874 resultados para Parental Risk-Taking
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-08
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The objective of this thesis was to better understand how parental factors influence feeding practices, how mothers experience feeding and what factors mothers perceive influencing feeding in different contexts. This study is largely based on STEPS Study (Steps to Healthy Development of Children), which is a longitudinal cohort of 1797 families. In addition, qualitative data was collected among mothers in Finland and Solomon Islands. The results of this study show that different parental determinants associate with infant and young child feeding behavior and practices. Mothers with high cognitive restraint of eating introduced complementary foods earlier and neophobic mothers’ breastfed exclusively for a shorter time than mothers who ranked lower in these behaviors. Fathers’ poor diet quality associated with shorter total breastfeeding duration. Mothers’ postnatal depressive symptoms associated with shorter duration of exclusive breastfeeding, earlier introduction of complementary foods and lower compliance of feeding recommendations. The higher amount of marital distress associated with longer duration of exclusive breastfeeding and better compliance with feeding recommendations. Mothers, who participated in qualitative interviews, described how complex interplay of individual perceptions, significant others and socio-cultural environment influenced feeding practices and behavior. This study showed that several parental factors influence infant and young child feeding practices as well as compliance with the feeding recommendations. Maternal experiences and perceptions on child feeding relate to the context where mother-infant pair lives in. These results highlight the importance of targeting feeding support and, if needed, specific interventions to mothers and families who are in risk of poor feeding practices.
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It is nowadays recognized that the risk of human co-exposure to multiple mycotoxins is real. In the last years, a number of studies have approached the issue of co-exposure and the best way to develop a more precise and realistic assessment. Likewise, the growing concern about the combined effects of mycotoxins and their potential impact on human health has been reflected by the increasing number of toxicological studies on the combined toxicity of these compounds. Nevertheless, risk assessment of these toxins, still follows the conventional paradigm of single exposure and single effects, incorporating only the possibility of additivity but not taking into account the complex dynamics associated to interactions between different mycotoxins or between mycotoxins and other food contaminants. Considering that risk assessment is intimately related to the establishment of regulatory guidelines, once the risk assessment is completed, an effort to reduce or manage the risk should be followed to protect public health. Risk assessment of combined human exposure to multiple mycotoxins thus poses several challenges to scientists, risk assessors and risk managers and opens new avenues for research. This presentation aims to give an overview of the different challenges posed by the likelihood of human co-exposure to mycotoxins and the possibility of interactive effects occurring after absorption, towards knowledge generation to support a more accurate human risk assessment and risk management. For this purpose, a physiologically-based framework that includes knowledge on the bioaccessibility, toxicokinetics and toxicodynamics of multiple toxins is proposed. Regarding exposure assessment, the need of harmonized food consumption data, availability of multianalyte methods for mycotoxin quantification, management of left-censored data and use of probabilistic models will be highlight, in order to develop a more precise and realistic exposure assessment. On the other hand, the application of predictive mathematical models to estimate mycotoxins’ combined effects from in vitro toxicity studies will be also discussed. Results from a recent Portuguese project aimed at exploring the toxic effects of mixtures of mycotoxins in infant foods and their potential health impact will be presented as a case study, illustrating the different aspects of risk assessment highlighted in this presentation. Further studies on hazard and exposure assessment of multiple mycotoxins, using harmonized approaches and methodologies, will be crucial towards an improvement in data quality and contributing to holistic risk assessment and risk management strategies for multiple mycotoxins in foodstuffs.
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Selon la théorie de l’auto-détermination, l’autonomie est un besoin universel de base qui, lorsque soutenu, permet aux individus de mieux fonctionner et de vivre plus de bien-être psychologique (p. ex., Deci & Ryan, 2008). Le style parental des parents qui soutiennent l’autonomie de leur enfant est caractérisé par le soutien du fonctionnement autodéterminé de ce dernier. Sa définition traditionnelle inclut des pratiques telles qu’offrir des explications et des choix lors des requêtes, communiquer de l’empathie, et encourager les prises d’initiatives tout en minimisant l’utilisation d’un langage contrôlant (p. ex., Soenens et al., 2007). Les bénéfices d’un style parental qui soutient l’autonomie d’un enfant ont été bien documentés (p. ex., Grolnick, Deci, & Ryan, 1997), toutefois, peu d’études ont été effectuées auprès des bambins. Or, cette thèse visait à enrichir la littérature sur le « parentage » en explorant les pratiques soutenantes qui sont utilisées par des parents de bambins dans un contexte de socialisation (étude 1), ainsi qu’en examinant les facteurs qui peuvent brimer leur mise en pratique (étude 2). La première étude a examiné un grand nombre de pratiques de socialisation que les parents qui favorisent davantage le soutien à l’autonomie (SA) pourraient utiliser plus fréquemment lorsqu’ils font des demandes à leurs bambins. Cette étude nous a permis d’explorer comment les parents manifestent leur SA et si le SA dans ce type de contexte est associé à un plus grand niveau d’internalisation des règles. Des parents (N = 182) de bambins (M âge = 27.08 mois) ont donc été invités à rapporter la fréquence avec laquelle ils utilisent 26 pratiques potentiellement soutenantes lorsqu’ils demandent à leurs bambins de compléter des tâches importantes mais non intéressantes et de rapporter à quel point ils valorisent le SA. Huit pratiques ont été identifiées comme étant soutenantes: quatre façons de communiquer de l’empathie, donner des explications courtes, expliquer pourquoi la tâche est importante, décrire le problème de façon informative et neutre, et mettre en pratique le comportement désiré soi-même. De plus, l’ensemble des huit pratiques corrélait positivement avec le niveau d’internalisation des bambins, suggérant aussi que celles-ci représentent bien le concept du SA. Des études futures pourraient tenter de répliquer ces résultats dans des contextes potentiellement plus chargés ou ébranlants (p. ex., réagir face à des méfaits, avec des enfants souffrant de retard de développement). La deuxième étude a poursuivi l’exploration du concept du SA parental en examinant les facteurs qui influencent la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes dans des contextes de socialisation. Puisque la littérature suggère que le stress parental et le tempérament difficile des bambins (c.-à-d., plus haut niveau d’affectivité négative, plus faible niveau de contrôle volontaire/autorégulation, plus faible niveau de surgency) comme étant des facteurs de risque potentiels, nous avons exploré de quelle façon ces variables étaient associées à la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes. Les buts de l’étude étaient: (1) d’examiner comment le tempérament des bambins et le stress parental influençaient le SA parental, et (2) de vérifier si le stress parental médiait la relation possible entre le tempérament des bambins et le SA parental. Le même échantillon de parents a été utilisé. Les parents ont été invités à répondre à des questions portant sur le tempérament de leur enfant ainsi que sur leur niveau de stress. Les résultats ont démontré qu’un plus grand niveau d’affectivité négative était associé à un plus grand niveau de stress parental, qui à son tour prédisait moins de SA parental. De plus, le stress parental médiait la relation positive entre l’autorégulation du bambin et le SA parental. Des recherches futures pourraient évaluer des interventions ayant pour but d’aider les parents à préserver leur attitude soutenante durant des contextes de socialisation plus difficiles malgré certaines caractéristiques tempéramentales exigeantes des bambins, en plus du stress qu’ils pourraient vivre au quotidien.
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L’adversité tôt dans la vie est associée au développement de symptômes anxieux pouvant perdurer jusqu’à l’âge adulte (Casey et el, 2010, Pine 2003). Des études chez l’adulte suggèrent que ces liens pourraient être associés à des altérations du « circuit de la peur » qui inclut l’amygdale, l’hippocampe antérieur, l’insula et le cortex préfrontal (Marek, 2013, Etkin & Wager, 2007). Ceci a cependant peu été étudié chez les jeunes. L’objectif principal de cette thèse était de définir les corrélats comportementaux, physiologiques, biologiques et neuronaux du traitement de la peur chez les jeunes en bonne santé, en lien ou non avec un historique d’adversité -- sous la forme de pratiques parentales coercitives -- et d’anxiété. D’abord, puisque nous nous intéressions aux pratiques parentales coercitives chroniques, nous avons examiné leur évolution et facteurs de risque, en nous concentrant sur la période de 17 à 72 mois. Un total de 2045 dyades mère-enfant ont été incluses dans une analyse de courbe de croissance latente. Nous avons démontré que la coercition maternelle suit une évolution non linéaire durant cette période et atteint un sommet à 42 mois. Les facteurs de risque relatifs à l’enfant et à la mère, mesurés à 17 mois, permettent de prédire les niveaux de coercition à 42 mois. Finalement, les prédicteurs relatifs à l’enfant et l’efficacité maternelle prédisent l’évolution des pratiques parentales coercitives entre 17 et 72 mois. Ensuite, afin de définir une méthodologie solide pour étudier le traitement de la peur chez des jeunes, nous avons adapté une tâche développée par Lau et ses collaborateurs (2008), employant des visages féminins comme stimuli. Le sexe des participants et des visages employés comme stimuli pouvant potentiellement moduler le traitement de la peur (Kret & de Gelder, 2012; McClure, 2000), nous avons étudié leurs influences respectives sur les réponses électrodermales et subjectives de peur durant le conditionnement et l’extinction de la peur chez 117 jeunes. Nous avons démontré que les stimuli féminins suscitent des réponses davantage comparables entre les garçons et les filles que les stimuli masculins. De plus, nous avons observé un effet du « même sexe », caractérisé par un conditionnement différentiel uniquement face aux stimuli du même sexe que le participant. Finalement, nous avons exploré les différences individuelles et conjointes associées aux différents niveaux de pratiques parentales coercitives et d’anxiété en termes de réponses de peur et d’activité cérébrale, durant le conditionnement et l’extinction de la peur chez 84 jeunes. Nous avons démontré que la coercition est spécifiquement associée au fonctionnement du lobe temporal médian et aux interactions entre l’amygdale et l’insula, durant le conditionnement. Durant l’extinction, les niveaux d’anxiété étaient associés à des différences spécifiques d’activation du gyrus cingulaire antérieur (GCA) dorsal. Enfin, les pratiques parentales coercitives et l’anxiété interagissent et viennent moduler la connectivité fonctionnelle amygdale - GCA rostral, l’activation d’une sous-région du GCA dorsal et les réponses subjectives de peur. Ces résultats ajoutent une pièce au casse-tête des neurosciences développementales et fournissent des pistes intéressantes pour le développement d’interventions futures.
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"Growing Up Happily in the Family" is a program to prevent child maltreatment targeted at parents of children aged 0-5 years old in at-risk psychosocial contexts. The program is delivered via either a group-based or a home-visit format. The objective of this study was to evaluate the impact of various implementation components in the home and group versions on changes in parental attitudes about child development and education. At-risk and non at-risk parents participated in the group-based (196 participants in 26 groups) and home-visit (95 participants) versions of the program delivered through local social services. We analyzed program adherence, adaptations, participant responsiveness, quality of delivery, and implementation barriers as predictors of changes in parental attitudes. The results showed that greater program adherence, better quality of delivery and participant responsiveness, and positive climate predicted changes in parental attitudes in both formats. Therefore, it is important to take into account the quality of the implementation process when testing the effectiveness of early group-based and home-visit interventions in at-risk families.
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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.
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Background and Aim: The prevalence of alcohol use has increased globally. Out-of-school youth are a vulnerable group who might have missed opportunities for learning healthy behaviours in a formal school environment. The purpose of this study was to determine the risk perception, pattern of use, and correlates of alcohol use among out-of-school youth in Lagos, Nigeria. Methods: A cross-sectional study was conducted among 380 out-of-school youth in motor parks in Lagos State, Nigeria, using interviewer administered questionnaires. Results: The lifetime prevalence of alcohol use was 61.1%, while 55.5% were current drinkers. Beer (57.3%) was the most consumed type of alcohol, followed by distilled spirits (29.8%). Using the CAGE scoring system, more than half (57.8%) of the current drinkers had a drinking problem. Almost three quarters (70.1%) had experienced at least one episode of alcohol intoxication within the past month. A considerable number of current drinkers (63.5%) desired to reduce their alcohol intake or stop drinking, while 45.5% had made unsuccessful attempts to do so within the past year. Only 28.9% had received assistance to quit or reduce their drinking and of these less than half (39.3%) received assistance from a professional or healthcare worker. Males were more likely to be current drinkers and to have experienced episodes of alcohol intoxication. Parental and peer drinking were associated with alcohol use but not with intoxication. Conclusions: It is important to design specific programmes to reduce alcohol use among out-of-school youth in these settings.
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Respiratory syncytial virus (RSV) infection is the leading cause of hospitalisation for respiratory diseases among children under 5 years old. The aim of this study was to analyse RSV seasonality in the five distinct regions of Brazil using time series analysis (wavelet and Fourier series) of the following indicators: monthly positivity of the immunofluorescence reaction for RSV identified by virologic surveillance system, and rate of hospitalisations per bronchiolitis and pneumonia due to RSV in children under 5 years old (codes CID-10 J12.1, J20.5, J21.0 and J21.9). A total of 12,501 samples with 11.6% positivity for RSV (95% confidence interval 11 - 12.2), varying between 7.1 and 21.4% in the five Brazilian regions, was analysed. A strong trend for annual cycles with a stable stationary pattern in the five regions was identified through wavelet analysis of the indicators. The timing of RSV activity by Fourier analysis was similar between the two indicators analysed and showed regional differences. This study reinforces the importance of adjusting the immunisation period for high risk population with the monoclonal antibody palivizumab taking into account regional differences in seasonality of RSV.
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Importance A key factor in assessing the effectiveness and cost-effectiveness of antiretroviral therapy (ART) as a prevention strategy is the absolute risk of HIV transmission through condomless sex with suppressed HIV-1 RNA viral load for both anal and vaginal sex. Objective To evaluate the rate of within-couple HIV transmission (heterosexual and men who have sex with men [MSM]) during periods of sex without condoms and when the HIV-positive partner had HIV-1 RNA load less than 200 copies/mL. Design, Setting, and Participants The prospective, observational PARTNER (Partners of People on ART-A New Evaluation of the Risks) study was conducted at 75 clinical sites in 14 European countries and enrolled 1166 HIV serodifferent couples (HIV-positive partner taking suppressive ART) who reported condomless sex (September 2010 to May 2014). Eligibility criteria for inclusion of couple-years of follow-up were condomless sex and HIV-1 RNA load less than 200 copies/mL. Anonymized phylogenetic analysis compared couples' HIV-1 polymerase and envelope sequences if an HIV-negative partner became infected to determine phylogenetically linked transmissions. Exposures Condomless sexual activity with an HIV-positive partner taking virally suppressive ART. Main Outcomes and Measures Risk of within-couple HIV transmission to the HIV-negative partner. Results Among 1166 enrolled couples, 888 (mean age, 42 years [IQR, 35-48]; 548 heterosexual [61.7%] and 340 MSM [38.3%]) provided 1238 eligible couple-years of follow-up (median follow-up, 1.3 years [IQR, 0.8-2.0]). At baseline, couples reported condomless sex for a median of 2 years (IQR, 0.5-6.3). Condomless sex with other partners was reported by 108 HIV-negative MSM (33%) and 21 heterosexuals (4%). During follow-up, couples reported condomless sex a median of 37 times per year (IQR, 15-71), with MSM couples reporting approximately 22 000 condomless sex acts and heterosexuals approximately 36 000. Although 11 HIV-negative partners became HIV-positive (10 MSM; 1 heterosexual; 8 reported condomless sex with other partners), no phylogenetically linked transmissions occurred over eligible couple-years of follow-up, giving a rate of within-couple HIV transmission of zero, with an upper 95% confidence limit of 0.30/100 couple-years of follow-up. The upper 95% confidence limit for condomless anal sex was 0.71 per 100 couple-years of follow-up. Conclusions and Relevance Among serodifferent heterosexual and MSM couples in which the HIV-positive partner was using suppressive ART and who reported condomless sex, during median follow-up of 1.3 years per couple, there were no documented cases of within-couple HIV transmission (upper 95% confidence limit, 0.30/100 couple-years of follow-up). Additional longer-term follow-up is necessary to provide more precise estimates of risk.
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Purpose: To explore the literature regarding prevalance, risk factors and the involvement of antihypertensive drugs in erectile dysfunction (ED). Methods: Original research articles, reviews, editorials and case reports published in English language on the prevalence of sexual/erectile dysfunction in hypertensive men taking antihypertensive drugs and risk factors were identified through a search of four bibliographic databases, namely, PubMed, EMBASE, CINAHL and EBSCO Health. Results: Recent analyses suggest that hypertensive men of almost all age groups suffer from ED but it is more prevalent in elderly male patients. The involvement of β-blockers was found to be controversial. Nevertheless, some evidence had been found regarding the use of propranolol in high doses. Conclusion: The present review indicates the need for research to unravel the role of β-blockers in the manifestation of ED in hypertensive males, whom there are no contributory factors such as sedentary lifestyle, aging, stress and anxiety, etc.
Predictors of Adolescent Sexual Intentions and Behavior: Attitudes, Parenting, and Neighborhood Risk
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The current study was a cross-sectional examination of data collected during an HIV risk reduction intervention in south Florida. The purpose of the study was to explore the relationships between neighborhood stress, parenting, attitudes, and adolescent sexual intentions and behavior. The Theory of Planned Behavior was used as a model to guide variable selection and propose an interaction pathway between predictors and outcomes. Potential predictor variables measured for adolescents ages 13-18 (n=196) included communication about sex, parent-family connectedness, parental presence, parent-adolescent activity participation, attitudes about sex and condom use, neighborhood disorder, and exposure to violence. Outcomes were behavioral intentions and sexual behavior for the previous eight months. Neighborhood data was supplemented with ZIP Code level data from regional sources and included median household income, percentage of minority and Hispanic residents, and number of foreclosures. Statistical tests included t-tests, Pearson’s correlations, and hierarchical linear regressions. Results showed that males and older adolescents reported less positive behavioral intentions than females and adolescents younger than 16. Intentions were associated with condom attitudes, sexual attitudes, and parental presence; unprotected sexual behavior was associated with parental presence. The best fit model for intentions included gender, sexual attitudes, condom attitudes, parental presence, and neighborhood disorder. The unsafe sexual behavior model included whether the participant lived with both natural parents in the previous year, and the percent of Hispanic residents in the neighborhood. Study findings indicate that more research on adolescent sexual behavior is warranted, specifically examining the differentials between variables that affect intentions and those that affect behavior. A focus on gender and age differences during intervention development may allow for better targeting and more efficacious interventions. Adding peer and media influences to the framework of attitudes, parenting, and neighborhood may offer more insight into patterns of adolescent sexual behavior risk.
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OBJECTIVE: To estimate the prevalence of reduced sound tolerance (hyperacusis) in a UK population of 11-year-old children and examine the association of early life and auditory risk factors with report of hyperacusis. DESIGN: A prospective UK population-based study. STUDY SAMPLE: A total of 7097 eleven-year-old children within the Avon longitudinal study of parents and children (ALSPAC) were asked about sound tolerance; hearing and middle-ear function was measured using audiometry, otoacoustic emissions, and tympanometry. Information on neonatal risk factors and socioeconomic factors were obtained through parental questionnaires. RESULTS: 3.7% (95% CI 3.25, 4.14) children reported hyperacusis. Hyperacusis report was less likely in females (adj OR 0.64, 95% CI 0.49, 0.85), and was more likely with higher maternal education level (adj OR 1.72, 95% CI 1.08, 2.72) and with readmission to hospital in first four weeks (adj OR 1.98, 95% CI 1.20, 3.25). Report of hyperacusis was associated with larger amplitude otoacoustic emissions but with no other auditory factors. CONCLUSIONS: The prevalence of hyperacusis in the population of 11-year-old UK children is estimated to be 3.7%. It is more common in boys.
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OBJECTIVE: This study aimed to assess prevalence and risk factors for mild/high-frequency bilateral sensorineural hearing loss within a UK population of children at age 11 years. DESIGN: Prospective birth cohort study. STUDY SAMPLE: Repeat hearing thresholds were measured in 5032 children, as part of the Avon Longitudinal Study of Parents and Children (ALSPAC) at age 7, 9, and 11 years. Pregnancy, birth, and early medical history were obtained prospectively through parental questionnaires and medical records. RESULTS: Twenty children had mild and seven had high-frequency bilateral sensorineural hearing loss, giving a combined prevalence of 0.5% (95% CI 0.4-0.8%). These children were more likely than the rest of the study sample to have been admitted to hospital at 6-18 months (OR 2.7, 95% CI 1.00-7.30). Parents of these children were more likely to have suspected a hearing problem when the children were 3 years old (OR 2.4, 95% CI 1.05-5.60). CONCLUSIONS: This is the first UK prospective cohort study to investigate the prevalence of mild and high-frequency hearing loss. This study, which has the advantage of a large sample size and repeat hearing measures over a four year period, reports lower prevalence values than US cross-sectional studies.