498 resultados para Treadmill
Resumo:
The purpose of this study was to establish the optimal allometric models to predict International Ski Federation’s ski-ranking points for sprint competitions (FISsprint) among elite female cross-country skiers based on maximal oxygen uptake (V̇O2max) and lean mass (LM). Ten elite female cross-country skiers (age: 24.5±2.8 years [mean ± SD]) completed a treadmill roller-skiing test to determine V̇O2max (ie, aerobic power) using the diagonal stride technique, whereas LM (ie, a surrogate indicator of anaerobic capacity) was determined by dual-emission X-ray anthropometry. The subjects’ FISsprint were used as competitive performance measures. Power function modeling was used to predict the skiers’ FISsprint based on V̇O2max, LM, and body mass. The subjects’ test and performance data were as follows: V̇O2max, 4.0±0.3 L min-1; LM, 48.9±4.4 kg; body mass, 64.0±5.2 kg; and FISsprint, 116.4±59.6 points. The following power function models were established for the prediction of FISsprint: 3.91×105 ∙ VO -6.002maxand 6.95×1010 ∙ LM-5.25; these models explained 66% (P=0.0043) and 52% (P=0.019), respectively, of the variance in the FISsprint. Body mass failed to contribute to both models; hence, the models are based on V̇O2max and LM expressed absolutely. The results demonstrate that the physiological variables that reflect aerobic power and anaerobic capacity are important indicators of competitive sprint performance among elite female skiers. To accurately indicate performance capability among elite female skiers, the presented power function models should be used. Skiers whose V̇O2max differs by 1% will differ in their FISsprint by 5.8%, whereas the corresponding 1% difference in LM is related to an FISsprint difference of 5.1%, where both differences are in favor of the skier with higher V̇O2max or LM. It is recommended that coaches use the absolute expression of these variables to monitor skiers’ performance-related training adaptations linked to changes in aerobic power and anaerobic capacity.
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Au sprint 100 mètres et dans de nombreux sport de puissance, la phase d’accélération est un déterminant majeure de la performance. Toutefois, les asymétries cinétiques et cinématiques peuvent avoir une incidence sur la performance. L’objectif de cette étude était d’identifier la présence d’interaction entre différentes variables cinétiques et cinématiques angulaires aux membres inférieures (MI) d’un sprint de haute intensité sur un ergomètre non-motorisé avec résistance (NMR). Suite à une rencontre de familiarisation, 11 sujets ont exécuté des sprints de 40 verges. Les données cinétiques ont été obtenues par l’entremise de plateformes de force intégrées aux appuis de l’ergomètre NMR à 10 Hz et les données cinématiques ont été amassées à l’aide du système Optitrack et du logiciel Motive Tracker à 120Hz. Nous avons effectué un test de corrélation linéaire (Corrélation linéaire de Pearson) pour déterminer la relation entre les données cinétiques et cinématiques (p < 0,05). L’analyse des données a révélée (1) une corrélation positive entre la moyenne d’amplitude articulaire à la cheville et la moyenne des pics de puissance développés (W/kg) lors de la phase de maintien (r = 0,62), (2) une corrélation négative entre l’extension maximale moyenne (calculé à partir de l’angle de flexion le plus petit) à la hanche et la moyenne de pics de puissance développées en fin de poussée lors de la totalité et de la phase de maintien (r = -0,63 et r = -0,69 respectivement), et finalement (3) une corrélation négative entre la différence de dorsiflexion maximale à la cheville et la différence des pics de puissance développés aux MI lors du contact du pied au sol en phase de maintien ( r = -0,62). Les résultats obtenus dans cette étude permettront d’améliorer l’intervention des préparateurs physiques et la pratique des athlètes de sport de puissance en plus d’aider au développant de nouvelles technologies et outils d’entrainement complémentaire au sprint et particulièrement à la phase d’accélération.
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El presente artículo contribuye con la investigación de las Finanzas Corporativas del Comportamiento, rama de las finanzas corporativas que considera que el individuo que toma decisiones financieras no es completamente racional y que por hecho existen sesgos psicológicos que influyen en sus decisiones. Este documento se enfoca, desde el punto de vista conceptual y también mediante el análisis de un estudio de campo, en la influencia de la felicidad en las decisiones de inversión en activos de largo plazo para un grupo de siete gerentes ubicados en la ciudad de Bogotá en el año 2016. En el documento se abarca el concepto general de las finanzas corporativas del comportamiento, se define la felicidad y se presentan sub-variables determinantes para la felicidad del individuo como lo son: salud, balance vida/trabajo, educación y habilidades, conexiones sociales y medio ambiente. Finalmente se presenta cómo éstas afectan a los gerentes financieros en sus decisiones de acuerdo a la investigación realizada.