, at a very different time and through different ways of reflection: Thomas More and Sir Walter Raleigh.
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Colóquio Internacional "Camões e os seus Contemporâneos", Universidade dos Açores, Ponta Delgada, 18 a 20 de Abril de 2012.
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Management from the NOVA – School of Business and Economics
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Esta tese procura defender a ideia de que foi a vinda para Portugal, nos anos 30 do século XIX, dos arquitectos, cenógrafos, e pintores decoradores de origem italiana, Cinatti e Rambois, que permitiu o retomar do fio perdido da pintura decorativa no País. Na década de 1830, dava-se, assim, início a uma nova etapa, na qual se concretizam uma série de encomendas de decoração de interiores que procuram satisfazer uma burguesia emergente, que assim sublinha o seu status social ao restaurar e transformar palácios antigos, ou ao mandar construir novos palácios e palacetes, que irão ser profusamente decorados por uma nova geração de pintores-decoradores. Era inaugurado o ressurgimento da pintura decorativa em Portugal. Esta dissertação tem também como um dos seus objectivos principais dar a conhecer e divulgar o património ímpar que constitui a pintura decorativa, para assim o poder depois proteger, num País em que o “fachadismo” faz escola, permitindo-se que os interiores sejam demolidos, e em que as artes decorativas são ainda tão esquecidas ou menosprezadas Este trabalho constitui – esperamos- uma primeira aproximação científica ao estudo de todo um conjunto de edifícios de valor patrimonial inestimável e à realidade que albergam no seu interior.
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Les yeux et les masques sont prévalents dans les oeuvres du peintre chinois contemporain Zeng Fanzhi (né en 1964), comme métaphore du jeu de pouvoir qui oppose les individus à l’appareil social et politique. Son oeuvre La Cène, d’après Leonard de Vinci, est un exemple frappant de cette préoccupation. Cet essai examine l’utilisation par l’artiste de cette représentation occidentale d’une crise morale (une trahison qui mène à la mort du Christ) pour exprimer la dystopie qui marque la Chine contemporaine. L’interprétation par Zeng de l’oeuvre de Vinci témoigne d’une compréhension profonde de sa signification à la Renaissance comme conflit entre le pouvoir terrestre et spirituel, auquel il surimpose la fonction du banquet dans la culture chinoise comme lieu de lutte politique. Un nihilisme détaché imprègne ce travail, à l’instar de l’interprétation métaphorique du banquet de Platon par Søren Kierkegaard, In Vino Veritas.
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Considérations méthodologiques Nous avons limité aux précisions indispensables à la compréhension de notre propos les considérations sur la gigantomachie en général. Nous renvoyons aux études signalées plus haut (supra, p. 7, n. 2), principalement pour ce qui concerne les géants avant leur transformation en anguipèdes à partir de l'époque hellénistique. Notre recherche de parallèles reposera sur quelques oeuvres d'art encore existantes : les sculptures décorant les plus importantes d'entre elles feront dès lors figure d'archétype, même si, bien sûr, rien ne permet d'exclure qu'il en ait existé de plus significatives. Parmi les nombreux monuments aujourd'hui disparus, respectivement parmi ceux qui seraient encore à découvrir, il s'en trouvait sans doute qui auraient été susceptibles de servir de modèle pour les sculptures ornant le fanum de Lousonna, duquel bien peu de restes nous sont parvenus. A l'exception de quelques renvois ponctuels, notre démarche s'est appuyée exclusivement sur du matériel et des informations déjà publiés. Pour la reconstitution des bas-reliefs de Lousonna, nous nous sommes inspiré généralement de sculptures hellénistiques et romaines dont l'ornementation présentait des similitudes avec les fragments à notre disposition ; la plupart des parallèles sont mentionnés dans le Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae. L'examen des volumes du Corpus Signorum Imperii Romani et de quelques autres recueils nous a permis de faire des propositions pour les cas restés en suspens. A une exception près, l'échantillonnage aéré formé à partir d'ensembles sculptés qui devaient avoir les mêmes caractéristiques que le matériel que nous tenterons d'identifier : ils comportaient des monstres anguipèdes avec les jambes se terminant par la tête du serpent, remontant au plus tard à la fin de la période romaine et produits dans un atelier gréco-romain. Afin de recréer avec le plus de vraisemblance possible l'environnement du fanum de Lousonna, nous avons recherché des édifices de caractéristiques semblables dans les catalogues de temples gallo-romains dressés par P. D. HORNE et A. C. KING (1980), respectivement I. FAUDUET et P. ARCELIN (1993). Tant l'absence presque complète de restes architecturaux susceptibles d'être rapportés à l'édifice religieux que la nature somme toute modeste du vicus lémanique nous ont fait opter pour une variante minimaliste, se limitant finalement à la structure supportant la gigantomachie devant un temple sans aucune décoration. Pour tenter de préciser les modalités de la transmission du thème des géants, nous envisagerons trois cheminements possibles : la tradition orale, la transmission littéraire et, enfin, la représentation iconographique, qu'il s'agisse de monuments, d'objets mobiliers ou même des quelques rares illustrations de textes antiques. Sauf indication contraire, les textes anciens sont cités dans les traductions des Belles-Lettres, des Sources chrétiennes ou de la Loeb Classical Library dont la liste figure à la page 161. La version française des textes dont aucune traduction n'était disponible est généralement due à François Mottas (traduction F.M.). Nous ne reportons les dates de naissance des auteurs ou des artistes mentionnés que lorsqu'elles sont utiles à la compréhension de notre exposé. En plus du rôle qu'ont pu jouer les oeuvres d'art disparues au cours des deux derniers millénaires, divers facteurs ont dû assurer la constitution et la mise au point d'un imaginaire de plus en plus élaboré des gigantomachies. La mémoire a certes sa part dans l'inspiration des artistes qui réalisèrent les sculptures de la cité lémanique; mais si un mythe ou le récit d'un événement peuvent s'être transmis de bouche à oreille au cours des siècles, certaines ressemblances dans l'attitude des personnages sont trop frappantes, même en tenant compte de ces gestes qu'il n'existe qu'une seule façon de représenter: il n'est dès lors pas possible d'imaginer que la transmission des détails des scènes se serait pratiquée uniquement par voie orale. Si le voyage touristique; tel que nous l'entendons de nos jours, n'a pas existé, les personnes susceptibles d'avoir ramené des informations de leurs déplacements à travers l'Empire sont plus nombreuses qu'on ne le croirait au premier abord. Fonctionnaires allant prendre leur charge ou en mission dans une contrée voisine; soldats, parmi lesquels des mercenaires gaulois; pèlerins ayant visité de grands sanctuaires, comme celui d'Esculape à Pergame, emplacement de la gigantomachie la plus impressionnante, ou d'autres lieux de culte; jeunes fortunés ayant étudié à Athènes; commerçants accompagnés par des muletiers ou des portefaix acheminant leurs marchandises; membres de corporations ou artisans exerçant des métiers itinérants; esclaves, dont l'exportation devait représenter une source de revenus intéressante pour les commerçants romains; en dernier lieu, sans parler des artistes eux-mêmes, ces arpenteurs-géomètres chargés de toutes sortes de relevés qui accompagnaient les empereurs lors de leurs déplacements (infra, p. 36). Il faudra cependant rester prudent quant à l'affirmation d'une connaissance visuelle directe que les sculpteurs de Lousonna auraient eue des réalisations antiques avec lesquelles nous mettrons la gigantomachie en parallèle. Même si elle n'a toujours pas pu être prouvée, la circulation de cahiers de modèles semble bel et bien assurée: dans un atelier, les maîtres ont forcément passé leurs croquis à leurs successeurs et ceci s'est peut-être répété pour plusieurs générations d'artisans. Sans parler des monnaies, d'autres moyens de transmission peuvent encore être mentionnés : éventuelles éditions illustrées de textes antiques, motifs gravés sur des gemmes ou représentés sur des récipients décorés... Une observation s'impose ici : la plupart des monuments que nous utiliserons pour notre reconstitution existaient encore lors de l'érection de notre gigantomachie. Une fois les bas-reliefs de Lousonna reconstitués, restait donc à combler l'absence de toute étude sur la survie de la gigantomachie à travers les âges et à préciser l'emploi qui en serait fait à la Renaissance. Divers recueils d'ouvrages consacrés à la mythologie et remontant à cette période nous ont permis de décrire les modalités de la reprise du récit de la guerre des géants; en l'absence de toute synthèse sur ceux-ci dans la peinture de la Renaissance, c'est en partant de l'examen des nombreux travaux consacrés au Palazzo del Te à Mantoue que nous avons pu établir un lien entre les représentations de géants peintes durant la première moitié du 16ème siècle, au cours duquel la gigantomachie était redevenue un sujet d'actualité. Le monument de la bourgade lémanique comporte encore neuf personnages et constitue, avec celui d'Yzeures-sur-Creuse, l'exemplaire le plus complet découvert dans la partie occidentale de l'Empire romain : il méritait bien d'être à l'origine d'une telle démarche.
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Variante(s) de titre : Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques. Antiquité, archéologie classique
L'Arioste et la poésie chevaleresque à Ferrare au début du XVIe siècle (2e éd.) / par Henri Hauvette
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Collection : Bibliothèque littéraire de la Renaissance ; 16
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Cet ouvrage est dédié à Louise de Savoie, régente de 1524 à 1526, pendant l'absence de François Ier, prisonnier en Espagne, à la suite de la bataille de Pavie. Premiers mots de la dédicace : « Madame, considerant que sçavoir est le plus grant tresor que l'homme puisse en ce monde acquerir, j'ay consummé mes biens et ma jeunesse en son service, cuydant par son moyen trouver vostre grace et faire tourner voz yeulx de pitié et de clemence vers moy, ce que toutes fois ne m'est encores advenu, dont je puis bien dire ce qui est escript en Hieremie... ». (Fol. 1-2). Le récit des gestes de la reine Blanche, mère de saint Louis, laquelle fut régente pendant la minorité de son fils et pendant sa première croisade, commence (fol. 2), après la dédicace, par : « Madame. Le roy Loys, septiesme de ce nom, dit Léon,... » et finit (fol. 21 v°) par : «... et en l'autre, victoire et triumphe de leurs ennemys ». Le verso du feuillet A préliminaire est occupé par une miniature à pleine page qui représente Louise de Savoie tenant à deux mains un gouvernail dans un bassin de marbre rempli d'eau. Etienne Leblanc est étendu tout babillé de velours noir, la tête enveloppée, sur un matelas, comme un malade, aux pieds de la régente. La régente en habits de veuve, deux ailes d'anges sortant des épaules, est assise sous un dais d'étoffe verte au fronton duquel on lit en lettres d'or : « Insignis pietate ». Cette scène se passe dans une sorte de loggia d'un palais de la Renaissance. Entre les colonnes de marbre rouge de cette loggia on aperçoit une campagne verdoyante que parcourt une rivière aux contours sinueux, coulant au pied de rochers surmontés d'un château fort dont les abords escarpés sont défendus par des tours, le tout encadré dans un portique d'or, au-dessus duquel on lit sur deux cartouches de marbre noir, aux bords de cuivre doré, les mots gravés en lettres d'or : « Dic tamen verbo » (premier cartouche) « et sanabitur » (second cartouche). Le feuillet 1 r°, qui forme la première page de la dédicace, porte en haut, sur un cartouche de même facture : « Ipsa dixit et facta sunt », et aubas, sur une banderole : « Si qua fata sinant » en lettres d'or. Ledit feuillet verso porte inscrit sur un semblable cartouche la devise '@@ et au bas une banderole où est écrit en caractères bleus : « Si qua fata sinant ». Le feuillet 2 r° porte dans la marge supérieure, sur un cartouche de même facture, la traduction en latin de la devise grecque ci-dessus décrite : « Saturnus veritatis parens », et au bas en caractères d'or : « Si qua fata sinant ». Les mêmes cartouches et banderoles se retrouvent de verso en verso et de recto en recto sur les feuillets qui suivent. Le verso du dernier feuillet porte au bas, au lieu d'une banderole, un car touche avec la devise : « Fata viam inveniant ». Miniature. Lettres ornées. Encadrement. Reliure : couverture en soie noire avec broderie représentant sur le plat supérieur un cerf aux abois abordant à un bassin rempli d'eau, ce qui rappelle le verset : « Sicut cervus ad fontes aquarum », et de l'autre côté du bassin un chevalier, un genou en terre devant Louise de Savoie, qui semble. lui accorder la grâce qu'il demande. L'autre plat représente un oiseau (un rossignol ?) sur une branche de laurier.
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Contient : I, livre 1太上感應經Tai shang gan ying jing.Le Tai shang gan ying pian ; II, livre 1感應經解Gan ying jing jie.Le Tai shang gan ying pian, texte et commentaires ; III, livre 1玄天上帝金科玉律Xuan tian shang di jin ke yu lü.Lois de l'Empereur céleste ; IV, livre 1明袁了凡先生力行功過格Ming yuan liao fan xian sheng li xing gong ge ge.Échelle des mérites et des péchés, de Yuan Liao fan, de la dynastie des Ming ; V, livre 1明袁了凡先生四訓 。立命之學Ming yuan liao fan xian sheng si xun. Li ming zhi xue ; VI, livre 1積善之方Ji shan zhi fang ; VII, livre 1改過之法Gai ge zhi fa ; VIII, livre 1謙德之效Qian de zhi xiao ; IX, livre 1準提王菩薩神咒Zhun ti wang pu sa shen zhou.Invocation du bodhisattva roi Caṇḍī ; X, livre 1千手千眼觀世音菩薩廣大圓滿無礙大悲神咒Qian shou qian yan guan shi yin pu sa guang da yuan man Wu ai da bei shen zhou.Sahasrabāhu saharākṣa avalokiteēvara bodhisattva mahāpūrṇāpratihata mahākāruṇikahṛdaya dhāraṇī sūtra ; XI, livre 1拔一切業障根本得生淨土陀羅尼Ba yi qie ye zhang gen ben de sheng jing tu tuo luo ni. Autre titre : 往生咒Wang sheng zhou.Dhāraṇī de la renaissance en Sukhāvatī ; XII, livre 1摩訶般若波羅蜜多心經Mo he ban ruo bai luo mi duo xin jing.Mahāprajn̄āpāramitā hṛdaya sūtra ; XIII, livre 2文昌孝經Wen chang xiao jing.Livre sacré de la piété filiale, par le dieu de la Littérature ; XIV, livre 2太上消劫梓潼本願眞經Tai shang xiao jie zi tong ben yuan zhen jing.Le vrai livre sacré des vœux du dieu de la Littérature ; XV, livre 2就劫寶經Jiu jie bao jing ; XVI, livre 2文昌應化張仙大眞人說注生延嗣妙應眞經Wen chang ying hua zhang xian da zhen ren shuo zhu sheng yan si miao ying zhen jing.Le vrai livre sacré de l'obtention, par grâce divine, de la longévité et de la postérité ; XVII, livre 2文昌帝君陰隲文Wen chang di jun yin zhi wen ; XVIII, livre3關聖帝君降筆忠義眞經Guan sheng di jun jiang bi zhong yi zhen jing. Autre titre : 關聖帝君感應忠義神武眞經Guan sheng di jun gan ying zhong yi shen Wu zhen jing.Livre sacré de la fidélité, révélé par le dieu de la Guerre ; XIX, livre 3關聖覺世經Guan sheng jue shi jing ; XX, livre 3謨訓Mu xun.Instructions ; XXI, livre 3降鸞寶訓Jiang luan bao xun.Précieuses instructions révélées ; XXII, livre 3關夫子筆帖九則Guan fu zi bi tie jiu ze.Neuf règles dictées par le dieu de la Guerre ; XXIII, livre 3關聖帝君封號Guan sheng di jun feng hao.Titres du dieu de la Guerre ; XXIV, livre 3關聖譜敘 。再敘 。世系宗圖Guan sheng pu xu. Zai xu. Shi xi zong tu.Table généalogique du dieu de la Guerre, avec deux préfaces ; XXV, livre 3關聖帝君世家Guan sheng di jun shi jia.Annales de la famille du dieu de la Guerre ; XXVI, livre 3關聖帝君實錄Guan sheng di jun shi lu.Vie du dieu de la Guerre ; XXVII, livre 3關聖帝君感應神武傳Guan sheng di jun gan ying shen Wu zhuan.Histoire des miracles du dieu de la Guerre ; XXVIII, livre 4玉歷鈔傳警世Yu li chao chuan jing shi. Sous titre : 玉帝慈恩纂載通行世間男婦改悔前非准贖罪惡玉歴Yu di ci 'en zuan zai tong xing shi jian nan fu gai hui qian fei zhun shu zui e yu li.Exemples de châtiment et de rachat des châtiments par le repentir ; XXIX, livre 4謹集增勸敬信懺悔Jin ji zeng quan jing xin chan hui.Conseils de repentir ; XXX, livre 4鈔傳玉歴超度亡母夢驗Chao chuan yu li chao du wang mu mong yan.Songe au sujet d'une mère défunte ; XXXI, livre 4玉歴鈔傳敬信福報求已堂李氏謹集Yu li chao chuan jing xin fu bao qiu yi tang li shi jin ji.Exemples de rétribution rapportés par Li, de la salle Qiu yi ; XXXII, livre 5廣生延壽錄Guang sheng yan shou lu.Recueil relatif à la vie et à la longévité ; XXXIII, livre 5遵訓自敘Zun xun zi xu.Préface de l'auteur pour l'Observation des instructions ; XXXIV, livre 5禮佛日期Li fo ri qi.Dates des fêtes du Bouddha ; XXXV, livre 5聖神寶誕日期Sheng shen bao dan ri qi.Dates des fêtes anniversaires de naissance des divinités taoïstes ; XXXVI, livre 5救苦感應膏 。丹方Jiu ku gan ying gao. Dan fang.Formules de remèdes
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Ancien possesseur : Gilles, Albert (1873-1959)