896 resultados para Fault compensation
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Literature suggests that CEOs of technology firms earn higher pay than CEOs of non-technology firms. I investigate whether compensation risk explains the difference in compensation between technology firms and non-technology firms. Controlling for firm size and performance, I find that CEOs in technology firms have higher pay, but also have much higher compensation risk compared to non-technology firms. Compensation risk explains the major part of the difference in CEO pay. My study is consistent with the labor market economics view that CEOs earn competitive risk-adjusted total compensation.
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This paper examines risk taking and CEO excess compensation problems in U.S firms to determine their impact on shareholders wealth. Literature suggests a positive effect of CEO incentive risk and strong corporate governance on CEO risk taking. Furthermore, the strong governance mitigates excess compensation problem. Controlling for governance quality and incentive risk, I provide empirical evidence of a significant association between risk taking and CEO excess compensation. When I also control for pay-performance sensitivity (delta) and feedback effects of incentive compensation on CEO risk taking, I find that higher use of incentive pay encourages risk taking, and due to a high exposure to risk CEOs draws excess compensation. Furthermore, I find that the excess compensation problem is more serious with CEOs taking high risk than with those taking low risk. Finally, I find that CEO risk taking also has structural impacts on CEO compensation
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The paper finds evidence that the equity-based CEO pay is positively related to firm performance and risk-taking. Both stock price and operating performance as well as firm's riskiness increase in the pay-performance sensitivities (PPS) provided by CEO stock options and stock holdings. PPS can explain stock returns better as an additional factor to the Fama-French 3-factor model. When CEOs are compensated with higher PPS, firms experience higher return on asset (ROA). The higher PPS also leads to the higher risk-taking. While CEO incentive compensation has been perceived mixed on its effectiveness, this study provides support to the equity-based CEO compensation in reducing agency conflicts between CEOs and shareholders.
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Rapport de recherche
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Tesis (Doctor en Ingeniería Eléctrica) UANL, 2013.
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Notre recherche visait au départ l'analyse de la substance du dommage moral: retrouver les sentiments à l'intérieur des chefs de dommage moral. Une première lecture des jugements québécois publiés, rendus entre le 1er janvier 1950 et le 31 décembre 2008 et à l'intérieur desquels des dommages et intérêts ont été octroyés pour réparer un dommage moral en matière de responsabilité civile extracontractuelle, laisse une impression de confusion et de désordre, tant au plan terminologique qu'au plan conceptuel. Dommage moral, préjudice extrapatrimonial, dommage non pécuniaire, préjudice moral: autant de termes qui rendent impossible une synthèse des chefs de préjudice. C'est finalement à l'analyse des raisons de cette confusion, aux formes qu'elle prend, aux moyens déployés par les juristes pour, sinon la surmonter, du moins la contenir, que la présente thèse est consacrée. Malgré cette confusion et ce désordre, un constat général d'homogénéité et de stabilité des discours judiciaire et juridique sur le préjudice extrapatrimonial peut d'abord être tracé. Le dommage moral et le préjudice extrapatrimonial (les deux étant couramment assimilés) sont réputés difficilement réparables. Afin de contenir l'arbitraire et la subjectivité qui caractérisent le préjudice extrapatrimonial, un discours dominant rationnel et raisonnable s'est construit et une évaluation globale du préjudice est pratiquée par les juges. Il en résulte une stabilité des montants des dommages et intérêts octroyés à titre de réparation. Mais pourquoi autant de mots pour décrire une même réalité? Dommage et préjudice sont actuellement employés en droit québécois comme s'ils étaient terminologiquement et conceptuellement indistincts; il en résulte une sursimplification de la responsabilité civile. Nous proposons que le dommage (qu'il soit corporel, matériel ou moral) et le préjudice (qu'il soit extrapatrimonial ou patrimonial) sont distincts. Le dommage se qualifie au siège de l'atteinte (des corps, des choses, des sentiments et valeurs) et le préjudice se qualifie au regard de la nature des répercussions du dommage (répercussions patrimoniales ou extrapatrimoniales). Ainsi distingués, dommage et préjudice retrouvent un sens tout en faisant ressortir les deux temps composant la responsabilité civile: l'établissement d'une responsabilité à l'aide de la faute, du dommage et du lien de causalité les unissant (1er temps) et la réparation du préjudice accompagnant le dommage (2e temps). Par une telle distinction, la sursimplification de la responsabilité civile est dépassée et force est de constater que bien peu de choses sont dites dans les jugements sur la substance du dommage moral et même sur le dommage moral tout court. Le discours dominant porte essentiellement sur la difficile détermination de la quotité des dommages et intérêts pour réparer le préjudice extrapatrimonial. Si le dommage moral et le préjudice extrapatrimonial n'étaient pas confondus et employés par les juristes avec une apparente cohérence, une synthèse des chefs de préjudice extrapatrimonial, telle qu'envisagée au départ, aurait peut-être été possible…
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Rapport de recherche présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en sciences économiques.