856 resultados para sociology of knowledge
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[cat] Una qüestió clau sobre la producció de salut relativament poc explorada es refereix a la influència dels factors socioeconòmics i mediambientals sobre el pes i l’obesitat. Aquesta problemàtica adquireix particular rellevància quan es comparen dos països Mediterranis com Itàlia i Espanya. És interessant adonar-se que l’obesitat a Espanya és 5 punts percentual més elevada al 2003 mentre que a l’any 1990 era aproximadament la mateixa en ambdós països. Aquesta article presenta una descomposició no lineal dels gaps o diferencials en taxes de sobrepès (índex de massa corporal – IMC- entre 25 i 29.9 9 kg/m2), obesitat classe 1 (IMC≥30 kg/m2) i classe 2 (IMC≥35 kg/m2) entre Espanya i Itàlia per gènere i grups d’edat. En explicar aquests gaps entre països aïllem les influències dels estils de vida, els efectes socioeconòmics i els mediambientals. Els nostres resultats indiquen que quan no es controla pels efectes mediambientals (efectes de grup o ‘peer effects’) els hàbits alimentaris i el nivell educatiu són els principals predictors del gaps totals entre països (36-52%), si bé aquests dos factors exerceixen un impacte diferenciat segons gènere i edat. Un tant paradoxalment, quan controlem pels efectes de grup aquests predictors perden la seva capacitat explicativa i els efectes de grup passen a explicar entre el 46-76% dels gaps en sobrepès i obesitat i mostren un patró creixent amb l’edat.
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El principal objetivo del presente trabajo es indagar si las habituales tentativas por descifrarel pensamiento desde un punto de vista sociológico, a pesar de su vehemente compromisoantirreduccionista, podrían aceptar en último término la reducción de ideas, argumentos y doctrinasa sus presuntos determinantes sociales. En una primera etapa analizamos el ¿sociologismoanómalo¿ de Martin Kusch, señalamos algunas de sus lagunas, y establecemos que la panopliaconceptual en losofía de la mente es fértilmente aplicable al ámbito racional-social. A continuaciónconsideramos el funcionalismo reduccionista de Jaegwon Kim, nos centramos en latesis de que los estados intencionales de la mente, al contrario de lo que ocurre con los qualia,son causalmente funcionalizables, e intentamos establecer sus posibles repercusiones en la interpretaciónsocial del pensamiento. La aplicación de la metodología funcionalista al horizonteracional-social, de todos modos, parece venir desmentida por la evidencia, ya que las propiedadesdel pensamiento equiparables a los qualia son de hecho eminentemente funcionalizablesen la medida que fundamentan la efectividad social de los recursos gurativos y retóricos. Enun sentido análogo, la obra de Hans Blumenberg demuestra que los inescrutables ingredientes gurativos de todo pensamiento que él denomina ¿metáforas absolutas¿ son tan decisivos paracualquier proceso abstractivo que los conceptos nunca llegan a agotar su alcance determinador.Con lo cual los conceptos y las ideas más generales, antes considerados del todo funcionalizables,ahora dependen de algunas metáforas básicas, aun cuando por analogía con los qualia selas creía inmunes a toda funcionalización. Por tanto parece que la reducción no puede resolverlas di cultades que plantean los presuntos ¿determinantes sociales del pensamiento¿. Al mismotiempo, y con rmando así algunos emergentismos, los aspectos causal-funcionales del ámbitoracional-social dan la impresión de ser inconciliables con la enigmática estructura causal queponen de mani esto las aproximaciones losó cas al problema mente-cuerpo.
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Kirjallisuusarvostelu
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Kirjallisuusarvostelu
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Dans ce mémoire, nous proposons l’étude des représentations sociales du politique dans la presse quotidienne. Notre objet d’étude est le sens de la nation au Québec dans une période historique où la notion idéologique de nation s’avère un cadre de référence en profonde mutation dans de nombreuses sociétés. Plus particulièrement, nous voulons nous situer au centre des tensions à propos de la représentation sociale nationale en prenant comme observatoire un travail idéologique fédéraliste par des Québécois, qui à la fois se posent comme promoteurs de la nation, et visent une intégration dans un autre espace national et juridique : le Canada. Les résultats de cette étude qualitative sont issus d’une analyse sémantique du discours éditorial du journal La Presse. Nous avons ainsi examiné les différentes catégories de connaissance mobilisées lors de l’évocation de l’espace national, ainsi que la façon dont elles sont organisées au sein du discours lors des deux périodes référendaires, soit en 1980 et 1995. C’est donc dans le cadre d’une sociologie de la connaissance journalistique que nous menons cette étude. Le discours social, à partir de l’étude des théories des représentations sociales et de la sociologie des contenus médiatiques, ne peut se considérer qu’à travers l’ensemble des relations sociales dont il est le produit. Nous nous attachons ici à définir d’une part les spécificités du discours éditorial, et d’autre part les différentes catégories de connaissances utilisées dans notre corpus qui font sens. On perçoit alors, grâce à une description diachronique, l’évolution des représentations sociales ayant a trait à l’espace national québécois entre les deux périodes étudiées. Après avoir défini ce dont on parle lorsqu’il est question de l’espace national, nous nous emploierons à analyser la façon dont ce discours est organisé. Ainsi, nous mettons en avant d’une part, les différentes formes discursives, rhétoriques et argumentatives, mises en place dans le but de persuader et de justifier l’action (le rejet des deux référendums, et l’adhésion aux promesses de renouvellement du fédéralisme), et d’autre part la logique discursive mobilisée consistant à placer la nation comme un objet politique rationnel ou non. En effet, le discours éditorial nous permet de mettre au jour une organisation cognitive de la connaissance, qui à quelques nuances près, est structurée de façon manichéenne entre le rationnel (l’éditorialiste, le fédéralisme, l’économique, l’universalisme, la raison de sens commun) et l’irrationnel (le souverainisme, ses dirigeants n’étant que des rêveurs et des passionnés), se plaçant dès lors dans un rapport de communication politique, plus proche de la propagande que de l’exemplarité réflexive que pose le discours éditorial.
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La dialectique pluralisme religieux/incertitude religieuse, sur laquelle porte cette thèse, se révèle être un thème majeur dans la pensée de Peter L. Berger, en sociologie des religions et en théologie protestante. Une analyse systématique et détaillée des concepts-clés qui la constituent débouche sur la question des rapports entre sociologie et théologie à laquelle Berger lui-même s’est confronté. Abordée sous l’angle de l’idée du principe protestant, cette question s’est résolue, dès la fin des années 1960, en un certain « mariage » entre son approche de la sociologie de la connaissance et son approche théologique libérale. Les concepts de foi et théologie « inductives », de « voie médiane entre le fondamentalisme et le relativisme », semblent jaillir de cette dialectique et de ce « mariage ». Si néanmoins cette dialectique se retrace dans la pensée de Berger dès ses premières œuvres, la défense d’une via media théologique appliquée à toutes les religions se révèle être la conséquence de l’abandon (dès 1967), de sa posture théologique néo-orthodoxe. Dans cette posture, la dialectique bergérienne s’appliquait à toutes les religions mais laissait la foi chrétienne intouchée et pensée en termes de certitude. Or, une analyse critique de sa pensée permet de situer au moins à trois niveaux un certain nombre de problèmes : le niveau de sa conception de la religion manifestant une ambiguïté; le niveau des rapports entre sociologie et théologie révélant un biais libéral et une absence de contenu religieux concret pour le principe protestant; enfin le niveau de sa critique des quêtes contemporaines de certitudes religieuses, critique dont le fondement sur sa dialectique peut être questionné par des exemples de conception différente de la religion et de la certitude religieuse. Pour ces trois niveaux, l’exemple de la conception de la certitude religieuse par les protestants évangéliques permet au moins une ébauche d’un tel questionnement. Cette conception, surtout dans son idée de l’« assurance du salut», se fonde, dans son approche surnaturelle de la certitude religieuse, sur une adhésion et une confiance fortes quant aux contenus traditionnels de la foi chrétienne. Si les arguments avancés dans cette perspective demeurent discutables, ils semblent assez pertinents puisque la vitalité contemporaine de la religion à l’ère du pluralisme religieux (voir notamment le protestantisme évangélique aux États-Unis) constitue une indication que la validité empirique de la dialectique bergérienne, et la critique qu’elle fonde, sont largement problématiques si l’on tient compte de l’auto-compréhension des groupes religieux eux-mêmes.
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C. Wright Mills has been forgotten by sociological theories however there is no doubt about how much he contributed to the field of Epistemology. He successfully participated in the American Sociology of Knowledge and, at the same time, he upheld the tradition of the Conflict Theory, including the sociological dimension into one of the most questioned political subjects of his period. Undoubtedly, Wright Mills was morally committed to the value of reason and freedom. His central issue was to analyse the real possibilities for a particular individual within a particular social order to become a free man capable of reasoning. He wondered how someone could be able to transcend his daily nature through reason and experience and to act accordingly to his power. The power and political processes were constant in his works, since he claimed that any political process was a struggle for power and prestige, for authoritative positions, both within each nation and among the different states. On the other hand, he bserved that the social structure in the United States of America was not completely democratic, since the course of action depended on the decision of a small group of wealthy, powerful individuals. These concentrating spaces of power amongst some economic, military and political corporations were supported by their underlying ideology, a fact that became clearer when referring to international affairs. Nowadays, in a world of structural antagonisms, wars and rebellions, the need for looking at the work of intellectuals like Mills re-emerges. Mills showed us a way in which a complex entity as power can be understood, and, at the same time, the need to consider the course of history, its mechanics and process.
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The purpose of this dissertation is to describe, explain and understand how record companies identify and develop new music and new talent. The analysis is carried out on three levels: individual, organizational and sector level. In a record company, this task formally goes to A&R (Artist and Repertoire). This dissertation takes its point of departure in how the capacity for discovering new talent can be understood in terms of knowledge, creativity and competence and how this capacity is affected in the meeting between the record company and the industry. The theoretical framework of the dissertation spans two sociological fields: the sociology of organizations and the sociology of knowledge. While it takes its organizational starting point in the Knowledge Company Approach, it employs a practice-based approach to discuss knowledge. I argue that within the Knowledge company approach there are two contrasting ways to understand knowledge; a distinction is made between knowledge- and creativity-intensive enterprises. The results show that the record industry’s polarized structure can be seen as a result of the Knowledge Company’s typical problems. The A&R’s work is described as including two phases, one intuitive and one analytical. The intuitive assessment is direct, unconscious and without reflection. This ability has been described as "intuition" and "gut feeling". The analytical phase adds analysis and reflection based on knowledge. The results from the interviews with A&R’s reveal the limit of formal and explicit knowledge not only in the choice of music but also in the marketing strategies. The overarching picture is one in which record companies move in a space characterized by tension between dichotomous forces – art and commercialism, creativity and knowledge, culture and economy, chaos and order, but where opposite poles are not mutually exclusive but complementary.
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Genre stratification and the mass media’s neutralization of the critique of ADHD: A sociology of knowledge perspective This study examines how the Swedish mass media has dealt with the opposition against the neuropsychiatric diagnosis ADHD (Attention Deficit Hyperactivity Disorder). Drawing on empirical data from eight of the largest newspapers in Sweden (n=778 articles) the study focuses on the scientific controversy of DAMP, 2000–2006. DAMP (Dysfunction in Attention, Motor Control and Perception) is a diagnostic term denoting difficulties similar to ADHD, and which was used in Sweden at the time of the controversy. The study uncovers the ideological role played by the mass media during the DAMP-controversy, and demonstrates the significance of genre. While the spokespersons for DAMP/ADHD were given exclusive and systematic access to the news genre, the forum of fact-production in the mass media, the critics of DAMP/ADHD were confined to arguing and expressing their opinions in the debate genre. Based on the various effects of genre differences a comprehensive analytical tool for the sociology of knowledge, called genre stratification, is developed in the study
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Enlightenment and boundary work: a study of the first-generation Swedish analytical philosophers from a sociology-of-philosophy perspective The history of Swedish analytical philosophy begins with the writings of Ingemar Hedenius, Anders Wedberg, and Konrad Marc-Wogau, who introduced the country to a new style of thinking that was to become the dominant mode of academic philosophizing in it from the mid-1940s to the late 1960s. The article presents a sociological analysis of how that hegemonic position was claimed and established for it in Swedish philosophy departments. In particular, the critique that Hedenius, Wedberg, and Marc-Wogau levelled in their popular writings against continental philosophy is looked upon in detail. Drawing upon Thomas Gieryn’s theory of boundary work, it is shown how the three strove for epistemic authority by demarcating their own ‘scientific’ enterprise from the ‘unscientific’ philosophy of their competitors. This quest for authority, however, was pursued not solely for its own sake: Hedenius, Wedberg, and Marc-Wogau were also all firmly committed to the ideals of enlightenment and cultural radicalism shaping the Swedish society of their time.
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O presente trabalho constitui uma tentativa de exploração dos aspectos psicológicos inerentes ao processo de controle social, segundo a perspectiva da "análise experimental do comportamento" de B. F. Skinner. Diversas proposições sociológicas correntes sobre algumas dimensões do problema geral são levantadas e criticamente articuladas com a abordagem comportamental skinneriana. No primeiro capítulo - "O Controle Social nas Instituições Totais”, é feita uma introdução conceitual ao condicionamento operante aproveitando-se para isso a descrição sociológica realizada por Goffman da vida naquelas instituições, são também aí discutidas algumas das interpretações erroneas das proposições skinnerianas e seus maus usos nas organizações fechadas. Desenvolve-se, no segundo capítulo, um exame comparativo das ficções literárias de "1984 “ e "Walden II", com o propósito de pela focalização de suas técnicas características de controle social, suscitar já, de modo informal, diversos pontos críticos do problema, que vêm a receber tratamento mais pormenorizado nos três capítulos seguintes. Em "Controle Social na Vida Cotidiana", discute-se a natureza difusa que o controle assume nesse contexto mais amplo, ressaltando-se o emprego que se faz, para esse fim, de artifícios motivacionais e ideológicos. Para a articulação com o pensamento skinneriano, é privilegiada abordagem da Sociologia do Conhecimento proposta por Berger e Luckmann. No quarto capítulo, que trata da "Identificação de Controladores e Controlados", procede-se a uma reinterpretação comportamentista dos constructos cognitivistas de “intenção” e "percepção”, com que comumente se descreve as iniciativas de controle por parte dos atores sociais. A análise de Becker dos mecanismos de criação e imposição de regras é utilizada par a apoiar a estratégia de reinterpretação. O capítulo final explora uma dimensão menos tradicional do problema - "O Controle para a Mudança Social". As proposições específicas de dois autores Popper e Mannheim - são aqui articuladas com as de Skinner. Caracterizado o estado da sociedade contemporânea como de incessante mudança desordenada, discute-se as condições necessárias para uma mudança planejada e suas implicações psicossociais. Na conclusão do trabalho, busca-se ampliar a perspectiva histórica do problema do controle social, por meio de uma análise retrospectiva proporcionada por Schneider e uma especulação prospectiva envolvendo a apreciação sócio- política do controle gradualista e democrático da mudança social. Defende-se, durante essa apreciação, a tese de que a engenharia comportamental de Skinner é gradualista e democrática em seu todo.