929 resultados para History, 19th Century
Resumo:
En esta investigación, se ha analizado la gastronomía en la prensa española del siglo XIX a través del catálogo online de la Biblioteca Nacional. Los resultados, casi todos inéditos, revelan la importante presencia de la gastronomía en noticias, artículos y reportajes, y su desarrollo a partir de 1860, pero sobre todo en las dos últimas décadas de la centuria. Igualmente, ha sido posible plantear una categorización, así como esbozar parte de su historia y evolución en España.
Resumo:
El Teatro Circo de Albacete constituye uno de los edificios emblemáticos del despertar de la ciudad hacia la modernidad decimonónica. El doble e interesante carácter de teatro y circo, originalmente se evidenciaba en la posibilidad de conversión del patio de butacas en pista. Generada una encendida polémica con su rehabilitación, este artículo pretende aportar unas opiniones más serenas y disciplinares a partir de la reflexión acerca de la historia del edificio y de la filosofía que ha animado la intervención.
Resumo:
Hector Orr began recording entries in this commonplace book during his first year as a student at Harvard and continued writing in the volume sporadically until 1804. The entries written while he was a student, from 1789 to 1792, include themes written on the following topics: Time, Discontent, Patriotism, Virtue, Conscience, Patience, Avarice, Compassion, Mortality, Self-knowledge, Benevolence, Morning, Anger, Profanity, Bribery, Autumn and Winter, Hermitage, Conscience and Anticipation. He also wrote detailed entries about the forensic disputations in which he and his classmates participated, explaining both the affirmative and negative positions. One of these disputations involved discussion of the Stamp Act, which was then quite recent history. Orr's entries about the disputations list the names of students involved and specify their position in the argument.
Resumo:
Notebook containing an alphabetical index of Harvard graduates from 1642 to 1772. The author is unidentified, but the handwriting appears to be that of Harvard President Samuel Langdon (president from 1774 - 1780). The names are arranged alphabetically by surname. Each entry includes the graduate's name, additional degrees (Master, STD, MD, etc.), the year of graduation, and an asterisk if the individual was deceased. The asterisks are included for some graduates who died in 1791, indicating the work was created and updated between 1772 and 1791.
Resumo:
A miscellaneous collection of letter and legal documents relating to Barbados, especially prize causes, inheritance and slaves.
Resumo:
History of Indian Muslim kings and rulers, 12th to 19th century.
Resumo:
History of Indian Muslim kings and rulers, 12th to 19th century.
Resumo:
Concise encyclopedia on twelve sciences: 1. history; 2. philosophy; 3. astronomy; 4. theology; 5. principles of law; 6. controverted points; 7. exegesis; 8. mysticism; 9. interpretation of dreams; 10. magic, charm, and medecine; 11. agriculture; 12. astrology and divination.
Resumo:
by Alex. Russell.
Resumo:
Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
Resumo:
Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
Resumo:
Este trabajo explora la historia escolar a inicios del siglo XXI analizando sus actuales propósitos, contenidos y prácticas con el fin de señalar sus cambios, conquistas y pérdidas respecto al siglo XX. Focaliza el nivel secundario de la provincia de Buenos Aires a través del análisis de fuentes áulicas, normativas y pedagógicas. El artículo indica que la historia escolar manifiesta el quiebre del código disciplinar configurado a fines del siglo XIX y desarrollado durante gran parte del siglo XX (caracterizado como civilizatorio, patriótico, elitista, fáctico, libresco, memorístico) y presenta cambios que muestran uno nuevo donde cobra relevancia lo contemporáneo y reciente, lo crítico y plural, y lo subjetivo. También señala que la historia escolar evidencia, por un lado, importantes conquistas -en relación con la perspectiva latinoamericana y la historia reciente-, y, por otro, ciertas pérdidas -en relación con la formación de una identidad colectiva y el carácter narrativo.
Resumo:
The present 30 volumes seem to have remained with the Dukes of Leuchtenberg, until the ducal library was acquired for sale in 1935 by the dealers Ulrich Hoepli (Milan) and Braus-Riggenbach (Basel). The volumes are not complete, as leaves have been wholly or partly removed throughout; this is particularly evident in preliminary volumes 2 and 10 and volume 75. Prints and the relatively small number of drawings are mostly French, with some German, Dutch and English, and are mostly of the 17th or 18th centuries. They are mounted generally on rectos of leaves, often with hand-written captions. Large prints are occasionally bound in directly; these are often folded. The engraved general title page (bearing the date 1788) appears at the beginning of each volume; below the printed title a hand-written volume number and brief title describing the volume's contents usually appear. In many volumes the title leaf is followed by a hand-written contents leaf listing the section titles, which are also written individually throughout the volume on leaves with etched decorative frames. Sections are numbered continuously throughout the work as a whole. Numbering of the leaves, when present, appears in black ink within each volume at top center recto. Printmakers include B. & J. Audran, Francesco Bartolozzi, Abraham Bosse, Stefano della Bella, Jacques Callot, François Chéreau, Wenceslaus Hollar, Romeyn de Hooghe, Raymond La Fage, Sébastien Le Clerc, Pierre Lepautre, Claude Mellan, Bernard Picart, and Simon Thomassin. There are also early color prints by Gautier-Dagoty and Jean-Baptiste Morret.
Resumo:
Advertisements on endpapers.
Resumo:
Added title page: Allgemeine Länderkunde hrsg. von Wilhelm Sievers.