957 resultados para Leukemia, Myelogenous, Chronic, BCR-ABL Positive -- genetics


Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

La leucémie lymphoblastique aiguë des cellules Pré-B (B-ALL) reste le type de cancer le plus souvent diagnostiqué chez les enfants. Des études ont montré que des déterminants génétiques jouent un rôle important dans la susceptibilité/résistance au développement de ce cancer. À cet égard, les gènes Killer-cell Immunoglobulin-like Receptor (KIR) sont d'une importance particulière. Ces gènes sont fortement polymorphiques et codent pour des récepteurs qui contrôlent l’activité fonctionnelle des cellules Natural Killer (NK). Notre hypothèse est que les gènes activateurs des KIR s’associent avec la résistance innée pour développer la B-ALL. Afin d'évaluer cette hypothèse, nous avons entrepris une étude de cas-contrôles chez des enfants canadiens-français dans laquelle nous avons utilisé l'ADN génomique de 100 patients atteints de B-ALL ainsi que l’ADN de 245 individus sains. La présence ou l'absence de chaque gène KIR a été détectée par PCR en utilisant des amorces de séquences spécifiques. Nous avons trouvé que la présence des gènes KIR activateurs est significativement diminuée chez les enfants leucémiques par rapport aux témoins. En outre, le nombre de ces gènes a aussi montré une association significative linéaire avec la résistance au développement d’une B-ALL. Cela suggère des effets additifs de ces gènes permettant de conférer une protection contre ce cancer. Ces résultats pourraient être utiles afin de déceler de façon précoce les enfants ayant un risque de développer cette leucémie. Enfin, des stratégies thérapeutiques basées sur les récepteurs KIR pourraient être envisagées et s'avérer utiles concernant le traitement de ce cancer chez les enfants.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

La leucémie lymphoblastique aigüe (LLA) est une maladie génétique complexe. Malgré que cette maladie hématologique soit le cancer pédiatrique le plus fréquent, ses causes demeurent inconnues. Des études antérieures ont démontrées que le risque à la LLA chez l’enfant pourrait être influencé par des gènes agissant dans le métabolisme des xénobiotiques, dans le maintient de l’intégrité génomique et dans la réponse au stress oxydatif, ainsi que par des facteurs environnementaux. Au cours de mes études doctorales, j’ai tenté de disséquer davantage les bases génétiques de la LLA de l’enfant en postulant que la susceptibilité à cette maladie serait modulée, au moins en partie, par des variants génétiques agissant dans deux voies biologiques fondamentales : le point de contrôle G1/S du cycle cellulaire et la réparation des cassures double-brin de l’ADN. En utilisant une approche unique reposant sur l’analyse d’une cohorte cas-contrôles jumelée à une cohorte de trios enfants-parents, j’ai effectué une étude d’association de type gènes/voies biologiques candidats. Ainsi, j’ai évaluer le rôle de variants provenant de la séquence promotrice de 12 gènes du cycle cellulaire et de 7 gènes de la voie de réparation de l’ADN, dans la susceptibilité à la LLA. De tels polymorphismes dans la région promotrice (pSNPs) pourraient perturber la liaison de facteurs de transcription et mener à des différences dans les niveaux d’expression des gènes pouvant influencer le risque à la maladie. En combinant différentes méthodes analytiques, j’ai évalué le rôle de différents mécanismes génétiques dans le développement de la LLA chez l’enfant. J’ai tout d’abord étudié les associations avec gènes/variants indépendants, et des essaies fonctionnels ont été effectués afin d’évaluer l’impact des pSNPs sur la liaison de facteurs de transcription et l’activité promotrice allèle-spécifique. Ces analyses ont mené à quatre publications. Il est peu probable que ces gènes de susceptibilité agissent seuls; j’ai donc utilisé une approche intégrative afin d’explorer la possibilité que plusieurs variants d’une même voie biologique ou de voies connexes puissent moduler le risque de la maladie; ces travaux ont été soumis pour publication. En outre, le développement précoce de la LLA, voir même in utero, suggère que les parents, et plus particulièrement la mère, pourraient jouer un rôle important dans le développement de cette maladie chez l’enfant. Dans une étude par simulations, j’ai évalué la performance des méthodes d’analyse existantes de détecter des effets fœto-maternels sous un design hybride trios/cas-contrôles. J’ai également investigué l’impact des effets génétiques agissant via la mère sur la susceptibilité à la LLA. Cette étude, récemment publiée, fût la première à démontrer que le risque de la leucémie chez l’enfant peut être modulé par le génotype de sa mère. En conclusions, mes études doctorales ont permis d’identifier des nouveaux gènes de susceptibilité pour la LLA pédiatrique et de mettre en évidence le rôle du cycle cellulaire et de la voie de la réparation de l’ADN dans la leucémogenèse. À terme, ces travaux permettront de mieux comprendre les bases génétiques de la LLA, et conduiront au développement d’outils cliniques qui amélioreront la détection, le diagnostique et le traitement de la leucémie chez l’enfant.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

La leucémie aiguë myéloïde est une hémopathie maligne génétiquement hétérogène caractérisée par de fréquents réarrangements impliquant la bande chromosomique 21q22 et le gène RUNX1. Dans ce groupe d’anomalies, les translocations t(8;21)(q22;q22) et t(3;21)(q26;q22), associées respectivement à un pronostic favorable et défavorable, sont les mieux étudiées. Or, plus de la moitié des réarrangements ciblant RUNX1 ne sont toujours pas caractérisés au niveau clinique et moléculaire. Les principaux objectifs de cette thèse sont de caractériser quatre nouvelles translocations ciblant RUNX1 et d’étudier la dérégulation transcriptionnelle associée à ces anomalies au niveau de cibles plus spécifiques ayant un rôle dans l’auto-renouvellement ou dans la différenciation hématopoïétique. À l’aide des techniques de cytogénétique et de biologie moléculaire, deux nouveaux partenaires de RUNX1, soit CLCA2 et SV2B, ont été identifiés au sein des t(1;21)(p22.3;q22) et t(15;21)(q26.1;q22) et la récurrence des partenaires USP42 et TRPS1 a été démontrée suite à l’étude des t(7;21)(p22.1;q22) et t(8;21)(q23.3;q22). Ce travail a permis de confirmer l’existence de divers modes de dérégulation de RUNX1 dans les leucémies aiguës. L’expression présumée de protéines chimériques et/ou d’isoformes tronquées de RUNX1, un dosage aberrant des transcrits de RUNX1 et la surexpression des gènes partenaires sont des conséquences révélées par l’étude de ces fusions. Le séquençage et l’analyse des jonctions génomiques des fusions récurrentes RUNX1-USP42/USP42-RUNX1 et RUNX1-TRPS1/TRPS1-RUNX1 ont démontré la présence de signatures moléculaires caractéristiques du mode de recombinaison non-homologue de type NHEJ. En raison de la structure et de la composition différente des jonctions, l’implication de composantes distinctes du mécanisme NHEJ a été proposée. Enfin, des analyses par PCR quantitative en temps réel nous ont permis de démontrer l’existence de cibles de dérégulation partagées par les fusions récurrentes et plus rares de RUNX1. Nous avons démontré que CEBPA est moins exprimé dans la majorité des spécimens étudiés présentant une fusion de RUNX1 par rapport aux spécimens avec un caryotype normal alors que JUP, une composante effectrice de la voie Wnt, est plutôt surexprimé. Malgré l’activation transcriptionnelle de JUP dans l’ensemble de ces spécimens, certaines cibles de la voie Wnt telles que CCND1 et MYC sont différemment exprimées dans ces cellules, appuyant l’hétérogénéité décrite dans ce groupe de leucémies. Malgré l’implication de partenaires variés, nos données d’expression démontrent que les chimères et les protéines tronquées de RUNX1 partagent des cibles communes d’activation et de répression transcriptionnelle et établissent, pour la première fois, des évidences moléculaires suggérant l’existence de similitudes entre la fusion récurrente RUNX1-RUNX1T1 et quatre fusions plus rares de RUNX1. Puisque des rechutes surviennent fréquemment dans ce groupe génétique, l’inhibition de JUP pourrait être une option thérapeutique intéressante et ceci est appuyé par les bénéfices observés lors de l’inhibition de la voie Wnt dans d’autres groupes génétiques de leucémies aiguës.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est le cancer pédiatrique le plus fréquent. Elle est la cause principale de mortalité liée au cancer chez les enfants due à un groupe de patient ne répondant pas au traitement. Les patients peuvent aussi souffrir de plusieurs toxicités associées à un traitement intensif de chimiothérapie. Les études en pharmacogénétique de notre groupe ont montré une corrélation tant individuelle que combinée entre les variants génétiques particuliers d’enzymes dépendantes du folate, particulièrement la dihydrofolate réductase (DHFR) ainsi que la thymidylate synthase (TS), principales cibles du méthotrexate (MTX) et le risque élevé de rechute chez les patients atteints de la LAL. En outre, des variations dans le gène ATF5 impliqué dans la régulation de l’asparagine synthetase (ASNS) sont associées à un risque plus élevé de rechute ou à une toxicité ASNase dépendante chez les patients ayant reçu de l’asparaginase d’E.coli (ASNase). Le but principal de mon projet de thèse est de comprendre davantage d’un point de vue fonctionnel, le rôle de variations génétiques dans la réponse thérapeutique chez les patients atteints de la LAL, en se concentrant sur deux composants majeurs du traitement de la LAL soit le MTX ainsi que l’ASNase. Mon objectif spécifique était d’analyser une association trouvée dans des paramètres cliniques par le biais d’essais de prolifération cellulaire de lignées cellulaires lymphoblastoïdes (LCLs, n=93) et d’un modèle murin de xénogreffe de la LAL. Une variation génétique dans le polymorphisme TS (homozygosité de l’allèle de la répétition triple 3R) ainsi que l’haplotype *1b de DHFR (défini par une combinaison particulière d’allèle dérivé de six sites polymorphiques dans le promoteur majeur et mineur de DHFR) et de leurs effets sur la sensibilité au MTX ont été évalués par le biais d’essais de prolifération cellulaire. Des essais in vitro similaires sur la réponse à l’ASNase de E. Coli ont permis d’évaluer l’effet de la variation T1562C de la région 5’UTR de ATF5 ainsi que des haplotypes particuliers du gène ASNS (définis par deux variations génétiques et arbitrairement appelés haplotype *1). Le modèle murin de xénogreffe ont été utilisé pour évaluer l’effet du génotype 3R3R du gène TS. L’analyse de polymorphismes additionnels dans le gène ASNS a révélé une diversification de l’haplotype *1 en 5 sous-types définis par deux polymorphismes (rs10486009 et rs6971012,) et corrélé avec la sensibilité in vitro à l’ASNase et l’un d’eux (rs10486009) semble particulièrement important dans la réduction de la sensibilité in vitro à l’ASNase, pouvant expliquer une sensibilité réduite de l’haplotype *1 dans des paramètres cliniques. Aucune association entre ATF5 T1562C et des essais de prolifération cellulaire en réponse à ASNase de E.Coli n’a été détectée. Nous n’avons pas détecté une association liée au génotype lors d’analyse in vitro de sensibilité au MTX. Par contre, des résultats in vivo issus de modèle murin de xénogreffe ont montré une relation entre le génotype TS 3R/3R et la résistance de manière dose-dépendante au traitement par MTX. Les résultats obtenus ont permis de fournir une explication concernant un haut risque significatif de rechute rencontré chez les patients au génotype TS 3R/3R et suggèrent que ces patients pourraient recevoir une augmentation de leur dose de MTX. À travers ces expériences, nous avons aussi démontré que les modèles murins de xénogreffe peuvent servir comme outil préclinique afin d’explorer l’option d’un traitement individualisé. En conclusion, la connaissance acquise à travers mon projet de thèse a permis de confirmer et/ou d’identifier quelques variants dans la voix d’action du MTX et de l’ASNase qui pourraient faciliter la mise en place de stratégies d’individualisation de la dose, permettant la sélection d’un traitement optimum ou moduler la thérapie basé sur la génétique individuelle.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Objetivos: Determinar la prevalencia y los factores asociados con el desarrollo de hipotiroidismo autoinmune (HA) en una cohorte de pacientes con lupus eritematoso sistémico (LES), y analizar la información actual en cuanto a la prevalencia e impacto de la enfermedad tiroidea autoinmune y la autoinmunidad tiroidea en pacientes con LES. Métodos: Este fue un estudio realizado en dos pasos. Primero, un total de 376 pacientes con LES fueron evaluados sistemáticamente por la presencia de: 1) HA confirmado, 2) positividad para anticuerpos tiroperoxidasa/tiroglobulina (TPOAb/TgAb) sin hipotiroidismo, 3) hipotiroidismo no autoinmune, y 4) pacientes con LES sin hipotiroidismo ni positividad para TPOAb/TgAb. Se construyeron modelos multivariados y árboles de regresión y clasificación para analizar los datos. Segundo, la información actual fue evaluada a través de una revisión sistemática de la literatura (RLS). Se siguieron las guías PRISMA para la búsqueda en las bases de datos PubMed, Scopus, SciELO y Librería Virtual en Salud. Resultados: En nuestra cohorte, la prevalencia de HA confirmado fue de 12% (Grupo 1). Sin embargo, la frecuencia de positividad para TPOAb y TgAb fue de 21% y 10%, respectivamente (Grupo 2). Los pacientes con LES sin HA, hipotiroidismo no autoinmune ni positividad para TPOAb/TgAb constituyeron el 40% de la corhorte. Los pacientes con HA confirmada fueron estadísticamente significativo de mayor edad y tuvieron un inicio tardío de la enfermedad. El tabaquismo (ORA 6.93, IC 95% 1.98-28.54, p= 0.004), la presencia de Síndrome de Sjögren (SS) (ORA 23.2, IC 95% 1.89-359.53, p= 0.015) y la positividad para anticuerpos anti-péptido cíclico citrulinado (anti-CCP) (ORA 10.35, IC 95% 1.04-121.26, p= 0.047) se asociaron con la coexistencia de LES-HA, ajustado por género y duración de la enfermedad. El tabaquismo y el SS fueron confirmados como factores predictivos para LES-HA (AUC del modelo CART = 0.72). En la RSL, la prevalencia de ETA en LES varío entre 1% al 60%. Los factores asociados con esta poliautoinmunidad fueron el género femenino, edad avanzada, tabaquismo, positividad para algunos anticuerpos, SS y el compromiso articular y cutáneo. Conclusiones: La ETA es frecuente en pacientes con LES, y no afecta la severidad del LES. Los factores de riesgo identificados ayudarán a los clínicos en la búsqueda de ETA. Nuestros resultados deben estimular políticas para la suspensión del tabaquismo en pacientes con LES.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Introducción: La Enfermedad de Fabry (EF), es una enfermedad multisistémica de almacenamiento lisosomal ligada al cromosoma X que afecta principalmente a hombres, pero también puede causar significativa morbilidad en las mujeres heterocigotas (1–5). La deficiencia de la enzyma α-galactosidaseA (α-Gal A,) provoca acumulación de glicosfingolipidos que afectan diferentes tipos celulares entre ellos el endotelio vascular en vasos de pequeño calibre, células epiteliales y Músculo liso en el sistema cardiovascular (cardiomiocitos), sistema nervioso y células epiteliales tubulares del riñón (6,7). Complicaciones como la falla renal es la causa de muerte más frecuente en la EF (7,8). La incidencia se ha calculado en 1 de cada 117.000 nacidos vivos. (9). Objetivos: Determinar la prevalencia de la Enfermedad de Fabry en pacientes con Insuficiencia renal terminal que se encuentren en lista de trasplante y Post-trasplante Renal en Fundación Cardioinfantil Bogotá. Materiales y Métodos: Se realizó un estudio observacional en donde se evaluó la prevalencia de la EF en todos los sujetos mayores de 18 años que se encuentren en lista de trasplante y post-trasplante renal. Resultados: La prevalencia de Enfermedad de Fabry en 98 pacientes con enfermedad renal crónica fue de 7.1% para la muestra general y 12.9% para la muestra con etiología idiopática Conclusiones: La Enfermedad de Fabry es una importante casusa de Enfermedad Renal Crónica Terminal principalmente en el grupo de etiología idiopática. Palabras Clave: Enfermedad de Fabry (FA)

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Introducción: La mastitis granulomatosa idiopática es una enfermedad crónica benigna, rara y de etiología desconocida; tiende a confundirse con otras enfermedades debido a síntomas similares. Este estudio pretende identificar y cuantificar las características demográficas, los antecedentes ginecoobstétricos relevantes y las manifestaciones clínicas prediagnósticas de esta enfermedad Metodología: Se realizó una revisión sistemática con análisis agrupado de datos tipo meta análisis. Se utilizó una estrategia de búsqueda en PubMed. Todos los estudios relacionados con la definición, manifestaciones clínicas, diagnóstico, tratamiento y pronóstico de la mastitis granulomatosa idiopática fueron elegibles. Las variables de interés fueron edad, país, antecedente de contracepción hormonal, tiempo de evolución, tiempo desde el último embarazo, diagnóstico inicial, y manifestaciones clínicas previas a la consulta. No hubo restricción en fechas de publicación. Resultados: Fueron incluidas 641 mujeres con diagnóstico de MGI reportadas en 68 publicaciones que cumplieron los criterios de selección. La edad media fue 35.9 años, 14.1% de ellas estaba embarazada o lactando, el antecedente de consumo de anticonceptivos hormonales fue 21% y el tiempo promedio desde el último parto fue de 3.9 años. La afectación ocurre principalmente en mama izquierda y en cuadrante superoexterno. El cáncer de mama y el absceso mamario son diagnósticos diferenciales en la consulta. Discusión: El diagnóstico de MGI es un reto para el ginecólogo desde la consulta inicial. Debido a que sus manifestaciones clínicas no son específicas, su diagnóstico parece apuntar a la necesidad de un proceso de descarte de otras patologías más frecuentes e incluso de peor pronóstico. Palabras clave mastitis granulomatosa idiopática

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Inferring population admixture from genetic data and quantifying it is a difficult but crucial task in evolutionary and conservation biology. Unfortunately state-of-the-art probabilistic approaches are computationally demanding. Effectively exploiting the computational power of modern multiprocessor systems can thus have a positive impact to Monte Carlo-based simulation of admixture modeling. A novel parallel approach is briefly described and promising results on its message passing interface (MPI)-based C implementation are reported.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

In recent years there has been a rapid growth of interest in exploring the relationship between nutritional therapies and the maintenance of cognitive function in adulthood. Emerging evidence reveals an increasingly complex picture with respect to the benefits of various food constituents on learning, memory and psychomotor function in adults. However, to date, there has been little consensus in human studies on the range of cognitive domains to be tested or the particular tests to be employed. To illustrate the potential difficulties that this poses, we conducted a systematic review of existing human adult randomised controlled trial (RCT) studies that have investigated the effects of 24 d to 36 months of supplementation with flavonoids and micronutrients on cognitive performance. There were thirty-nine studies employing a total of 121 different cognitive tasks that met the criteria for inclusion. Results showed that less than half of these studies reported positive effects of treatment, with some important cognitive domains either under-represented or not explored at all. Although there was some evidence of sensitivity to nutritional supplementation in a number of domains (for example, executive function, spatial working memory), interpretation is currently difficult given the prevailing 'scattergun approach' for selecting cognitive tests. Specifically, the practice means that it is often difficult to distinguish between a boundary condition for a particular nutrient and a lack of task sensitivity. We argue that for significant future progress to be made, researchers need to pay much closer attention to existing human RCT and animal data, as well as to more basic issues surrounding task sensitivity, statistical power and type I error.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Background. With diffusion-tensor imaging (DTi) it is possible to estimate the structural characteristics of fiber bundles in vivo. This study used DTi to infer damage to the corticospinal tract (CST) and relates this parameter to (a) the level of residual motor ability at least 1 year poststroke and (b) the outcome of intensive motor rehabilitation with constraint-induced movement therapy (CIMT). Objective. To explore the role of CST damage in recovery and CIMT efficacy. Methods. Ten patients with low-functioning hemiparesis were scanned and tested at baseline, before and after CIMT. Lesion overlap with the CST was indexed as reduced anisotropy compared with a CST variability map derived from 26 controls. Residual motor ability was measured through the Wolf Motor Function Test (WMFT) and the Motor Activity Log (MAL) acquired at baseline. CIMT benefit was assessed through the pre—post treatment comparison of WMFT and MAL performance. Results. Lesion overlap with the CST correlated with residual motor ability at baseline, with greater deficits observed in patients with more extended CST damage. Infarct volume showed no systematic association with residual motor ability. CIMT led to significant improvements in motor function but outcome was not associated with the extent of CST damage or infarct volume. Conclusion. The study gives in vivo support for the proposition that structural CST damage, not infarct volume, is a major predictor for residual functional ability in the chronic state. The results provide initial evidence for positive effects of CIMT in patients with varying, including more severe, CST damage.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Genes play an important role in the development of diabetes mellitus. Putative susceptibility genes could be the key to the development of diabetes. Type 1 diabetes mellitus is one of the most common chronic diseases of childhood. A combination of genetic and environmental factors is most likely the cause of Type 1 diabetes. The pathogenetic sequence leading to the selective autoimmune destruction of islet beta-cells and development of Type 1 diabetes involves genetic factors, environmental factors, immune regulation and chemical mediators. Unlike Type 1 diabetes mellitus, Type 2 diabetes is often considered a polygenic disorder with multiple genes located on different chromosomes being associated with this condition. This is further complicated by numerous environmental factors which also contribute to the clinical manifestation of the disorder in genetically predisposed persons. Only a minority of cases of type 2 diabetes are caused by single gene defects such as maturity onset diabetes of the young (MODY), syndrome of insulin resistance (insulin receptor defect) and maternally inherited diabetes and deafness (mitochondrial gene defect). Although Type 2 diabetes mellitus appears in almost epidemic proportions our knowledge of the mechanism of this disease is limited. More information about insulin secretion and action and the genetic variability of the various factors involved will contribute to better understanding and classification of this group of diseases. This article discusses the results of various genetic studies on diabetes with special reference to Indian population.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

The endocannabinoid system (ECS) was only 'discovered' in the 1990s. Since then, many new ligands have been identified, as well as many new intracellular targets--ranging from the PPARs, to mitochondria, to lipid rafts. It was thought that blocking the CB-1 receptor might reverse obesity and the metabolic syndrome. This was based on the idea that the ECS was dysfunctional in these conditions. This has met with limited success. The reason may be that the ECS is a homeostatic system, which integrates energy seeking and storage behaviour with resistance to oxidative stress. It could be viewed as having thrifty actions. Thriftiness is an innate property of life, which is programmed to a set point by both environment and genetics, resulting in an epigenotype perfectly adapted to its environment. This thrifty set point can be modulated by hormetic stimuli, such as exercise, cold and plant micronutrients. We have proposed that the physiological and protective insulin resistance that underlies thriftiness encapsulates something called 'redox thriftiness', whereby insulin resistance is determined by the ability to resist oxidative stress. Modern man has removed most hormetic stimuli and replaced them with a calorific sedentary lifestyle, leading to increased risk of metabolic inflexibility. We suggest that there is a tipping point where lipotoxicity in adipose and hepatic cells induces mild inflammation, which switches thrifty insulin resistance to inflammation-driven insulin resistance. To understand this, we propose that the metabolic syndrome could be seen from the viewpoint of the ECS, the mitochondrion and the FOXO group of transcription factors. FOXO has many thrifty actions, including increasing insulin resistance and appetite, suppressing oxidative stress and shifting the organism towards using fatty acids. In concert with factors such as PGC-1, they also modify mitochondrial function and biogenesis. Hence, the ECS and FOXO may interact at many points; one of which may be via intracellular redox signalling. As cannabinoids have been shown to modulate reactive oxygen species production, it is possible that they can upregulate anti-oxidant defences. This suggests they may have an 'endohormetic' signalling function. The tipping point into the metabolic syndrome may be the result of a chronic lack of hormetic stimuli (in particular, physical activity), and thus, stimulus for PGC-1, with a resultant reduction in mitochondrial function and a reduced lipid capacitance. This, in the context of a positive calorie environment, will result in increased visceral adipose tissue volume, abnormal ectopic fat content and systemic inflammation. This would worsen the inflammatory-driven pathological insulin resistance and inability to deal with lipids. The resultant oxidative stress may therefore drive a compensatory anti-oxidative response epitomised by the ECS and FOXO. Thus, although blocking the ECS (e.g. via rimonabant) may induce temporary weight loss, it may compromise long-term stress resistance. Clues about how to modulate the system more safely are emerging from observations that some polyphenols, such as resveratrol and possibly, some phytocannabinoids, can modulate mitochondrial function and might improve resistance to a modern lifestyle.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Background. Oncologists are criticized for fostering unrealistic hope in patients and families, but criticisms reflect a perspective that is oversimplified and “expert” guidance that is ambiguous or impractical. Our aim was to understand how pediatric oncologists manage parents' hope in practice and to evaluate how they address parents' needs. Methods. Participants were 53 parents and 12 oncologists whom they consulted across six U.K. centers. We audio recorded consultations approximately 1–2, 6, and 12 months after diagnosis. Parents were interviewed after each consultation to elicit their perspectives on the consultation and clinical relationship. Transcripts of consultations and interviews were analyzed qualitatively. Results. Parents needed hope in order to function effectively in the face of despair, and all wanted the oncologists to help them be hopeful. Most parents focused hope on the short term. They therefore needed oncologists to be authoritative in taking responsibility for the child's long-term survival while cushioning parents from information about longer-term uncertainties and being positive in providing information about short-term progress. A few parents who could not fully trust their oncologist were unable to hope. Conclusion. Oncologists' pivotal role in sustaining hope was one that parents gave them. Most parents' “faith” in the oncologist allowed them to set aside, rather than deny, their fears about survival while investing their hopes in short-term milestones. Oncologists' behavior generally matched parents' needs, contradicting common criticisms of oncologists. Nevertheless, oncologists need to identify and address the difficulty that some parents have in fully trusting the oncologist and, consequently, being hopeful.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

This study investigated the effect of, and interactions between, contrasting crossbreed genetics (US Brown Swiss [BS] × Improved Braunvieh [BV] × Original Braunvieh [OB]) and feeding regimes (especially grazing intake and pasture type) on milk fatty acid (FA) profiles. Concentrations of total polyunsaturated FAs, total omega-3 FAs and trans palmitoleic, vaccenic, α-linolenic, eicosapentaenoic and docosapentaenoic acids were higher in cows with a low proportion of BS genetics. Highest concentrations of the nutritionally desirable FAs, trans palmitoleic, vaccenic and eicosapentaenoic acids were found for cows with a low proportion of BS genetics (0-24% and/or 25-49%) on high grazing intake (75-100% of dry matter intake) diets. Multivariate analysis indicated that the proportion of OB genetics is a positive driver for nutritionally desirable monounsaturated and polyunsaturated FAs while BS genetics proportion was positive driver for total and undesirable individual saturated FAs. Significant genetics × feeding regime interactions were also detected for a range of FAs.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To investigate the microbial etiology of suppurative chronic otitis media (SCOM) in patients with complete cleft lip and palate and isolated cleft palate and to determine the sensitivity of isolated microorganisms to antibiotics by drug diffusion from impregnated discs in agar and the minimum inhibitory concentration of each drug to these microorganisms by drug dilution in agar. Design/Patients: Effusion samples of SCOM obtained from 40 patients with cleft lip and palate registered at the Hospital for Rehabilitation of Craniofacial Anomalies, University of Sao Paulo, at Bauru, Brazil, were bacteriologically analyzed by cultures. The isolated bacteria were submitted to an in vitro susceptibility test to clinically used drugs. Results: Positive cultures were obtained in 100% of studied cases. Among the 57 strains observed, the most frequent were Pseudomonas aeruginosa (35%), Staphylococcus aureus (15.5%), Enterococcus faecalis (14%), and Proteus mirabilis (12%). The frequency of Gram-negative bacilli (enterobacteriaceae and nonfermentative bacilli) was 67%. Pseudomonas aeruginosa presented the highest sensitivity to ciprofloxacin, and enterobacteriaceae exhibited the highest sensitivity to gentamicin. The strains of S. aureus and E. faecalis presented the highest sensitivity to imipenem and sulfamethoxazole/trimethoprim, respectively. Conclusion: Patients with cleft lip and palate presenting with SCOM exhibited 100% positive cultures, with the highest frequency of Pseudomonas and enterobacteriaceae. With regard to the action of antibiotics, imipenem was effective against the four species of isolated microorganisms, followed by ciprofloxacin, which was effective against 75% of isolated species.