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PURPOSE: To investigate whether peroperative perfluorocarbon liquids (PFCL) improve the long term anatomical success of retinal detachment associated with severe proliferative vitreoretinopathy (PVR). PATIENTS AND METHODS: The charts of 62 successive patients operated on for retinal detachment associated with severe PVR were retrospectively analyzed. For one group of 39 patients PFCL were used intraoperatively to improve membrane dissection. The anatomical status of the two groups were compared one month after surgery and at least 6 months after silicone oil ablation. RESULTS: Anatomical success was observed in 84.6% in the group of patients operated with PFCL compared to 52% in the other group (P = 0.005). At the end of the follow up, anatomical success was observed in 64% of patients operated with PFCL compared to 61% in the control group (P = 0.8). However, recurrences were observed later in the group operated on with PFCL. CONCLUSION: Perfluorocarbons liquids significantly improve the initial reattachment of retinal detachment complicated with severe PVR, but they do not seem to improve their final anatomical status.
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La durée de psychose non traitée (Duration of Untreated Psychosis, DUP) est définie par le temps écoulé entre l'émergence d'un trouble psychotique et le début de son traitement. La réduction de la DUP est un des objectifs principaux des programmes spécialisés dans le traitement de la psychose émergente, de nombreux travaux de recherche suggérant qu'une DUP longue est associée à une évolution défavorable de la maladie. Ces résultats restent cependant controversés, certaines études ne démontrant pas une telle association. Cette contradiction dans les résultats pourrait être la conséquence d'un manque d'uniformité dans les définitions appliquées pour mesurer la DUP, plus particulièrement en ce qui concerne la définition de ce que l'on considère être « début » du traitement. En effet, si l'étude de la phase d'émergence de la pathologie psychotique a été le focus d'une attention considérable qui a conduit à un certain degré de consensus quant à sa définition, le concept de début du traitement n'est clairement pas défini de manière aussi homogène. Compte tenu de l'importance des enjeux relatifs à l'intervention précoce dans les troubles psychotiques, il nous a semblé utile d'explorer cette question de manière plus approfondie, considérant qu'un manque de consensus dans la définition de la DUP contribue certainement à troubler les résultats des études qui visent à évaluer son impact sur l'évolution de ces maladies. En conséquence, l'objectif premier de ce travail est d'explorer l'impact de l'application de diverses définitions de début de traitement sur l'estimation de la DUP. Dans un premier article, publié dans Acta Neuropsychiatrica en 2009 (Duration of untreated psychosis : What are we talking about ?), le focus a été placé sur une revue de littérature concernant les définitions utilisées pour caractériser la fin de la DUP ainsi que sur les conséquences possibles d'un manque de précision dans cette définition sur l'évaluation de l'impact d'un retard de traitement dans la psychose débutante. Ce travail nous a permis d'identifier trois groupes principaux de définition de fin de DUP (End of DUP ; E-DUP) parmi les multiples critères utilisés dans les études publiées. E-DUP-1 est définie par la mise en route d'un traitement antipsychotique, le plus souvent sans tenir compte ni du dosage prescrit, ni de l'adhérence au traitement. E-DUP-2 est définie par l'entrée dans un programme de traitement spécialisé, et E-DUP-3 enfin est définie par la conjonction de la prescription d'un traitement antipsychotique adapté, de l'adhérence à ce traitement, et de la mise en route d'une prise en charge dans un programme spécialisé. En conclusion, nous relevions que cette grande variété dans les définitions appliquées pour l'évaluation de la DUP avait probablement contribué à l'aspect contradictoire des résultats des études de son impact sur l'évolution des psychoses et qu'il était donc temps de proposer une définition de consensus. La deuxième étude a été conduite dans le cadre d'un suivi de cohorte mis en place dans le programme de Traitement et Intervention Précoce dans les troubles Psychotiques (TIPP) établi dans le Département de Psychiatrie du CHUV à Lausanne depuis 2004. Les objectifs de cette seconde étude étaient au nombre de trois: (1) Exploration des variations de la DUP en fonction de l'application de trois principales définitions de fin de DUP (E-DUP) identifiées dans la littérature ; (2) Evaluation de la proportion de patients remplissant au moins une fois au cours des 18 mois de traitement la définition de E-DUP la plus compatible avec les directives de traitement proposées par l'International Early Psychosis Association (patient est à la fois engagé dans le traitement et se montre compliant à la médication, E-DUP-3); (3) Enfin, identification desfacteurs qui caractérisent les patients qui ne remplissent jamais les critères de cette dernière définition. L'exploration de différentes durées de DUP en utilisant les trois définitions d'E-DUP a donné les résultats suivants : La DUP1 médiane (2.2 mois) était significativement plus courte que la DUP2 (7.4 mois), et la DUP3 (13.6 mois) était significativement la plus longue des trois. De plus, 19.7% des patients n'avaient jamais rempli les critères de E-DUP-3 ; on peut donc considérer que près de 20% des patients traités dans ce programme spécialisé ne recevaient pas un traitement adéquat selon les directives intrernationales actuellement reconnues. Sur la base de ces chiffres, il apparaît clairement que, dans les études de l'impact de la DUP sur l'évolution de la psychose débutante, bon nombre des patients pour lesquels on considère que la DUP est terminée ne sont en fait pas adéquatement traités. Il est en conséquence très probable que ceci ait faussé les résultats de ces études, et qu'une définition plus restrictive permettrait de répondre de manière plus précise à cette question. Les patients qui ne remplissaient pas les critères E-DUP3 au cours des 18 premiers mois de traitement étaient caractérisés par un moins bon niveau de fonctionnement au cours de leur vie (« lower lifetime SOFAS » ; p=0.017) et ils étaient plus susceptibles de consommer du cannabis à l'entrée du programme ???? (?2 (1, n=49)=4.241, p=0.039). Pour ceux qui avaient rempli les critères E-DUP-3 au cours des 18 mois, une longue DUP3 était associée avec un jeune âge au début des symptômes psychotiques (rs =-0.573, p<0.001), et avec un faible niveau de fonctionnement pré-morbide (score de PAS élevés (rs =0.373, p=0.001), niveau maximal au cours de la vie bas pour le GAF(rs =-0.367, p<0.001) et pour le SOFAS (rs =-0.314, p=0.003)). En conclusion, ce travail a permis de mettre en évidence une grande variabilité dans la définition de la fin de la DUP parmi les études publiées jusque à ce jour, et l'impact important que le choix d'une ou l'autre de ces définitions peut avoir sur l'estimation de la DUP. De plus, nous avons observé que malgré la mise en place d'un programme spécialisé, près de 20% des patients ne remplissent pas les critères d'exposition à un traitement adéquat au cours des 18 premiers mois de prise en charge. Il est donc probable que l'estimation de l'impact de la DUP ait été faussé par cette variabilité, et il semble important que la communauté scientifique s'accorde sur une définition plus rigoureuse de cette variable. Enfin, certaines caractéristiques permettent d'identifier les patients qui sont à risque de ne pas remplir les critères de traitement adéquat a cours des 18 premiers mois de prise en charge ; il est possible qu'une identification précoce de ceux-ci permette la mise en place de stratégies mieux adaptées pour les aider à s'engager dans les soins. Le futur développement de ce travail sera d'évaluer l'impact de la DUP sur l'évolution des patients au cours des 36 mois de traitement proposés dans le programme TIPP, en appliquant les divers critères E-DUP, afin de voir si notre hypothèse que la variation des définitions a effectivement faussé les résultats de telles études. Nous devons pour cela attendre qu'un nombre suffisant de patients ait complété les 36 mois de traitement, de manière à avoir une puissance statistique suffisante pour répondre clairement à cette question.
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Should we treat iron deficiency without anemia? The simple fact that the question can be formulated already leads to controversies. During the past years, the development of a new formulation of intravenous iron has helped fuel the controversy. What is the situation in 2012? This article gives a practical point of view on the actual situation and provides indications on the use of new intravenous medications.
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ABSTRACT: Excitotoxicity and cerebral ischemia induce strong endocytosis in neurons, and we here investigate its functional role in neuroprotection by a functional transactivator of transcription (TAT)-peptide, the c-Jun N-terminal kinase (JNK) inhibitor D-JNKI1, against NMDA-excitotoxicity in vitro and neonatal ischemic stroke in P12 Sprague-Dawley rats. In both situations, the neuroprotective efficacy of D-JNKI1 was confirmed, but excessively high doses were counterproductive. Importantly, the induced endocytosis was necessary for neuroprotection, which required that the TAT-peptide be administered at a time when induced endocytosis was occurring. Uptake by other routes failed to protect, and even promoted cell death at high doses. Blocking the induced endocytosis of D-JNKI1 with heparin or with an excess of D-TAT-peptide eliminated the neuroprotection. We conclude that excitotoxicity-induced endocytosis is a basic property of stressed neurons that can target neuroprotective TAT-peptides into the neurons that need protection. Furthermore, it is the main mediator of neuroprotection by D-JNKI1. This may explain promising reports of strong neuroprotection by TAT-peptides without apparent side effects, and warns that the timing of peptide administration is crucial.
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Référence bibliographique : Weigert, 80
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Pour connaître le devenir à long terme des patients intubés pour état de mal asthmatique, nous avons recontacté en 1990 les 34 patients qui avaient présenté, entre 1978 et 1988, quarante épisodes de détresse respiratoire aiguë. Deux patients sont vivants mais ont été perdus de vue, 3 sont morts dont un seul d'état de mal asthmatique 6 mois après l'épisode initial. Des 29 patients restants (7 hommes et 22 femmes, âge moyen de 48,5 ans) représentant un suivi moyen de 9,6 ans, quinze n'ont jamais été réhospitalisés; des 14 autres, seuls 5 ont requis une intubation et une ventilation mécanique lors d'un épiode ultérieur. La majorité des hospitalisations ultérieures (81%) sont survenues dans les 6 ans suivant l'épiode initial
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Acheté en mars 1819 à la vente de feu M. Lair; cf. Catalogue des livres rares et précieux du cabinet de feu M. Lair, Paris, 1819, 51 n° 486