982 resultados para Llull, Ramon, 1232 o 3-1315 o 6
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1) Depois de 2 anos de observação após o tratamento com penicilina em doses baixas, verificou-e que de 30 pacientes tratados com lesões boubáticas primo-secundárias, 13 mantinham-se curados clínica e sorològicamente. Quatro pacientes continuavam com cura clínica, mas com R. Wa. positiva. Os 13 doentes acima citados ofereceram as seguintes médias: Média das idades [...] 9 anos. Média da duração do tratamento [...] 30 dias. Média das doses totais de penicilina [...] 45.000 unidades. Média dos intervalos da injeções [...] 6/6 horas. Entretanto, doses variando de 72.000 a 200.000 unidades, em tratamento de 1 a 4 dias fracassaram. A distribuição dos 30 tratados segundo a duração do tratamento, mostra que os resultados mais favoráveis foram obtidos com os tratamento mais longos. A distribuição segundo a dose, demonstra o mesmo para aquelas compreendidas entre 21.000 e 50.000 unidades. A distribuição em grupos etários, revela o mesmo para aquele de 1 a 8 anos e finalmente a distribuição segundo a frequencia das injeções, indica o mesmo para o grupo de 8/8 a 12/12 horas. Êste último fato, justificou a abolição das aplicações noturnas. Os resultados mais favoráveis nas idades mais baixas, demonstraram, seja insuficiência das dosagens, seja u'a maior resistência ao tratamento por parte dos casos de mais longa duração. 2) Depois de 2 anos de observação após o tratamento com penicilina em doses baixas, de 6 pacientes com lesões boubáticas terciáras, 5 continuavam curados clínica e sorològicamente. O doente restante continuava com cura clínica, mas com R. Wa. positiva. Êste doente fôra superinoculado experimentalmente e não recebera tratamento em seguida, havendo probabilidade de a experiência ter concorrido para a permanência da sorologia positiva. A duração do tratamento variou de 1 mês e 27 dias a 8 meses e 22 dias e as doses totais de penicilina de 164.000 a 586.000 unidades. 3) Depois de 2 anos de observação após tratamento com néo-arsfenamina, de 4 boubáticos com lesões terciárias, apenas 2 continuavam curados clínica e sorològicamente. Os outros 2, não apresentavam sinais de doença mas continuavam com a R. Wa positiva. A duração do tratamento variou de 1 mês e 15 dias a 14 meses e a dosagem do medicamento de 2.10 grs. a 17.10 gr. 4) Depois de um ou dois anos de observação após o tratamento com penicilina isolada por via oral, 3 pacientes com lesões primo-secundárias, foram encontrados com recidiva clínica e sorológica. A duração do tratamento foi de 10 dias com a dosagem total de 100.000 unidade, os pacientes tendo 5, 8 e 10 anos respectivamente. Em quatro outros doentes, de 10 a 17 anos tratados durante 10 dias, com 150.000 unidades de penicilina associadas a citrato de sódio, os tratamentos foram considerados <
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[Table des matières] Introduction. 2 Stratégies de prévention dans d'autres régions. 3. Australie (Australian Better Health Initiative 2006-2010). 4. Royaume-Uni. 5. Suisse. 5.1 En résumé ... 5.2 Vers une loi fédérale (?) 5.3 Suisse : synopsis. 6. Saint-Gall. 6.1 Poids corporel sain pour les enfants. 6.2 Santé au travail. 6.3 Dépendances. 6.4 Prévention et promotion de la santé dans les communes. 6.5 Saint-Gall : synopsis. 7. Valais. 8. Tessin. 8.1 Canton du Tessin : Synopsis I (programme général). 8.2 Canton du Tessin : Synopsis II (activités en cours). Annexe 1 : 21 buts de santé pour la Suisse (Santé Publique Suisse). Annexe 2 : 7 thèses sur la nouvelle réglementation de la prévention et de la promotion de la santé en Suisse (Office fédéral de la santé publique).
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Introduction:¦L'incidence annuelle du cancer de l'ovaire en Suisse est de 600 cas, il touche principalement les femmes âgées de plus de 60 ans. Le cancer de l'ovaire est aujourd'hui la 1ère cause de mortalité par cancer gynécologique chez la femme. Le but de notre recherche, est de créer une base de données de toutes les¦patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV pour la prise en charge de leur maladie.¦Cette étude rétrospective monocentrique nous permettra en premier lieu d'analyser les caractéristiques de¦cette tumeur présentées par les patientes, les traitements instaurés pour traiter ce cancer et les taux de¦récidives et de survie des patientes en fonction de ces variables.¦Méthodologie:¦Analyse rétrospective de 147 patientes diagnostiquées d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV entre¦septembre 2001 et mars 2010 pour la prise en charge de leur tumeur ovarienne. Utilisation du programme informatique ARCHIMED qui contient les dossiers médicaux de toutes les patientes inclues dans l'étude et création de 2 bases des données. La 1ère base de données regroupe l'ensemble des patientes de l'étude y¦compris les tumeurs type borderline, la 2ème base de données concerne uniquement les patientes ayant récidivé de leur tumeur. Les tumeurs bénignes ont été exclues de l'étude.¦Résultats:¦La probabilitéde survie à 1 an chez les patientes avec un cancer de l'ovaire, tous stades FIGO et prises en¦charge confondus, hospitalisées au CHUV est de 88,04% (95% CI = 0.7981-‐0.9306), à 3 ans la probabilité de survie est de 70,4% (95% CI = 0.5864-‐0.7936), et à plus de 5 ans, elle est de 60% (95% CI = 0.4315-‐0.6859).¦Nous avons comparé le taux de survie en fonction du stade FIGO de la tumeur ovarienne et nous avons observé une différence significative de survie entre les stades FIGO précoces et les stades avancés (Pvaleur=¦0.0161).¦En plus d'une intervention chirurgicale, les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire sont normalement traitées par une chimiothérapie. Dans notre étude, 70 patientes ont bénéficié d'une chimiothérapie; un¦traitement adjuvant a été donné dans 78 % des cas (N = 55), un traitement néoadjuvant a été administré chez 22% des patientes (N=15). Le type combiné carboplatine-‐taxane est la chimiothérapie la plus fréquente (75%). Au total sur l'étude, 66 patientes sur les 147 (44%) ont récidivé de leur tumeur. En ce qui¦concerne leur prise en charge, 46% des patientes ont reçu une chimiothérapie unique comme du gemzar, cealyx ou taxotère après leur récidive. Une cytoréduction secondaire a également été effectuée chez 33% de ces patientes ayant une récidive. Nous avons également étudié l'intervalle de temps entre la date de la¦récidive et celle du décès. Parmi les 28 patientes décédées chez les récidives, 10 d'entre-‐elles (36%) ont survécu moins d'un an une fois la récidive diagnostiquée, 8 (28%) patientes ont survécu jusqu'à 2 ans, et¦les 10 (36%) autres patientes ont survécu de 2 à 5 ans. En ce qui concerne le taux de mortalité; 39 patientes sur les 147 étudiées sont décédées pendant la période d'observation, soit 26% des cas. La tumeur¦type borderline, présente une prolifération épithéliale atypique sans invasion dans le stroma et représente¦10 à 20% de toutes les tumeurs ovariennes. Dans notre étude, 41 patientes sont porteuses de cette tumeur¦(28%) et la moyenne d'âge est de 49 ans. En ce qui concerne leur prise en charge, l'intervention chirurgicale¦la plus fréquente, soit 23% des cas, est l'annexectomie unilatérale, qui reste une attitude conservative pour¦ces patientes désirant préserver leur fertilité. 6 patientes présentant ce type de tumeur ont récidivé, soit 14% des cas, avec une progression pelvienne, et 3 de ces 6 patientes sont décédées. Dans notre analyse, on observe que la probabilité de vivre plus longtemps que 1an pour les patientes ayant une tumeur borderline est de 93,8% (95% CI= 0.6323-‐ 0.9910), à 3 ans elle est également de 93,8% (95% CI = 0.6323-‐0.9910) et à 5 ans elle est de 78,1% (95% CI = 0.3171-‐0.9483). Nous n'avons pas observé de¦différence de survie dans notre étude entre les patientes présentant une tumeur borderline et le « non‐borderline ». (Pvaleur=0.3301)
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BACKGROUND & AIMS: Hepatitis C virus (HCV) induces chronic infection in 50% to 80% of infected persons; approximately 50% of these do not respond to therapy. We performed a genome-wide association study to screen for host genetic determinants of HCV persistence and response to therapy. METHODS: The analysis included 1362 individuals: 1015 with chronic hepatitis C and 347 who spontaneously cleared the virus (448 were coinfected with human immunodeficiency virus [HIV]). Responses to pegylated interferon alfa and ribavirin were assessed in 465 individuals. Associations between more than 500,000 single nucleotide polymorphisms (SNPs) and outcomes were assessed by multivariate logistic regression. RESULTS: Chronic hepatitis C was associated with SNPs in the IL28B locus, which encodes the antiviral cytokine interferon lambda. The rs8099917 minor allele was associated with progression to chronic HCV infection (odds ratio [OR], 2.31; 95% confidence interval [CI], 1.74-3.06; P = 6.07 x 10(-9)). The association was observed in HCV mono-infected (OR, 2.49; 95% CI, 1.64-3.79; P = 1.96 x 10(-5)) and HCV/HIV coinfected individuals (OR, 2.16; 95% CI, 1.47-3.18; P = 8.24 x 10(-5)). rs8099917 was also associated with failure to respond to therapy (OR, 5.19; 95% CI, 2.90-9.30; P = 3.11 x 10(-8)), with the strongest effects in patients with HCV genotype 1 or 4. This risk allele was identified in 24% of individuals with spontaneous HCV clearance, 32% of chronically infected patients who responded to therapy, and 58% who did not respond (P = 3.2 x 10(-10)). Resequencing of IL28B identified distinct haplotypes that were associated with the clinical phenotype. CONCLUSIONS: The association of the IL28B locus with natural and treatment-associated control of HCV indicates the importance of innate immunity and interferon lambda in the pathogenesis of HCV infection.
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The metabolic and respiratory effects of intravenous 0.5 M sodium acetate (at a rate of 2.5 mmol/min during 120 min) were studied in nine normal human subjects. O2 consumption (VO2) and CO2 production (VCO2) were measured continuously by open-circuit indirect calorimetry. VO2 increased from 251 +/- 9 to 281 +/- 9 ml/min (P < 0.001), energy expenditure increased from 4.95 +/- 0.17 kJ/min baseline to 5.58 +/- 0.16 kJ/min (P < 0.001), and VCO2 decreased nonsignificantly (211 +/- 7 ml/min vs. 202 +/- 7 ml/min, NS). The extrapulmonary CO2 loss (i.e., bicarbonate generation and excretion) was estimated at 48 +/- 5 ml/min. This observation is consistent with 1 mol of bicarbonate generated from 1 mol of acetate metabolized. Alveolar ventilation decreased from 3.5 +/- 0.2 l/min basal to 3.1 +/- 0.2 l/min (P < 0.001). The minute ventilation (VE) to VO2 ratio decreased from 22.9 +/- 1.3 to 17.6 +/- 0.9 l/l (P < 0.005), arterial PO2 decreased from 93.2 +/- 1.9 to 78.7 +/- 1.6 mmHg (P < 0.0001), arterial PCO2 increased from 39.2 +/- 0.7 to 42.1 +/- 1.1 mmHg (P < 0.0001), pH from 7.40 +/- 0.005 to 7.50 +/- 0.007 (P < 0.005), and arterial bicarbonate concentration from 24.2 +/- 0.7 to 32.9 +/- 1.1 (P < 0.0001). These observations indicate that sodium acetate infusion results in substantial extrapulmonary CO2 loss, which leads to a relative decrease of total and alveolar ventilation.
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Vaniprevir (MK-7009) is a macrocyclic hepatitis C virus (HCV) nonstructural protein 3/4A protease inhibitor. The aim of the present phase II study was to examine virologic response rates with vaniprevir in combination with pegylated interferon alpha-2a (Peg-IFN-α-2a) plus ribavirin (RBV). In this double-blind, placebo-controlled, dose-ranging study, treatment-naïve patients with HCV genotype 1 infection (n = 94) were randomized to receive open-label Peg-IFN-α-2a (180 _6;g/week) and RBV (1,000-1,200 mg/day) in combination with blinded placebo or vaniprevir (300 mg twice-daily [BID], 600 mg BID, 600 mg once-daily [QD], or 800 mg QD) for 28 days, then open-label Peg-IFN-α-2a and RBV for an additional 44 weeks. The primary efficacy endpoint was rapid viral response (RVR), defined as undetectable plasma HCV RNA at week 4. Across all doses, vaniprevir was associated with a rapid two-phase decline in viral load, with HCV RNA levels approximately 3 log(10) IU/mL lower in vaniprevir-treated patients, compared to placebo recipients. Rates of RVR were significantly higher in each of the vaniprevir dose groups, compared to the control regimen (68.8%-83.3% versus 5.6%; P < 0.001 for all comparisons). There were numerically higher, but not statistically significant, early and sustained virologic response rates with vaniprevir, as compared to placebo. Resistance profile was predictable, with variants at R155 and D168 detected in a small number of patients. No relationship between interleukin-28B genotype and treatment outcomes was demonstrated in this study. The incidence of adverse events was generally comparable between vaniprevir and placebo recipients; however, vomiting appeared to be more common at higher vaniprevir doses. CONCLUSION: Vaniprevir is a potent HCV protease inhibitor with a predictable resistance profile and favorable safety profile that is suitable for QD or BID administration.
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Four mongrel dogs were intradermically inoculated with 3 x 10**6 Leishmania braziliensis braziliensis promastigotes. Three out of the four animals developed cutaneous lesions respectively 4, 7, and 8 months after. The fourth dog did not develop lesion at the inoculation site, but a mucosal ulcer was seen 16 months after the inoculum. Clinical, histopathological, and serological findings were similar to what is found in natural canine infection as well as in the human disease. These results suggest that dogs may be an useful model for L. b. braziliensis infection.
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L'ubiquitination est une modification des protéines conservée, consistant en l'addition de résidus « ubiquitine » et régulant le destin cellulaire des protéines. La protéine « TRAF-interacting protein » TRAIP (ou TRIP) est une ligase E3 qui catalyse l'étape finale de l'ubiquitination. TRAIP est conservé dans l'évolution et est nécessaire au développement des organismes puisque l'ablation de TRAIP conduit à la mort embryonnaire aussi bien de la drosophile que de la souris. De plus, la réduction de l'expression de TRAIP dans des kératinocytes épidermiques humains réprime la prolifération cellulaire et induit un arrêt du cycle cellulaire en phase Gl, soulignant le lien étroit entre TRAIP et la prolifération cellulaire. Comme les mécanismes de régulation de la prolifération jouent un rôle majeur dans l'homéostasie de la peau, il est important de caractériser la fonction de TRAIP dans ces mécanismes. En utilisant des approches in vitro, nous avons déterminé que la protéine TRAIP est instable, modifiée par l'addition d'ubiquitine et ayant une demi-vie d'environ 4 heures. Nos analyses ont également révélé que l'expression de TRAIP est dépendante du cycle cellulaire, atteignant un pic d'expression en phase G2/M et que l'induction de son expression s'effectue principalement au cours de la transition Gl/S. Nous avons identifié le facteur de transcription E2F1 comme en étant le responsable, en régulant directement le promoteur de TRAIP. Aussi, TRAIP endogène ou surexprimée est surtout localisée au niveau du nucléole, une organelle nucléaire qui est désassemblée pendant la division cellulaire. Pour examiner la localisation subcellulaire de TRAIP pendant la mitose, nous avons imagé la protéine TRAIP fusionnée à une protéine fluorescente, à l'intérieur de cellules vivantes nommées HeLa, à l'aide d'un microscope confocal. Dans ces conditions, TRAIP est majoritairement localisée autour des chromosomes en début de mitose, puis est arrangée au niveau de l'ADN chromosomique en fin de mitose. La détection de TRAIP endogène à l'aide d'un anticorps spécifique a confirmé cette localisation. Enfin, l'inactivation de TRAIP dans les cellules HeLa par interférence ARN a inhibé leur capacité à s'arrêter en milieu de mitose. Nos résultats suggèrent que le mécanisme sous-jacent peut être lié au point de contrôle de l'assemblage du fuseau mitotique. - Ubiquitination of proteins is a post-translational modification which decides the cellular fate of the protein. The TRAF-interacting protein (TRAIP, TRIP) functions as an E3 ubiquitin ligase mediating addition of ubiquitin moieties to proteins. TRAIP interacts with the deubiquitinase CYLD, a tumor suppressor whose functional inactivation leads to skin appendage tumors. TRAIP is required for early embryonic development since removal of TRAIP either in Drosophila or mice by mutations or knock¬out is lethal due to aberrant regulation of cell proliferation and apoptosis. Furthermore, shRNA- mediated knock-down of TRAIP in human epidermal keratinocytes (HEK) repressed cell proliferation and induced a Gl/S phase block in the cell cycle. Additionally, TRAIP expression is strongly down- regulated during keratinocyte differentiation supporting the notion of a tight link between TRAIP and cell proliferation. We thus examined the biological functions of TRAIP in epithelial cell proliferation. Using an in vitro approach, we could determine that the TRAIP protein is unstable, modified by addition of ubiquitin moieties after translation and exhibits a half-life of 3.7+/-1-6 hours. Our analysis revealed that the TRAIP expression is modulated in a cell-cycle dependent manner, reaching a maximum expression level in G2/M phases. In addition, the expression of TRAIP was particularly activated during Gl/S phase transition and we could identify the transcription factor E2F1 as an activator of the TRAIP gene promoter. Both endogenous and over-expressed TRAIP mainly localized to the nucleolus, a nuclear organelle which is disassembled during cell division. To examine the subcellular localization of TRAIP during M phase, we performed confocal live-cell imaging of a functional fluorescent protein TRAIP-GFP in HeLa cells. TRAIP was distributed in the cytoplasm and accumulated around mitotic chromosomes in pro- and meta-phasic cells. TRAIP was then confined to chromosomal DNA location in anaphase and later phases of mitosis. Immune-detection of endogenous TRAIP protein confirmed its particular localization in mitosis. Finally, inactivating TRAIP expression in HeLa cells using RNA interference abrogated the cells ability to stop or delay mitosis progression. Our results suggested that TRAIP may involve the spindle assembly checkpoint.
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Con el objeto de aumentar la sensibilidad del diagnóstico histopatológico de lesiones cutáneas y mucocutáneas causada por subespecies del complejo Leismania braziliensis y para lograr una mejor visualización de los parásitos en las lesiones, se evaluó el método de la inmunoperoxidas indirecta para localizar en forma rápida y específica los amastigotas en biopsia de tejido afectado. Los cortes de tejido se fijaron en formol y se incluyeron en parafina; después se evaluaron por inmunohistoquímica usando un antisuero policlonal producido en conejo, como reactivo primario, Se examinaron 265 biopsias de pacientes con lesiones sospechosas de leishmaniasis de la costa Pacífica y región suroriental colombiana. a 1983 (72.8%) pacientes se les estableció el diagnóstico por métodos clínicos y/o poarasitológicos. Los resultados obtenidos por la inmunoperoxidasa en el grupo de pacientes a los cuales se les confirmó la leishmaniasis se compararn con la histopatología convencional, el examen directo de frotis y el aislamiento del parásito por cultivo del aspirado de la lesión. La localización inmunoenzimática de las amastigotas fue más efectivas (61.3%) que la histopatología com hematoxilina y eosina (34.6%), y que el frotis (43,9%). En cambio, el cultivo de aspirado fue más sensible (89.8%). La eficiencia del método de inmunoperoxidasa fue mayor en las lesiones recientes (72.5%) positivos en los casos con menos de tres meses de evolución) que en las lesiones más antiguas (55.6, 37.5 y 21.1% para 3-5.9, 6-11 meses y mayores o iguales a 12 mese, respectivamente). La combinación de frotis e inmunoperoxidasa incrementó el porcentaje de caso diagnosticados a 72.0%, lo que indica la importancia de combinar métodos para obtener una mayor eficiencia de diagnóstico. La especificidad fue de 100% en controles sanos y 92.9% en pacientes con lesiones causadas por agentes etiológicos distintos a leishmania.
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We have identified C7orf11, which localizes to the nucleus and is expressed in fetal hair follicles, as the first disease gene for nonphotosensitive trichothiodystrophy (TTD). C7orf11 maps to chromosome 7p14, and the disease locus has been designated "TTDN1" (TTD nonphotosensitive 1). Mutations were found in patients with Amish brittle-hair syndrome and in other nonphotosensititive TTD cases with mental retardation and decreased fertility but not in patients with Sabinas syndrome or Pollitt syndrome. Therefore, genetic heterogeneity in nonphotosensitive TTD is a feature similar to that observed in photosensitive TTD, which is caused by mutations in transcription factor II H (TFIIH) subunit genes. Comparative immunofluorescence analysis, however, suggests that C7orf11 does not influence TFIIH directly. Given the absence of cutaneous photosensitivity in the patients with C7orf11 mutations, together with the protein's nuclear localization, C7orf11 may be involved in transcription but not DNA repair.
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OBJECTIVE: To test the accuracy of a new pulse oximeter sensor based on transmittance and reflectance. This sensor makes transillumination of tissue unnecessary and allows measurements on the hand, forearm, foot, and lower limb. DESIGN: Prospective, open, nonrandomized criterion standard study. SETTING: Neonatal intensive care unit, tertiary care center. PATIENTS: Sequential sample of 54 critically ill neonates (gestational age 27 to 42 wks; postnatal age 1 to 28 days) with arterial catheters in place. MEASUREMENTS AND MAIN RESULTS: A total of 99 comparisons between pulse oximetry and arterial saturation were obtained. Comparison of femoral or umbilical arterial blood with transcutaneous measurements on the lower limb (n = 66) demonstrated an excellent correlation (r2 = .96). The mean difference was +1.44% +/- 3.51 (SD) % (range -11% to +8%). Comparison of the transcutaneous values with the radial artery saturation from the corresponding upper limb (n = 33) revealed a correlation coefficient of 0.94 with a mean error of +0.66% +/- 3.34% (range -6% to +7%). The mean difference between noninvasive and invasive measurements was least with the test sensor on the hand, intermediate on the calf and arm, and greatest on the foot. The mean error and its standard deviation were slightly larger for arterial saturation values < 90% than for values > or = 90%. CONCLUSION: Accurate pulse oximetry saturation can be acquired from the hand, forearm, foot, and calf of critically ill newborns using this new sensor.