892 resultados para contact-angle
Resumo:
PURPOSE:
To assess the knowledge of patients with open angle glaucoma (OAG) and their family members about OAG risk factors and to study the referral of family members for eye examinations.
DESIGN:
Cross-sectional survey and prospective cohort study.
METHODS:
We interviewed OAG patients (probands) at the Wilmer Eye Institute and their biologically related parents, siblings, and children about their knowledge of OAG risk factors. Qualified family members were offered an eye examination through the EyeCare America program. Three months after initial contact, a follow-up telephone questionnaire determined the outcome of the referral.
RESULTS:
Among 102 probands and 100 (of 230 eligible) family members who were interviewed, there was high awareness that OAG is related to older age (85% both groups). More probands knew of the association with higher intraocular pressure (95%) compared with family (78%). Yet, 21% of both groups were not aware that OAG is hereditary, and only 53% of probands and 30% of family members knew that OAG is more common in certain ethnic groups. Only two-thirds of probands had suggested that family members have an eye examination. Eighty percent of family members had had an eye examination within the last year; of 21 with no recent examination, 66% (13/21) accepted referral.
CONCLUSIONS:
The Help the Family Glaucoma project developed a novel approach to identify those at high-risk for OAG. Screening of relatives of OAG patients deserves further study in a more representative selection of the general population.
Resumo:
Justification: Le glaucome entraîne une perte progressive de la vision causée par la détérioration du nerf optique. Le glaucome est répandu dans le monde et cause la cécité dans environ sept millions de personnes. Le glaucome touche plus de 400 000 Canadiens et sa prévalence augmente avec le vieillissement de la population.1,2 Il s'agit d'une maladie chronique surnoise dont les symptômes se manifestent uniquement lors des stades avancés et qui peuvent mener à la cécité. Présentement, le seul moyen possible d’arrêter la progression du glaucome au stade initial est de diminuer la pression intra-oculaire (PIO). Les analogues de prostaglandines (APG) topiques sont fréquemment utilisées comme traitement de première ligne. Cependant, la recherche démontre que cette classe de médicaments peut changer certaines propriétés de la cornée, et possiblement influencer la mesure de la PIO.3 Objectif: À déterminer si l'utilisation d'APG affecte les propriétés biomécaniques de la cornée. La conclusion sera basée sur l'analyse intégrée des résultats obtenus de l'analyseur Reichert oculaire Réponse (ORA), la tonométrie par applanation de Goldmann (TAG) et la pachymétrie ultrasonographique. Le deuxième objectif potentiel de cette étude est de déterminer la corrélation, le cas échéant, entre les propriétés biomécaniques de la cornée, l'épaisseur de la cornée centrale (ECC) et la PIO chez les patients subissant un traitement d’APG topique. L'hypothèse principale de cette étude est que l’APG influence les propriétés de la cornée telles que l'épaisseur centrale, l'élasticité et la résistance. Patients et méthodes : Soixante-dix yeux de 35 patients, âgés de 50-85 ans, atteints de glaucome à angle ouvert (GAO) et traités avec APG topique ont été examinés. Seulement les sujets avec une réfraction manifeste entre -6,00 D et +4,25 D ont été inclus. Les critères d'exclusion sont: patients avec n'importe quelle autre maladie de la cornée de l’œil, telles que la dystrophie endothéliale de Fuch’s et kératocône, ou tout antécédent de traumatisme ou d'une chirurgie de la cornée, ainsi que le port de lentilles de contact. Nous avons demandé aux patients atteints du glaucome qui ont des paramètres stables et qui utilisent l’APG dans les deux yeux de cesser l’APG dans l'œil moins affecté par la PIO, et de continuer l’utilisation d’APG dans l'œil contralatéral. Le meilleur œil est défini comme celui avec moins de dommage sur le champ visuel (CV) (déviation moyenne (DM), le moins négatif) ou une PIO maximale historique plus basse si la DM est égale ou encore celui avec plus de dommage sur la tomographie par cohérence optique (TCO, Cirrus, CA) ou la tomographie confocale par balayage laser (HRT, Heidelberg, Allemagne). Toutes les mesures ont été prises avant la cessation d’APG et répétées 6 semaines après l’arrêt. Les patients ont ensuite recommencé l’utilisation d’APG et toutes les mesures ont été répétées encore une fois après une période supplémentaire de 6 semaines. Après commencer ou de changer le traitement du glaucome, le patient doit être vu environ 4-6 semaines plus tard pour évaluer l'efficacité de la goutte.4 Pour cette raison, on été décidé d'utiliser 6 semaines d'intervalle. Toutes les mesures ont été effectuées à l’institut du glaucome de Montréal par le même technicien, avec le même équipement et à la même heure de la journée. L'œil contralatéral a servi comme œil contrôle pour les analyses statistiques. La tonométrie par applanation de Goldmann a été utilisée pour mesurer la PIO, la pachymétrie ultrasonographique pour mesurer l'ECC, et l’ORA pour mesurer les propriétés biomécaniques de la cornée, incluant l'hystérèse cornéenne (HC). L’hypothèse de l'absence d'effet de l'arrêt de l’APG sur les propriétés biomécaniques a été examiné par un modèle linéaire à effets mixtes en utilisant le logiciel statistique R. Les effets aléatoires ont été définies à deux niveaux: le patient (niveau 1) et l'œil de chaque patient (niveau 2). Les effets aléatoires ont été ajoutés au modèle pour tenir compte de la variance intra-individuelle. L’âge a également été inclus dans le modèle comme variable. Les contrastes entre les yeux et les temps ont été estimés en utilisant les valeurs p ajustées pour contrôler les taux d'erreur internes de la famille en utilisant multcomp paquet dans R. Résultats: Une augmentation statistiquement significative due l 'HC a été trouvée entre les visites 1 (sur APG) et 2 (aucun APG) dans les yeux de l'étude, avec une moyenne (±erreur standard) des valeurs de 8,98 ± 0,29 mmHg et 10,35 ± 0,29 mmHg, respectivement, correspondant à une augmentation moyenne de 1,37 ± 0,18 mmHg (p <0,001). Une réduction significative de 1,25 ± 0,18 mmHg (p <0,001) a été observée entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne HC finale de 9,09 ± 0,29 mmHg. En outre, une différence statistiquement significative entre l’oeil d’étude et le contrôle n'a été observée que lors de la visite 2 (1,01 ± 0,23 mmHg, p <0,001) et non lors des visites 1 et 3. Une augmentation statistiquement significative du facteur de résistance conréen (FRC) a été trouvée entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 10,23 ± 0,34 mmHg et 11,71 ± 0,34 mmHg, respectivement. Le FRC a ensuite été réduit de 1,90 ± 0,21 mmHg (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne FRC finale de 9,81 ± 0,34 mmHg. Une différence statistiquement significative entre l’oeil d’étude et le contrôle n'a été observée que lors de la visite 2 (1,46 ± 0,23 mmHg, p <0,001). Une augmentation statistiquement significative de l'ECC a été trouvée entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 541,83 ± 7,27 µm et 551,91 ± 7,27 µm, respectivement, ce qui correspond à une augmentation moyenne de 10,09 ± 0,94 µm (p <0,001). L'ECC a ensuite diminué de 9,40 ± 0,94 µm (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne finale de 542,51 ± 7,27 µm. Une différence entre l’étude et le contrôle des yeux n'a été enregistré que lors de la visite 2 (11,26 ± 1,79 µm, p <0,001). De même, on a observé une augmentation significative de la PIO entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 15,37 ± 0,54 mmHg et 18,37 ± 0,54 mmHg, respectivement, ce qui correspond à une augmentation moyenne de 3,0 ± 0,49 mmHg (p <0,001). Une réduction significative de 2,83 ± 0,49 mmHg (p <0,001) a été observée entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne de la PIO finale de 15,54 ± 0,54 mmHg. L’oeil de contrôle et d’étude ne différaient que lors de la visite 2 (1,91 ± 0,49 mmHg, p <0,001), ce qui confirme l'efficacité du traitement de l’APG. Lors de la visite 1, le biais de la PIO (PIOcc - PIO Goldmann) était similaire dans les deux groupes avec des valeurs moyennes de 4,1 ± 0,54 mmHg dans les yeux de contrôles et de 4,8 ± 0,54 mmHg dans les yeux d’études. Lors de la visite 2, après un lavage de 6 semaines d’APG, le biais de la PIO dans l'œil testé a été réduit à 1,6 ± 0,54 mmHg (p <0,001), ce qui signifie que la sous-estimation de la PIO par TAG était significativement moins dans la visite 2 que de la visite 1. La différence en biais PIO moyenne entre l'étude et le contrôle des yeux lors de la visite 2, en revanche, n'a pas atteint la signification statistique (p = 0,124). On a observé une augmentation peu significative de 1,53 ± 0,60 mmHg (p = 0,055) entre les visites 2 et 3 dans les yeux de l'étude, avec une valeur de polarisation finale de la PIO moyenne de 3,10 ± 0,54 mmHg dans les yeux d'études et de 2,8 ± 0,54 mmHg dans les yeux de contrôles. Nous avons ensuite cherché à déterminer si une faible HC a été associée à un stade de glaucome plus avancé chez nos patients atteints du glaucome à angle ouvert traités avec l’APG. Lorsque l'on considère tous les yeux sur l’APG au moment de la première visite, aucune association n'a été trouvée entre les dommages sur le CV et l'HC. Cependant, si l'on considère seulement les yeux avec un glaucome plus avancé, une corrélation positive significative a été observée entre la DM et l'HC (B = 0,65, p = 0,003). Une HC inférieure a été associé à une valeur de DM de champ visuelle plus négative et donc plus de dommages liés au glaucome. Conclusions : Les prostaglandines topiques affectent les propriétés biomécaniques de la cornée. Ils réduisent l'hystérèse cornéenne, le facteur de résistance cornéen et l'épaisseur centrale de la cornée. On doit tenir compte de ces changements lors de l'évaluation des effets d’APG sur la PIO. Plus de recherche devrait être menées pour confirmer nos résultats. De plus, d’autres études pourraient être réalisées en utilisant des médicaments qui diminuent la PIO sans influencer les propriétés biomécaniques de la cornée ou à l'aide de tonomètre dynamique de Pascal ou similaire qui ne dépend pas des propriétés biomécaniques de la cornée. En ce qui concerne l'interaction entre les dommages de glaucome et l'hystérésis de la cornée, nous pouvons conclure qu' une HC inférieure a été associé à une valeur de DM de CV plus négative. Mots Clés glaucome - analogues de prostaglandines - hystérèse cornéenne – l’épaisseur de la cornée centrale - la pression intraoculaire - propriétés biomécaniques de la cornée.
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Purpose: The aim of this study was to evaluate the clinical outcome of patients with mandibular angle fractures treated by intraoral access and a rectangular grid miniplate with 4 holes and stabilized with monocortical screws.Patients and Methods: This study included 45 patients with mandibular angle fractures from the Department of Oral and Maxillofacial Surgery São Paulo State University, Araraquara, Brazil, and from the Clinic of Oral and Maxillofacial Surgery at the University of Frankfurt, Germany. The 45 fractures of the mandibular angle were treated with a rectangular grid miniplate of a 2.0-mm system by an intraoral approach with monocortical screws. Clinical evaluations were postoperatively performed at 15 and 30 days and 3 and 6 months, and the complications encountered were recorded and treated.Results: The infection rate was 4.44% (2 patients), and in 1 patient it was necessary to replace hardware. This patient also had a fracture of the left mandibular body; 3 patients (6.66%) had minor occlusal changes that have been resolved with small occlusal adjustments. Before surgery, 15 patients (33.33%) presented with hypoesthesia of the inferior alveolar nerve; 4 (8.88%) had this change until the last clinical control, at 6 months.Conclusions: The rectangular grid miniplate used in this study was stable for the treatment of simple mandibular angle fractures through intraoral access, with low complication rates, easy handling, and easy adjustment, with a low cost. Concomitant mandibular fracture may increase the rate of complications. This plate should be indicated in fractures with sufficient interfragmentaty contact. (C) 2011 American Association of Oral and Maxillofacial Surgeons J Oral Maxillofac Surg 69:1436-1441, 2011
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OBJECTIVE: Define and compare numbers and types of occlusal contacts in maximum intercuspation. METHODS: The study consisted of clinical and photographic analysis of occlusal contacts in maximum intercuspation. Twenty-six Caucasian Brazilian subjects were selected before orthodontic treatment, 20 males and 6 females, with ages ranging between 12 and 18 years. The subjects were diagnosed and grouped as follows: 13 with Angle Class I malocclusion and 13 with Angle Class II Division 1 malocclusion. After analysis, the occlusal contacts were classified according to the established criteria as: tripodism, bipodism, monopodism (respectively, three, two or one contact point with the slope of the fossa); cuspid to a marginal ridge; cuspid to two marginal ridges; cuspid tip to opposite inclined plane; surface to surface; and edge to edge. RESULTS: The mean number of occlusal contacts per subject in Class I malocclusion was 43.38 and for Class II Division 1 malocclusion it was 44.38, this difference was not statistically significant (p>0.05). CONCLUSIONS: There is a variety of factors that influence the number of occlusal contacts between a Class I and a Class II, Division 1 malocclusion. There is no standardization of occlusal contact type according to the studied malocclusions. A proper selection of occlusal contact types such as cuspid to fossa or cuspid to marginal ridge and its location in the teeth should be individually defined according to the demands of each case. The existence of an adequate occlusal contact leads to a correct distribution of forces, promoting periodontal health.
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PURPOSE: The aim of this follow-up study was to evaluate the clinical usefulness of a new type of 3-dimensional (3D) miniplate for open reduction and monocortical fixation of mandibular angle fractures. PATIENTS AND METHODS: In 20 consecutive patients, noncomminuted mandibular angle fractures were treated with open reduction and fixation using a 2 mm 3D miniplate system in a transoral approach. All patients were systematically monitored until 6 months postoperatively. Among the outcome parameters recorded were infection, hardware failure, wound dehiscence, and sensory disturbance of the inferior alveolar nerve. RESULTS: The mean operation time from incision to wound closure was 65 minutes. Two patients had a mucosal wound dehiscence with no consequences. None developed an infection requiring a plate removal. All but 2 patients had normal sensory function 3 months after surgery. Plate fracture occurred in one patient in whom a preceding surgical removal of the third molar had been the reason for the mandibular fracture. In the absence of clinical symptoms, the patient declined plate removal. On final follow-up, fracture healing was considered clinically complete in all patients. CONCLUSIONS: The 3D plating system described here is suitable for fixation of simple mandibular angle fractures and is an easy-to-use alternative to conventional miniplates. The system may be contraindicated in patients in whom insufficient interfragmentary bone contact causes minor stability of the fracture.
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Characteristics of the impacts su!ered by the fruit on a transfer point of an experimental fruit packing line were analysed. The transfer is made up by two transporting belts at di!erent heights forming an angle of 903. These transfer points are very common in fruit packing lines, in which fruits receive two impacts: the "rst onto the belt base and the second into the lateral plate. Diferent tests were carried out to study the e!ect of transfer height, velocity, belt structure and padding on the acceleration values recorded by an instrumental sphere (IS 100). Results showed that transfer height and belt structure a!ect mainly impact values on the belt base, and padding a!ects mainly impact values registered for lateral contact. The elect of belt velocity in both impacts is less important when compared to the rest of the variables. Additionally, two powered transfer decelerators were tested at the same point with the aim of decreasing impacts su!ered by the fruit. Comparing impacts registered using these decelerators to those analysed in the first part of the study without decelerators, a high reduction of the impact values was observed.
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broken
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The principal theme of this thesis is the identification of additional factors affecting, and consequently to better allow, the prediction of soft contact lens fit. Various models have been put forward in an attempt to predict the parameters that influence soft contact lens fit dynamics; however, the factors that influence variation in soft lens fit are still not fully understood. The investigations in this body of work involved the use of a variety of different imaging techniques to both quantify the anterior ocular topography and assess lens fit. The use of Anterior-Segment Optical Coherence Tomography (AS-OCT) allowed for a more complete characterisation of the cornea and corneoscleral profile (CSP) than either conventional keratometry or videokeratoscopy alone, and for the collection of normative data relating to the CSP for a substantial sample size. The scleral face was identified as being rotationally asymmetric, the mean corneoscleral junction (CSJ) angle being sharpest nasally and becoming progressively flatter at the temporal, inferior and superior limbal junctions. Additionally, 77% of all CSJ angles were within ±50 of 1800, demonstrating an almost tangential extension of the cornea to form the paralimbal sclera. Use of AS-OCT allowed for a more robust determination of corneal diameter than that of white-to-white (WTW) measurement, which is highly variable and dependent on changes in peripheral corneal transparency. Significant differences in ocular topography were found between different ethnicities and sexes, most notably for corneal diameter and corneal sagittal height variables. Lens tightness was found to be significantly correlated with the difference between horizontal CSJ angles (r =+0.40, P =0.0086). Modelling of the CSP data gained allowed for prediction of up to 24% of the variance in contact lens fit; however, it was likely that stronger associations and an increase in the modelled prediction of variance in fit may have occurred had an objective method of lens fit assessment have been made. A subsequent investigation to determine the validity and repeatability of objective contact lens fit assessment using digital video capture showed no significant benefit over subjective evaluation. The technique, however, was employed in the ensuing investigation to show significant changes in lens fit between 8 hours (the longest duration of wear previously examined) and 16 hours, demonstrating that wearing time is an additional factor driving lens fit dynamics. The modelling of data from enhanced videokeratoscopy composite maps alone allowed for up to 77% of the variance in soft contact lens fit, and up to almost 90% to be predicted when used in conjunction with OCT. The investigations provided further insight into the ocular topography and factors affecting soft contact lens fit.
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Purpose: To compare monochromatic aberrations of keratoconic eyes when uncorrected, corrected with spherically-powered RGP (rigid gas-permeable) contact lenses and corrected using simulations of customised soft contact lenses for different magnitudes of rotation (up to 15°) and translation (up to 1mm) from their ideal position. Methods: The ocular aberrations of examples of mild, moderate and severe keratoconic eyes were measured when uncorrected and when wearing their habitual RGP lenses. Residual aberrations and point-spread functions of each eye were simulated using an ideal, customised soft contact lens (designed to neutralise higher-order aberrations, HOA) were calculated as a function of the angle of rotation of the lens from its ideal orientation, and its horizontal and vertical translation. Results: In agreement with the results of other authors, the RGP lenses markedly reduced both lower-order aberrations and HOA for all three patients. When compared with the RGP lens corrections, the customised lens simulations only provided optical improvements if their movements were constrained within limits which appear to be difficult to achieve with current technologies. Conclusions: At the present time, customised contact lens corrections appear likely to offer, at best, only minor optical improvements over RGP lenses for patients with keratoconus. If made in soft materials, however, these lenses may be preferred by patients in term of comfort. © 2012 The College of Optometrists.
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PURPOSE: To assess the surface tear breakup time and clinical performance of three daily disposable silicone hydrogel contact lenses over 16 hours of wear. METHODS: Thirty-nine patients (mean [±SD] age, 22.1 [±3.5] years) bilaterally wore (narafilcon A, filcon II-3, and delefilcon A) contact lenses in a prospective, randomized, masked, 1-week crossover clinical trial. Tear film was assessed by the tear meniscus height (TMH), ocular/contact lens surface temperature dynamics, and lens surface noninvasive breakup time at 8, 12, and 16 hours of wear. Clinical performance and ocular physiology were assessed by subjective questionnaire, by high-/low-contrast logMAR (logarithm of the minimum angle of resolution) acuity, and through bulbar and limbal hyperemia grading. Corneal and conjunctival staining were assessed after lens removal. RESULTS: Delefilcon A demonstrated a longer noninvasive breakup time (13.4 [±4.4] seconds) than filcon II-3 (11.6 [±3.7] seconds; p < 0.001) and narafilcon A (12.3 [±3.7] seconds; p < 0.001). A greater TMH (0.35 [±0.11] mm) was shown by delefilcon A than filcon II-3 (0.32 [±0.10] seconds; p = 0.016). Delefilcon A showed less corneal staining after 16 hours of lens wear (0.7 [±0.6] Efron grade) than filcon II-3 (1.1 [±0.7]; p < 0.001) and narafilcon A (0.9 [±0.7]; p = 0.031). Time was not a significant factor for prelens tear film stability (F = 0.594, p = 0.555) or TMH (F = 0.632, p = 0.534). Lens brand did not affect temperature (F = 1.220, p = 0.308), but it decreased toward the end of the day (F = 19.497, p < 0.001). Comfort, quality of vision, visual acuity and contrast acuity, and limbal grading were similar between the lens brands but decreased with time during the day (p < 0.05). CONCLUSIONS: The tear breakup time over the contact lens surface differed between lens types and may have a role in protecting the ocular surface.
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Hand hygiene is critical in the healthcare setting and it is believed that methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA), for example, is transmitted from patient to patient largely via the hands of health professionals. A study has been carried out at a large teaching hospital to estimate how often the gloves of a healthcare worker are contaminated with MRSA after contact with a colonized patient. The effectiveness of handwashing procedures to decontaminate the health professionals' hands was also investigated, together with how well different healthcare professional groups complied with handwashing procedures. The study showed that about 17% (9–25%) of contacts between a healthcare worker and a MRSA-colonized patient results in transmission of MRSA from a patient to the gloves of a healthcare worker. Different health professional groups have different rates of compliance with infection control procedures. Non-contact staff (cleaners, food services) had the shortest handwashing times. In this study, glove use compliance rates were 75% or above in all healthcare worker groups except doctors whose compliance was only 27%.