998 resultados para Sida santaremnensis


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Se analiza la validez de constructo y la consistencia interna de un cuestionario sobre ventajas e inconvenientes del uso del preservativo con una pareja afectiva heterosexual, así como su capacidad para predecir el uso del preservativo en el pasado y la intención de uso en los próximos tres meses. Participan en el estudio 1711 estudiantes universitarios (46.3% varones y 60% menores de 21 años) elegidos mediante muestreo de conveniencia. Se emplea un diseño transversal y los datos se recogen mediante autoinforme voluntario y anónimo. Los resultados muestran que la consistencia interna del cuestionario es equiparable a la de otros instrumentos semejantes (alfas de Cronbach en escala de ventajas: .605 y en escala de inconvenientes: .725). Tanto las ventajas como los inconvenientes del uso del preservativo predicen significativamente su uso sistemático en el pasado, con un mayor peso de las ventajas. Entre los jóvenes que no lo han utilizado siempre, y únicamente en los varones, las ventajas predicen la intención de uso en los próximos tres meses. Los resultados apoyan la realización de programas preventivos que destaquen los beneficios derivados del uso de preservativo y, así mismo, reduzcan las percepciones negativas asociadas a su empleo, con una atención preferente a los primeros

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Los datos existentes sobre el progresivo incremento de la infección con el virus de inmunodeficiencia humana (VIH) entre los adictos a las drogas por via parenteral (ADVP) y sus parejas e hijos, plantean la necesidad urgente de elaborar programas preventivos con el mayor grado de eficacia posible. En el presente trabajo nos proponemos tres objetivos: 1) Poner de manifiesto algunas insuficiencias observadas en los modelos deprevención que se aplican al caso del SIDA. 2) Conferir un énfasis especial a la influencia sobre los comportamientos preventivos frente al SIDA, de ciertos factores que, en general, no se tienen 10 bastante en cuenta en los modelos actuales como son: la magnitud del reforzamiento contingente a un determinado comportamiento y la demora con la que éste se recibe. 3) Exponer los resultados de una investigación realizada con drogadictos por via parenteral (Planes, 1991), cuyos objetivos eran conocer las relacionesexistentes entre la magnitud y la demora del reforzamiento contingente a los comportamientos sexuales preventivos y la frecuencia de dichos comportamientos

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La mayor parte de las nuevas infecciones con el VIH en el mundo se producen por transmisión sexual entre adultos jóvenes y se aprecia una mayor vulnerabilidad en las mujeres (Gregson et al., 2002). Los principales objetivos de este trabajo son: estudiar la prevalencia del uso auto informado del preservativo durante la última relación sexual en los estudiantes de secundaria de Mozambique y la intención de emplearlo en las futuras relaciones, sea con la pareja actual o con una ocasional. Los resultados muestran que: 1) el 47% de los va rones y el 62% de las mujeres no utilizaron el preservativo, 2) tanto ellos como ellas están más seguros de que lo utilizarán con una pareja ocasional que con la actual y 3) los que emplearon el preservativo en su última relación sexual tienen más intención de volver a usarlo que aquellos que no lo emplearon

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End-stage renal diseases (ESRD) are becoming more frequent in HIV-infected patients. In Europe there is little information about HIV-infected patients on dialysis. A cross-sectional multicenter survey in 328 Spanish dialysis units was conducted in 2006. Information from 14,876 patients in dialysis was obtained (81.6% of the Spanish dialysis population). Eighty-one were HIV infected (0.54%; 95% CI, 0.43-0.67), 60 were on hemodialysis, and 21 were on peritoneal dialysis. The mean (range) age was 45 (28-73) years. Seventy-two percent were men and 33% were former drug users. The mean (range) time of HIV infection was 11 (1-27) years and time on dialysis was 4.6 (0.4-25) years. ESRD was due to glomerulonephritis (36%) and diabetes (15%). HIV-associated nephropathy was not reported. Eighty-five percent were on HAART, 76.5% had a CD4 T cell count above 200 cells, and 73% had undetectable viral load. Thirty-nine percent of patients met criteria for inclusion on the renal transplant (RT) waiting list but only 12% were included. Sixty-one percent had HCV coinfection. HCV-coinfected patients had a longer history of HIV, more previous AIDS events, parenteral transmission as the most common risk factor for acquiring HIV infection, and less access to the RT waiting list (p < 0.05). The prevalence of HIV infection in Spanish dialysis units in 2006 was 0.54% HCV coinfection was very frequent (61%) and the percentage of patients included on the Spanish RT waiting list was low (12%).

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Contexte¦Le VIH reste une des préoccupations majeures de santé publique dans le monde. Le nombre de patients infectés en Europe continue de croître et s'élève, en 2008, à 2.3 millions (1). De plus, environ 30 % des personnes séropositives ignorent leur statut et, de ce fait, contribuent à la propagation de l'épidémie. Ces patients sont responsables de la moitié des nouveaux cas du VIH (2) ; ils transmettent, en effet, 3.5 fois plus l'infection que les patients dont le diagnostic est connu (3).¦Aux USA, en raison de l'épidémiologie actuelle du VIH, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont, en septembre 2006, mis le point sur la nécessité d'étendre drastiquement les tests et, de ce fait, ont publié de nouvelles recommandations. Non seulement, le test devra dépasser les groupes à risque dans les zones à grande prévalence mais aussi, être répandu à toute la population adulte de 13 à 64 ans sauf si la prévalence du VIH est en dessous de 0.1 % (4). Cette démarche est appelée routine opt-out HIV screening et plusieurs arguments parlent en faveur d'un dépistage systématique. Cette maladie rempli tout d'abord les 4 critères pour l'introduction d'un dépistage systématique : une maladie grave pouvant être mise en évidence avant l'apparition des symptômes, son diagnostic améliore la survie par une progression moins rapide et diminution de la mortalité, des tests de dépistage sensibles et spécifiques sont disponibles et les coûts sont moindres en comparaison aux bénéfices (5). Aux USA, 73 % des patients diagnostiqués à un stade avancé de l'infection VIH entre 2001 et 2005 avaient eu recours à l'utilisation des systèmes de soins au moins une fois dans les 8 ans précédant le diagnostic (6). Ces occasions manquées font aussi partie des arguments en faveur d'un dépistage systématique. En règle générale, le médecin se basant uniquement sur les symptômes et signes, ainsi que sur l'anamnèse sexuelle sous-estime la population à tester. Ce problème de sélection des candidats n'a plus lieu d'être lors d'un tel screening. Après cette publication des recommandations du CDC, qui introduit le dépistage systématique, il a été constaté que seulement 1/3 du personnel soignant interrogé connaissait les nouvelles directives et seulement 20 % offrait un dépistage de routine à tous les patients concernés (7). Cette étude nous montre alors qu'il est impératif de vérifier le niveau de connaissances des médecins après la publication de nouvelles recommandations.¦Devant le problème de l'épidémie du VIH, la Suisse opte pour une stratégie différente à celle des Etats-Unis. La Commission d'experts clinique et thérapie VIH et SIDA (CCT) de l'OFSP a tout d'abord publié, en 2007, des recommandations destinées à diminuer le nombre d'infections VIH non diagnostiquées, grâce à un dépistage initié par le médecin (8). Cette approche, appelée provider initiated counselling and testing (PICT), complétait alors celle du voluntary counselling and testing (VCT) qui préconisait un dépistage sur la demande du patient. Malheureusement, le taux d'infections diagnostiquées à un stade avancé a stagné aux environs de 30 % jusqu'en 2008 (9), raison pour laquelle l'OFSP apporte, en 2010, des modifications du PICT. Ces modifications exposent différentes situations où le test du VIH devrait être envisagé et apportent des précisions quant à la manière de le proposer. En effet, lors d'une suspicion de primo-infection, le médecin doit expliquer au patient qu'un dépistage du VIH est indiqué, un entretien conseil est réalisé avec des informations concernant la contagiosité élevée du virus à ce stade de l'infection. Si le patient présente un tableau clinique qui s'inscrit dans le diagnostic différentiel d'une infection VIH, le médecin propose le test de manière systématique. Il doit alors informer le patient qu'un tel test sera effectué dans le cadre d'une démarche diagnostique, sauf si celui-ci s'y oppose. Enfin, dans d'autres situations telles que sur la demande du patient ou si celui-ci fait partie d'un groupe de population à grande prévalence d'infection VIH, le médecin procède à une anamnèse sexuelle, suivie d'un entretien conseil et du test si l'accord explicite du patient a été obtenu (10).¦Nous pouvons donc constater les différentes stratégies face à l'épidémie du VIH entre les USA et la Suisse. Il est nécessaire d'évaluer les conséquences de ces applications afin d'adopter la conduite la plus efficace en terme de dépistage, pour amener à une diminution des transmissions, une baisse de la morbidité et mortalité. Aux USA, des études ont été faites afin d'évaluer l'impact de l'approche opt-out qui montrent que le screening augmente la probabilité d'être diagnostiqué (11). En revanche, en Suisse, aucune étude de ce type n'a été entreprise à l'heure actuelle. Nous savons également qu'il existe un hiatus entre la publication de nouvelles recommandations et l'application de celles-ci en pratique. Le 1er obstacle à la mise en oeuvre des guidelines étant leur méconnaissance (12), il est alors pertinent de tester les connaissances des médecins des urgences d'Hôpitaux de Suisse au sujet des nouvelles recommandations sur le dépistage du VIH de l'OFSP de mars 2010.¦Objectifs¦Montrer que les recommandations de l'OFSP de mars 2010 ne sont pas connues des médecins suisses.¦Méthodes¦Nous testerons la connaissance des médecins concernant ces recommandations via un questionnaire qui sera distribué lors d'un colloque organisé à cet effet avec tous les médecins du service des urgences d'un même établissement. Il n'y aura qu'une séance afin d'éviter d'éventuels biais (transmission d'informations d'un groupe à un autre). Ils recevront tout d'abord une lettre informative, accompagnée d'un formulaire de consentement pour l'utilisation des données de manière anonyme. La feuille d'information est rédigée de façon à ne pas influencer les candidats pour les réponses aux questions. Le questionnaire comprend deux parties, une première qui comprend divers cas cliniques. Les candidats devront dire si ces situations se trouvent, selon eux, dans les nouvelles recommandations de l'OFSP en termes de dépistage du VIH et indiquer la probabilité d'effectuer le test en pratique. La deuxième partie interrogera sur la manière de proposer le test au patient. La durée nécessaire pour remplir le questionnaire est estimée à 15 minutes.¦Le questionnaire élaboré avec la collaboration de Mme Dubois de l'UMSP à Lausanne et vont être testés par une vingtaine de médecins de premier recours de Vidy Med et Vidy Source, deux centres d'urgences lausannois.¦Réstulats escomptés¦Les médecins suisse ne sont pas au courant des nouvelles recommandations concernant le dépistage du VIH.¦Plus-value escomptée¦Après le passage du questionnaire, nous ferons une succincte présentation afin d'informer les médecins au sujet de ces recommandations. Aussi, l'analyse des résultats du questionnaire nous permettra d'agir au bon niveau pour que les nouvelles recommandations de l'OFSP de mars 2010 soient connues et appliquées, tout en ayant comme objectif l'amélioration du dépistage du VIH.

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BACKGROUND Antiretroviral treatment (ART) in children has special features and consequently, results obtained from clinical trials with antiretroviral drugs in adults may not be representative of children. Nelfinavir (NFV) is an HIV-1 Protease Inhibitor (PI) which has become as one of the first choices of PI for ART in children. We studied during a 3-year follow-up period the effects of highly active antiretroviral therapy with nelfinavir in vertically HIV-1 infected children. METHODS Forty-two vertically HIV-infected children on HAART with NFV were involved in a multicentre prospective study. The children were monitored at least every 3 months with physical examinations, and blood sample collection to measure viral load (VL) and CD4+ cell count. We performed a logistic regression analysis to determinate the odds ratio of baseline characteristics on therapeutic failure. RESULTS Very important increase in CD4+ was observed and VL decreased quickly and it remained low during the follow-up study. Children with CD4+ <25% at baseline achieved CD4+ >25% at 9 months of follow-up. HIV-infected children who achieved undetectable viral load (uVL) were less than 40% in each visit during follow-up. Nevertheless, HIV-infected children with VL >5000 copies/ml were less than 50% during the follow-up study. Only baseline VL was an important factor to predict VL control during follow-up. Virological failure at defined end-point was confirmed in 30/42 patients. Along the whole of follow-up, 16/42 children stopped HAART with NFV. Baseline characteristics were not associated with therapeutic change. CONCLUSION NFV is a safe drug with a good profile and able to achieve an adequate response in children.

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BACKGROUND Recent advances in characterizing the immune recovery of HIV-1-infected people have highlighted the importance of the thymus for peripheral T-cell diversity and function. The aim of this study was to investigate differences in immune reconstitution profiles after highly active antiretroviral therapy (HAART) between HIV-children and adults. METHODS HIV patients were grouped according to their previous clinical and immunological status: 9 HIV-Reconstituting-adults (HIV-Rec-adults) and 10 HIV-Reconstituting-children (HIV-Rec-children) on HAART with viral load (VL) or=500 cells/microL at least during 6 months before the study and CD4+

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BACKGROUND Previous studies have demonstrated the efficacy of treatment for latent tuberculosis infection (TLTBI) in persons infected with the human immunodeficiency virus, but few studies have investigated the operational aspects of implementing TLTBI in the co-infected population.The study objectives were to describe eligibility for TLTBI as well as treatment prescription, initiation and completion in an HIV-infected Spanish cohort and to investigate factors associated with treatment completion. METHODS Subjects were prospectively identified between 2000 and 2003 at ten HIV hospital-based clinics in Spain. Data were obtained from clinical records. Associations were measured using the odds ratio (OR) and its 95% confidence interval (95% CI). RESULTS A total of 1242 subjects were recruited and 846 (68.1%) were evaluated for TLTBI. Of these, 181 (21.4%) were eligible for TLTBI either because they were tuberculin skin test (TST) positive (121) or because their TST was negative/unknown but they were known contacts of a TB case or had impaired immunity (60). Of the patients eligible for TLTBI, 122 (67.4%) initiated TLTBI: 99 (81.1%) were treated with isoniazid for 6, 9 or 12 months; and 23 (18.9%) with short-course regimens including rifampin plus isoniazid and/or pyrazinamide. In total, 70 patients (57.4%) completed treatment, 39 (32.0%) defaulted, 7 (5.7%) interrupted treatment due to adverse effects, 2 developed TB, 2 died, and 2 moved away. Treatment completion was associated with having acquired HIV infection through heterosexual sex as compared to intravenous drug use (OR:4.6; 95% CI:1.4-14.7) and with having taken rifampin and pyrazinamide for 2 months as compared to isoniazid for 9 months (OR:8.3; 95% CI:2.7-24.9). CONCLUSIONS A minority of HIV-infected patients eligible for TLTBI actually starts and completes a course of treatment. Obstacles to successful implementation of this intervention need to be addressed.

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Se aplica el Sistema LISREL, para el análisis de un modelo de comportamiento sexual de prevención del contagio con el virus de inmunodeficiencia humana (VIH) en una muestra de 63 adictos a las drogas por vía parental (ADVP) en tratamiento. Se incluyen en el modelo variables que habitualmente son evaluadas y registradas en los centros de rehabilitación y cuya influencia ha sido demostrada en estudios anteriores. En líneas generales, los resultados corroboran los datos aportados por otros autores respecto a que los hombres y los sujetos VIH+ son, en general, más preventivos en sus relaciones sexuales

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A 24-year-old man was admitted to the hospital because of fever, cough, and dyspnea of 4 weeks’ duration. The patient gave a history of parenteral drug abuse since he was 17 years old and had been diagnosed with HIV infection 4 years before admission. A chest radiograph showed multiple alveolar infiltrates. Four blood cultures were positive for Candida albicans.

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Boletín semanal para profesionales sanitarios de la Secretaría General de Salud Pública, Inclusión y Calidad de Vida de la Consejería de Salud y Bienestar Social

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L’activitat antiretroviral i la toxicitat de l’estavudina (d4T) depèn del seu metabòlit trifosfat (d4T-TP).Es varen determinar els nivells intracel•lulars de d4T-TP y els polimorfismes dels gens dels enzims la via del folat entre altres la timidilat sintasa (TS), la metilentetrahidrofolat reductasa (MTHFR), .... Els nivells intracel•lulars de d4T als malalts del estudi transversal amb un genotip d’alta expressió del TS van ser de 11.50 fmol/106 cels mentre que per aquells amb un genotip de baixa expressió, van ser de 20.65 (P = 0.0010). Els nivells intracel•lulars de d4T són determinats pels polimorfismes de timidilato sintasa.