830 resultados para ARCHITECTURAL PATRIMONY


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Plants compete with neighbouring vegetation for limited resources. In competition for light, plants adjust their architecture to bring the leaves higher in the vegetation where more light is available than in the lower strata. These architectural responses include accelerated elongation of the hypocotyl, internodes and petioles, upward leaf movement (hyponasty), and reduced shoot branching and are collectively referred to as the shade avoidance syndrome. This review discusses various cues that plants use to detect the presence and proximity of neighbouring competitors and respond to with the shade avoidance syndrome. These cues include light quality and quantity signals, mechanical stimulation, and plant-emitted volatile chemicals. We will outline current knowledge about each of these signals individually and discuss their possible interactions. In conclusion, we will make a case for a whole-plant, ecophysiology approach to identify the relative importance of the various neighbour detection cues and their possible interactions in determining plant performance during competition.

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Référence bibliographique : Weigert, 353

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The Zeman Barn (86-00028) is an early twentieth-century example of a gothic roofed barn and is part of the Zeman Farmstead located along U.S. Highway 30 in Otter Creek Township (Township 38N, Range 14W), Tama County, Iowa (Figures 1 and 2). The farmstead was initially evaluated in a reconnaissance architectural survey conducted in 1998 by The Louis Berger Group, Inc (Berger). An intensive architectural survey of the property by Berger’s Principal Architectural Historian, Martha H. Bowers, evaluated the farmstead as not being eligible for listing in the National Register of Historic Places (National Register) but noted that the barn appears to be eligible for listing in the National Register under Criterion C (Bowers 1998). At the request of the Iowa Department of Transportation, Berger completed the recordation project to provide a documentary record of the Zeman Barn in accordance with the guidelines set forth by the Iowa State Historic Preservation Office regarding historic property studies for barns. Background research for this project was conducted in September 2008 and April 2009. The property was inspected and photographed in May 2008. Information on the property was gathered through background research, interviews with Zeman family members, field investigation, and photo documentation. Historical maps of the project area were used to collect data necessary for developing regional and local historic contexts. The research for this report was conducted at the Tama County Courthouse and the Tama County Historical Museum Genealogical Library, both in Toledo. Much of the background research for the project was conducted by Camilla Deiber and Michael Dulle. Ms. Deiber also prepared the photographic documentation, plan drawings, and the graphics used in this report. Mr. Roger L. Ciuffo conducted interviews with Zeman family members and wrote this report.

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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.

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It is estimated that around 230 people die each year due to radon (222Rn) exposure in Switzerland. 222Rn occurs mainly in closed environments like buildings and originates primarily from the subjacent ground. Therefore it depends strongly on geology and shows substantial regional variations. Correct identification of these regional variations would lead to substantial reduction of 222Rn exposure of the population based on appropriate construction of new and mitigation of already existing buildings. Prediction of indoor 222Rn concentrations (IRC) and identification of 222Rn prone areas is however difficult since IRC depend on a variety of different variables like building characteristics, meteorology, geology and anthropogenic factors. The present work aims at the development of predictive models and the understanding of IRC in Switzerland, taking into account a maximum of information in order to minimize the prediction uncertainty. The predictive maps will be used as a decision-support tool for 222Rn risk management. The construction of these models is based on different data-driven statistical methods, in combination with geographical information systems (GIS). In a first phase we performed univariate analysis of IRC for different variables, namely the detector type, building category, foundation, year of construction, the average outdoor temperature during measurement, altitude and lithology. All variables showed significant associations to IRC. Buildings constructed after 1900 showed significantly lower IRC compared to earlier constructions. We observed a further drop of IRC after 1970. In addition to that, we found an association of IRC with altitude. With regard to lithology, we observed the lowest IRC in sedimentary rocks (excluding carbonates) and sediments and the highest IRC in the Jura carbonates and igneous rock. The IRC data was systematically analyzed for potential bias due to spatially unbalanced sampling of measurements. In order to facilitate the modeling and the interpretation of the influence of geology on IRC, we developed an algorithm based on k-medoids clustering which permits to define coherent geological classes in terms of IRC. We performed a soil gas 222Rn concentration (SRC) measurement campaign in order to determine the predictive power of SRC with respect to IRC. We found that the use of SRC is limited for IRC prediction. The second part of the project was dedicated to predictive mapping of IRC using models which take into account the multidimensionality of the process of 222Rn entry into buildings. We used kernel regression and ensemble regression tree for this purpose. We could explain up to 33% of the variance of the log transformed IRC all over Switzerland. This is a good performance compared to former attempts of IRC modeling in Switzerland. As predictor variables we considered geographical coordinates, altitude, outdoor temperature, building type, foundation, year of construction and detector type. Ensemble regression trees like random forests allow to determine the role of each IRC predictor in a multidimensional setting. We found spatial information like geology, altitude and coordinates to have stronger influences on IRC than building related variables like foundation type, building type and year of construction. Based on kernel estimation we developed an approach to determine the local probability of IRC to exceed 300 Bq/m3. In addition to that we developed a confidence index in order to provide an estimate of uncertainty of the map. All methods allow an easy creation of tailor-made maps for different building characteristics. Our work is an essential step towards a 222Rn risk assessment which accounts at the same time for different architectural situations as well as geological and geographical conditions. For the communication of 222Rn hazard to the population we recommend to make use of the probability map based on kernel estimation. The communication of 222Rn hazard could for example be implemented via a web interface where the users specify the characteristics and coordinates of their home in order to obtain the probability to be above a given IRC with a corresponding index of confidence. Taking into account the health effects of 222Rn, our results have the potential to substantially improve the estimation of the effective dose from 222Rn delivered to the Swiss population.

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Background: Although there has been an abundant literature in recent years about farmer's lung disease, few addressed occupational measures able to maintain the farmer in his work. Nevertheless we know now that most of the farmers can be kept at the workplace by the way of occupational preventive measures. Methods: This matter is discussed from a case report. A farmer affected by the farmer's lung disease was sent to us by his pneumologist, in order to estimate the possibility of maintaining him in his job and to determine relevant changes at his workplace to minimize risk of exposure to dust antigen. This approach required a visit to the workplace by occupational physician and hygienist. Results: The visit of the workplace pointed out different habits and architectural particularities which were potential sources of exposure. The two main proposed measures to reduce the risk, were to wear respiratory masks while working inside the barn, such as preparing hay, feeding the cattle or sweeping the floor, and to build a direct access from the bathroom (shower and toilet) to the outside, allowing to go out of the barn after taking a shower and changing, without risk of being contaminated again. Although upgrading the shower-toilet is not yet completed to date, the already performed modifications led currently to significant clinical improvements, despite the risk of exposure was high since the animals were in the barn for more than two months. Conclusion: The treatment of the farmer's lung disease must be multidisciplinary involving general practitioner, pneumologist, occupational hygienist and occupational physician.

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The Iowana Farms Milk Company factory building was considered to retain sufficient integrity and possess sufficient significance to be considered eligible for the National Register of Historic Places under Criteria A and C for its historical and architectural significance in the Bettendorf community. The Iowana Farms Milk Company was an important early to mid-twentieth-century business in Bettendorf, and was among the few that was not owned or operated by the Bettendorf Company. It was a strong and thriving business for many years, and its products were well known in the Quad Cities region. The importance of this property becomes even more significant when one considers that most of the buildings once associated with the actual Bettendorf Company, which was undeniably the most important business and industry in town, are now gone. As a result, the Iowana Farms Milk Company factory building was a physical vestige of the once-thriving commercial industries that made Bettendorf into a city in the twentieth century. This property was further significant for its representation of the evolution of the dairy industry in the twentieth century from farm to factory production. It also reflected the changes to the industry based on scientific discoveries, mechanical innovations, and governmental regulations related to improved sanitation and the pure milk movement. The Iowana Farms Milk Company represented a model plant for the time, and the marketing strategies it employed followed the trends of the industry. The Iowana Farms Milk Company plant had to be removed to make room for a new I-74 bridge over the Mississippi River at Bettendorf. The construction of the new bridge also required removal of the historic Iowa-Illinois Memorial Bridge. The documentation reported herein and for that of the Iowa-Illinois Memorial Bridge fulfills the requirements of the Memorandum of Agreement regarding the removal of these historic properties.

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PURPOSE: The aim of this study was to develop models based on kernel regression and probability estimation in order to predict and map IRC in Switzerland by taking into account all of the following: architectural factors, spatial relationships between the measurements, as well as geological information. METHODS: We looked at about 240,000 IRC measurements carried out in about 150,000 houses. As predictor variables we included: building type, foundation type, year of construction, detector type, geographical coordinates, altitude, temperature and lithology into the kernel estimation models. We developed predictive maps as well as a map of the local probability to exceed 300 Bq/m(3). Additionally, we developed a map of a confidence index in order to estimate the reliability of the probability map. RESULTS: Our models were able to explain 28% of the variations of IRC data. All variables added information to the model. The model estimation revealed a bandwidth for each variable, making it possible to characterize the influence of each variable on the IRC estimation. Furthermore, we assessed the mapping characteristics of kernel estimation overall as well as by municipality. Overall, our model reproduces spatial IRC patterns which were already obtained earlier. On the municipal level, we could show that our model accounts well for IRC trends within municipal boundaries. Finally, we found that different building characteristics result in different IRC maps. Maps corresponding to detached houses with concrete foundations indicate systematically smaller IRC than maps corresponding to farms with earth foundation. CONCLUSIONS: IRC mapping based on kernel estimation is a powerful tool to predict and analyze IRC on a large-scale as well as on a local level. This approach enables to develop tailor-made maps for different architectural elements and measurement conditions and to account at the same time for geological information and spatial relations between IRC measurements.

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We investigate the relevance of morphological operators for the classification of land use in urban scenes using submetric panchromatic imagery. A support vector machine is used for the classification. Six types of filters have been employed: opening and closing, opening and closing by reconstruction, and opening and closing top hat. The type and scale of the filters are discussed, and a feature selection algorithm called recursive feature elimination is applied to decrease the dimensionality of the input data. The analysis performed on two QuickBird panchromatic images showed that simple opening and closing operators are the most relevant for classification at such a high spatial resolution. Moreover, mixed sets combining simple and reconstruction filters provided the best performance. Tests performed on both images, having areas characterized by different architectural styles, yielded similar results for both feature selection and classification accuracy, suggesting the generalization of the feature sets highlighted.

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The change in dynasty brought with it a series of transformations to Peruvian viceroyalty political culture. Analysis is made of the government of the Marquis of Castelldosrius (1707-1710) who, in his eagerness to increase a meagre patrimony, was to attenuate his conflicts with the Creole sectors and the Consulate, with a style of politics that was characterised by courtly and cultural uses that included traditions that were in vogue in the courts of Louis XIV and in his native Catalonia

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In 1991 was brought to light a collection of architectural terracottas from the villa of the Vilarenc and some pieces from Tarraco that were identified as lastre Campana. Five years later, in the excavations of the Plaza de la Font of Tarragona, a collection of six pieces was discovered. Altogether, the collection is based in 14/15 lastre and 4 different topics: “Women flanking a candelabra”, “Theseus known by his father”, “Adornment of a hermes” and “Scene of portico of palestra”. The interest of these finds lies in several factors: Their absolute exceptionality (it is very rare to find them outside of Italy); the geographical concentration, the topics, and their chronological relation and precise culture, since the finds are concentrated in a provincial capital and its territory, and they come from contexts of the beginning of first century AD. The physicochimique analyses make possible to assign an origin from Latium to some pieces and a local manufacture to others. These finds make possible to talk about the area and the provincial impact of certain iconographic and cultural models of Augustus’ time.

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Osteoporosis (OP) is a systemic skeletal disease characterized by a low bone mineral density (BMD) and a micro-architectural (MA) deterioration. Clinical risk factors (CRF) are often used as a MA approximation. MA is yet evaluable in daily practice by the trabecular bone score (TBS) measure. TBS is very simple to obtain, by reanalyzing a lumbar DXA-scan. TBS has proven to have diagnosis and prognosis values, partially independent of CRF and BMD. The aim of the OsteoLaus cohort is to combine in daily practice the CRF and the information given by DXA (BMD, TBS and vertebral fracture assessment (VFA)) to better identify women at high fracture risk. The OsteoLaus cohort (1400 women 50 to 80 years living in Lausanne, Switzerland) started in 2010. This study is derived from the cohort COLAUS who started in Lausanne in 2003. The main goal of COLAUS is to obtain information on the epidemiology and genetic determinants of cardiovascular risk in 6700 men and women. CRF for OP, bone ultrasound of the heel, lumbar spine and hip BMD, VFA by DXA and MA evaluation by TBS are recorded in OsteoLaus. Preliminary results are reported. We included 631 women: mean age 67.4 ± 6.7 years, BMI 26.1 ± 4.6, mean lumbar spine BMD 0.943 ± 0.168 (T-score − 1.4 SD), and TBS 1.271 ± 0.103. As expected, correlation between BMD and site matched TBS is low (r2 = 0.16). Prevalence of VFx grade 2/3, major OP Fx and all OP Fx is 8.4%, 17.0% and 26.0% respectively. Age- and BMI-adjusted ORs (per SD decrease) are 1.8 (1.2-2.5), 1.6 (1.2-2.1), and 1.3 (1.1-1.6) for BMD for the different categories of fractures and 2.0 (1.4-3.0), 1.9 (1.4-2.5), and 1.4 (1.1-1.7) for TBS respectively. Only 32 to 37% of women with OP Fx have a BMD < − 2.5 SD or a TBS < 1.200. If we combine a BMD < − 2.5 SD or a TBS < 1.200, 54 to 60% of women with an osteoporotic Fx are identified. As in the already published studies, these preliminary results confirm the partial independence between BMD and TBS. More importantly, a combination of TBS subsequent to BMD increases significantly the identification of women with prevalent OP Fx which would have been misclassified by BMD alone. For the first time we are able to have complementary information about fracture (VFA), density (BMD), micro- and macro architecture (TBS and HAS) from a simple, low ionizing radiation and cheap device: DXA. Such complementary information is very useful for the patient in the daily practice and moreover will likely have an impact on cost effectiveness analysis.

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En 1991 vió la luz una colección de terracotas arquitectónicas procedentes de la villa romana de El Vilarenc y otras pocas de Tárraco, que fueron identificadas como lastras Campana. Cinco años más tarde en las excavaciones de la Plaça de la Font de Tarragona fueron descubiertos seis nuevos ejemplares. Ahora, el conjunto consta de 14/15 piezas distribuidas en cuatro motivos iconográficos: “Mujeres flanqueando un candelabro”, “Teseo reconocido por su padre”, “Engalanamiento de un hermes” y “Escena de pórtico de palestra”. El interés radica en los siguientes factores: su absoluta excepcionalidad (son extremadamente raras fuera de Italia); su concentración geográfica en la capital y su territorio; y su precisa adscripción cronológica y cultural. Los análisis arqueométricos adjudican un orígen lacial para una y una fabricación local para las restantes. Este hecho permite plantear el tema de la adopción de modelos iconográficos de la capital –Roma– en la Tárraco post-augustea.

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Durante los últimos años el Institut Català d’Arquelogia Clàssica, el Museu d’Història de Tarragona, contando con la colaboración de la Generalitat de Catalunya, han desarrallado el proyecto Planimetría Arqueológica de Tárraco, destinado a la elaboración de una planta arqueológica global en la cual se recogieran intervenciones y noticias referentes a los hallazgos arqueológicos existentes. Este trabajo fue publicado utilizando como plataforma de trabajo un SIG construido para tal fin (Macias et al. 2007). Sin embargo, un problema de difícil solución arqueológica venía dado por las transformaciones urbanísticas de la ciudad, sufridas en su mayor parte a lo largo de los siglos XIX y XX. Éstas habían provocado la pérdida irremediable de gran parte de la elevación que acogiera la ciudad romana, cambiando substancialmente su aspecto original. Ante esta situación y como proyecto paralelo a la realización de la Planimetría Arqueológica de Tarragona se plantearon formas de cubrir este vacío. Se presenta en esta comunicación una propuesta metodológica para la reconstrucción de los grandes «vacíos topográficos » originados por la evolución urbanística de Tarragona mediante la obtención e integración en un SIG de diversos tipos de información documental. En estas zonas rebajadas no resulta posible la obtención de información estratigráfica y arqueológica, por lo que es imprescindible la definición de vías metodológicas alternativas basadas en la extrapolación de datos extraídos de la cartografía histórica, panorámicas del XVI o fotografías tomadas en los siglos XIX y XX. Esta técnica permite aplicar los resultados obtenidos en los nuevos análisis interpretativos, complementando así la interpretación arqueológica de la topografía urbana de la ciudad romana. A partir de esta información, y aplicando funciones y técnicas de interpolación propias de un GIS, se propone aquí un modelo de relieve de la ciudad de Tarraco.