530 resultados para angiography
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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.
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INTRODUCTION AND OBJECTIVES: The aim of the present paper was to report trends in coronary angioplasty for the treatment of ST-elevation myocardial infarction (STEMI) in Portugal. METHODS: Prospective multicenter data from the Portuguese National Registry of Interventional Cardiology (RNCI) and official data from the Directorate-General for Health (DGS) were studied to analyze percutaneous coronary intervention (PCI) procedures for STEMI from 2002 to 2013. RESULTS: In 2013, 3524 primary percutaneous coronary intervention (p-PCI) procedures were performed (25% of all procedures), an increase of 315% in comparison to 2002 (16% of all interventions). Between 2002 and 2013 the rate increased from 106 to 338 p-PCIs per million population per year. Rescue angioplasty decreased from 70.7% in 2002 to 2% in 2013. During this period, the use of drug-eluting stents grew from 9.9% to 69.5%. After 2008, the use of aspiration thrombectomy increased, reaching 46.7% in 2013. Glycoprotein IIb-IIIa inhibitor use decreased from 73.2% in 2002 to 23.6% in the last year of the study. Use of a radial approach increased steadily from 8.3% in 2008 to 54.6% in 2013. CONCLUSION: During the reporting period there was a three-fold increase in primary angioplasty rates per million population. Rescue angioplasty has been overtaken by p-PCI as the predominant procedure since 2006. New trends in the treatment of STEMI were observed, notably the use of drug-eluting stents and radial access as the predominant approach.
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Background: Improving the transparency of information about the quality of health care providers is one way to improve health care quality. It is assumed that Internet information steers patients toward better-performing health care providers and will motivate providers to improve quality. However, the effect of public reporting on hospital quality is still small. One of the reasons is that users find it difficult to understand the formats in which information is presented. Objective: We analyzed the presentation of risk-adjusted mortality rate (RAMR) for coronary angiography in the 10 most commonly used German public report cards to analyze the impact of information presentation features on their comprehensibility. We wanted to determine which information presentation features were utilized, were preferred by users, led to better comprehension, and had similar effects to those reported in evidence-based recommendations described in the literature. Methods: The study consisted of 5 steps: (1) identification of best-practice evidence about the presentation of information on hospital report cards; (2) selection of a single risk-adjusted quality indicator; (3) selection of a sample of designs adopted by German public report cards; (4) identification of the information presentation elements used in public reporting initiatives in Germany; and (5) an online panel completed an online questionnaire that was conducted to determine if respondents were able to identify the hospital with the lowest RAMR and if respondents’ hospital choices were associated with particular information design elements. Results: Evidence-based recommendations were made relating to the following information presentation features relevant to report cards: evaluative table with symbols, tables without symbols, bar charts, bar charts without symbols, bar charts with symbols, symbols, evaluative word labels, highlighting, order of providers, high values to indicate good performance, explicit statements of whether high or low values indicate good performance, and incomplete data (“N/A” as a value). When investigating the RAMR in a sample of 10 hospitals’ report cards, 7 of these information presentation features were identified. Of these, 5 information presentation features improved comprehensibility in a manner reported previously in literature. Conclusions: To our knowledge, this is the first study to systematically analyze the most commonly used public reporting card designs used in Germany. Best-practice evidence identified in international literature was in agreement with 5 findings about German report card designs: (1) avoid tables without symbols, (2) include bar charts with symbols, (3) state explicitly whether high or low values indicate good performance or provide a “good quality” range, (4) avoid incomplete data (N/A given as a value), and (5) rank hospitals by performance. However, these findings are preliminary and should be subject of further evaluation. The implementation of 4 of these recommendations should not present insurmountable obstacles. However, ranking hospitals by performance may present substantial difficulties.
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Cardiovascular prevention has been developed in the last eight years producing an ever increasing amount of data requiring frequent updating. Studies using angiography to determine change in coronary obstruction have indicated progression, stabilization, or regression of coronary lesions associated with changes in plasma lipids and lipoproteins. Moreover, the guidelines on arterial hypertension published in 2007 listed the risk factors affecting prognosis but even by 2009 an update modified not only the list of risks, but even the philosophy behind the thought process which introduced as essential element in the prognosis of hypertension the ascertained existence of a damaged organ. Thus, the documentation of atherosclerotic vascular disease (plaques) and the quantification of its extension in the arterial tree became a determinant in the definition of cardiovascular risk. Magnetic Resonance (MRI) and coronary computed tomography (coro CT) applied to the heart and large vessels are the most promising methods.
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A 74-year-old man presented to our Emergency Department with acute dyspnoea. His electrocardiogram showed atrial flutter with 2:1 block and a rate of 150 bpm. Initial investigations revealed a D-dimer level of 6.01 mg/dl. Based on the patient’s complaints and the high D-dimer level, computed tomography pulmonary angiography was immediately performed. This showed no evidence of pulmonary embolism, but there were pneumatic changes in the right upper lung lobe. Antibiotics treatment was started with pipracillin/tazobactam, after which the patient’s condition improved. However, on the third day after admission he developed acute dyspnoea, diaphoresis and cardiopulmonary instability immediately after defecation. To promptly confirm our clinical suspicion of pulmonary embolism, a transthoracic echocardiography was carried out. This demonstrated a worm-like, mobile mass in the right heart. The right ventricle was enlarged, and paradoxical septal motion was present, indicating right ventricular pressure overload. The systolic tricuspid valvular gradient was 56 mmHg. The patient was treated with thrombolysis. His condition was greatly clinically improved after 3 hours. After 10 days of hospitalization, the patient was discharged.
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Objectives: We present an atypical case of chronic mesenteric ischemia with weight loss as only clinical manifestation and endoscopic findings imitating Crohn´s disease. Materials and Methods: A CT Angiography of abdomen confirmed the diagnosis of mesenteric ischemia after total occlusion of celiac trunk and superior mesenteric artery. Results: The patient died due to severe sepsis, as a result of extended bowel infarction. Conclusions: The diagnosis of chronic mesenteric ischemia requires a high degree of clinical suspicion and can be life-saving if early conducted.
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Introduction: The incidence of vertebral artery (VA) injury during cervical spine surgery is rare. Even though tamponade is effective in many cases, early consultation of an endovascular team is recommended if bleeding cannot be controlled. We report a case of emergent endovascular embolisation of left VA due to iatrogenic injury during anterior cervical disc removal and fusion. Case: A 47-year-old woman was admitted to our emergency department with serious arterial bleeding from the neck only hours after undergoing anterior cervical disc removal and fusion surgery. She was intubated and mechanically ventilated, however hemorrhage could not be successfully controlled by packing with surgical hemostatic agents. Cranial computed tomography, computed tomography of the cervical spine and CT angiography confirmed the suspected diagnosis of injury to the VA. Emergent endovascular embolisation successfully stopped the bleeding. Occlusion of the vessel was achieved by vascular plugging. The patient was discharged from our hospital 14 days after the intervention, receiving a revision surgery of the cervical spine on the day of embolisation. At the date of discharge she presented without any focal neurological deficit. Conclusion: Pre-operative radiographic imaging of the cervical spine should be used routinely to identify anatomic abnormalities of the vertebral arteries. Endovascular embolisation appears to be effective in treating acute iatrogenic dissection of the vertebral arteries.
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Introduction: Free tissue transfer using an abdominal tissue flap is a commonly used method of breast reconstruction. However, there are well recognised complications including venous congestion, fat necrosis and flap loss associated with the perfusion of these flaps. Post-operative aesthetic outcome assessment of such breast reconstructions have also proven to be difficult with current methods displaying poor inter-rater reliability and patient correlation. The aim of this research was to investigate potential improvements to the post-operative outcome of free abdominal tissue transfer breast reconstruction by assessing the effects of vascular augmentation interventions on flap perfusion and to assess the use of real-time digital video as a post-operative assessment tool. Methods: An in-vivo pilot study carried out on 12 patients undergoing DIEP flap breast reconstruction assessed the effect on Zone IV perfusion, using LDI and ICG angiography, of vascular augmentation of the flap using the contralateral SIEA and SIEV. A further animal experimental study was carried out on 12 Sprague Dawley rats to assess the effects on main pedicle arterial blood flow and on Zone I and Zone IV perfusion of vascular augmentation of the abdominal flap using the contralateral vascular system. A separate post-operative assessment study was undertaken on 35 breast reconstruction patients who evaluated their own reconstructions via patient questionnaire and underwent photograph and real-time digital video capture of their reconstructions with subsequent panel assessment. Results: Our results showed that combined vascular augmentation of DIEP flaps, using both the SIEA and SIEV together, led to an increase in Zone IV perfusion. Vascular augmentation of the rat abdominal flaps also led to a significant increase in Zone I/IV perfusion, but the augmentation procedure resulted in a decreased main pedicle arterial blood flow. Our post-operative assessment study revealed that real-time digital video footage led to greater inter-rater agreement with regards to cosmesis and shape than photography and also correlated more with patient self-assessment. Conclusion: Vascular augmentation of abdominal free tissue flaps using the contralateral vascular system results in an increase to Zone IV perfusion, however this may lead to decreased main pedicle arterial blood flow. Real-time digital video is a valid post-operative aesthetic assessment method of breast reconstruction outcome and is superior to static photography when coupled with panel assessment.
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Introduction: Intravenous thrombolysis in acute ischaemic stroke with alteplase improves clinical outcomes, but it has limited efficacy and is associated with increased risk of intracranial haemorrhage. An improved tissue plasminogen activator, tenecteplase, was evidenced to be at least equally effective with lower risk of haemorrhage in acute myocardial infarction thrombolysis. To date, two completed phase II randomised controlled studies comparing tenecteplase and alteplase in acute ischaemic strokes showed variable results. Methods: A literature review of thrombolytic agents used in myocardial infarction and acute ischaemic stroke was performed, followed by a retrospective investigation of the bolus-to- infusion delay of alteplase administration. The main focus of this thesis is the report of our single centre phase II randomised controlled trial that compared tenecteplase (0.25mg/kg, maximum 25mg) and alteplase (0.9mg/kg, maximum 90mg, 10% as the initial bolus, following by one hour infusion with the rest of the dose) in acute ischaemic stroke thrombolysis using advanced imaging as biomarkers. Imaging comprised baseline computed tomography (CT), CT perfusion (CTP) and CT angiography (CTA), and CT+CTA at 24-48 hours. The primary end-point was penumbral salvage (CTP-defined penumbra volume minus follow-up CT infarct volume). A sub-study of coagulation and fibrinolysis analysis of the two agents was performed by comparing a group of coagulation variables measured pre-treatment, 3-12 hours, and 24±3 hours post thrombolysis. An individual patient data (IPD) meta-analysis was carried out using all three completed tenecteplase/alteplase comparison studies in stroke thrombolysis. We compared clinical outcomes including modified Rankin scale at 3 months, early neurological improvement at 24 hours, intracerebral haemorrhage rate and mortality at 3 months between all three tenecteplase doses (0.1mg/kg, 0.25 mg/kg, and 0.4mg/kg) examined and standard alteplase. Imaging outcomes including penumbra salvage, recanalisation rates were also compared using the data from the two studies that had advance imaging carried out. Results: Delay between the initial bolus and the subsequent infusion in administration of alteplase is common. This may reduce the likelihood of achieving a good functional outcome. Among the 104 patients recruited in ATTEST trial, 71 contributed to the imaging primary outcome. No significant differences were observed for penumbral salvage [68 (SD 28) % tenecteplase vs 68 (SD 23) % alteplase], mean difference 1% (95% confidence interval -10%, 12%, p=0·81) or for any secondary end-point. The SICH incidence (1/52, 2% vs 2/51, 4%, by SITS-MOST definition, p=0·55; by ECASS-2 definition, 3/52, 6% tenecteplase vs 4/51, 8% alteplase, p=0.59) did not differed significantly. There was a trend towards lower ICH risk in the tenecteplase group (8/52 tenecteplase, 15% vs 14/51 alteplase, 29%, p=0·091). Compared to baseline, alteplase caused significant hypofibrinogenaemia (p=0.002), prolonged Prothrombin Time (PT) (p=0.011), hypoplasminogenaemia (p=0.001) and lower Factor V (p=0.002) at 3-12 hours after administration with persistent hypofibrinogenaemia at 24h (p=0.011), while only minor hypoplasminogenaemia (P=0.029) was seen in the tenecteplase group. Tenecteplase consumed less plasminogen (p<0.001) and fibrinogen (p=0.002) compared with alteplase. In a pooled analysis, tenecteplase 0.25mg/kg had the greatest odds to achieve early neurological improvement (OR [95%CI] 3.3 [1.5, 7.2], p=0.093), excellent functional outcome (mRS 0-1) at three months (OR [95%CI] 1.9 [0.8, 4.4], p= 0.28), with reduced odds of ICH (OR [95%CI] 0.6 [0.2, 1.8], P=0.43) compared with alteplase. Only 19 patients were treated with tenecteplase 0.4mg/kg, which showed increased odds of SICH compared with alteplase (OR [95% CI] 6.2 [0.7, 56.3]). In the two studies where advanced imaging was performed, the imaging outcomes did not differ in the IPD analysis. Conclusion: Tenecteplase 0.25 mg/kg has the potential to be a better alternative to alteplase. It can be given as a single bolus, does not cause disruption to systemic coagulation, and is possibly safer and more effective in clot lysis. Further phase III study to compare tenecteplase and alteplase in acute ischaemic stroke is warranted.
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This thesis describes the application of multispectral imaging to several novel oximetry applications. Chapter 1 motivates optical microvascular oximetry, outlines oxygen transport in the body, describes the theory of oximetry, and describes the challenges associated with in vivo oximetry, in particular imaging through tissue. Chapter 2 reviews various imaging techniques for quantitative in vivo oximetry of the microvasculature, including multispectral and hyperspectral imaging, photoacoustic imaging, optical coherence tomography, and laser speckle techniques. Chapter 3 describes a two-wavelength oximetry study of two microvascular beds in the anterior segment of the eye: the bulbar conjunctival and episcleral microvasculature. This study reveals previously unseen oxygen diffusion from ambient air into the bulbar conjunctival microvasculature, altering the oxygen saturation of the bulbar conjunctiva. The response of the bulbar conjunctival and episcleral microvascular beds to acute mild hypoxia is quantified and the rate at which oxygen diffuses into bulbar conjunctival vessels is measured. Chapter 4 describes the development and application of a highly novel non-invasive retinal angiography technique: Oximetric Ratio Contrast Angiography (ORCA). ORCA requires only multispectral imaging and a small perturbation of blood oxygen saturation to produce angiographic sequences. A pilot study of ORCA in human subjects was conducted. This study demonstrates that ORCA can produce angiographic sequences with features such as sequential vessel filling and laminar flow. The application and challenges of ORCA are discussed, with emphasis on comparison with other angiography techniques, such as fluorescein angiography. Chapter 5 describes the development of a multispectral microscope for oximetry in the spinal cord dorsal vein of rats. Measurements of blood oxygen saturation are made in the dorsal vein of both healthy rats, and in rats with the Experimental autoimmune encephalomyelitis (EAE) disease model of multiple sclerosis. The venous blood oxygen saturation of EAE disease model rats was found to be significantly lower than that of healthy controls, indicating increased oxygen uptake from blood in the EAE disease model of multiple sclerosis. Chapter 6 describes the development of video-rate red eye oximetry; a technique which could enable stand-off oximetry of the blood-supply of the eye with high temporal resolution. The various challenges associated with video-rate red eye oximetry are investigated and their influence quantified. The eventual aim of this research is to track circulating deoxygenation perturbations as they arrive in both eyes, which could provide a screening method for carotid artery stenosis, which is major risk-factor for stroke. However, due to time constraints, it was not possible to thoroughly investigate if video-rate red eye can detect such perturbations. Directions and recommendations for future research are outlined.
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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.
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OBJECTIVES: Due to the high prevalence of renal failure in transcatheter aortic valve replacement (TAVR) candidates, a non-contrast MR technique is desirable for pre-procedural planning. We sought to evaluate the feasibility of a novel, non-contrast, free-breathing, self-navigated three-dimensional (SN3D) MR sequence for imaging the aorta from its root to the iliofemoral run-off in comparison to non-contrast two-dimensional-balanced steady-state free-precession (2D-bSSFP) imaging. METHODS: SN3D [field of view (FOV), 220-370 mm(3); slice thickness, 1.15 mm; repetition/echo time (TR/TE), 3.1/1.5 ms; and flip angle, 115°] and 2D-bSSFP acquisitions (FOV, 340 mm; slice thickness, 6 mm; TR/TE, 2.3/1.1 ms; flip angle, 77°) were performed in 10 healthy subjects (all male; mean age, 30.3 ± 4.3 yrs) using a 1.5-T MRI system. Aortic root measurements and qualitative image ratings (four-point Likert-scale) were compared. RESULTS: The mean effective aortic annulus diameter was similar for 2D-bSSFP and SN3D (26.7 ± 0.7 vs. 26.1 ± 0.9 mm, p = 0.23). The mean image quality of 2D-bSSFP (4; IQR 3-4) was rated slightly higher (p = 0.03) than SN3D (3; IQR 2-4). The mean total acquisition time for SN3D imaging was 12.8 ± 2.4 min. CONCLUSIONS: Our results suggest that a novel SN3D sequence allows rapid, free-breathing assessment of the aortic root and the aortoiliofemoral system without administration of contrast medium. KEY POINTS: • The prevalence of renal failure is high among TAVR candidates. • Non-contrast 3D MR angiography allows for TAVR procedure planning. • The self-navigated sequence provides a significantly reduced scanning time.
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Angiodysplasias are one of the reasons of gastrointestinal bleeding, whose origin is usually due to vascular malformations. There are different types of therapies for angiodysplasia such as endoscopic, angiographic and pharmacological techniques. Among the last ones, there is little variety of effective drugs to treat the disease. We describe the therapeutic failure with thalidomide in a male with recurrent gastrointestinal bleeding due to angiodysplasias. A thorough diagnostic work-up, including gastroscopy, enteroscopy, angiography and capsule endoscopy were performed. Despite treatment with high-dose somatostatin analogues and oral iron, the patient continued bleeding. The patient was administered then thalidomide for three months with no clinical response. Thalidomide had to be withdrawn owing to adverse effects.