801 resultados para Osteoporosis
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Over the last two decades, the prevalence of obesity in the general population has been steadily increasing. Obesity is a major issue in scientific research because it is associated with many health problems, one of which is bone quality. In adult females, adiposity is associated with increased bone mineral density, suggesting that there is a protective effect of fat on bone. However, the association between adiposity and bone strength during childhood is not clear. Thus, the purpose of this study was to compare bone strength, as reflected by speed of sound (SOS), of overweight and obese girls and adolescents with normal-weight age-matched controls. Data from 75 females included normal-weight girls (G-NW; body fat:::; 25%; n = 21), overweight and obese girls (GOW; body fat ~ 28%; n = 19), normal-weight adolescents (A-NW, body fat:::; 25%; n = 13) and overweight and obese adolescents (A-OW; body fat ~ 28%; n = 22). Nutrition was assessed with a 24-hour recall questionnaire and habitual physical activity was measured for one week using accelerometry. Using quantitative ultrasound (QUS; Sunlight Omnisense™), bone SOS was measured at the distal radius and mid-tibia. No differences were found between groups in daily total energy, calcium or vitamin D intake. However, all groups were below the recommended daily calcium intake of 1300 mg (Osteoporosis Canada, 2008). Adolescents were significantly less active than girls (14.7 ± 0.6 vs. 6.3 ± 0.6% active for G and A, respectively). OW accumulated significantly less minutes of moderate-to-very vigorous physical activity per day (MVPA) than NW in both age groups (114 ± 6 vs. 57 ± 5 min/day for NW and OW, i respectively). Girls had significantly lower radial SOS (3794 ± 87 vs. 3964 ± 64 mls for G-NW and A-NW, respectively), and tibial SOS (3678 ± 86 vs. 3878 ± 52 mls for G-NW and A-NW, respectively) than adolescents. Radial SOS was similar in the two adiposity groups within each age group. However, tibial SOS was lower in the two overweight groups (3601 ± 75 mls vs. 3739 ± 134 mls for G-OW and A-OW, respectively) compared with the age-matched normal-weight controls. Body fat percentage negatively correlated with tibial SOS in the study sample as a whole (r = -0.30). However, when split into groups, percent bo~y fat correlated with tibial SOS only in the A-OW group (r = -0.53). MVPA correlated with tibial SOS (r = 0.40), once age was partialed out. In conclusion, in contrast withthe higher bone strength characteristic of obese adult women, overweight and obese girls and adolescents are characterized by low tibial bone strength, as assessed with QUS. The differences between adiposity groups in tibial SOS may be at least partially due to the reduced weight-bearing physical activity levels in the overweight girls and adolescents. However, other factors, such as hormonal influences associated with high body fat may also playa role in reducing bone strength in overweight girls. Further research is required to reveal the mechanisms causing low bone strength in overweight and obese children and adolescents.
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Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Biología Molecular e Ingeniería Genética) UANL
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Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Introduction : L’ostéoporose constitue un problème de santé publique important vu les conséquences graves des fractures ostéoporotiques. Toutefois, le dépistage et le traitement de l’ostéoporose sont grandement sous-optimaux. De nouvelles interventions visant à améliorer le dépistage et le traitement de l’ostéoporose sont donc nécessaires. Objectifs : L’objectif global de ce programme de recherche était d’évaluer quelles avenues devraient être privilégiées pour le développement de futures interventions visant à améliorer le dépistage et le traitement de l’ostéoporose en soins de première ligne. Pour ce faire, trois projets ont été réalisés, dont les objectifs étaient les suivants : 1) évaluer l’impact d’un atelier de formation offert à des médecins de famille sur les pratiques préventives associées à l’ostéoporose (premier projet de recherche); 2) évaluer l’efficacité globale des interventions dans le domaine de l’ostéoporose en soins de première ligne (deuxième projet de recherche); et 3) explorer les perceptions des pharmaciens communautaires, des directeurs d’agences de santé publique et du Ministère de la santé et des services sociaux du Québec (MSSSQ) concernant le rôle des pharmaciens dans la prévention des maladies et la promotion de la santé et spécifiquement dans le domaine de l’ostéoporose et de la prévention des chutes (troisième projet de recherche). Méthodologie : D’abord, une étude de cohorte a été réalisée avec les données administratives de la Régie de l’assurance maladie du Québec (premier projet de recherche). Ensuite, une revue systématique avec méta-analyse concernant l’efficacité des interventions visant à améliorer le dépistage et le traitement de l’ostéoporose en soins de première ligne a été effectuée (deuxième projet de recherche). Finalement, une étude transversale avec volet qualitatif a été réalisée chez des pharmaciens communautaires, des directeurs d’agences de santé publique et la directrice de la prévention des maladies chroniques du MSSSQ (troisième projet de recherche). Résultats : Dans le premier projet de recherche, bien que la participation des médecins de famille à l’atelier entraînait une amélioration des pratiques préventives liées à l’ostéoporose, celles-ci sont demeurées grandement sous-optimales. Au niveau du deuxième projet de recherche, il a été observé que les interventions comprenant plusieurs composantes et ciblant les médecins de famille et leurs patients pouvaient améliorer les pratiques préventives de l’ostéoporose, mais ces améliorations étaient souvent modestes du point de vue clinique. Finalement, le troisième projet de recherche a démontré que les pharmaciens communautaires, les directeurs d’agences de santé publique et la direction de la prévention des maladies chroniques du MSSSQ considèrent que les pharmaciens devraient jouer un rôle significatif dans la prévention des maladies et la promotion de la santé et spécifiquement dans le domaine de l’ostéoporose et de la prévention des chutes. Néanmoins, à cause de nombreuses barrières organisationnelles, un large écart existe entre le niveau d’implication idéal et réel des pharmaciens dans l’offre de ces services. Conclusion : Les futures interventions à être développées devront être multidisciplinaires, comprendre plusieurs composantes et cibler les barrières à l’application des recommandations des guides de pratiques cliniques. L’implication plus intensive des pharmaciens communautaires et des infirmières cliniciennes constitue une avenue particulièrement intéressante pour le développement de futures interventions.
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Le développement et l'homéostasie des os requièrent l'orchestration spatio-temporelle d'un grand nombre de signaux moléculaires. Ces signaux entraînent l'activation ou l'inhibition de différents facteurs de transcription, lesquels sont en mesure de contrôler la prolifération et la différenciation des ostéoblastes et des chondrocytes. L'intégrité de ces différents mécanismes se doit d'être maintenu tout au long de la vie. Ainsi, une anomalie dans l'un de ces mécanismes conduit à l'apparition de pathologies osseuses et métaboliques telles qu’une hypophosphatémie, l'ostéoporose ou l'ostéoarthrite (OA). Afin d'en apprendre davantage sur la biologie osseuse, le projet décrit dans cette thèse a pour objectif de caractériser de nouveaux mécanismes de régulation transcriptionnelle pour deux gènes importants dans le développement des os et le maintien de leur intégrité. Il s’agit du Paired-like Homeodomain Transcription Factor 1 (PITX1) et du Phosphate-regulating gene with homology to endopeptidase on the X chromosome (PHEX). Le premier mécanisme présenté dans cette thèse concerne la régulation transcriptionnelle du gène PITX1, un facteur de transcription à homéodomaine nécessaire, notamment, au développement des os des membres inférieurs et au maintien de l'intégrité du cartilage articulaire chez l'adulte. Ainsi, dans les chondrocytes articulaires, on note que l'expression de PITX1 est assurée par le recrutement du facteur de transcription E2F1 à deux éléments de réponse présents dans la région proximale du promoteur de PITX1. Aussi, dans les chondrocytes articulaires de patients souffrant d'OA, dans lesquels l'expression de PITX1 est fortement diminuée, un mécanisme de répression transcriptionnelle, lequel implique la protéine multifonctionnelle Prohibitin (PHB1), semble être activé. En effet, dans ces chondroytes, on note une forte accumulation nucléaire de PHB1 comparativement aux chondrocytes articulaires de sujets sains. Le second mécanisme présenté dans cette thèse concerne la répression transcriptionnelle de PHEX, la peptidase mutée dans le syndrome d'hypophosphatémie lié au chromosome X (X-Linked Hypophosphatemia, XLH), lequel se caractérise par une hypophosphatémie et une ostéomalacie. Le traitement d'ostéoblastes à la Parathyroid hormone-related protein (PTHrP) permet d’observer la répression de PHEX. Afin de caractériser le mécanisme responsable de cette répression, des expériences de gènes rapporteurs ont révélé la présence de deux éléments de réponse pour le répresseur transcriptionnel E4BP4 dans le promoteur de PHEX. La suppression de l'expression d'E4BP4 par l'utilisation d'ARN d'interférence a permis de valider que ce facteur de transcription est responsable de la répression de PHEX suite au traitement d'ostéoblastes à la PTHrP. En somme ces nouveaux mécanismes de régulation transcriptionnelle permettent de mieux comprendre la régulation de l'expression de PITX1 et de PHEX. Aussi, cette nouvelle implication de PHB1 dans la pathogenèse de l'OA offre de nouvelles possibilités de traitement et pourrait servir pour le diagnostic précoce de cette pathologie. Enfin, la caractérisation d'E4BP4 en tant que médiateur pour la répression de PHEX par la PTHrP suggère que ce répresseur transcriptionnel pourrait être impliqué dans le contrôle de la minéralisation des os et des niveaux de phosphate sanguin.
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Introduction. L’ostéoporose est une maladie chronique habituellement asymptomatique jusqu’à ce qu’il y ait fracture de fragilisation (FF). Ces fractures engendrent des coûts importants dont une partie pourrait être évitée par la prise en charge de ces patients pour l’ostéoporose. L’implantation d’un programme de prévention des fractures subséquentes géré par des infirmières en orthopédie pourrait permettre de parer à ces problèmes. Objectifs. L’objectif principal de ce projet était de déterminer si une infirmière peut gérer de façon efficace et sécuritaire un service de liaison pour fracture. Méthode. Les décisions cliniques d’infirmières entre 2010 et 2012 pour 525 patients d’un service de liaison pour fracture à l’étude ont été évaluées par deux médecins spécialistes indépendants avec expertise dans les soins pour l’ostéoporose. Résultats. Les infirmières ont pu identifier la totalité des sujets à risque et référer 26.7% de ceux-ci à un spécialiste. L’accord entre chacun des évaluateurs et les infirmières était de >97%. Les évaluateurs ont donné les mêmes réponses à >96% pour chaque type de décision et le niveau d’accord inter-juge était presque parfait (AC1 >0.960). Aucune référence n’a été jugée inutile. Les comorbidités majeures ont toutes été prises en charge. Conclusion. L’accord élevé entre les décisions cliniques des infirmières et des médecins évaluateurs démontre que la prise en charge par une infirmière est sécuritaire et recommandable pour les patients avec FF. Ce type d’intervention pourrait contribuer à résoudre les problèmes d’accessibilité aux soins chez les patients avec fragilité osseuse, ainsi qu’à diminuer le fardeau économique que représente le traitement des FF pour la société.
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Au cours des dernières années, le développement des connaissances au niveau de l’étiologie de la maladie ainsi que l’arrivée de nouveaux médicaments et de lignes directrices guidant la pratique clinique sont susceptibles d’avoir entraîné une meilleure gestion de la polyarthrite rhumatoïde (PAR) et de l’ostéoporose, une comorbidité fréquente chez ces patients. Dans cette thèse, trois questions de recherche sont étudiées à l’aide des banques de données administratives québécoises (RAMQ, MED-ÉCHO). Une première étude documente l’utilisation des médicaments pour la PAR au Québec. À ce jour, il s’agit de la seule étude canadienne à rapporter les tendances d’utilisation des DMARD (disease-modifying antirheumatic drug) biologiques depuis leur introduction dans la pratique clinique. Au cours de la période à l’étude (2002-2008), l’utilisation de DMARD (synthétiques et biologiques) a augmenté légèrement dans la population atteinte de PAR (1,9%, 95% CI : 1,1 - 2,8). Cependant, malgré la présence de recommandations cliniques soulignant l’importance de commencer un traitement rapidement, et la couverture de ces traitements par le régime général d’assurance médicaments, les résultats démontrent une initiation sous-optimale des DMARD chez les patients nouvellement diagnostiqués (probabilité d’initiation à 12 mois : 38,5%). L’initiation de DMARD était beaucoup plus fréquente lorsqu’un rhumatologue était impliqué dans la provision des soins (OR : 4,31, 95% CI : 3,73 - 4,97). Concernant les DMARD biologiques, le facteur le plus fortement associé avec leur initiation était l’année calendrier. Chez les sujets diagnostiqués en 2002, 1,2 sur 1 000 ont initié un DMARD biologique moins d’un an après leur diagnostic. Pour ceux qui ont été diagnostiqués en 2007, le taux était de 13 sur 1 000. Les résultats démontrent que si la gestion pharmacologique de la PAR s’est améliorée au cours de la période à l’étude, elle demeure tout de même sous-optimale. Assurer un meilleur accès aux rhumatologues pourrait, semble-t-il, être une stratégie efficace pour améliorer la qualité des soins chez les patients atteints de PAR. Dans une deuxième étude, l’association entre l’utilisation des DMARD biologiques et le risque de fractures ostéoporotiques non vertébrales chez des patients PAR âgés de 50 ans et plus a été rapportée. Puisque l’inflammation chronique résultant de la PAR interfère avec le remodelage osseux et que les DMARD biologiques, en plus de leur effet anti-inflammatoire et immunosuppresseur, sont des modulateurs de l’activité cellulaire des ostéoclastes et des ostéoblastes pouvant possiblement mener à la prévention des pertes de densité minérale osseuse (DMO), il était attendu que leur utilisation réduirait le risque de fracture. Une étude de cas-témoin intra-cohorte a été conduite. Bien qu’aucune réduction du risque de fracture suivant l’utilisation de DMARD biologiques n’ait pu être démontrée (OR : 1,03, 95% CI : 0,42 - 2,53), l’étude établit le taux d’incidence de fractures ostéoporotiques non vertébrales dans une population canadienne atteinte de PAR (11/1 000 personnes - années) et souligne le rôle d’importants facteurs de risque. La prévalence élevée de l’ostéoporose dans la population atteinte de PAR justifie que l’on accorde plus d’attention à la prévention des fractures. Finalement, une troisième étude explore l’impact de la dissémination massive, en 2002, des lignes directrices du traitement de l’ostéoporose au Canada sur la gestion pharmacologique de l’ostéoporose et sur les taux d’incidence de fractures ostéoporotiques non vertébrales chez une population de patients PAR âgés de 50 ans et plus entre 1998 et 2008. Étant donné la disponibilité des traitements efficaces pour l’ostéoporose depuis le milieu des années 1990 et l’évolution des lignes directrices de traitement, une réduction du taux de fractures était attendue. Quelques études canadiennes ont démontré une réduction des fractures suivant une utilisation étendue des médicaments contre l’ostéoporose et de l’ostéodensitométrie dans une population générale, mais aucune ne s’est attardée plus particulièrement sur une population adulte atteinte de PAR. Dans cette étude observationnelle utilisant une approche de série chronologique, aucune réduction du taux de fracture après 2002 (période suivant la dissémination des lignes directrices) n’a pu être démontrée. Cependant, l’utilisation des médicaments pour l’ostéoporose, le passage d’ostéodensitométrie, ainsi que la provision de soins pour l’ostéoporose en post-fracture ont augmenté. Cette étude démontre que malgré des années de disponibilité de traitements efficaces et d’investissement dans le développement et la promotion de lignes directrices de traitement, l’effet bénéfique au niveau de la réduction des fractures ne s’est toujours pas concrétisé dans la population atteinte de PAR, au cours de la période à l’étude. Ces travaux sont les premiers à examiner, à l’aide d’une banque de données administratives, des sujets atteints de PAR sur une période s’étalant sur 11 ans, permettant non seulement l’étude des changements de pratique clinique suivant l’apparition de nouveaux traitements ou bien de nouvelles lignes directrices, mais également de leur impact sur la santé. De plus, via l’étude des déterminants de traitement, les résultats offrent des pistes de solution afin de combler l’écart entre la pratique observée et les recommandations cliniques. Enfin, les résultats de ces études bonifient la littérature concernant la qualité des soins pharmacologiques chez les patients PAR et de la prévention des fractures.
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Introducción: la vitamina D es una hormona encargada de la homeostasis del calcio, su carencia está implicada en patologías del sistema óseo e inmune, se obtiene de la síntesis cutánea tras la exposición solar e ingesta de algunos alimentos. Objetivo: determinar la prevalencia y los factores asociados a Hipovitaminosis D en mujeres que acuden a un Instituto endocrinológico en la Ciudad de Bogotá. Diseño: Se estudiaron 156 mujeres adultas con patologías endocrino-metabólicas residentes en Bogotá, (~latitud 4°N), atendidas en la misma institución y con las mismas técnicas de laboratorio y de imagen, La información fue recogida de las historias clínicas electrónicas, y analizada con el programa estadístico SPSS v17. Resultados: la prevalencia de hipovitaminosis D (<30ng/mL) fue de 76.9% La mediana de vitamina D fue 22.68 ng/ml ±11.05, y de PTH fue 48.89 pg/ml ±23.64. Entre las pacientes con hipovitaminosis, el 51.7% cursó con osteopenia y el 60% con Hipotiroidismo. Del grupo sin carencia de vitamina D, el 47.2% registraron sobrepeso y el 41.7% presentó osteopenia. Se encontró relación significativa con menopausia con una p: 0.0048. No se encontró relación con PTH ni niveles de densidad mineral ósea. Conclusión: la población se seleccionó por disponibilidad de mediciones de vitamina D, sin embargo sus características pudieron influir en los resultados, existe un porcentaje importante de mujeres afectadas por la hipovitaminosis D, en quienes no se observo relación con los factores encontrados en otros estudios, se requeriría una exploración en la que se consideren factores como dieta y exposición solar.
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Si usted camina menos de 5 mil pasos diarios, clasifica como una persona sedentaria y tiene dos veces más riesgo de padecer una enfermedad cardiovascular, diabetes de tipo II, obesidad, cáncer de colon, de próstata y de seno, hipertensión arterial, osteoporosis, depresión y hasta ansiedad. Esta perspectiva, poco saludable, es el reflejo fiel de un estilo de vida moderno que, debido a la tecnificación, no exige ningún esfuerzo físico y, en consecuencia, puede desencadenar a largo plazo enfermedades crónicas y riesgos que atentan contra el bienestar y la calidad de vida de la población. Los datos epidemiológicos en el mundo han alertado sobre el fenómeno del sedentarismo y el impacto de éste en la salud de los pueblos, por su evidente relación con la aparición de enfermedades crónicas degenerativas y no transmisibles y, además, por el costo que tiene atender a los usuarios y el monto de los recursos para brindar apoyo técnico-profesional especializado en los procesos de rehabilitación de esas personas. En el año 2001, las enfermedades no transmisibles fueron la causa de casi el 60% de las 56 millones de muertes al año, en el mundo. Entre los factores de riesgo identificados están: la falta de actividad física, la hipertensión arterial, hipercolesterolemia, escasa ingesta de frutas y hortalizas, obesidad y consumo de tabaco. Entre 1985 y 1995, estas patologías fueron consideradas como la causa de cerca del 30% de muertes en Colombia, es decir, una tercera parte del total. Frente a esta situación creciente, la prevención de las enfermedades no transmisibles constituye un gran desafío para la salud pública mundial. Por esta razón, es indispensable la comprensión del fenómeno del sedentarismo como un problema estructural que incide en la presencia de enfermedades no transmisibles.De igual forma, es urgente desarrollar unos lineamientos con el fin de disminuir los riesgos en salud, recapacitar acerca del individualismo generado por la misma sociedad –particularmente en los niños– y generar conciencia frente a la importancia de la actividad física. Para atender esta problemática y mirando al cuerpo desde una perspectiva diferente de algunos parámetros como el aumento de la productividad, la disminución de ausencias (esquema de salud ocupacional), el alivio de lesiones (esquema terapéutico) o la prevención de enfermedades (esquema patológico), la Universidad del Rosario, a través de su grupo de investigación en Actividad Física y Desarrollo Humano(...), está trabajando en proyectos orientados a investigar y promover la actividad física como una estrategia económica y efectiva para combatir el fenómeno del sedentarismo y, de esta manera, contribuir en la creación de una nueva dinámica social que busca compartir, recrear y, construir tejido social de una manera distinta, por salud, por bienestar físico, mental y colectivo. Esta labor implica una acción social más contundente, porque está en juego no solamente el movimiento de músculos y la activación del cuerpo, sino también, la relación social construida en la interacción, ya que muchas actividades se ejecutan por medios interactivos y, por esta razón, se aíslan los individuos. Así las cosas, el fomento a la actividad física involucra la idea de utilizar el tiempo libre de manera activa y facilitar la interacción social, pues a diferencia de un videojuego, que aísla, una caminata se puede realizar en compañía y es propicia para conversar. Y aunque en el imaginario colectivo se piensa en el gimnasio cuando se habla de actividad física, ésta no tiene que ser tan formal como un deporte, sino que intenta orientar a la persona, aparentemente saludable y sin patologías, para mantenerla en esa condición de salud y mejorar su calidad de vida. El hecho es que motivar a las personas para que realicen una actividad física determinada y regular, no es tarea fácil debido a factores culturales y conductas sociales e individuales proclives al sedentarismo, como el uso prolongado de Internet, los videojuegos, la falta de tiempo, el exceso de peso, los entornos inadecuados y la ausencia de escenarios aptos para estas prácticas. Tampoco ha sido fácil que los gobernantes se interesen en desarrollar la política y los lineamientos de la Organización Mundial de la Salud (OMS), según los cuales se requiere de un entorno adecuado. A diferencia de países como Estados Unidos o Canadá, en el presupuesto colombiano no existe un rubro específico para el fomento de la actividad física, desligado del deporte, de los gimnasios o el alto rendimiento. Por eso, más que un fin, este trabajo investigativo es el punto de partida para estudiar los patrones culturales y las variables sociales que limitan o favorecen la práctica de la actividad física. Adicionalmente, esta labor sirve como base para desarrollar una política pública que articule el sector oficial y no oficial, el público y el privado y, de esta manera, se sumen esfuerzos hacia el fomento de la actividad física porque el problema del sedentarismo está latente y es el detonante para disparar todos los índices epidemiológicos en el país
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Introducción: la osteoporosis es un problema prevalente con alta morbilidad en los pacientes trasplantados hepáticos. Determinar, en una serie de casos (enero 2010- abril 2012) los cambios en la densidad mineral ósea un año después del trasplante hepático en pacientes mayores de 15 años en la fundación Cardioinfantil. Métodos: de 93 pacientes trasplantados, 35 fueron elegibles (tenían densitometria en el año previo y posterior (±3meses) al trasplante, con equipos de la mismas características. Se analizó el T, Z score dependiendo de la edad y densidad mineral ósea de mínimo 2 puntos. Resultados: la mediana de la edad fue 56 años, el 51% de la población fue masculina. La causa más frecuente de trasplante fue alcoholismo (28,6%). Se usaron las definiciones de la OMS para osteoporosis y osteopenia. Las medias (intervalo de confianza del 95%) del cambio en la densidad mineral ósea en porcentaje en columna fue de 1,26% (-11,44, ,13,96); en fémur derecho -5,21(-19,0 , 8,62); fémur izquierdo -7,11 (-20,61 , 6,39); cadera derecha -2,95 (-16,19 , 10,24); en cadera izquierda -8 (-22,93 , 6,93) Conclusiones: la prevalencia de osteoporosis pre trasplante fue similar a la mayoría de estudios, siendo mayor en columna y cuello femoral. Se encontró ganancia no significativa en la densidad mineral ósea a nivel de columna, con pérdida en las demás regiones de magnitud mayor que en otros estudios. Se requieren nuevos estudios para identificar factores de riesgo para pérdida ósea pre y pos trasplante. Métodos: De 93 pacientes trasplantados, 35 fueron elegibles (tenían densitometria en el año previo y posterior (±3meses) al trasplante, con equipos de la mismas características. Se analizó el T, Z score dependiendo de la edad y densidad mineral ósea de mínimo 2 puntos. Resultados: La mediana de la edad fue 56 años, el 51% de la población fue masculina. La causa más frecuente de trasplante fue alcoholismo (28,6%). Se usaron las definiciones de la OMS para osteoporosis y osteopenia. Las medias (intervalo de confianza del 95%) del cambio en la densidad mineral ósea en porcentaje en columna fue de 1,26% (-11,44, ,13,96); en fémur derecho -5,21(-19,0 , 8,62); fémur izquierdo -7,11 (-20,61 , 6,39); cadera derecha -2,95 (-16,19 , 10,24); en cadera izquierda -8 (-22,93 , 6,93) Conclusiones: La prevalencia de osteoporosis pre trasplante fue similar a la mayoría de estudios, siendo mayor en columna y cuello femoral. Se encontró ganancia no significativa en la densidad mineral ósea a nivel de columna, con pérdida en las demás regiones de magnitud mayor que en otros estudios. Se requieren nuevos estudios para identificar factores de riesgo para pérdida ósea pre y pos trasplante.
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Introducción: Las fracturas intertrocantéricas han llegado a nuestros días con una mayor incidencia dado el envejecimiento de la población, con fracturas más complejas, menos estables y asociadas a osteoporosis, se estima que representan aproximadamente 1,75 millones de años de vida perdidos ajustados a discapacidad es decir 0,1% de la carga de morbilidad a nivel mundial. Existe consenso en el tratamiento quirúrgico de este tipo de fracturas, presentando una incidencia variable de fallos, principalmente cuando son inestables, entre estos el denominado “cuto ut”. La utilización de un método de fijación con placa y tornillo helicoidal (DHHS) aparentemente disminuye la incidencia de dichos fallos con respecto a otras técnicas. Metodología: Por medio de una muestra calculada en 128 de pacientes con fracturas intertrocantéricas operados con DHS y DHHS entre el 2007 y el 2012 en La Clínica San Rafael de la ciudad de Bogotá, Colombia, se realizó un análisis multivariado para determinar si existe o no diferencias significativas en los índices de fallo entre estas dos técnicas. Resultados: Los pacientes incluidos en el estudio 54 (42,1%) fueron hombres y 74 (57,8%) fueron mujeres. 75 fueron operados con DHHS y 53 con DHS; en cuanto a las comorbilidades las principales fueron Hipertensión con 40 pacientes para DHS y 30 para DHHS, para el caso de Diabetes Mellitus fueron 13 y 9 para DHS y DHHS, respectivamente; en cuanto al tipo de fractura más común la principal fue la clasificación Tronzo II con 9 pacientes para DHS y 13 para DHHS. Conclusión. Para el estudios se evidencia que para los 3 desenlaces principales evaluados, 1. El porcentaje de re intervención (p=0,282), 2. La supervivencia en el primer año (p=0,499) y 3. El desempeño funcional con la escala de Oxford (p=0,06); no hubo diferencias estadísticamente significativas entre los grupos.
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Introducción: Los adultos mayores de Medellín presentan condiciones de vulnerabilidad económica, social, ambiental y de salud general; en los hogares geriátricos se presenta mayor deterioro de la calidad de vida relacionada con la salud (CVRS). Objetivo: Comparar el perfil de CVRS de adultos mayores de hogares geriátricos públicos y privados de Medellín. Materiales y métodos: Estudio transversal correlacional en 220 adultos mayores seleccionados mediante muestreo probabilístico. Se empleó el WHOQOL-BREF y la ficha clínica de cada individuo. Se evaluó la fiabilidad de la escala mediante alfa de Cronbach, consistencia interna y validez discriminante mediante correlaciones de Pearson, los análisis de CVRS se basaron en medidas de resumen y frecuencia, pruebas paramétricas y no paramétricas y regresión lineal. Resultados: Se halló HTA del 50 %, diabetes mellitus 23,6 %, dislipidemias 22,3 % y osteoporosis 15 %. El WHOQOL-BREF presentó excelente fiabilidad, consistencia interna y validez discriminante; el mejor puntaje fue el de salud psicológica y el peor en relaciones sociales. No se hallaron diferencias en la CVRS según el tipo de hogar geriátrico y sus principales factores fueron la satisfacción con el apoyo familiar y del hogar, y la participación en grupos sociales. Conclusión: Se identificaron algunos factores determinantes de la CVRS que evidencian su muldimensionalidad; información relevante para investigaciones posteriores y para la implementación de políticas de salud pública y acciones en clínica
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Objetivo: Describir los niveles de vitamina D y calcular prevalencia de déficit de vitamina D en mujeres postmenopáusicas mayores de 50 años que asisten a consulta de medicina general en una muestra en de la ciudad de Bogotá durante el periodo 2013-2014. Pacientes y métodos: Realizamos un estudio descriptivo para estimar el déficit de VD en mujeres postmenopáusicas entre 50 y 80 años en la ciudad de Bogotá y la prevalencia de hipovitaminosis D. Durante el periodo octubre 2013 a octubre 2014 se analizaron 320 muestras, se identificaron las características socio-demográficas, patológicas y la exposición a radiación ultravioleta de cada participante. Se realizó un análisis descriptivo de las variables, se estableció su asociación con el déficit de vitamina D su aporte estadístico con al mismo. Resultados :El promedio de edad en la muestra fue de 61 años y el promedio de edad en la que reportaron la ultima menstruación fue a los 43 años. Con respecto a las características socio-demográficas 50% de las mujeres pertenecieron a los estratos 3 y 4, únicamente 11% de los pacientes realizaron una carrera universitaria y 73% de la mujeres fueron amas de casa. Con respecto a los niveles de vitamina D, 81% de los pacientes presentaron niveles anormales y el promedio de 25(OH)D en la población estudio fue de 19,81ng/ml. Conclusión: La prevalencia de déficit de vitamina D en mujeres bogotanas postmenopáusicas es significativo. Se requiere incrementar la exposición solar o dar suplencia con vitamina D para disminuir el riesgo de fracturas.
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Esta investigación busca, a través de herramientas logísticas, mejorar el flujo de pacientes con fractura de cadera dentro del Hospital Universitario Mayor. Para cumplir con estos objetivos, se hizo un análisis de la situación actual, que tenía como propósito identificar cuellos de botella, y una revisión bibliográfica de otros estudios que serían un apoyo a las propuestas que se plantearían para el plan piloto inicial. Esta investigación contara con el apoyo de un grupo interdisciplinario (ortopedistas, estudiantes de administración, estudiante de medicina) que apoyara la investigación en su etapa inicial, diagnostico, etapa secundaria, plan piloto, y su etapa final que busca ajustar las propuestas según los resultados obtenidos para plantear el nuevo protocolo de manejo de fractura de cadera en el HUM.
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Introducción: La fractura de cadera se presenta predominantemente en población mayor; se espera que para el año 2050 se presenten alrededor de 6 millones de fracturas de cadera a nivel global. Parkkari et al (1). Dado que el sistema de salud colombiano dificulta el seguimiento adecuado de los pacientes y su manejo posoperatorio integral, desconocen las estadísticas reales de los desenlaces funcionales, mortalidad y complicaciones asociadas a la fractura de cadera. Método: Estudio observacional descriptivo de corte transversal. Mediante una encuesta telefónica cuyo objetivo fue determinar el manejo intra y extra hospitalario por los servicios de rehabilitación y ortopedia, describir la mortalidad y la recuperación funcional percibidos por los encuestados. Resultados: De 286 pacientes intervenidos, 116 aceptaron participar (24% hombres y 76% mujeres). Edades entre 65 y 99 años (media: 81.3 años). En el primer año después de la cirugía, el 29% de los pacientes presento al menos un reingreso hospitalario; la mortalidad en el grupo femenino fue de 23% frente a un 43% en el grupo masculino. El 98% de los pacientes deambulaba previo a la cirugía, frente a un 78% de los pacientes a un año del procedimiento, 83 pacientes refirieron complicaciones pos-operatorias. En el grupo entre 65 y 74 años la capacidad de deambular posterior al procedimiento fue de 84%, para las edades entre 75 a 84 años fue del 82% y en los mayores de 85 años del 75%. Conclusiones: La recuperación funcional de los pacientes intervenidos por fractura de cadera, difícilmente llegan a alcanzar el estado funcional previo a la fractura, lo cual se traduce en situaciones de dependencia, riesgo de caída y complicaciones médicas.