998 resultados para Post, Philip Sidney, 1833-1895.


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Human malignant malaria is caused by Plasmodium falciparum and accounts for almost 900,000 deaths per year, the majority of which are children and pregnant women in developing countries. There has been significant effort to understand the biology of P. falciparum and its interactions with the host. However, these studies are hindered because several aspects of parasite biology remain controversial, such as N- and O-glycosylation. This review describes work that has been done to elucidate protein glycosylation in P. falciparum and it focuses on describing biochemical evidence for N- and O-glycosylation. Although there has been significant work in this field, these aspects of parasite biochemistry need to be explored further.

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Trypanosoma cruzi, a protozoan parasite that causes Chagas disease, exhibits unique mechanisms for gene expression such as constitutive polycistronic transcription of protein-coding genes, RNA editing and trans-splicing. In the absence of mechanism controlling transcription initiation, organized subsets of T. cruzi genes must be post-transcriptionally co-regulated in response to extracellular signals. The mechanisms that regulate stage-specific gene expression in this parasite have become much clearer through sequencing its whole genome as well as performing various proteomic and microarray analyses, which have demonstrated that at least half of the T. cruzi genes are differentially regulated during its life cycle. In this review, we attempt to highlight the recent advances in characterising cis and trans-acting elements in the T. cruzi genome that are involved in its post-transcriptional regulatory machinery.

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Rapport de synthèse : Cette étude réalisée conjointement par les services de pédopsychiatrie et de néonatologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse, s'inscrit dans un groupe de publications issues d'un projet portant sur les représentations parentales et le devenir de 1a prématurité, financée par le Fonds National de la Recherche Scientifique entre 1998 et 2002 (FNRS 32-49712.96), soutenue par la Fondation de la Psychiatrie pour la Petite Enfance. Elle à pour objectifs d'évaluer et de compazer la présence de symptômes de stress post-traumatique; en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Population et Méthode : en fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel < 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire rempli par les parents, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe contrôle de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats : les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme, de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mèrés et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Le vécu particulier des parents, ainsi que les enjeux différents pour les mères et les pères lors d'une naissance prématurée, sont ainsi mis en évidence. La prise en compte de ces différences devrait influencer les interventions des pédopsychiatres et des équipes de néonatologie qui interviennent auprès des parents et guident la construction des liens avec le bébé né prématurément. Publiée par la revue «Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence », aux éditions Elsevier Masson sous le titre : « Etat de stress post-traumatique chez les mères et chez les pères d'enfants prématurés : similitudes et différences» ; numéró 57 (2009) 385-391.

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BACKGROUND AND OBJECTIVES The elective treatment of patients with post-transplant lymphoproliferative disorders is controversial. The purpose of this trial was to evaluate the efficacy of treatment with extended doses of rituximab adapted to the response in patients with post-transplant lymphoproliferative disorders after solid organ transplantation. DESIGN AND METHODS This was a prospective, multicenter, phase II trial. Patients were treated with reduction of immunosuppression and four weekly infusions of rituximab. Those patients who did not achieve complete remission (CR) received a second course of four rituximab infusions. The primary end-point of the study was the CR rate. RESULTS Thirty-eight patients were assesable. One episode of grade 4 neutropenia was the only severe adverse event observed. After the first course of rituximab, 13 (34.2%) patients achieved CR, 8 patients did not respond, and 17 patients achieved partial remission. Among those 17 patients, 12 could be treated with a second course of rituximab, and 10 (83.3%) achieved CR, yielding an intention-to-treat CR rate of 60.5%. Eight patients excluded from the trial because of absence of CR were treated with rituximab combined with chemotherapy, and six (75%) achieved CR. Event-free survival was 42% and overall survival was 47% at 27.5 months. Fourteen patients died, ten of progression of their post-transplant lymphoproliferative disorder. INTERPRETATION AND CONCLUSIONS These results confirm that extended treatment with rituximab can obtain a high rate of CR in patients with post-transplant lymphoproliferative disorders after solid organ transplantation without increasing toxicity, and should be recommended as initial therapy for these patients.

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Résumé : Introduction : l'ostéoporose est une maladie caractérisée par une masse osseuse diminuée et une structure osseuse appauvrie amenant à une fragilité osseuse augmentée et par conséquent à une augmentation du risque fracturaire. Elle est associée à une morbidité et mortalité importantes. Il existe de nombreuses substances à disposition pour son traitement. La modalité d'administration est très variable selon la substance prescrite. Les bisphosphonates, puissants antirésorbeurs osseux, sont la classe médicamenteuse de référence. Malheureusement, prescrits per os, iIs ont fréquemment des effets secondaires digestifs limitant leur usage et sont donc mieux tolérés en iv. C'est le pamidronate qui a été le premier prescrit et reste le plus utilisé. Méthode : le meilleur régime d'administration du pamidronate n'étant pas connu, nous avons testé son effet à différentes doses sur les marqueurs du remodelage osseux et la densitométrie osseuse. Trois modalités d'administration pour une dose annuelle constante (30 mg tous les 3 mois, 40 mg tous les 4 mois et 60 mg tous les 6 mois) ont été comparées chez des femmes postménopausées avec une ostéoporose. 39 patientes ont été recrutées sur 2 ans et réparties en 2 groupes appelés EFAP 1 et 2 pour Evaluation de la Fréquence d'Administration du Pamidronate selon la fréquence des contrôles de sang. Résultats : au cours des 6 premiers mois de traitement, on observe une chute rapide des télopeptides sanguins dès le premier mois qui suit l'injection de 30, 40 ou 60 mg de pamidronate avec toutefois, une inhibition de la résorption osseuse plus efficace à long terme pour les traitements fractionnés (30 et 40 mg). Des résultats similaires sont obtenus pour l'ostéocalcine. Il n'existe en revanche pas de modifications significatives des autres paramètres (calcémie, PTH, vitamine D et phosphatase alcaline) dans les 3 groupes. Ces résultats se confirment après 24 mois de traitement avec une efficacité plus marquée pour les traitements 30 et 40 mg. Sur le plan des valeurs de densitométrie osseuse, après 2 ans de traitement, les valeurs sont augmentées de façon significative sur la colonne lombaire avec les trais dosages, de façon non significatives sur le col fémoral et de façon significative pour le trochanter avec le dosage de 40 mg seulement. Conclusions : bien que cette étude démontre des gains de densité osseuse quasi identiques entre les 3 modes d'administration pour une dose annuelle cumulée de 120 mg, l'inhibition du remodelage osseux est beaucoup plus importante avec les doses de 30 ou 40 mg tous les 3 ou 4 mois qu'avec 60 mg tous les 6 mois. Ces deux modes d'administration permettent de mieux expliquer le lien entre l'effet sur les marqueurs et sur la densitométrie osseuse.

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BACKGROUND: Radiation optic neuropathy (RON) is a rare, unpredictable, late complication of radiotherapy secondary to obliterative endarteritis. Tumor recurrence has to be ruled out by a clinical and neuroradiological examination. METHODS: Five patients with RON were investigated by magnetic resonance imaging (MRI) during 1992. RESULTS: Radiation-induced lesions of the intracranial visual pathways were easily visible on MRI. Without Gadolinium, a sectorial swelling was detectable, which markedly enhanced with Gadolinium. Intracranial optic nerve was affected in 5/5 cases, optic chiasm in 3/5 cases, and optic tract in 2/5 cases. CONCLUSIONS: MRI is the examination of choice when RON is suspected: it will easily delineate the extent of the lesion, and compression/infiltration by a recurrent tumor will be formally ruled out. A segmental swelling of visual pathway with marked Gadolinium enhancement on MRI is highly suggestive of radionecrosis.

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This study analyses the evolution of liver disease in women with chronic hepatitis C during the third trimester of pregnancy and the post-partum period, as a natural model of immune modulation and reconstitution. Of the 122 mothers recruited to this study, 89 were HCV-RNA+ve/HIV-ve and 33 were HCV-RNA-ve/HIV-ve/HCVantibody+ve and all were tested during the third trimester of pregnancy, at delivery and post-delivery. The HCV-RNA+ve mothers were categorized as either Type-A (66%), with an increase in ALT levels in the post-partum period (>40 U/L; P<0.001) or as Type-B (34%), with no variation in ALT values. The Type-A mothers also presented a significant decrease in serum HCV-RNA levels in the post-delivery period (P<0.001) and this event was concomitant with an increase in Th1 cytokine levels (INFγ, P = 0.04; IL12, P = 0.01 and IL2, P = 0.01). On the other hand, the Type-B mothers and the HCV-RNA-ve women presented no variations in either of these parameters. However, they did present higher Th1 cytokine levels in the partum period (INFγ and IL2, P<0.05) than both the Type-A and the HCV-RNA-ve women. Cytokine levels at the moment of delivery do not constitute a risk factor associated with HCV vertical transmission. It is concluded that differences in the ALT and HCV-RNA values observed in HCV-RNA+ve women in the postpartum period might be due to different ratios of Th1 cytokine production. In the Type-B women, the high partum levels of Th1 cytokines and the absence of post-partum variation in ALT and HCV-RNA levels may be related to permanent Th1 cytokine stimulation.